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Connaissance des mobilités :

hybridation des méthodes, diversication des sources Collection | Rapports de recherche et rapports techniquesSous la direction de :

Joël Meissonnier

Stéphanie Vincent

Mathieu Rabaud

Vincent Kaufmann

Connaissance des mobilités :

hybridation des méthodes, diversification des sources

Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement

Territoires et ville

2 rue Antoine Charial - CS 33297 - 69426 Lyon Cedex 03

www.cerema.fr Collection Rapports de recherche et rapports techniques

Cette collection regroupe des rapports qui rassemblent les résultats d'un projet de recherche, d'une

expérimentation ou d'une étude (y compris mémoires de thèse ou études bibliographiques).

Contrairement à l'article de périodique, qui est limité en nombre de pages, le rapport de recherche ou

le rapport technique inclut les informations nécessaires à l'interprétation, à l'application et à la

reproduction des résultats présentés (par exemple mesures, paramétrages, etc.). Il peut également

inclure les détails complets voire l'analyse des pistes infructueuses d'un projet de recherche. Ces

rapports s'adressent principalement à un public de techniciens et de chercheurs.

Remerciements

Cet ouvrage est une oeuvre collective et collaborative dont la coordination a été assurée par Joël

Meissonnier (chargé de recherche, Cerema), Stéphanie Vincent (maîtresse de conférence, Institut

d'Urbanisme de Lyon), Mathieu Rabaud (ingénieur, Cerema) et Vincent Kaufmann (professeur, École

polytechnique fédérale de Lausanne). Il comprend une partie introductive consacrée à la mobilité et

ses méthodes et une compilation de neuf articles scientifiques :

-Analyser les mobilités des jeunes à partir de données issues de Twitter, d'un questionnaire Web et

d'entretiens approfondis. Retour d'expérience sur un cheminement méthodologique original. Jean-François Lucas, Emmanuel Ravalet, Guillaume Drevon -Couplage entre enquête ethnographique et traces numériques : application aux mobilités quotidiennes d'un quartier de Bangkok

Alexandre Cebeillac, Brenda Le Bigot

-Les méthodes mixtes de l'analyse de discours pour comprendre la mobilité des ménages non motorisés

Dominic Villeneuve

-La variabilité spatiale des comportements modaux : quel est l'intérêt de la GWR (Geographicaly

Weighted Regression) pour construire des actions publiques ciblées ? Christophe Enaux, Philippe Gerber, Marius Thériault, Samuel Carpentier-Postel -Méthodes d'enquête en mouvement : le cas des professionnels mobiles. Confrontation des

données d'enquêtes quantitatives et qualitatives pour une meilleure connaissance des comportements

de mobilité Reinhard Gressel, Fabrice Hasiak, Samuel James, Patrick Palmier -Les perceptions des environnements chez les piétons : utilisation qualitative et quantitative du support photographique pour saisir et comparer les espaces de traversée Marie-Axelle Granié, Marie-Soleil Cloutier, Juan Torres -Comment réarticuler les différentes dimensions de la marche urbaine ? Edna Hernández-González, Florian Guérin, Jérôme Monnet -Mobilités et dynamiques des espaces publics : une méthodologie associant enquête par questionnaires et observations

William Berthomière, Marie Chabrol, Maria Mercedes Di Virgilio, Françoise Dureau, Jean-Pierre Lévy,

Thierry Lulle

-Une approche relationnelle des mobilités quotidiennes

Thierry Ramadier

Nous remercions les auteurs pour leurs contributions ainsi qu'Aurélie Bousquet, Gaëlle Jaillet, Julie

Pelata et Nicolas Nuyttens pour leurs relectures attentives.

Comment citer cet ouvrage :

Meissonnier Joël, Vincent Stéphanie, Rabaud Mathieu, Kaufmann Vincent, (dir.), Connaissance des

mobilités : hybridation des méthodes, diversification des sources. Bron : Cerema, 2020. Collection

Rapports de recherche et rapports techniques. ISBN : 978-2-37180-423-4

2Connaissance des mobilités : hybridation des méthodes, diversification des sources

