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Physique terminale S

1 août 2013 D'après les formules de duplication : sin 2? = 2 sin ? cos ?ona: OA = xA = v. 2. 0 sin 2?. 2g. Remarque : Pour déterminer la portée ...



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Dossier de Physique. Véronique Bouquelle Formules de physique ... portée. R (m) v0 : vitesse initiale. (m/s) ? : angle de tir (°) g : champ de.



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: la force d'interaction est portée par la droite reliant les positions des particules. Remarque : La somme des forces intérieures d'un système mécanique est.



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30 mai 2018 de l'apprentissage de la physique. Déjà chez les Grecs de l'antiquité des philosophes avaient formulé des théories sur le mouvement.



1. Mouvement dun projectile dans le champ de pesanteur uniforme

La portée est l'abscisse xp du point P dont l'ordonnée yp est nulle. C'est le point du sol D'après la formule de l'ordonnée y ci-dessus : y =?.



Interactions à longue portée et systèmes non extensifs

Reflets de la Physique?n°7 Lifshitz [1] sans passer par la formule de ... volume fixé. 4. Interactions à longue portée ayant un intérêt physique.



Diffusion et corrélations de particules confinées en interaction à

21 oct. 2013 en vue de l'obtention du diplôme de docteur en physique présentée par ... IV.2.3 Régime intermédiaire et portée du confinement .



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Problèmes de physique de concours v ? ?0 est donc porté par le vecteur ... La formule des opticiens valable lorsque deux lentilles minces sont ...



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avec de la soie) et de négative celle portée par l'ambre (idem



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angle de tir. F : flèche de la trajectoire. P : portée de la trajectoire physique de ces deux angles de tir en étudiant la flèche.



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La portée La portée est l'abscisse xp du point P dont l'ordonnée yp est nulle C'est le point du sol sur lequel arrive le projectile après sa chute Ceci 



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En employant la formule s i n s i n c o s ( 2 ???? ) = 2 ( ???? ) ( ???? ) la portée du projectile peut également s'écrire comme suit : ???? = ???? ( 2 ???? ) ????



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Les principales formules utilisées en physique - Alloprof

G=hiho=?dido=?lflo=?lilf G = h i h o = ? d i d o = ? l f l o = ? l i l f 1do+1di=1lf 1 d o + 1 d i = 1 l f di=li+lf d i = l i + l f



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mécanique de m est E = (1/2)mv2 - GMmu en posant u = 1/r la formule de Binet pour une force dérivant d'un potentiel montre que r2? est une constante C et 

  • Comment calculer la portée physique ?

    La portée horizontale, �� , d'un projectile lancé à partir du même déplacement vertical initial et final peut être calculée comme suit : �� = 2 �� ( �� ) ( �� ) �� , ? s i n c o s où �� est la vitesse initiale du projectile, �� est l'angle de projection mesuré au-dessus de l'horizontale, et �� indique l'accélération de
  • Comment calculer la flèche et la portée ?

    En utilisant l'équation cartésienne, on remplace z = zP = 0, et on en déduit la valeur de yP, qui correspond à la portée D. ® La fl?he correspond à l'altitude la plus élevée atteinte par le projectile (calculée à partir de l'altitude initiale zo).
  • Quelle sont les formules physique ?

    La portée d'un projectile correspond à la longueur entre la projection horizontale du point où le projectile est l?hé par le système lui donnant son impulsion, et la projection horizontale du point de chute du projectile. La portée est donc la projection horizontale d'une trajectoire courbe en trois dimensions.
Diffusion et corrélations de particules confinées en interaction à Universit´e Paris Diderot (Paris 7) - U.F.R. de Physique

Laboratoire Mati`ere et Syst`emes Complexes

´Ecole Doctorale Mati`ere condens´ee et interfaces (ED518) Th `ese de doctorat de l"universit´e Paris 7

Sp´ecialit´e : physique th´eorique

en vue de l"obtention du diplˆome de docteur en physique pr´esent´ee par

Jean-BaptisteDelfau

sous la direction de ChristopheCosteet MichelSaint Jean

Diffusion et corr´elations de particules

confin´ees en interaction `a longue port´ee

Jury compos´e de :

M. ChristopheCosteUniversit´e Paris 7 Co-Directeur de th`ese M. FrancoisPeetersUniversit´e d"Anvers - Belgique Rapporteur M. DimitriRoditchevInstitut des Nanosciences de Paris Examinateur M. MichelSaint JeanCNRS - Universit´e Paris 7 Co-Directeur de th`ese M. Henkvan BeijerenUniversit´e d"Utrecht - Pays-Bas Rapporteur M. Fr´ed´ericvan WijlandUniversit´e Paris 7 Examinateur

Th`ese soutenue le 16 novembre 2012

R´esum´eD´ecrire la diffusion d"objets browniens corr´el´es est un probl`eme non trivial en physique statistique.

