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CONSERVATOIRE NATIONAL
DES ARTS ET METIERS DE PARIS
Laboratoire Interdisciplinaire de Sociologie EconomiqueLISE-CNRS, UMR 6209
Gérer le hors-travail ?
Pertinence et efficacité des pratiques d"harmonisation travail - hors-travail, aux Etats-Unis, au Royaume-Uni et en France Thèse présentée et en vue de l"obtention du doctorat de sciences de gestion Nouveau doctorat (Arrêtés du 30 mars 1992, du 21 juillet 1999 et du 25 avril 2002)Soutenue publiquement par
Ariane OLLIER-MALATERRE
Le 20 octobre 2007
JuryDirecteur de thèse :
Rapporteurs :
Suffragants :
Maurice THEVENET Professeur, CNAM, Paris
David ALIS Professeur, Université de Rennes I
Franck BOURNOIS Professeur, Université Panthéon-Assas, Paris II Charles-Henri BESSEYRE des HORTS Professeur, Groupe HEC, Hautes Etudes Commerciales Sue CRUSE Directeur, Leadership Health & Sustainability Employee Health Management, GlaxoSmithKlineMichel LALLEMENT Professeur, CNAM, Paris
2Résumé : Un salarié ne se défait pas, au travail, de ce qu"il vit en dehors du travail. C"est pourquoi
les employeurs américains et britanniques mettent en oeuvre des pratiques d"harmonisation travail -
hors-travail, telles que la flexibilité du travail (télétravail, partages de poste, etc.) et le soutien à la
vie hors-travail (santé, petite enfance, vie quotidienne, projets personnels). Ces pratiques sont-elles
pertinentes, sont-elles efficaces ?Les employeurs français adoptent peu de pratiques d"harmonisation, comparés à leurs homologues
américains et britanniques : sur la base d"entretiens approfondis avec 44 DRH, représentants des
salariés et prestataires de service en France, je mets en lumière les effets sociétaux qui aboutissent à
la moindre demande des salariés et à la moindre appétence des employeurs français pour ces
pratiques.Aux Etats-Unis et au Royaume-Uni, j"étudie les effets des pratiques d"harmonisation sur la relation
Individu/Organisation (RIO), par une étude de cas chez GlaxoSmithKline (enquête sur 5160
salariés, 73 entretiens approfondis, observation participante). Il en ressort que l"équilibre travail -
hors-travail n"est ni un pré-requis universel, ni une garantie de l"implication. Les pratiques
d"harmonisation ont des effets majoritairement bénéfiques sur la RIO, au-delà de leurs seuls
utilisateurs : elles créent de la loyauté, de la fierté, sont perçues comme un avantage, ou utilisées
comme outil de management. Mais elles peuvent être délétères, créant de la déception ou une
obligation de rester. Certains salariés y sont indifférents. Un modèle, ainsi qu"un arbre de décision,
détaillent les facteurs importants pour recueillir les bénéfices de ces pratiques et en éviter les effets
pervers. Mots clefs : CONCILIATION, EQUILIBRE, ETATS-UNIS, FRANCE, HORS-TRAVAIL, IMPLICATION, INDIVIDU/ORGANISATION, HARMONISATION, PRATIQUES RH, ROYAUME-UNI, SOUTIEN ORGANISATIONNEL PERCU, THEORIES NEO- INSTITUTIONNELLES, VIE FAMILIALE, VIE PERSONNELLE, WORK-LIFE. Titre en anglais : Managing employees" lives outside work? Relevance and Effectiveness of Work-Life Organizational Practices in the United States, the United Kingdom and France.Résumé en anglais : Employees have both work and nonwork-related responsibilities and
aspirations. Therefore, employers implement Work-Life Practices (WLP), comprised of flexible working options, and support in the nonwork sphere (wellness, childcare, etc.). How relevant and effective are these practices? WLP are well spread in the US and the UK. Using France as a counter example, I build a multi- level model explaining why French employers adopt fewer WLP. The model draws on neo-institutional theories in a societal analysis approach, and on in-depth interviews with 44 HR
officers, employee representatives and service providers in France. It outlines: the weaker
legitimacy of French employers compared with the Welfare State, non collaborative industrial
relations, a complex legal framework, the weak identification of WL as an HR issue, and its
interpretation as social rather than business. In the US and the UK, based on a case study at GlaxoSmithKline (survey on 5160 employees, 73 in-depth interviews, participant observation), I investigate the outcomes of WLP on the Individual/Organization Relationship (IOR). WL Balance is not a prerequisite of commitment for all employees; nor does it guarantee commitment. WLP have a beneficial impact on the IOR in most cases, not only when employees use them: employees feel more loyal, or proud; they viewWLP as a useful perk, or use them to better manage their team. However, WLP can also be
detrimental in some instances, generating disappointment or an obligation to stay. Some employeesremain indifferent to them. A detailed model completed by a decision tree depict the factors that are
relevant to seize the benefits and avoid the side effects of WLP. Mots clefs en anglais : COMMITMENT, FAMILY LIFE, FRANCE, HARMONIZATION, HR PRACTICES, INDIVIDUAL/ORGANIZATION, NEO-INSTITUTIONAL, NONWORK, PERCEIVED ORGANIZATIONAL SUPPORT, PERSONAL LIFE, UNITED KINGDOM,UNITED STATES, WORK-LIFE BALANCE.