Sommaire

Introduction5

Partie 1 : La mobilité et ses méthodes7

1.1 - Parlons mobilité8

1.2 - La mobilité quotidienne comme objet9

1.3 - Méthodes hybrides10

1.4 - Vers une typologie des formes d'hybridations13

Partie 2 : Contributions25

2.1 - Analyser les mobilités des jeunes à partir de données issues de Twitter, d'un

questionnaire Web et d'entretiens approfondis. Retour d'expérience sur un cheminement méthodologique original Jean-François Lucas, Emmanuel Ravalet, Guillaume Drevon26

2.2 - Couplage entre enquête ethnographique et traces numériques : application aux

mobilités quotidiennes d'un quartier de Bangkok

Alexandre Cebeillac, Brenda Le Bigot37

2.3 - Les méthodes mixtes de l'analyse de discours pour comprendre la mobilité des

ménages non motorisés

Dominic Villeneuve53

2.4 - La variabilité spatiale des comportements modaux : quel est l'intérêt de la GWR

(Geographicaly Weighted Regression) pour construire des actions publiques ciblées ? Christophe Enaux, Philippe Gerber, Marius Thériault, Samuel Carpentier-Postel67

2.5 - Méthodes d'enquête en mouvement : le cas des professionnels mobiles -

Confrontation des données d'enquêtes quantitatives et qualitatives pour une meilleure connaissance des comportements de mobilité Reinhard Gressel, Fabrice Hasiak, Samuel James, Patrick Palmier80

2.6 - Les perceptions des environnements chez les piétons : utilisation qualitative et

quantitative du support photographique pour saisir et comparer les espaces de traversée Marie-Axelle Granié, Marie-Soleil Cloutier, Juan Torres93

2.7 - Comment réarticuler les différentes dimensions de la marche urbaine ?

Edna Hernández-González, Florian Guérin, Jérôme Monnet108

2.8 - Mobilités et dynamiques des espaces publics : une méthodologie associant enquête

par questionnaires et observations William Berthomière, Marie Chabrol, Maria Mercedes Di Virgilio, Françoise Dureau,

Jean-Pierre Lévy, Thierry Lulle123

2.9 - Une approche relationnelle des mobilités quotidiennes

Thierry Ramadier138

Conclusion générale159

Biographies161

Contacts168

Table des matières169

Connaissance des mobilités : hybridation des méthodes, diversification des sources3

4Connaissance des mobilités : hybridation des méthodes, diversification des sources

Introduction

Le présent ouvrage a comme objectif de rendre compte des innovations et hybridations

méthodologiques qui permettent de saisir les mobilités géographiques à l'échelle du

quotidien. Traditionnellement, les méthodes d'enquête se séparent entre d'une part des

méthodes quantitatives et d'autre part, des méthodes qualitatives, qui s'articulent et

dialoguent relativement peu ensemble pour différentes raisons : histoire et constitution des

disciplines et des sciences qui les utilisent, difficultés épistémologiques, méthodologiques ou

d'opérationnalisation combinée des outils, partage de connaissance théorique et

méthodologique, etc. Pourtant, ces dernières années, étant donné l'importance qu'a prise la

mobilité dans les modes de vie, de nouveaux dispositifs méthodologiques ont été

expérimentés et testés. Ils tentent de faire dialoguer des méthodes quantitatives et

qualitatives, mais vont aussi puiser dans de nouvelles sources de données, des outils ou des articulations innovantes pour renouveler la connaissance dans le champ des mobilités. L'écriture de ce livre s'appuie sur le travail mené depuis 2002 par le réseau de recherche Mobilités spatiales, fluidités sociales - MSFS, groupe de travail n° 23 de l'Association

internationale des sociologues de langue française - qui rassemble des chercheurs

intéressés aux interactions entre mobilités spatiales et fonctionnement social. Ce livre s'inscrit ainsi dans une série de réflexions méthodologiques portées par le groupe MSFS, parmi lesquelles le colloque organisé en mars 2007 à Namur " Approches qualitatives et

quantitatives des mobilités : quelles complémentarités » et plus récemment, le colloque

" Mobilités spatiales, méthodologies de collecte, d'analyse et de traitement » qui s'est tenu

les 8 et 9 novembre 2018 à Tours. Quoique dépendant de l'AISLF, le groupe fonctionne

comme un groupe pluridisciplinaire et réunit à fréquence régulière sociologues, mais aussi

psychologues, anthropologues, géographes, urbanistes ou ingénieurs travaillant sur les dimensions sociales des mobilités géographiques. Dans la lignée de ce positionnement, les

contributions sélectionnées et présentées rendent compte de la pluralité disciplinaire et

méthodologique qui caractérise le réseau MSFS. L'ouvrage comporte une courte première partie introductive qui brosse, de façon non exhaustive, néanmoins étayée, les méthodes tant quantitatives que qualitatives qui sont classiquement employées dans l'analyse des pratiques de mobilité. Elle introduit également

les différentes formes d'articulations et d'hybridations possibles dans l'analyse des mobilités.

