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Les programmes de développement communautaire répondent à des besoins urgents dans des domaines tels que l'accès à l'eau potable, la construction de routes rurales, l'édification d'écoles ou de structures médicales, la nutrition des mères et des enfants ou encore le soutien aux microentreprises.Comment monter un projet de développement d'une communauté ?
Cette création de structure peut se diviser en plusieurs étapes.
1Étape 1 : état des lieux. Tout comme vous le feriez en arrivant dans un nouveau logement, il est nécessaire de faire l'état des lieux du projet. 2Étape 2 : créer un système de suivi. 3Étape 3 : mettre en place les outils de travail collaboratif.Quelles sont les approches du développement communautaire ?
Une approche de développement communautaire est un moyen de lutter contre le travail des enfants. Suivant un modèle participatif, elle rassemble les communautés et leur permet de jouer un rôle actif dans la mise en œuvre d'un développement centré sur l'enfant.
CIEPAC -DSA/CIRAD
METHODES ET OUTILS
DU DEVELOPPEMENT
CONTRACTUEL
MODULES DE FORMATION
TOME 1
Rapport de synthèse
Plan des modules
PROGRAMME COORDONNE PAR
MARIE-ROSE MERCOIRET
MAI 1990
CYCLE DE FORMATION
PAR MODULES SUR LES
METHODES
ET OUTILS DU
DEVELOPPEMENT CONTRACTUEL
T O M E I
RAPPORT
DE SYNTHESE
SOMMAIRE
Pages le PARTIE JUSTIFICATIONS ET ORIENTATIONS DU CYCLE ....... . 11 -Pourquoi un cycle de formation sur
le développement contractuel?......................... 12 -Une
contribution à la formation de chercheurs et de praticiens du développement 53 -Le travail réalisé . . . . . . • . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
Ile PARTIE OBJECTIFS, THEMES ET ORGANISATION DU CYCLE .... 91 -Les objectifs du cycle ................................. 9
2 -Les thèmes de la formation ...
3 -Les publics visés
11 124 -L'organisation du cycle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14
5 -Des perspectives . • . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16
IIIe PARTIE PLANS DES MODULES ........................... . 171 -Dynamiques locales et développement
contractuel. • . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18
2 -La communiquation avec les producteurs................. 24
3 -Le diagnostic concerté 30
4 -L'innovation technique et l'innovation
sociale en milieu rural .........................•...... 355 -La gestion des espaces ruraux.......................... 40
6 -Appui à l'émergence et au fonctionnement
d'organisations de producteurs .............•........... 43ANNEXE 1 :
Inventaire des institutions susceptibles
d'envoyer des participants au cycle . . . . . . . . • . . . . . . . . . . . . . . . 52ANNEXE 2 :
Résumé du dossier "les Interventions en milieu rural"....... 53PREAMBULE
Le Département Systèmes Agraires (DSA) du CIRAD s'est engagé depuis 1988 dans un travail d'élaboration de modules de formation destinés à des professionnels de la Recherche et du Développement, français et étrangers, travaillant dans les pays du Tiers-Monde et singulièrement en Afrique. Il a bénéficié à ce titre d'une aide du Ministère de la Recherche et de la Technologie couvrant une partie des frais engagés. Le DSA/CIRAD est associé dans cette entreprise au Centre International d'Education Permanente et d'Aménagement Concerté (CIEPAC), association régie par la loi 1901, qui a acquis une grande expérience en matière de développement local et de formation tant en Afrique de l'Ouest qu'en France. La convergence des analyses et des objectifs des deux institutions ainsi que la complémentarité de leurs approches et de leurs expériences, les ont conduites à concevoir le montage, à Montpellier, d'un cycle de formation par modules sur les méthodes et outils du développement contractuel. Ces modules, de courte durée (entre trois et quatre semaines en règle générale), s'efforcent de présenter des instruments de travail, les plus opérationnels possibles ; ils s'appuient sur les expériences de leurs auteurs et sur celles dont ils ont eu connaissance et font une large place à des "études de cas" (surtout africaines). Le travail a été réalisé en équipe ; y ont apporté leur contribution permanente pour le DSA/CIRAD pour le CIEPACMarie-Rose MERCOIRET, Yves CLOUET
Jacques BERTHOME, Philippe DESHAYES,
Jacques MERCOIRET.
D'autres personnes sont intervenues de façon plus ponctuelle: M. René TOURTE, CIRAD, (pour la définition des orientations du cycle et le choix des modules), Christophe du CASTEL (DSA), Bernard HUSSON (CIEPAC), Yves LECOMTE (DSA), Michèle GOBY (CIEPAC), etc ... Le présent rapport rend compte du travail réalisé et présente les principaux résultats. Dans le tome I, on trouvera le rapport de synthèse qui présente dans sa première partie les justifications du cycle et ses orientations générales la deuxième partie est consacrée à la description des objectifs , des thémes et de l'organisation du cycle ; la troisième partie présente le plan retenu pour chacun des modulesélaborés.
