UMZ/DUMZ
19 oct. 2021
JUIN 2016 CSRH : LUNSA ÉCRIT À LA DG
3 juin 2016 Avant le basculement sur SIRHIUS le souci majeur de l'administration ... Alors chers collègues de l'Unsa police
Protocole pour la modernisation des ressources humaines de la
2 mars 2022 UNSA Police. Olivier VARLET secrétaire général. Syndicat National indépendant des personnels administratifs techniques et scientifiques de ...
lopmi : signature du protocole du 02 mars 2022
2 mars 2022 UNSA Police. Olivier VARLET secrétaire général. Syndicat National indépendant des personnels administratifs techniques et scientifiques de ...
Mercredi 22 novembre 2018
21 nov. 2018 L'UNSA Police a indiqué jeudi l'arrivée prochaine en renfort de 28 policiers ... tombée que la Réunion bascule dans des violences urbaines.
GROUPE DE TRAVAIL SUR LE RECLASSEMENT SUITE À UNE
16 juin 2021 DEPECKER Laurence GUIDINI)
5 TEXTES ÉTAIENT PRÉSENTÉS AU VOTE
12 avr. 2021 Sur ce sujet le SNIPAT a voté comme l'Unsa Police (Pour) et j'ai ... le basculement des SGAMI du programme budgétaire Police Nafionale
N° 3786 ASSEMBLÉE NATIONALE
20 janv. 2021 d'UNSA Police a par exemple expliqué que
RAPPORT DINFORMATION
10 avr. 2019 Philippe Capon secrétaire général du syndicat Unsa Police
Untitled
2 mars 2022 métiers de la police nationale à renforcer l'encadrement en valorisant ... Six mois après la bascule de l'IJAT sur les bulletins de paie
Service de presse
REVUE DE PRESSE
ET DES RESEAUX SOCIAUX
ޒޒ Outre-mer ޓޓ
Mercredi 22 novembre 2018
2A LA UNE
MANIFESTATION GILETS JAUNES;
Pages, 8 à 17, 45, 76 à 98.
La Réunion, situation toujours tendue sur l'île. Emmanuel Macron annonce une réponse "intraitable". Les réponses à la crise sont dans le Livre Bleu des Outre-Mer indique le porte parole du gouvernement. Les gilets jaunes débordés par des cagoules noires.BUDGET OUTRE-MER;
Pages, 18 à 19.
Outre-mer, ble
du projet de loi de finances PLF 2019.ECONOMIE COMITE DES SIGNATAIRES;
Pages, 52 à 55.
Nouvelle-Calédonie, la relance économique version Backés pour un grand plan de relance.ESSAIS NUCLEAIRES;
Pages, 60 à 67.
Polynésie, indemnisation des victimes des essais nucléaires, la commission extra-parlementaire a remis son rapport auPremier ministre.
3 Vu sur les réseaux sociaux Mercredi 22 novembre 2018 4 5 6 7 -MERDANS LA PRESSE
MÉTROPOLITAINE
8 Violences à la Réunion: situation toujours tendue sur l'île Saint-Denis de la Réunion, France | AFP | jeudi 22/11/2018 - 11:11 UTC+2 | 454 motsLa situation était toujours tendue jeudi sur l'île de la Réunion, secouée depuis quelques jours par une flambée de
violences en marge du mouvement des "gilets jaunes", même si la nuit a été plus calme que les précédentes.
Alors que plusieurs commerces ont encore été vandalisés, seize personnes ont été interpellées, pour un total de
123 depuis samedi.
Mais aucun blessé parmi les forces de l'ordre n'était à déplorer, a indiqué la préfecture, contrairement aux nuits
précédentes où une trentaine de membres des forces de l'ordre avaient été touchés, dont un policier grièvement.
Cette vague de violences, attisée par des bandes de jeunes casseurs souventmouvement des "gilets jaunes" qui ont dressé depuis samedi des barrages routiers pour protester contre le
hausse des prix des carburants.L'UNSA Police a indiqué jeudi l'arrivée prochaine en renfort de 28 policiers "profilés Brigade anti-criminalité
La gendarmerie monte également "en puissance" avec l'arrivée sur place de l'escadron de Troyes et celle prévue
jeudi soir de l'escadron de Maisons-Alfort. Ils rejoignent les quatre escadrons et demi déjà sur place.