Laboratoire LISE-CNRS, 55, rue de Turbigo, 75003 Paris. 3REMERCIEMENTS
Le Professeur Maurice Thévenet, mon directeur de thèse, est la première personne à qui j"adresse
mes remerciements les plus chaleureux. Par son optimisme bienveillant, son niveau d"exigence etson tact, il m"a insufflé l"énergie d"entreprendre et de mener à bien ce travail de thèse. A son contact,
ma thèse a pris forme ; elle a aussi gagné en profondeur et en finesse. J"ai particulièrement apprécié
ses réflexions lumineuses sur mes analyses émanant du terrain, et je lui sais gré d"avoir pressenti et
respecté l"aspiration à l"autonomie que reflète mon parcours. Je remercie très vivement Madame Sue Cruse et Messieurs les Professeurs David Alis, Charles- Henri Besseyre des Horts, Franck Bournois et Michel Lallement, qui ont accepté de porter une appréciation sur ce travail, et de constituer mon jury de thèse.Je n"aurais pas entrepris de thèse si ce n"était pour les conseils avisés de mon amie Emmanuelle
Léon, qui m"a précédé dans cette reconversion, et de Sandra Bellier, qui a bien voulu orienter une
étudiante qu"elle avait formée dix ans plus tôt sur les bancs de Sciences Po. Cette thèse s"est nourrie des apports d"un grand nombre de professeurs et de chercheurs.Il n"est pas de mots pour témoigner de tout ce que les échanges au sein du Laboratoire
Interdisciplinaire de Sociologie Economique, le LISE-CNRS, au CNAM, m"ont apporté. MichelLallement, à la suite de mon DEA, m"a incitée à prendre part au séminaire doctoral, et aux groupes
de réflexion sur la Conciliation travail - famille et le Genre, coordonnés par Chantal Nicole-
Drancourt et Isabelle Berebbi-Hoffman. Je suis extrêmement reconnaissante à Michel, Chantal etIsabelle de leur accueil, et de l"ouverture sociologique que ces séminaires m"ont permis de cultiver.
A l"ESSEC, j"exprime ma sincère gratitude au Professeur Raymond-Alain Thiétart qui, outre sescontributions très appréciées lors de quatre présentations d"avancement, a toujours été disponible
pour échanger sur les méthodologies qualitatives. Je dois également beaucoup à Anne-Marie
Dussaix, dont l"enseignement statistique m"a ouvert les portes d"un royaume jusque-là méconnu, et
qui a eu la grande gentillesse de se pencher sur mon chapitre quantitatif. Alan Jenkins et Marie-Laure Djelic m"ont suggéré des lectures très pertinentes. J"adresse une pensée très cordiale à Sophie
Magnanou, à la bibliothèque, qui m"a fait gagner un temps précieux en faisant voyager avec une
égale bonne humeur ouvrages proches et lointains.Ma "famille" académique, c"est aussi celle de la communauté des chercheurs du Work-Life,
rencontrée grâce aux conférences internationales du Professeur Steven Poelmans : les échanges
4avec ceux-là mêmes dont je cherchais à prolonger les recherches ont été des vecteurs inestimables
de compréhension du champ et de motivation personnelle. En particulier, je témoigne de ma
profonde gratitude à Anne Bardoel, Ellen Galinsky, Jarrod Haar, Leslie Hammer, Brad Harrington,Ellen Kossek, Donna Lero et Sue Lewis. Ces rencontres ont été possibles grâce aux financements
du programme doctoral de l"ESSEC, et à la gentillesse sans bornes de Catherine Noblesse.En parallèle de cette thèse, j"ai eu la chance de coopérer avec des chercheurs bien plus expérimentés
que moi, que je remercie de leur confiance : David Alis, Anne-Françoise Bender, Fabienne Berton,Françoise de Bry et Marc Dumas. A Françoise en particulier, je sais gré d"avoir accepté un dialogue
ouvert et d"avoir répondu avec patience à mes objections ! J"attache une grande valeur à ces
coopérations qui ont constitué une première forme de socialisation au monde académique. Je
remercie également Susan Schneider et Vincent Mangematin pour leur regard critique sur mes
travaux, et mes collègues doctorants, ou docteurs encore habités par leur thèse, qui m"ont prêté
logiciels d"analyse et thèses : Martine Buffier-Morel, Aline Conchon, Sophie Landrieux-Kartochian,
François Sarfati, Margareta Vozian et Marie Wierink. Au plan du terrain, je souhaite dire ma reconnaissance sans bornes au Professeur Stew Friedmanqui, sur la foi des échanges que nous avons eu à propos de ses publications, m"a recommandée au Dr
Bob Carr chez GlaxoSmithKline. Son soutien m"a permis d"avoir un pied sur le terrain dès le début
de la thèse, ce qui a été facilité par l"aide financière du ministère délégué à la recherche. Chez GSK,
je dois tout à Bob Carr et à Sue Cruse, deux grands professionnels dont l"engagement dans letravail, l"intérêt pour la recherche et le niveau d"exigence ont été les clefs de voûte de mon travail.
Frances Snedden, Suzanne Arren et Mary Smotrys ont été mes anges gardien, à Londres, Raleigh et
Philadelphie. J"ai appris plus que je ne saurais dire au contact des praticiennes de trente ans que sont
Kay Campbell, Annette Byrd et Gill Thurgood. Je remercie également très vivement Clair Sneddenet Jeannie Jones, pour leur rôle central dans l"organisation et la retranscription des entretiens. Enfin,
je suis redevable envers tous ceux qui ont accepté de s"entretenir avec moi. En France, Jean-LucMinard, Michèle Monrique et Carole Couvert ont facilité mes démarches auprès de directeurs des