La pr´esence de corr´elations `a longue port´ee induit en effet une diffusion "anormale", par d´efinition

non d´ecrite par les lois usuelles de la physique statistique et devant ˆetre ´etudi´ee au cas par cas. Cette

th`ese est consacr´ee `a l"un de ces exemples, la Single-File Diffusion, d´esignant la diffusion d"une chaˆıne

ordonn´ee de particules ne pouvant pas se croiser.

Nous pr´esentons des ´etudes num´eriques de dynamique mol´eculaire ainsi que des ´etudes exp´erimentales

nous permettant de mettre en ´evidence et de caract´eriser plusieurs r´egimes de diffusion longitudinale

et transverse rencontr´es lors de ce ph´enom`ene de transport.

L"ensemble de nos r´esultats num´eriques et exp´erimentaux estexpliqu´e par un mod`ele analytique bas´e

sur la d´ecomposition des fluctuations thermiques sur les modes propres de vibration d"un syst`eme. Ce

mod`ele s"applique aux syst`emes physiques r´eels car il est valable pour des interactions entre particules

`a longue port´ee et tient compte de la dissipation, de la taille du syst`eme et des propri´et´es du potentiel

de confinement.

L"analyse en modes propres nous permet ´egalement de caract´eriser l"´evolution des fluctuations ther-

miques transverses lors de la transition zizag et de pr´evoir la structure du syst`eme apr`es la transition.

Enfin, l"´etude de la transition zigzag nous renseigne plus g´en´eralement sur les effets d"un bruit ther-

mique sur une bifurcation. 3 Je tiens `a exprimer toute ma reconnaissance `a Henk Van Beijeren et`a Fran¸cois Peeters pour

avoir accept´e d"ˆetre les rapporteurs de ce travail de th`ese ainsi qu"`a Fr´ed´eric Van Wijland et Dimitri

Roditchev pour avoir bien voulu faire parti de mon jury.

Il m"est difficile d"exprimer par ´ecrit toute la reconnaissance que je voudrais t´emoigner `a mes

deux directeurs de th`ese Michel et Christophe. Leur encadrement durant ces trois ann´ees de travail

a ´et´e exemplaire. Jamais durant cette p´eriode je n"ai trouv´e leur porte ferm´ee et ils ont toujours

su se montrer extrˆemement disponibles, parfois mˆeme durant leurs vacances. J"appr´ecie ´enorm´ement

la patience dont ils ont fait preuve pour r´epondre `a mes nombreusesinterrogations - parfois peu

pertinentes - ce qu"ils ont toujours fait avec pr´ecision et p´edagogie. Tout au long de cette th`ese, ils ont

repr´esent´e pour moi une v´eritable source d"id´ee et de motivations. Je pense avoir beaucoup appris `a

leur cˆot´es et pour cela, je les remercie de tout coeur.

Bien que mon exp´erience dans la recherche ne soit en rien comparable `a la leur, nos conversations

n"ont jamais ´et´e `a sens unique et j"ai ainsi eu la libert´e de travailler `a ma mani`ere, tout en sachant que

je serais secouru si par m´egarde je m"aventurais sur des chemins p´erilleux. Ce subtil ´equilibre entre

libert´e et encadrement qu"ils ont su mettre en place est pour moi un exemple que j"esp`ere un jour ˆetre

en mesure de reproduire. Durant ces trois ann´ees, nous avons ainsitravaill´e `a la mani`ere d"artisans,

en collaborant et en ´echangeant au sein de notre petit groupe, `a mille lieux des gigantesques projets

d´esincarn´es mus par l"´energie vitale de doctorants en batteries. Je ne remercierai jamais assez Michel

et Christophe pour avoir su cr´eer cette atmosph`ere de travail saine et chaleureuse.

