[PDF] L anesthésie en toute confiance





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RAPPORT ANNUEL 2017 2018

27 sept. 2019 (échanges d'expériences entre les Comores et le Mali par exemple). ... grâce à une meilleure prévention et prise en charge du diabète afin ...



ETAT BUCCO-DENTAIRE DES ENFANTS DIABÉTIQUES À L

BERAN D. The management of diabetes in Mali. [Online] available on: Http://docplayer.fr/6471374-La-prise- en-charge-du-diabete-au-mali-david-beran.html.



La mise a lagenda du diabete au Mali : decalage et

S. Besançon et D. Beran « Le diabète : un nouvel enjeu de santé publique la prise en charge du diabète



La mise a lagenda du diabete au Mali : decalage et

5 févr. 2020 S. Besançon et D. Beran « Le diabète : un nouvel enjeu de santé ... la prise en charge du diabète



Par: Mr Fousseiny Dienta Mr Fousseiny Dienta Mr Fousseiny Dienta

Au Mali notre étude est la deuxième faite sur l'approche STEPS WISE. Nous nous proposons d'étudier la problématique de la prise en charge du diabète sucré 



L anesthésie en toute confiance

14 avr. 2015 jeunes adultes pris en charge aux. HUG de s'offrir des petites paren- thèses dans leur parcours médical. Pour clore en beauté et en cou-.



Les HUG

15 avr. 2014 le protocole national de prise en charge de la leishmaniose ... de diabète ou d'obésité des pays ... patients »



Désastre et diabète: le double fardeau

8 mars 2014 Un des principaux succès de la RDA est la prise en charge des jeunes atteints de dia- bète de type 1. Dans un petit pays comme le. Rwanda où le ...



Diabetes Voice

2 juil. 2017 David J.T. Campbell Braden J. Manns



LATLAS DU DIABÈTE DE LA FID

2 mars 2020 Gojka Roglic Jonathan Shaw

L anesthésie en toute confiance

Décodage 8 › 9

Réapprendre

la marche avec un robot

Reportage

18

› 19

Une greffe à l"assaut

du diabète

Junior

22

› 23

Pourquoi je tousse

L' anesthésie

en toute conance

Dossier

11

› 17

WWW.HUG-GE.CH

MAGAZINE

mars-avril 20 15 18

3PulsationsSommaire

Mars & avril

Actualité

4

L'IVG, aussi à domicile

5

Lieu de vie

au coeur des HUG 6

La météo des émotions

7

Un centre pour le cancer de la prostate

Décodage

8'9

Réapprendre

la marche avec un robot

Invité

10 Mobilisez-vous malgré les

rhumatismes

Dossier

anesthésie

Une surveillance

de tous les instants

12'13 L' anesthésie sort des

blocs opératoires

14 Evaluer les risques

opératoires

15 L'anesthésiste, spécialiste de

la douleur

16 Rassurer les petits... et les parents

17 Effets de l'anesthésie sur le cerveau

Reportage

18'19 Une greffe à l'assaut du diabète

20'21 Texto

Junior

22'23 Pourquoi

je tousse 24'25

Rendez-vous

Vécu

27 Donner du sens à son deuil

mars avril 2015 04

L"anesthésie évolue

Pr Martin Tramèr

Médecin-chef du service

d"anesthésiologie

L'anesthésie moderne a atteint

un degré de sécurité tel qu'il est difficile aujourd'hui de faire beaucoup mieux. Malgré le vieillissement de la popula tion et l'augmentation constante du nombre d'interventions, dont certaines très délicates, la notion de " contre-indication à l'anesthé- sie » n'existe pratiquement plus.

En effet, l'évaluation minutieuse

du rapport bénéfice/risque des différentes techniques proposées lors de la consultation pré-anes thésique, associée à des soins postopératoires dans des struc tures hautement spécialisées, permet de prendre en charge des patients porteurs de mala- dies complexes, fragiles ou aux

âges extrêmes.

L'enjeu pour demain

? Répondre

à la demande croissante pour

des interventions diagnostiques et thérapeutiques " hors bloc opératoire ». Cette nouvelle pres- tation de l'anesthésie devrait continuer à améliorer la qualité de la prise en charge des patients tout au long de leur parcours hospitalier, ainsi que leur confort et leur sécurité.