ressources humaines et de syndicalistes : qu"ils en soient ici sincèrement remerciés, comme tous
ceux qui m"ont reçue.Très entourée, je l"ai aussi été par ma famille et mes amis. Je remercie en particulier mes parents,
Marie et Claude, dont j"ai mobilisé les habiletés littéraires : fidèles à la maxime de mon enfance, à
savoir que "18/20, ce n"est pas 20 !", ils n"ont rien laissé passer. La culture scientifique et le goût
pour la logique de mon époux, Christophe, ont jeté une nouvelle lumière sur mes écrits. Enfin, c"est
grâce au tonus de nos petites filles, Camille et Elinor, que nous sommes parvenus, Christophe et moi, à maintenir un peu d"équilibre dans nos vies ! 5 A Camille et Elinor, qui ont vu le jour et ont grandi pendant le temps de ce travailA Christophe, qui lui aussi chemine
6L"Université n"entend donner aucune approbation ni improbation aux opinions émises dans les
thèses. Ces opinions doivent être considérées comme propres à leur auteur. 7SOMMAIRE
TABLE DES MATIERES ...........................................................................................................10
INDEX DES FIGURES...............................................................................................................20
INDEX DES TABLEAUX..........................................................................................................21
INDEX DES GRAPHES..............................................................................................................23
LISTE DES ANNEXES...............................................................................................................24
I. IMPORTANCE DU HORS-TRAVAIL POUR LA GRH....................................................26 II. PROBLÉMATIQUE ET CONSTRUCTION DE LA RECHERCHE..................................33III. PLAN DE LA THÈSE..........................................................................................................41
IV. UN CHERCHEUR ET SON OBJET : ÉMERGENCE D"UN INTÉRÊT DE CHAPITRE 1 : LES PRATIQUES D"HARMONISATION TRAVAIL - HORS-TRAVAIL, UNE RÉPONSE ORGANISATIONNELLE AU HORS- I. DÉFINITION PRÉALABLE : TRAVAIL ET HORS-TRAVAIL.......................................45 II. A L"ORIGINE DES PRATIQUES ACTUELLES D"HARMONISATION : LA SÉPARATION DU TRAVAIL ET DU HORS-TRAVAIL DEPUIS LARÉVOLUTION INDUSTRIELLE .......................................................................................47
III. NATURE DES PRATIQUES CONTEMPORAINES D"HARMONISATIONTRAVAIL - HORS-TRAVAIL ...........................................................................................74
IV. AU PLAN CONCEPTUEL, LES PRATIQUES D"HARMONISATION TRAVAIL - HORS-TRAVAIL SONT UNE REPONSE ORGANISATIONNELLE AURESUME DU PREMIER CHAPITRE............................................................................98
PREMIERE PARTIE : L"ADOPTION DES PRATIQUES
D"HARMONISATION TRAVAIL - HORS-TRAVAIL
AUX ETATS-UNIS, AU ROYAUME-UNI, ET EN
FRANCE
CHAPITRE 2 : LES FACTEURS EXPLICATIFS DE L"ADOPTION DES PRATIQUES D"HARMONISATION TRAVAIL - HORS-TRAVAIL AUX ETATS-UNIS, AU ROYAUME-UNI, ET EN FRANCE..............................................103I. REVUE DE LITTERATURE : QUATORZE ETUDES SUR LES DETERMINANTS DE L"ADOPTION DES PRATIQUES...............................................103
II. EVALUATION DU DIFFERENTIEL D"ADOPTION DES PRATIQUES ENTRE LES ETATS-UNIS, LE ROYAUME-UNI ET LA FRANCE............................................111 III. PROBLEMATIQUE : UNE EXPLORATION DU DIFFERENTIEL D"ADOPTIONDES PRATIQUES..............................................................................................................130
IV. UNE APPROCHE SOCIETALE DE LA COMPARAISON.............................................131V. CADRE THEORIQUE CONCERNANT L"ENVIRONNEMENT SOCIO-INSTITUTIONNEL DES ENTREPRISES AU PLAN NATIONAL ................................140
8VI. CADRE THEORIQUE CONCERNANT L"INTERPRETATION DE SON ENVIRONNEMENT PAR L"ENTREPRISE.....................................................................169
VII. METHODOLOGIE : APPROCHE EXPLORATOIRE CIBLEE SUR LA FRANCE.......181 CHAPITRE 3 : LE CAS DE LA FRANCE. EXPLICATION DE LA MOINDRE ADOPTION DES PRATIQUES D"HARMONISATION, COMPAREE AU ROYAUME-UNI ET AUX ETATS-UNIS......................................197 I. POUVOIR EXPLICATIF DES FACTEURS LIES A L"ENVIRONNEMENT SOCIO-INSTITUTIONNEL DES ENTREPRISES...........................................................198 II. POUVOIR EXPLICATIF DES FACTEURS LIES A L"INTERPRETATION DE SON ENVIRONNEMENT PAR L"ENTREPRISE ............................................................231 III. SYNTHESES ET APPORTS DE LA RECHERCHE........................................................264IV. LIMITES ET PISTES DE RECHERCHE..........................................................................282
V. LES PRATIQUES EMERGENT-ELLES EN FRANCE ?.................................................286RESUME DE LA PREMIERE PARTIE.......................................................................289
DEUXIEME PARTIE : LES EFFETS DES PRATIQUES
D"HARMONISATION TRAVAIL - HORS-TRAVAIL
SUR LA RELATION INDIVIDU/ORGANISATION
....................292 CHAPITRE 4 : LES INCERTITUDES CONCERNANT LES EFFETS DECES PRATIQUES............................................................................................................294