Mes plus sinc`eres remerciements vont ´egalement `a Claudine Guthmann dont l"exp´erience, l"exigence

et la gentillesse m"ont ´et´e ´egalement tr`es pr´ecieux au cours mon doctorat. Ses conseils et suggestions,

toujours judicieux, t´emoignent r´eellement d"un grand recul surla physique et la recherche en g´en´eral.

Bien qu"elle ait l"habitude de minimiser l"importance de ses remarques par modestie, je m"autorise

exceptionnellement `a la contredire en affirmant que celles-ci sesont toujours av´er´ees instructives.

Je tiens aussi `a remercier chaleureusement Arnaud Grados et Alexandre Lantheaume sans qui nous

n"aurions pu monter notre dispositif exp´erimental et avec qui nousavons toujours collabor´e avec bonne

humeur et efficacit´e. Merci ´egalement `a tous les personnels BIATOSS pour leur travail essentiel au

sein du laboratoire, en particulier Nadine Beyer, Lucie Bouchu, Danielle Champeau, Carole Philippe- Barache, Jean Hubert et Ly A-Phat sur qui j"ai pu compter tout au long de ma th`ese.

Mes remerciements vont ´egalement `a Julien Moukhtar pour l"aide immense qu"il m"a apport´ee sur

les simulations num´eriques. Merci aussi `a Benjamin Leroy qui a bien voulu r´ealiser pour nous des

simulations d"´el´ements finis. Enfin, je tiens `a saluer tous leschercheurs avec qui nous avons ´echang´e

sur ce travail de th`ese, parmi lesquels Fr´ed´eric Van Wijland,Samuel Guibal et Gwennou Coupier.

Comment ne pas mentionner dans cette section tous les habitu´es de la777 pour le rˆole primordial

qu"ils ont jou´e durant ces trois ans? Plus que de simples coll`egues, vous formez `a mes yeux une v´eritable

tribu au sein de laquelle j"ai ´et´e imm´ediatement accept´e et o`u j"ai pu trouv´e r´econfort et amiti´e. Un

immense merci donc `a toute la joyeuse faune de la mezzanine : Alexis le biologiste-cuisinier officiel de la

salle, Giuseppe notre latin-lover, St´ephane le roi des pˆates, Alexis le communiste silicon´e, Antonin les

bons-tuyaux, Paul l"artiste maladroit, St´ephanie notre Miss Lor´eal 2012, Tadashi le samoura¨ı de la 777,

Chi-Tuong et Philippe les deux permanents qu"on aime bien quand mˆeme, Matthieu le num´ericien `a la

moutarde, Julien l"incontrˆolable violoniste chambreur, Nicolas le partisant de la malbouffe ou encore

Maxime qui assurera la rel`eve `a n"en point douter. 5 6

Notre communaut´e de la 777 n"en reste pas moins tourn´ee vers l"ext´erieur et je remercie ´egale-

ment les autres membres du laboratoire qui ont permis que ces trois ann´ees de th`ese se d´eroulent

dans une si bonne ambiance. Un grand merci donc `a mes camarades de promo Hugo, Jonathan et

Marc-Antoine, ainsi qu"`a Yves, Laurent, Luc, Anne-Florence, R´emi, Micha¨el, Alain, Loudgy, Cl´ement,

Amsha, Laurent, Julien, Nathalie, David, Adrian, Laurent et Ken pour les agr´eables discussions que

nous avons pu avoir.

Enfin, l"´equilibre que j"ai pu trouver durant cette th`ese s"est ´egalement construit `a l"ext´erieur du

laboratoire. Je tiens donc `a remercier le dojo de Shorinji-Kempo du Chesnay sur les tatamis duquel

j"ai r´eguli`erement pu relˆacher la pression. Un grand merci aussi `a ma famille qui m"a toujours soutenu

sans relˆache malgr´e une connaissance parfois approximative de mes occupations de th´esard. Bien que

cela puisse paraˆıtre d´erisoire, mes amis proches, mes cousinspr´ef´er´es et mon p`ere devront eux aussi se

contenter d"une simple d´edicace car il serait impossible d"´enum´erer tout ce qu"ils m"ont apport´e. Pour

terminer, je voudrais d´edier ce travail `a mon ´epouse Valentine pour le bonheur qu"elle m"apporte au

quotidien et `a ma premi`ere et inconditionnelle supportrice, ma m`ere, simplement irrempla¸cable.