Mercredi soir, Emmanuel Macron avait averti que la réponse de l'État serait "intraitable". "Ce qui se passe
depuis samedi à La Réunion est grave. Nous avons mis les moyens et allons continuer à les mettre: nos
militaires seront mobilisés dès demain pour rétablir l'ordre public", avait-il annoncé.Ces déclarations du chef de l'État ont été mal ressenties par une partie de la population réunionnaise. Sur les
réseaux sociaux, des internautes lui ont reproché l'emploi du terme de "militaire", laissant croire au déploiement
de l'armée, alors que M. Macron faisait en réalité allusion au renfort de gendarmes qui sont des militaires.
En milieu de matinée jeudi, au moins 27 points de blocages étaient recensés par la Direction Régionale des
Routes (DRR). La plupart étaient des barrages filtrants, alors que ces derniers jours ils étaient "bloquants".
Les établissements scolaires étaient toujours fermés et la plupart des activités sportives et culturelles ont été
annulées. L'aéroport devait fermer encore une fois dès 16H00 et des vols ont été décalés.
Les avions sont presque tous obligés de faire escale à Maurice pour s'approvisionner en kérosène. Dans toutes
les communes de l'île, les rayons des épiceries et des supermarchés commençaient à se vider.
"Plusieurs approvisionnements n'ont pu être réalisés dont l'approvisionnement des éleveurs en aliments,
l'approvisionnement en médicaments de certains hôpitaux et l'approvisionnement en carburant de l'aéroport", a
indiqué la Préfecture jeudi. mah-jk/el/pta© Agence France-Presse
9 Violences à La Réunion: Emmanuel Macron annonce une réponse "intraitable"Papier d'angle Saint-Denis de la Réunion, France | AFP | mercredi 22/11/2018 - 00:23 UTC+2 | par Madhia Benhamla
Le président Emmanuel Macron a annoncé mercredi soir une réponse "intraitable" aux violences qui secouent
depuis samedi l'île de la Réunion en marge du mouvement des "gilets jaunes" contre la hausse du prix des
carburants. "Ce qui se passe depuis samedi à La Réunion est grave. Nous avons mis les moyens et allons
continuer à les mettre: nos militaires seront mobilisés dès demain pour rétablir l'ordre public. Nous serons
intraitables car on ne peut pas accepter les scènes que nous avons vues", a écrit le chef de l'État sur son compte
Twitter.
En recul en métropole, le mouvement "des gilets jaunes" a continué à paralyser mercredi l'île de la Réunion où
il s'accompagne, malgré l'instauration d'un couvre-feu nocturne, d'une flambée de "violences urbaines" comme
elle n'en avait plus connue depuis près de trente ans. Au cinquième jour du mouvement, les blocages routiers
durant la journée succédaient aux violences commises la nuit par "des bandes de jeunes gens qui n'ont rien à
voir avec le mouvement dit des +gilets jaunes+", selon le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux.
"Leur objectif, a-t-il déploré mercredi, c'est de profiter d'un mouvement social pour piller, pour saccager, pour
détruire", a-t-il déclaré à l'issue du Conseil des ministres à la mi-journée mercredi.
Au total, depuis le début des violences, il y a eu "109 interpellations, 30 blessés parmi les forces de l'ordre, 16
policiers, 14 gendarmes, à peu près une cinquantaine de barrages, un millier de manifestants", a énuméré M.
Griveaux. 120 gendarmes et 107 policiers ont été déployés et un escadron de 80 gendarmes devait décoller
mercredi soir de Paris "pour accroître encore" la sécurisation, a-t-il ajouté. Un commandant de police, membre
du GIPN, a eu une main arrachée lors de l'explosion accidentelle d'une grenade dans son véhicule alors qu'il
était caillassé par de jeunes manifestants. Quinze autres membres des forces de l'ordre ont été blessés plus
légèrement dans la nuit de mardi à mercredi, a annoncé la préfecture de La Réunion.