I. REVUE DE LITTERATURE : LES EFFETS DES PRATIQUES NE FONT PASL"OBJET D"UN CONSENSUS...........................................................................................294
II. PROBLEMATIQUE : UNE EXPLORATION DES EFFETS DES PRATIQUES SUR LA RELATION INDIVIDU/ORGANISATION.......................................................300 III. CADRE THEORIQUE CONCERNANT LES EFFETS POTENTIELS DES PRATIQUES SUR LA RELATION INDIVIDU/ORGANISATION................................302 IV. CADRE THEORIQUE CONCERNANT LES FACTEURS EXPLICATIFS DECES DIFFERENTS EFFETS POSSIBLES........................................................................312
CHAPITRE 5 : GLAXOSMITHKLINE, UNE ETUDE DE CASQUANTITATIVE ET QUALITATIVE.........................................................................335
I. GLAXOSMITHKLINE (GSK) ..........................................................................................335
II. ANALYSE D"UNE ENQUETE INTERNE CENTREE SUR L"EQUILIBRE TRAVAIL - HORS-TRAVAIL ET L"IMPLICATION : METHODOLOGIE DUVOLET QUANTITATIF....................................................................................................350
III. EXPLORATION QUALITATIVE : METHODOLOGIE DES 73 ENTRETIENS CHAPITRE 6 : DES EFFETS BENEFIQUES SUR LA RELATION INDIVIDU/ORGANISATION, MAIS AUSSI DES EFFETS INEXISTANTS,VOIRE DELETERES......................................................................................................373
I. ANALYSE DU VOLET QUANTITATIF : RELATION NON LINEAIRE ENTRE EQUILIBRE TRAVAIL - HORS-TRAVAIL ET IMPLICATION...................................373 II. ANALYSE DU VOLET QUALITATIF : FACTEURS EXPLICATIFS ETPROCESSUS MICROSCOPIQUES ..................................................................................396
III. ANALYSE DU VOLET QUALITATIF : UNE TYPOLOGIE DE SEPT EFFETS DES PRATIQUES SUR LA RELATION INDIVIDU/ORGANISATION.......................454 9 CHAPITRE 7 : DISCUSSION DES EFFETS CONSTATES DES PRATIQUES SUR LA RELATION INDIVIDU/ORGANISATION..........................489I. ANALYSES CROISEES DES DEUX VOLETS...............................................................489
II. APPORTS DE LA RECHERCHE......................................................................................499
III. REPRESENTATIONS SYNTHETIQUES.........................................................................512
IV. EVALUATION ET LIMITES DE LA RECHERCHE, PROLONGEMENTSRESUME DE LA DEUXIEME PARTIE.......................................................................528
I. UNE RECHERCHE DE TERRAIN, INTERNATIONALE ET PLURIDISCIPLINAIRE ....................................................................................................533
II. MESSAGES CLES POUR LES PRATICIENS.................................................................536
10TABLE DES MATIERES
TABLE DES MATIERES ...........................................................................................................10
INDEX DES FIGURES...............................................................................................................20
INDEX DES TABLEAUX..........................................................................................................21
INDEX DES GRAPHES..............................................................................................................23
LISTE DES ANNEXES...............................................................................................................24
I. IMPORTANCE DU HORS-TRAVAIL POUR LA GRH....................................................26I.1. La part croissante du hors-travail dans la vie................................................................26
I.2. Des évolutions sociodémographiques déterminantes : de l""homme gagne-pain" et de la femme au foyer aux couples à double carrière et aux famillesI.2.1. Continuité du travail des femmes, et couples bi-actifs.....................................27
I.2.2. Divortialité et célibat des parents.....................................................................28
I.2.3. Allongement de la durée de la vie et vieillissement de la population ..............28I.2.4. Cumul des emplois, horaires atypiques ou alternés..........................................28
I.3. Conséquences directes sur les comportements et les attitudes au travail : le travail peut lui aussi être une variable d"ajustement, lors d"un conflit entre travailet hors-travail................................................................................................................29
I.3.1. Disponibilité limitée des salariés, au quotidien................................................29
I.3.2. Refus de promotions et de mobilités, congés parentaux, passages à tempspartiel et démissions.........................................................................................30
I.4. Le hors-travail est aussi un enjeu de ressources humaines en externe..........................31
I.4.1. Attractivité et classements des "entreprises où il fait bon travailler"...............31
I.4.2. Egalité professionnelle hommes - femmes, diversité, et responsabilitésociale de l"entreprise........................................................................................31