-Le tome II rassemble les dossiers relatifs au contenu des modules.PREMIERE PARTIE
JUSTIFICATIONS ET ORIENTATIONS
GENERALES DU CYCLE
DE FORMATION
PAR MODULES
1 -POURQUOI UN CYCLE DE FORMATION SUR LE "DEVELOPPEMENT CONTRACTUEL"?
1.1. -Un regain d'intérêt pour les approches contractuelles
Depuis quelques années, les approches contractuelles, en matière de développement rural, bénéficient d'un intérêt renouvelé dans les options officielles. Il s'agit "moins d'une innovation que d'une résurgence" pour paraphraser Marcel JOLLIVET s'exprimant sur le développement local, car "le développement "à la base", "participé", "contractuel" figurait dans les options initiales de nombre d'Etats africains après les Indépendances. On pourrait dire également qu'il s'agit de "l'émergence" au niveau officiel de pratiques déjà fort anciennes et éprouvées, impulsées notamment, mais pas seulement, par nombre d'ONG et qui n'ont cessé de se développer sur le terrain depuis plus de vingt ans. Ce regain d'intérêt (officiel) résulte pour l'essentiel de deux mouvements convergents "le désengagement de l'Etat "motivé en premier lieu pour des raisons budgétaires et la prise de concience de l'importance de la "participation populaire".1.1.1. -Le désengagement de l'Etat
Les années 80 resteront vr·aisemblablement dans l'histoire du développement rural des pays africains ( mais aussi de certains pays latino-américains) comme celles du "désengagement de l'Etat". Dans l'incapacité de continuer à supporter les charges notamment financières générées par les appareils de développement étatiques et para-étatiques, confrontés (malgré des réussites indéniables) à des résultats globalement décevants des politiques agricoles menées depuis les Indépendances et pressés par les bailleurs de fonds dont ils sont tributaires, les Etats sont obligés de se désengager de nombre de fonctions d'appui à la production qu'ils exerçaient jusque là directement ou indirectement. L'idéologie libérale dominante au niveau international et un certain désarroi face à l'ampleur des problèmes à résoudre (dégradation des ressources naturelles, désertification, paupérisation d'une partie importante de la paysannerie, etc ... ) servent de toile de fond à ce mouvement. Le désengagement de l'Etat est devenu une réalité des mesures sont prises allègement des appareils de développement, privatisation du Crédit Agricole, de la commercialisation des produits, suppression de subventions, transfert au secteur privéet aux producteurs organisés de diverses charges, fonctions et responsabilités, etc ... Ce désengagement, ces transferts s'opèrent parfois sans problèmes majeurs, des opérateurs économiques privés et des organisations paysannes prenant le relais de l'Etat dans des délais relativement rapides ; dans d'autres cas, des "vides" préjudiciables à la production apparaissent. - 2 - Les difficultés provoquées dans divers cas par le "désengagement de l'Etat" et le souci d'éviter qu'il se traduise par une baisse de la production, déjà fort modeste dans maints endroits, engendrent dans di vers pays un discours sur les " nouveaux acteurs économiques et sociaux" et des pratiques censées favoriser leurémergence .•.