Dans un communiqué commun, le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner et la ministre des Outre-mer
Annick Girardin, ont affirmé "leur soutien à l'ensemble des services de sécurité mobilisés à La Réunion" alors
que l'île "est confrontée depuis samedi à des violences urbaines inacceptables". "C'est une situation de guérilla
urbaine à laquelle les services des forces de l'ordre sont désormais confrontés au quotidien", s'est alarmé le
président de la Région Didier Robert dans une lettre à Emmanuel Macron en lui demandant de prendre "toutes
les mesures nécessaires pour la protection des personnes et des biens dans notre île". "La situation devient très
très compliquée", a réagi Idriss Rangassamy, secrétaire départemental d'Alliance Police. Un couvre-feu a été
décrété mardi de 21H à 6H, pour 14 des 24 communes, jusqu'à vendredi matin au moins. - Gel d'une taxe -Les forces de l'ordre sont intervenues sur plusieurs zones chaudes : au Chaudron (Saint-Denis), au Port et à la
Possession (ouest) et à Saint-Gilles (ouest) où des tentatives de pillage de commerces avaient lieu. Les
manifestants ont lancé des galets et des cocktails Molotov contre les forces de l'ordre. En journée, l'île tourne
toujours au ralenti. Les stations-service commencent à souffrir des blocages: la plupart sont à court de gaz,
certaines ont commencé à rationner l'essence et le gasoil.Les écoles et administrations locales sont restées fermées mercredi. Comme la veille, l'aéroport international de
Roland-Garros a fermé plus tôt. Toutes les tentatives pour désamorcer le mouvement se sont avérées jusqu'à
présent vaines. Dernière en date, celle du président de région Didier Robert, qui a annoncé le gel de la hausse
d'une taxe spécifique à La Réunion sur les carburants, sans dissuader pour l'heure les "gilets jaunes".
Outre les réponses immédiates sur la sécurité et le prix du carburant, M. Griveaux a insisté sur "les questions de
très long terme, la formation, l'emploi, la santé, qui ont été abordées dans le livre bleu des Outremer", présenté
en juin dernier, alors que l'île affiche un taux de chômage de 22,8% et un taux de pauvreté de 40%, selon
l'Insee. mah-el/jk/pta© Agence France-Presse
10 "Gilets jaunes" à La Réunion: 30 membres des forces de l'ordre blessés (Griveaux) Paris, France | AFP | mercredi 21/11/2018 - 15:23 UTC+2 | 349 motsTrente membres des forces de l'ordre, 16 policiers et 14 gendarmes, ont été blessés à la Réunion en intervenant
contre les violences urbaines qui frappent l'île paralysée par les "gilets jaunes", a annoncé mercredi le porte-
parole du gouvernement Benjamin Griveaux. Un premier bilan communiqué dans la matinée par la préfecture
de la Réunion faisait état de 16 blessés pour la seule nuit de mardi à mercredi, dont un commandant du GIPN
grenade dans son véhicule alors qu'il était caillassé par de jeunes manifestants.Au total, il y a eu "109 interpellations, 30 blessés parmi les forces de l'ordre (16 policiers et 14 gendarmes), à
peu près une cinquantaine de barrages, un millier de manifestants", a énuméré M. Griveaux lors du compte-
rendu du conseil des ministres. Il a précisé que 120 gendarmes et 107 policiers ont été déployés et qu'un
escadron de 80 gendarmes décolle "ce soir de Paris pour accroître encore" la sécurisation."Ces violences sont le fait de bandes de jeunes gens qui n'ont rien à voir avec le mouvement dit des +gilets
jaunes+ et leur objectif, c'est de profiter d'un mouvement social pour piller, pour saccager, pour détruire", a
souligné le porte-parole du gouvernement. Outre la réponse sécuritaire à la crise actuelle, M. Griveaux a
également mis en avant une autre réponse "immédiate", en termes de pouvoir d'achat cette fois: "La taxe sur les
carburants à la Réunion sera gelée sur 3 ans", a-t-il dit confirmant ainsi l'annonce faite un peu plus tôt par le
président de Région Didier Robert."Les Réunionnais ont un taux réduit de taxes sur les carburants qui est différent de celui de la TICPE (Taxe
intérieure de consommation sur les produits énergétiques) et le projet était de l'aligner sur la TICPE, mais c'est
cet alignement qui est donc bloqué pour les 3 prochaines années", a expliqué le secrétaire d'Etat. M. Griveaux a
aussi insisté sur "les questions de très long terme, la formation, l'emploi, la santé, qui ont été abordées dans le
livre bleu des Outre-mer", présentée en juin dernier. el/jk/swi© Agence France-Presse
22/11/2018
11 À La Réunion, le mouvement "des gilets jaunes" s'accompagne de "violences urbaines"Papier d'angle Saint-Denis de la Réunion, France | AFP | mercredi 21/11/2018 - 16:26 UTC+2 |par Madhia Benhamla
En recul en métropole, le mouvement "des gilets jaunes" continuait à paralyser mercredi l'île de la Réunion où
il s'accompagne, malgré l'instauration d'un couvre-feu nocturne, d'une flambée de "violences urbaines" comme
elle n'en avait plus connu depuis près de trente ans. Au cinquième jour du mouvement, les blocages routiers
durant la journée succédaient aux violences commises la nuit par "des bandes de jeunes gens qui n'ont rien à
voir avec le mouvement dit des +gilets jaunes+", selon le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux.