II. PROBLÉMATIQUE ET CONSTRUCTION DE LA RECHERCHE..................................33 II.1. Problématique de la recherche : pertinence et efficacité des pratiquesd"harmonisation travail - hors-travail............................................................................33
II.2. Un constat saisissant : les pratiques diffèrent nettement, entre les Etats-Unis et leRoyaume-Uni d"une part, et la France d"autre part........................................................35
II.2.1. Comparaison de l"ampleur des pratiques..........................................................35
II.2.2. Les différences ne sont pas simplement imputables aux différentsrégimes d"Etat-providence................................................................................36
II.3. Construction de la recherche.........................................................................................38
II.3.1. Reformulation des questions de recherche au vu du différentiel d"adoption entre les Etats-Unis, le Royaume-Uni et la France.........................38II.3.2. Le choix des trois pays.....................................................................................38
II.3.3. Décisions structurantes pour la thèse ...............................................................39
III. PLAN DE LA THÈSE..........................................................................................................41
IV. UN CHERCHEUR ET SON OBJET : ÉMERGENCE D"UN INTÉRÊT DE 11 CHAPITRE 1 : LES PRATIQUES D"HARMONISATION TRAVAIL - HORS- TRAVAIL, UNE RÉPONSE ORGANISATIONNELLE AU HORS-TRAVAIL........45 I. DÉFINITION PRÉALABLE : TRAVAIL ET HORS-TRAVAIL.......................................45 II. A L"ORIGINE DES PRATIQUES ACTUELLES D"HARMONISATION : LA SÉPARATION DU TRAVAIL ET DU HORS-TRAVAIL DEPUIS LARÉVOLUTION INDUSTRIELLE .......................................................................................47
II.1. XIXème siècle : la révolution industrielle amorce la séparation progressive entretravail et hors-travail.....................................................................................................47
II.1.1. Développement du salariat et différenciation entre le travail et la vie.............47 II.1.2. Mise en oeuvre de pratiques sociales "paternalistes" par les employeurs........49 II.2. De la fin du XIXème siècle aux années 1960 : l"attribution de la sphère du travail à l"homme et de celle du hors-travail à la femme atténue le sentiment naissant deconflit entre les sphères.................................................................................................52
II.2.1. La séparation des sphères met en évidence leur opposition.............................52
II.2.2. Mais le modèle de l"homme gagne-pain atténue le conflit ...............................52
II.2.3. Quand les employeurs ignorent le hors-travail : rejet du paternalisme et montée en puissance du management scientifique...........................................54 II.3. Les évolutions sociodémographiques des années 1960 et 1970 mettent enévidence le conflit travail - famille...............................................................................56
II.3.1. Le modèle de l"homme gagne-pain et le "mythe de la séparation" sontremis en cause ..................................................................................................56
II.3.2. Le paradigme dominant est celui du conflit travail - famille............................58 II.3.3. Le champ académique et les premières pratiques "Work-Family"naissent à la fin des années 1970......................................................................62
II.4. La relative réagrégation des sphères des années 1990 et 2000 signe l"essor et lerenouveau du champ.....................................................................................................64
II.4.1. La réagrégation des sphères à l"âge de l"information........................................64
II.4.2. Nouvel intérêt pour le paradigme de l"enrichissement entre travail et II.4.3. Du "Work-Family Balance" au "Work-Life Balancing": les acquis de trois décennies de recherches et d"expérimentations........................................68II.5. Et en français ? Une bien délicate traduction................................................................70
III. NATURE DES PRATIQUES CONTEMPORAINES D"HARMONISATIONTRAVAIL - HORS-TRAVAIL ...........................................................................................74
III.1. Typologie des pratiques................................................................................................74
III.1.1. La flexibilité spatio-temporelle du travail........................................................76
III.1.2. Des ressources relatives au hors-travail ...........................................................80
III.2. Périmètre des pratiques étudiées dans cette thèse.........................................................86
IV. AU PLAN CONCEPTUEL, LES PRATIQUES D"HARMONISATION TRAVAIL - HORS-TRAVAIL SONT UNE REPONSE ORGANISATIONNELLE AU HORS- IV.1. Les pratiques d"harmonisation sont, comme le paternalisme, un moded"incorporation de la famille et de substitution à la famille..........................................88