Table des mati`eres

Introduction13

A Dispositif exp´erimental et simulation num´erique19

I Dispositif et m´ethodes exp´erimentales21

I.1 Description du montage. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21 I.1.1 Vue d"ensemble du montage. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21 I.1.2 Cellules de confinement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23 I.1.3 Traitement des images et calcul des observables. . . . . . . . . . . . . . . . . . 25

I.2 D´etermination de la temp´erature effective. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27

I.2.1 D´etermination de la temp´erature effective par la distribution de Boltzmann. . 27 I.2.2 D´etermination de la temp´erature effective par la diffusion balistique aux temps courts . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27 I.2.3 Thermom`etrein situ. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28 I.3 Description des interactions. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30 I.3.1 Interaction entre billes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30 I.3.2 Interactions entre une bille et le cadre de confinement. . . . . . . . . . . . . . 31 I.4 Conclusion. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36

II Simulations num´eriques37

II.1 Mise en ´equation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37

II.2 Forces pr´esentes dans le syst`eme. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38

II.2.1 Force d"interaction entre particules. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38 II.2.2 Bain thermique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39 II.2.3 Confinement transverse et longitudinal. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40

II.3 Algorithme de Verlet et pas d"int´egration. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41

II.4 Phase de thermalisation et "trempe" du syst`eme. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42

II.5 Syst`emes p´eriodiques : effets de courbure?. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43

II.6 Syst`emes avec confinement longitudinal : moyennes et nombrede r´ealisations. . . . . 44

II.7 Conclusion. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46

B Diffusion longitudinale47

IIIDiffusion en ligne dans les syst`emes p´eriodiques49

III.1 Etat des lieux. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49

7

8TABLE DES MATI`ERES

III.1.1 Cas des interactions "sph`eres dures". . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49 III.1.2 Cas des interactions `a longue port´ee. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50

III.2 R´esultats exp´erimentaux. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51

III.2.1 Positions d"´equilibre et histogrammes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 52 III.2.2 Evolution de la variance orthoradiale des particules en fonctiondu temps. . . 53 III.2.3 Mesures de mobilit´es. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55

III.2.4 Temps de corr´elationτcorr. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 56

III.2.5 Conclusion sur les r´esultats exp´erimentaux. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 57

III.3 Simulations num´eriques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 58

III.3.1 Distributions et positions d"´equilibre. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 58 III.3.2 Evolution de la variance longitudinale des particules en fonction du temps. . . 58 III.3.3 Influence des param`etres de contrˆole sur l"´evolution de la variance longitudinale60 III.3.4 Coefficients de transport et leur principales d´ependances. . . . . . . . . . . . . 61 III.3.5 Temps de transition et leur principales d´ependances. . . . . . . . . . . . . . . 64

III.3.6 Conclusion sur les r´esultats num´eriques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 65

III.4 Mod`ele de diffusion corr´el´ee de particules en interaction : cas d"un syst`eme p´eriodique66

III.4.1 Modes propres de vibration et diffusion. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 67 III.4.2 Calcul des lois d"´echelle et des coefficients de transport. . . . . . . . . . . . . 71

III.5 Conclusion. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 75

IVDiffusion en ligne pour des conditions aux limites r´epulsives77

IV.1 Etat des lieux. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 77

IV.2 R´esultats exp´erimentaux. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 78

IV.2.1 Positions d"´equilibre et potentiel de confinement longitudinal. . . . . . . . . . 78 IV.2.2 Evolution de la variance longitudinale des particules. . . . . . . . . . . . . . . 81

IV.2.3 R´egime interm´ediaire et port´ee du confinement. . . . . . . . . . . . . . . . . . 82

IV.2.4 Valeurs de saturation?Δx2i(∞)?. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 83 IV.2.5 Temps de transition. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 84 IV.2.6 Conclusion sur les r´esultats exp´erimentaux. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 85

IV.3 Simulations num´eriques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 86

IV.3.1 Type de confinement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 86 IV.3.2 Positions d"´equilibre et potentiel de confinement longitudinal. . . . . . . . . . 88 IV.3.3 Evolution de la variance longitudinale des particules. . . . . . . . . . . . . . . 90 IV.3.4 Conclusion sur les r´esultats num´eriques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 97