"Leur objectif, a-t-il déploré mercredi, c'est de profiter d'un mouvement social pour piller, pour saccager, pour
détruire."Un commandant de police, membre du GIPN, a eu
grenade dans son véhicule alors qu'il était caillassé par de jeunes manifestants. Quinze autres membres des
forces de l'ordre ont été blessés plus légèrement dans la nuit de mardi à mercredi, a annoncé la préfecture de La
Réunion. Au total, depuis le début des violences, il y a eu "109 interpellations, 30 blessés parmi les forces de
l'ordre, 16 policiers, 14 gendarmes, à peu près une cinquantaine de barrages, un millier de manifestants", a
énuméré M. Griveaux lors du compte-rendu du conseil des ministres.Il a précisé que 120 gendarmes et 107 policiers avaient été déployés et qu'un escadron de 80 gendarmes
décollerait "ce soir de Paris pour accroître encore" la sécurisation. Dans un communiqué commun, le ministre
de l'Intérieur Christophe Castaner et la ministre des Outre-mer Annick Girardin, ont exprimé mercredi "leur
solidarité" au policier qui a perdu une main et affirmé "leur soutien à l'ensemble des services de sécurité
mobilisés à La Réunion" alors que l'île "est confrontée depuis samedi à des violences urbaines inacceptables".
"Nous le vivons mal, cela aurait pu arriver à n'importe quel policier. La situation devient très très compliquée",
iance Police. Le couvre-feu décrété par le préfetAmaury de Saint-Quentin de 21h à 6h, pour 14 des 24 communes, jusqu'à vendredi matin, n'a pas empêché une
nouvelle nuit de violences. - Gel d'une taxe -Les forces de l'ordre sont intervenues sur plusieurs zones chaudes : au Chaudron (Saint-Denis), au Port et à la
Possession (ouest) et à Saint-Gilles (ouest) où des tentatives de pillage de commerces avaient lieu. Les
manifestants ont lancé des galets et des cocktails Molotov contre les forces de l'ordre. En journée, l'île tourne
toujours au ralenti. Les stations-service commencent à souffrir des blocages: la plupart sont à court de gaz,
certaines ont commencé à rationner l'essence et le gasoil (pas plus de 20 euros par personne).Les écoles et administrations locales sont restées fermées mercredi. Comme la veille, l'aéroport international de
Roland-Garros a fermé plus tôt. Toutes les tentatives pour désamorcer le mouvement se sont avérées jusqu'à
présent vaines. Dernière en date, celle du président de région Didier Robert, qui a annoncé le gel de la hausse
d'une taxe spécifique à La Réunion sur les carburants, sans dissuader pour l'heure les "gilets jaunes".