IV.1.1. Trois modes historiques de réponse à la famille...............................................88
IV.1.2. Le paternalisme incorpore la famille et s"y substitue........................................89
IV.1.3. Les pratiques d"harmonisation, elles aussi, incorporent la famille et s"y IV.1.4. Mais les pratiques d"harmonisation ne sont pas assimilables au IV.2. Les pratiques d"harmonisation, une réponse organisationnelle au hors-travail.............95RESUME DU PREMIER CHAPITRE............................................................................98
12PREMIERE PARTIE : L"ADOPTION DES PRATIQUES
D"HARMONISATION TRAVAIL - HORS-TRAVAIL AUX
ETATS-UNIS, AU ROYAUME-UNI, ET EN FRANCE
...............101 CHAPITRE 2 : LES FACTEURS EXPLICATIFS DE L"ADOPTION DES PRATIQUES D"HARMONISATION TRAVAIL - HORS-TRAVAIL AUX ETATS-UNIS, AU ROYAUME-UNI, ET EN FRANCE..............................................103 I. REVUE DE LITTERATURE : QUATORZE ETUDES SUR LES DETERMINANTSDE L"ADOPTION DES PRATIQUES...............................................................................103
I.1. La recherche sur les déterminants de l"adoption des pratiques est encore trèsnationale et descriptive...............................................................................................103
I.1.1. Au niveau de l"entreprise................................................................................104
I.1.2. Au niveau du secteur et du bassin d"emploi....................................................106
I.1.3. Au niveau national..........................................................................................107
I.1.4. Synthèse des quatorze études analysées........................................................108
I.2. De sérieuses lacunes...................................................................................................109
I.2.1. Peu de recherches internationales...................................................................109
I.2.2. Des dispositifs exclusivement quantitatifs .....................................................110
II. EVALUATION DU DIFFERENTIEL D"ADOPTION DES PRATIQUES ENTRE LES ETATS-UNIS, LE ROYAUME-UNI ET LA FRANCE............................................111II.1. Evaluation par triangulation des sources d"information..............................................111
II.2. Evaluation qualitative : l"harmonisation comme enjeu de débat public et deII.2.1. Les Etats-Unis................................................................................................112
II.2.2. Le Royaume-Uni............................................................................................114
II.2.3. La France........................................................................................................115
II.2.4. Les impulsions de l"Union européenne...........................................................119
II.3. Importance numérique des pratiques : analyse secondaire des enquêtesnationales américaines, britanniques et françaises......................................................121
II.3.1. Enquêtes employeurs......................................................................................121
II.3.2. Enquêtes salariés............................................................................................124
II.4. Importance numérique des pratiques : recensement sur les sites internet desgrandes entreprises des trois pays...............................................................................125
III. PROBLEMATIQUE : UNE EXPLORATION DU DIFFERENTIEL D"ADOPTIONDES PRATIQUES..............................................................................................................130
IV. UNE APPROCHE SOCIETALE DE LA COMPARAISON.............................................131IV.1. Le choix de l"approche sociétale.................................................................................131
IV.2. Un modèle multi-niveaux...........................................................................................133
IV.2.1. Le niveau macro : contexte socio-institutionnel et économique au niveauIV.2.2. Actions du macro vers le méso.......................................................................135
IV.2.3. Le niveau méso : interprétation de son environnement par l"entreprise.........136IV.2.4. Rétroactions du méso vers le macro...............................................................138
IV.2.5. Architecture globale de la grille d"analyse......................................................139
V. CADRE THEORIQUE CONCERNANT L"ENVIRONNEMENT SOCIO-INSTITUTIONNEL DES ENTREPRISES AU PLAN NATIONAL ................................140
V.1. Contexte social............................................................................................................140
V.1.1. Démographie..................................................................................................141
V.1.2. Revenus et fiscalité.........................................................................................142
V.1.3. Mobilité géographique des salariés................................................................143