Une seconde partie rassemble quant à elle neuf contributions scientifiques originales aux propositions méthodologiques innovantes pour une meilleure connaissance des mobilités. Ces contributions sont issues d'un appel à articles diffusé en 2016. Celui-ci partait du constat d'une multiplication des méthodes d'enquête et d'analyse des pratiques de mobilité et de leur hybridation mutuelles. L'ouvrage ambitionne ainsi de mieux saisir ces évolutions et, par une description fine de ces quelques propositions nouvelles, de devenir une source d'inspiration stimulante pour davantage de créativité méthodologique. Connaissance des mobilités : hybridation des méthodes, diversification des sources5

6Connaissance des mobilités : hybridation des méthodes, diversification des sources

Partie 1 :

La mobilité et ses méthodes

Connaissance des mobilités : hybridation des méthodes, diversification des sources7

1.1 - Parlons mobilité

Qu'est-ce que la mobilité ? Parle-t-on vraiment de la même chose lorsque la mobilité est appréhendée comme un flux ou comme une pratique individuelle ? Voit-on la même chose à chaque échelle d'observation de la mobilité ? Les disciplines s'entendent-elles sur une définition commune ? Devenue progressivement un mot-valise dans la langue courante, la notion de mobilité fait

l'objet de multiples définitions associées à des disciplines spécifiques. D'une manière

générale, le terme sert à désigner un processus de changement caractérisant les

comportements ou les trajectoires d'individus ou de groupes sociaux. Quand la mobilité s'inscrit dans l'espace géographique, elle s'applique, selon la temporalité de l'analyse, au changement du lieu de résidence (des mouvements migratoires aux déménagements) ou aux déplacements liés à l'accomplissement de diverses activités hors du domicile (du voyage d'affaires aux déplacements domicile-travail). Mais la mobilité peut également désigner un changement d'état (de statut professionnel, de position sociale) n'impliquant

aucun déplacement géographique. Dans cette deuxième optique, la mobilité sociale désigne

les changements de position des personnes ou des groupes sociaux dans l'espace social. Mais dans d'autres acceptions, la mobilité peut aussi concerner les biens matériels et

immatériels. On parlera alors de mobilité des marchandises, en référence à la logistique et

aux achats, ou encore de mobilité des capitaux. Dans une quatrième et dernière grande

définition, la mobilité renvoie à la communication à distance, et c'est ainsi que l'on parlera de

mobilité virtuelle pour évoquer l'interaction à distance, interpersonnelle, mais médiatisée. Cet

aréopage de définitions sectorielles, loin de constituer un atout pour traiter de la mobilité, est

au contraire un obstacle à la connaissance donc à son émergence comme un enjeu politique audible et articulé.

Il faut dire que dans les années 1950, l'étude des différentes facettes de la mobilité s'est

autonomisée dans des domaines de recherches constitués et spécifiques : la mobilité sociale devient un domaine de recherche majeur de la sociologie, qui ne retient dans sa définition de la mobilité que la dimension de changement. La question des flux devient l'objet central de la socio-économie des transports et de la transportation science, et considère la

mobilité comme un fluide susceptible d'être régulé. De leur côté, les approches

géographiques de la mobilité se développent après guerre et vont progressivement

s'organiser autour de quatre domaines principaux : la mobilité quotidienne, la mobilité résidentielle, les voyages et les migrations (Vincent-Geslin, Kaufmann, 2012). Face à cet éclatement de la recherche sur la mobilité, des chercheurs vont tenter de

développer des approches intégratives dès les années 1970. C'est en particulier le cas de

Michel Bassand, qui propose de considérer la mobilité comme un fait social total dont les différentes manifestations font système (Bassand et Brulhardt, 1980). Plus récemment, ce que l'on a qualifié en anglais de mobility turn (Sheller, Urry, 2006) a consisté en un

changement de perspective théorique visant à faire la synthèse entre l'ensemble des études

sur le mouvement, partant du constat que de nouvelles façons de se déplacer physiquement et virtuellement changent radicalement la donne et nous font entrer dans une époque que Zygmunt Bauman qualifie de modernité liquide (Bauman, 2000). Ces travaux observent les mobilités dans leurs différentes composantes pour en faire émerger des enjeux sociétaux

liés au processus de globalisation qui s'est accéléré depuis la chute du mur de Berlin et la

dissolution de l'Union soviétique (Ortar, Salzbrunn, Stock, 2018).