"Les Réunionnais ont un taux réduit de taxes sur les carburants qui est différent de celui de la TICPE (Taxe
intérieure de consommation sur les produits énergétiques) et le projet était de l'aligner sur la TICPE, mais c'est
cet alignement qui est donc bloqué pour les 3 prochaines années", a expliqué Benjamin Griveaux. En fin de
semaine dernière, le président de région, qui avait fortement augmenté ces taxes en 2017, avait déjà annoncé
une exonération pour les professionnels de la route et une compensation pour 100.000 foyers à revenus
modestes. Outre les réponses immédiates sur la sécurité et le prix du carburant, M. Griveaux a insisté sur "les
questions de très long terme, la formation, l'emploi, la santé, qui ont été abordées dans le livre bleu des Outre-
mer", présenté en juin dernier, alors que l'île affiche un taux de chômage de 22,8% et un taux de pauvreté de
40%, selon l'Insee.
mah-el/jk/dga 12Le Figaro
22/11/2018
La Croix
13Le Parisien
22/11/2018
14Libération
22/11/2018
1521/11/2018
Gilets jaunes et crise sociale à La Réunion: "Les réponses à la crise sont dans le Livre Bleu des Outre-Mer» indique le porte parole du gouvernementInterrogé par Serge Massau, de la radio de Outremer 1ere/ France ô sur la crise sociale à La Réunion, le
porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux a rappelé les mesures inscrites dans le Livre bleu des
Outre-mer pour répondre aux revendications des Réunionnais. détruire » a expliqué Benjamin Gporte-parole du gouvernement a notamment fait un point sur les derniers chiffres. " Selon les chiffres
ordre, 50 barrages, un millier demanifestants et 107 gendarmes déployés». Et un escadron Serval composé de 80 gendarmes quitte Paris pour
lesrevendications ont été entendues à maintes reprises ». Il a précisé que " la plupart des réponses se trouvent déjà
dans le Livre Bleu des Outre-mer présenté en juin dernier, et comprend des aides aux entreprises en faveur de
emploierons dans les semaines qui viennent avec la Ministre des Outre-mer» a indiqué Benjamin Griveaux.
LIVE | Compte-rendu du #ConseildesMinistres du mercredi 21 novembre 2018 par @BGriveaux, porte-parole
du gouvernement.https://t.co/XU6PBU9eHXÉlysée (@Elysee) 21 novembre 2018
1621/11/2018
A la Réunion, des " gilets jaunes » débordés par des cagoules noires couvre-feu.Par Anaëlle Grondin
Affrontements entre les " gilets jaunes ͩ et les forces de l'ordre, mercredi 21 novembre au Port, dans le nord-ouest de l'Šle de La RĠunion. RICHARD BOUHET ͬ AFPBarrages, affrontements, incendie
de 1991 dans le quartier du Chaudron, où pillages et caillassages avaient entraîné la mort de huit personnes. Après cinq jours passés à bloquer les axes routiers stratégiques sous un soleil écrasant, les " gilets jaunes » continuent leur mobilisation sans faiblir à la Réunion. Une trentaine de barrages étaient encore recensés, mercredi 21 000 habitants, dans le sillage du mouvement spontané initié le 17 novembre au niveau national. " pourobtenir des avancées », indique un manifestant du sud de la Réunion. " La situation économique ne peut pas
», abonde un autre.