V.1.4. Normes sociales de la division du travail.......................................................143
V.1.5. Aspirations au hors-travail .............................................................................146
13V.1.6. Influences internationales...............................................................................148
V.2. Contexte institutionnel...............................................................................................150
V.2.1. Régime d"Etat-providence..............................................................................150
V.2.2. Rôle de l"employeur par rapport à l"Etat et aux familles.................................153
V.2.3. Relations sociales...........................................................................................160
V.2.4. Cadre législatif et fiscal..................................................................................163
V.3. Contexte économique .................................................................................................165
V.3.1. Conjoncture économique et marché du travail...............................................165
V.4. Résultante : Degré d"adoption des pratiques dans le pays...........................................166
V.4.1. Visibilité des pratiques...................................................................................166
V.4.2. Diffusion des pratiques...................................................................................167
VI. CADRE THEORIQUE CONCERNANT L"INTERPRETATION DE SON ENVIRONNEMENT PAR L"ENTREPRISE.....................................................................169
VI.1. Identification de l"enjeu par l"entreprise......................................................................169
VI.1.1. Connaissance de l"enjeu..................................................................................170
VI.1.2. Connaissance des salariés...............................................................................171
VI.1.3. Sensibilité des dirigeants................................................................................172
VI.1.4. Demande des salariés et des syndicats...........................................................172
VI.2. Evaluation de l"enjeu par l"entreprise..........................................................................174
VI.2.1. Interprétation de l"enjeu..................................................................................174
VI.2.2. Orientations de l"entreprise.............................................................................176
VI.2.3. Stratégie de ressources humaines...................................................................177
VI.2.4. Image de marque............................................................................................178
VI.2.5. Evènements particuliers..................................................................................178
VI.3. Evaluation de la faisabilité par l"entreprise.................................................................179
VI.3.1. Moyens humains et financiers........................................................................179
VI.3.2. Modes de pilotage ..........................................................................................179
VII. METHODOLOGIE : APPROCHE EXPLORATOIRE CIBLEE SUR LA FRANCE.......181VII.1. Adéquation de l"approche exploratoire.....................................................................181
VII.1.1. Approche exploratoire abductive...............................................................181
VII.1.2. Des entretiens semi-directifs pour explorer une question nouvelle enVII.2. Structure de l"échantillon..........................................................................................183
VII.2.1. Obtention des entretiens.............................................................................183
VII.2.2. Structure par type d"interlocuteurs.............................................................184
VII.2.3. Structure par type d"entreprises..................................................................185
VII.3. Déroulement des entretiens......................................................................................187
VII.3.1. Consigne inaugurale...................................................................................187
VII.3.2. Noyau central du guide, et déclinaisons.....................................................187
VII.3.3. Questions visant à éclairer le contexte.......................................................188
VII.4. Analyse des entretiens..............................................................................................189
VII.4.1. Etapes d"analyse.........................................................................................190
VII.4.2. Analyse de premier niveau.........................................................................190
VII.4.3. Analyse d"ensemble....................................................................................193
VII.4.4. Exploration.................................................................................................194