IV.4 Mod`ele de diffusion corr´el´ee de particules en interaction :cas d"un syst`eme CLR. . . 99

IV.4.1 Modes propres de vibration. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 101 IV.4.2 Poids des modesXs(i) et fr´equences propresωs. . . . . . . . . . . . . . . . . . 104 IV.4.3 Calcul des lois d"´echelle et des coefficients de transport. . . . . . . . . . . . . . 107

IV.5 Conclusion. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 115

C Diffusion transverse117

V Fluctuations transverses et transition zigzag119

V.1 Transition zigzag `a basse temp´erature : configurations d"´equilibre. . . . . . . . . . . . 120

V.1.1`A propos de la transition zigzag : ´etat des lieux. . . . . . . . . . . . . . . . . . 120

TABLE DES MATI`ERES9

V.1.2 Observations exp´erimentales. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 122 V.1.3 La transition zigzag : une bifurcation fourche. . . . . . . . . . . . . . . . . . . 123 V.1.4 Configurations d"´equilibre. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 124

V.2 Influences des fluctuations thermiques : permutations entre ´etats sym´etriques. . . . . 128

V.2.1 Bifurcations `a temp´erature non nulle : ´etat des lieux. . . . . . . . . . . . . . . 128

V.2.2 Histogrammes de positions et transitions entre ´etats sym´etriques. . . . . . . . 129 V.2.3 Trajectoires des particules. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 131

V.2.4 Temps caract´eristiques de transition entre ´etats sym´etriques. . . . . . . . . . . 132

V.3 Param`etre d"ordre et corr´elations transverses. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 134

V.3.1 Moyenne temporelle et param`etre d"ordre. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 134 V.3.2 Corr´elations transverses : un param`etre d"ordre possible?. . . . . . . . . . . . 135 V.4 Evolution de la variance transverse des particules. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 137 V.4.1 Avant la transition m´ecanique :β > βzz(0). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 137

V.4.2 Dans la r´egion de bifurcation :βzz(T)< β < βzz(0). . . . . . . . . . . . . . . 140

V.4.3 Apr`es la transition thermique :β < βzz(T). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 141

V.5 Mod`ele de diffusion corr´el´ee de particules en interaction : cas des fluctuations transverses142

V.5.1 Mise en ´equation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 142 V.5.2 Syst`emes p´eriodiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 143 V.5.3 Syst`emes infinis. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 147 V.5.4 Syst`emes CLR. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 148

V.6 Seuil de transition thermiqueβzz(T). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 151

V.6.1 Valeurs de saturation de la variance transverse. . . . . . . . . . . . . . . . . . 151 V.6.2 D´etermination du seuil de transitionβzz(T) par le temps de saturation. . . . 152

V.7 Conclusion. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 154

Conclusion157

Annexes163

A R´esolution de l"´equation de Langevin pour une particule diffusant librement ou dans un puits de potentiel quadratique 163

A.1 Diffusion libre. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 163

A.2 Diffusion dans un puits de potentiel quadratique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 164 A.2.1 Amortissement faible :γ <2ω0. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 165 A.2.2 Amortissement fort :γ >2ω0. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 166 B Algorithme de Verlet et g´en´eration de nombres al´eatoires gaussiens167

B.1 Algorithme de Verlet. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 167

B.2 G´en´eration de nombres al´eatoires gaussiens. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 168

C L"agitation m´ecanique : une temp´erature thermodynamique effective171

C.1 Distribution des vitesses. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 171

C.2 Syst`emes `a deux niveaux et temps de Kramers. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 172

10TABLE DES MATI`ERES

D Bain thermique et utilisation du formalisme de Langevin175 D.1 Dynamique d"un syst`eme simple. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 175 D.1.1 Diffusion lin´eaire aux temps longs : mesure du coefficient de dissipation. . . . 176

Introduction

11 Un syst`eme physique en contact avec un thermostat voit ses particules acqu´erir un mouvement

al´eatoire sous l"effet des fluctuations thermiques. Si celles-ci sont, de surcroˆıt, confin´ees dans des

milieux tr`es ´etroits, les contraintes g´eom´etriques induisent de fortes corr´elations entre particules. Dans

ces conditions, ces corr´elations vont-elles modifier leur processus diffusif et si oui, de quelle mani`ere?

quotesdbs_dbs28.pdfusesText_34
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