La vie socio- % de la population vivait sous le seuil de pauvreté en 2015 selonà se déplacer pour aller travailler et se ravitailler, la voiture étant le principal moyen de locomotion. Certains
habitants ne sont pas sortis depuis des jours. Les centres-villes sont déserts. Aucun service de transport en
commun ne fonctionne. Écoles, crèches et stations-service ferméesLes écoles, crèches, administrations et la plupart des commerces sont toujours fermés. Tout comme les stations-
convenable », témoigne Noël, 56 ans, qui désespère de trouver un commerce ouvert à Saint-Pierre, grande ville
: avec lesblocages, les éleveurs ne peuvent plus nourrir leurs animaux, une partie de la production de lait a dû être jetée et
Depuis cinq jours, les habitants de l
situation ou faire état de débordements, parfois en vidéo. 1721/11/2018
La nuit tombée, des cagoules noires en nombre
gilets jaunes ». Mercredi, la - : jets de galets contre tirslacrymogènes. Il y a aussi ces jeunes, des gamins pour certains, qui organisent des blocages et réclament un
Mais tombée que la Réunion bascule dans des violences urbainesagoulesnoires prennent le relais des " gilets jaunes » dans plusieurs quartiers et font la loi. Parmi ces délinquants,
beaucoup de mineurs là aussi, en errance, semble-t-il.L'Šle de La RĠunion connaŠt des ǀiolences urbaines depuis plusieurs jours. RICHARD BOUHET / AFP
interpellées, dont plusieurs ont été condamnées à des peines de prison ferme. Trois pelotons et deux escadrons de gendarmes mobiles (environ 250 militaires) ont été appelés en renfort sur -feu mardi dans plus de la moitié des communes, les plus touchées par les violences. Il est heures et 6 vendredi matin. Une interdiction dont ont fait fi les fauteurs de troubles. A Saint- Denis, le chef-lieu, des délinquants ont pillé des magasins en pas a été franchi quand plusieurs policiers ont été blessés, dont un grièvement à la main. Des magasins ont été pillés, comme ici le 20 novembre à Saint-Denis.RICHARD BOUHET / AFP
Au Port, un concessionnaire automobile a été cambriolé et un fast- food ravagé pendant le couvre-feu. Au même moment, sur les réseaux sociaux, de fausses informations circulaient, annonçant venir. Coincés sur la route ou chez eux, et le sans- gilets jaunes déborder le vase. cations portent plus largement sur " la vie chèreretraites. En soutien de leur mal-être, quarante élus ont remis au préfet un mémorandum présentant dix
des signataires, a lancé :" La ministre des outre-mer doit venir ici à la Réunion pour discuter et prendre la mesure du malaise et les
décisions adaptées. »Le porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux, a, lui, assuré que " les revendications exprimées à la
Réunion ont été entendues à maintes reprises, la plupart des réponses se trouvent déjà dans le Livre bleu des
outre-mer ». 1821/11/2018
financesLe Président de la délégation aux Outre-
des Outre-et en conscience» et en plaçant "les Outre-mer avant les considérations de politiques nationales». Le
Député de la Guadeloupe revient sur ce vote en exclusivité pour Outremers360. Outremers 360 :Quelles mesures concernent particulièrement les Outre-mer dans ce projet de loi de finances ? Quelle portée leur accorder ?Olivier Serva: Le projet de loi de finance pour 2019 comporte dans sa première partie des mesures avec
lesquelles je suis en désaccord et qui touchent uniquement les Outre-mer et singulièrement mon territoire, la
le revenu. Je me suis déjà largement exprimé sur cette mesure qui est impopulaire en Outre- mer et qui a pour
Le texte comporte également un article 5 qui prévoit la suppression du dispositif de subventionnement des
VA NPR
» dont on entend souvent parler. Or, je considère que la suppression de cette aide fiscale aux entreprises est
prématurée. En effet, le Gouvernement prévoit de la transformer en un mécanisme de subvention qui serait à la
. Ce choix induit un alourdissement des procédures et emportera mécaniquement un frein brutal pour les économies ultramarines. franches dzones franches urbaines qui permettait de dynamiser économiquement les quartiers les plus défavorisés comme
certains quartiers de Pointe-à-Pitre ou des Abymes ou encore des territoires endurant une double insularité
-sant de la réforme parallèle de la transformation du CICE majoré en Outre- 1921/11/2018
Or, nos outre-mer ont déjà des structures économiques et sociales fragiles. Il leur faut de la stabilité, de la
lis contre ces trois mesures pour marquer mon désaccord à ce sujet.Que dire alors du budget des Outre-mer ?
La seconde partie du projet de loi de f
des Outre- les Outre-ter les crédits de manière éclairée.Comment faire mieux ?
Cette réforme est impopulaire car victime de son impréparation et du manque de concertation notamment sur la
-mer a avancé sur le sujet de manière trop isolée.mais aussi les socio-professionnels qui sont aux prises avec la réalité concrète du terrain. Il faut que nous
puissions déployer dans les faits, une stratégie du bottom up. Une stratégie qui ne se paie pas de mots ou
Les socio-
manque son effet tant sur la forme que sur le fond !quotesdbs_dbs26.pdfusesText_32[PDF] BASE - Universität Bielefeld
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[PDF] Base de données dédiées aux protéines LEA et site web