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Lieu de vie

au cœur des HUGL'IVG, aussi à domicile

4PulsationsActualitémars - avril 2015PulsationsActualitémars - avril 20155

JULIEN GREGORIO / PHOVEA

JULIEN GREGORIO / PHOVEA

Les jeunes adultes touchés par la

maladie doivent non seulement gérer des problèmes d"ordre mé- dical, mais aussi leur quotidien, dans un environnement hospita- lier dont la mission est de soigner.

L"Association Frédéric Fellay, aux

côtés des HUG et de la Fonda- tion privée des HUG, a imaginé, réalisé et financé un espace dé- dié aux jeunes patients, en parti- culier et en priorité ceux atteints de cancer, hospitalisés ou en trai- tement ambulatoire.

Ouvert en janvier, l"Espace Jeunes

Adultes a été pensé pour répondre

aux besoins des malades âgés de 16 à 30 ans. Il a comme ob- jectif d"offrir un lieu de loisirs et d"échanges entre patients ou avec les proches et les soignants. Il est

équipé d'un vélo ergonomique,

d'un fauteuil de massage, d'une télévision, de consoles de jeux et d'ordinateurs, avec coins re- pas et détente.

L"histoire de Frédéric

A l"origine de ce "

havre », une his- toire poignante, celle de Frédéric, décédé à 21 ans d"un cancer du cerveau. Après l"accompagne- ment, puis le vide laissé par son départ, ses proches décident de créer l"Association Frédéric Fellay. " En améliorant l'encadrement des jeunes adultes hospitalisés, nous avons voulu honorer la mémoire de

Frédéric », explique Marie-Claude,

sa maman et présidente de l"As- sociation. " Nous avions passé beaucoup de temps à l'hôpital et identifié des choses qui pou- vaient être améliorées. »

Le Pr Pierre-Yves Dietrich, direc-

teur du centre d"oncologie, est enthousiasmé par ce projet, de même que Pierre-André Berret, infirmier responsable de l"unité

Quand on vient vous proposer

un espace privilégié pour les pa-tients, vous êtes partant. Lors de la première réunion, nous étions près de vingt personnes autour de la table

». Un élan de solida-

rité qui ne s"est pas démenti au cours des mois qu"a duré la mise sur pied du projet.

Parenthèses bienvenues

Ces trente mètres carrés mis à

disposition par la direction géné- rale ont donné l"occasion aux dif- férents acteurs de cette aventure de se dépasser, de s"impliquer et de donner du sens. Depuis le dé- but de l"année, ils permettent aux jeunes adultes pris en charge aux

HUG de s"offrir des petites paren-

thèses dans leur parcours médical.

Pour clore, en beauté et en cou-

leurs, un dernier beau geste : ce- lui de Serval, grapheur genevois d"origine américaine qui, touché par le programme de l"Associa- tion, a créé et offert une œuvre pour décorer cet espace.

Barbara MullerDeux méthodes d"interruption

volontaire de grossesse (IVG) existent : une médicamenteuse, praticable jusqu"à 9 semaines d"aménorrhée, et l"autre chirur- gicale possible jusqu"à 12 se- maines d"aménorrhée. Toutes deux sont réalisées à l"hôpital.

Le choix dépend de l"âge ges-

tationnel, d"éventuelles contre- indications et du souhait de la patiente. Depuis octobre 2013, les HUG offrent une option com- plémentaire : pratiquer l"IVG mé- dicamenteuse à domicile.

Critères stricts

Qui peut en bénéficier

? Les cri- tères sont : l"âge gestationnel, limité dans ce cas à 7 semaines d"aménorrhée ; l"absence de contre-indication médicale et psychologique ; parler le fran-

çais (car l"assistance télépho-

nique, 24h/24, n"est assurée que dans cette langue) et avoir plus de 18 ans ; résider à moins d"une heure de l"hôpital (en cas de forts saignements nécessi- tant une hospitalisation) ; être accompagnée d"une personne de confiance durant la phase à domicile. "Ces critères réduisentquotesdbs_dbs30.pdfusesText_36
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