Ces thèses ont fait l'objet d'importants débats. L'avènement prophétique d'une mobilité

généralisée a notamment cristallisé bon nombre de critiques (Bourdin 2005 ; Gallez,

Kaufmann, 2009 ; Vincent-Geslin et Authier, 2016), car, au fond, dire que tout est mobile, n'est-ce pas surtout ne rien expliquer (Adey, 2006) ? Toutefois, le mobility turn a permis de

renouveler la réflexion conceptuelle. Et il est désormais communément admis que la mobilité

est tout à la fois pratique individuelle et collective, phénomène mesurable et affaire de potentialité (Kaufmann, 2014), acte intentionnel et injonction, flux concrets et idéologies

(Bacqué, Fol 2007 ; Mincke, Montulet, 2010). Elle recouvre des portées spatiales et temporelles

8Connaissance des mobilités : hybridation des méthodes, diversification des sources

multiples, impliquant la combinaison de mouvements réversibles et irréversibles (Bassand, Kaufmann, 2000). Elle est tantôt uniquement mouvement dans l'espace géographique, tantôt mouvement dans l'espace social, tantôt une combinaison de l'un et de l'autre. De surcroît, à la suite du mobility turn sont apparues des innovations méthodologiques

significatives. L'expression mobility studies employée dans la littérature internationale

qualifie une vaste entreprise d'exploration de la mobilité en tant que champ et est apparue en Grande-Bretagne, à l'université de Lancaster (Büscher, Urry et Witchger, 2011 ; Fincham, McGuinness et Murray, 2009). Cette ambition entend replacer les pratiques de mobilité dans

un système d'opportunités (présentes ou absentes) sans exclure l'étude de l'immobilité,

sans oublier les situations d'empêchements ou de perturbations des mobilités et sans

minimiser l'étude des temps d'attente inhérents à certaines pratiques de mobilité (Bissell,

2007). Les mobilités ont pris une place centrale dans les travaux de recherche, qui reflète du

reste la place centrale qu'elles possèdent aujourd'hui dans les sociétés humaines et leurs fonctionnements.

1.2 - La mobilité quotidienne comme objet

Pour Michel Lussault (2004), " deux travers biaisent les approches scientifiques de la

mobilité : certaines réflexions l'utilisent comme un indice, un révélateur de processus plus

généraux tels que la mondialisation, l'essor du capitalisme, l'individuation, ou la modernité,

plaçant au second plan la mobilité comme acte et comme expérience ; d'autres considèrent la mobilité uniquement sous l'angle des déplacements physiques, en réduisant ainsi la

complexité, et par là même, la portée » de la notion (Lussault, 2004 cité par Gallez,

Kaufmann, 2009). Réduite au déplacement dans l'espace géographique, la mobilité se

trouve vidée de son sens. Une première étape, afin de circonscrire l'objet, pourrait être de

nous restreindre aux mobilités dans l'espace géographique, mais sans nous focaliser exclusivement sur les déplacements en tant que passages d'un lieu à un autre. Les

géographes ont largement étayé cette mobilité spatiale et en ont donné une définition

précise. Jacques Lévy (2000) propose de la définir " comme la relation sociale au

changement de lieu, c'est-à-dire comme l'ensemble des modalités par lesquelles les

membres d'une société traitent la possibilité qu'eux-mêmes ou d'autres occupent

successivement plusieurs localisations ». Par cette définition, Lévy à la fois écarte le risque

de réduire la mobilité au seul déplacement et élimine ses dimensions purement idéelles ou

métaphoriques. Cet ouvrage se focalise sur les méthodes d'investigation et d'analyse des mobilités dans l'espace géographique, mais en les restreignant aux formes de mobilité dites quotidiennes,quotesdbs_dbs23.pdfusesText_29
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