VII.4.5. Croisement des données et typologies......................................................196
CHAPITRE 3 : LE CAS DE LA FRANCE. EXPLICATION DE LA MOINDRE ADOPTION DES PRATIQUES D"HARMONISATION, COMPAREE AUROYAUME-UNI ET AUX ETATS-UNIS.....................................................................197
I. POUVOIR EXPLICATIF DES FACTEURS LIES A L"ENVIRONNEMENT SOCIO-INSTITUTIONNEL DES ENTREPRISES...........................................................198 14I.1. Contexte social............................................................................................................198
I.1.1. Démographie..................................................................................................198
I.1.2. Conditions matérielles de vie.........................................................................199
I.1.3. Normes sociales de la division du travail.......................................................201
I.1.4. Aspirations au hors-travail .............................................................................203
I.1.5. Influences internationales...............................................................................204
I.1.6. Synthèse : Pouvoir explicatif du contexte social............................................207
I.2. Contexte institutionnel...............................................................................................209
I.2.1. Etat-providence et services publics................................................................209
I.2.2. Rôle de l"employeur par rapport à l"Etat et aux familles.................................210
I.2.3. Relations sociales...........................................................................................216
I.2.4. Cadre législatif ...............................................................................................221
I.2.5. Facteur explicatif émergent : Système éducatif..............................................222
I.2.6. Synthèse : Pouvoir explicatif du contexte institutionnel................................224
I.3. Contexte économique .................................................................................................226
I.3.1. Conjoncture économique et marché du travail...............................................226
I.4. Degré d"adoption dans un pays...................................................................................227
I.4.1. Visibilité des pratiques...................................................................................227
I.4.2. Diffusion des pratiques...................................................................................228
I.4.3. Synthèse : Pouvoir explicatif du degré d"adoption dans le pays.....................229 II. POUVOIR EXPLICATIF DES FACTEURS LIES A L"INTERPRETATION DE SON ENVIRONNEMENT PAR L"ENTREPRISE ............................................................231II.1. Identification de l"enjeu par l"entreprise......................................................................231
II.1.1. Connaissance de l"enjeu..................................................................................231
II.1.2. Connaissance des salariés...............................................................................233
II.1.3. Sensibilité des dirigeants................................................................................235
II.1.4. Facteur explicatif émergent : Position de filiale d"un groupe anglo-saxon.....237II.1.5. Demande des salariés et des syndicats...........................................................238
II.1.6. Synthèse : Pouvoir explicatif de l"identification de l"enjeu par l"entreprise....239II.2. Evaluation de l"enjeu par l"entreprise..........................................................................241
II.2.1. Interprétation de l"enjeu..................................................................................241
II.2.2. Orientations de l"entreprise.............................................................................247
II.2.3. Stratégie de ressources humaines...................................................................251
II.2.4. Image de marque............................................................................................253
II.2.5. Evènements particuliers..................................................................................254
II.2.6. Synthèse : Pouvoir explicatif de l"évaluation de l"enjeu par l"entreprise.........255II.3. Evaluation de la faisabilité par l"entreprise.................................................................258
II.3.1. Moyens humains et financiers........................................................................258
II.3.2. Modes de pilotage ..........................................................................................259
II.3.3. Facteur explicatif émergent : Postes, métiers, secteurs..................................261
II.3.4. Synthèse : Pouvoir explicatif de l"évaluation de faisabilité............................262
III. SYNTHESES ET APPORTS DE LA RECHERCHE........................................................264III.1. Classement des facteurs explicatifs par prégnance dans les entretiens.......................264
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