Nombres d'organismes de recherche et d'appareils de développement sont en quelque sorte en quête de partenaires avec qui passer des contrats globaux ou sectoriels, ponctuels ou durables, etc ••. Ces acteurs, ces partenaires dont les Etats espèrent une participation accrue au développement sont toujours les producteurs et les opérateurs économiques privés, parfois des collectivités locales publiques, et souvent les ONG.1.1.2. -L'importance de la participation populaire (1)
Longtemps considérée par certains comme un choix idéologique, la participation populaire au développement s'affirme aujourd'hui comme une condition d'efficacité et de pérennité des actions entreprises Les difficultés rencontrées par divers projets de développement ("grands" ou "petits", sectoriels ou intégrés) mettent en évidence les limites d'actions de développement qui ne prennent pas en compte les stratégies des producteurs, leurs besoins, leurs aspirations et leurs priorités . Au plan technique, si certaines des innovations proposées sont adoptées par les producteurs dans des délais relativement brefs, d'autres sont rejetées ou "détournées", les paysans utilisant par exemple des innovations conçues pour l'intensification pour étendre les surfaces cultivées . Au plan organisationnel, l'expérience a montré les limites "d'organisations populaires" bâties sur des modèles théoriques et plaquées sur la société : la population ne se les approprie pas, les utilise partiellement ( dans la mesure où elles servent ses intérêts), les rejette souvent. En revanche, de multiples expériences attestent de la capacité de paysans à prendre en charge des fonctions économiques (approvisionnement, crédit, commercialisation primaire des produits, stockage de céréales, etc ... ) dès lors qu'elles servent leurs intérêts. ( 1) Groupe de travail CIEPAC/CRID coordonné par M. R. MERCOIRET la participation populaire au développement, note élaborée pour la conférence sur la participation populaire ( Banque Mondiale/Cami té des ONG), Bangkok -Décembre 1989. - 3 - D'autres expériences, certes moins nombreuses, montrent que les paysans peuvent jouer un rôle important, et notamment initial, dans la définition de projets de développement, dans l'exercice des fonctions de planification locale, de formation, de coordination et qu'ils peuvent aussi participer activement à la mise au point d'innovations techniques et organisationnelles. De fait, certains Etats et bailleurs de fonds, peut-être parce qu'il ne reste aucune autre voie à explorer, sont amenés à constater que la participation populaire est une nécessité, notamment: Là où l'agriculture paysanne est appelée à rester dominante car ce sont les paysans qui, en dernière instance, prennent la décision de changer ou non leurs pratiques et comportements économiques. Dans les régions en crise écologique ou économique, là où les conditions de production sont aléatoires et précaires et où la faible rentabilité des investissements n'attire pas les grands entrepreneurs économiques. -Là où les petits producteurs sont marginalisés par une agriculture d'entreprise ou une industrialisation insuffisante pour résorber le sous-emploi. -Partout où des équilibres écologiques sont une utilisation abusive et désordonnée des où il ne peuvent être rétablis qu'avec permanent des populations locales. en danger par ressources et un engagement Ils rejoignent en cela, même si c'est parfois par détournées, les analyses et pratiques déjà anciennes intervenants extérieurs (les ONG en particulier). des voies d'autres Il s'y ajoute que dans la période actuelle, on note pour diverses raisons une élévation du degré d'organisation professionnelle (1) des producteurs. Le mouvement s'accompagne alors de la volonté des producteurs organisés d'être reconnus comme partenaires des intervenants extérieurs dans la définition des programmes qui les concernent. (1) Cette organisation professionnelle peut résulter soit d'interventions extérieures (soutenues par l'Etat, des ONG, etc ... ), soit de dynamiques endogènes ayant su nouer des relations avec les services techniques et les ONG. - 4 -1.1.3. -De nouveaux rapports entre acteurs du développement
Le désengagement de
l'importance de la participationà l'instauration de nouveaux
développement. l'Etat et la prise de conscience de populaire créent un contexte favorable rapports entre les acteurs du Ainsi, la question aujourd'hui posée dans di vers pays est celle de "la mise en mouvement et en synergie" (pour reprendre l'expression de Paul HOUEE (1)) des acteurs locaux (producteurs, collectivités locales publiques, opérateurs économiques privés) à la faveur d'interventions extérieures (Etat, ONG) et avec leur appui. Ces synergies ne peuvent être décrétées de l'extérieur elles naissent (et de nombreuses expériences l'attestent) de la négociation d'accords, de compromis (2) entre les acteurs concernés, à différentes échelles géographiques et en premier lieu au niveau local. Cette négociation n'est possible que si sont réunies les conditions suivantes: -L'identification des acteurs concernés par les actions de développement, de leurs stratégies et des objectifs qui sont les leurs. L'identification et la mise en évidence des convergences qui existent entre les intérêts des différents acteurs (ou leur compatibilité). L'association des différents acteurs à la définition des objectifs et modalités de mise en oeuvre des programmes et actions de développement, dès la phase de conception de l'opération et tout au long de son déroulement. -La définition des modalités d'un suivi-évaluation concerté pour apprécier la réalisation effective au programme et procéder aux réajustements nécessaires.De ces diverses négociations peuvent
contrats (globaux en sectoriels, ponctuels répartissant les responsabilités, les fonctions et différents acteurs concernés. alors résulter des ou permanents ... ) les tâches entre les (1) Paul HOUEEEconomica, 1989.
Les politiques de développement rural INRA,
(2) Groupe Coopération Française -Les interventions en milieu rural - Coll. Méthodologie -Ministère de la Coopération -1989. Dossier rédigé par M.R. MERCOIRET avec la contribution de J.C. DEVEZE etD. GENTIL.
- 5 -1.1.4. -De multiples facteurs freinent l'instauration de rapports
contractuels entre acteurs du développement -Force est de constater que le degré variale d'organisation des producteurs rend difficile dans maints endroits leur pleine participation à la négociation de ces "contrats" ils ont le plus souvent besoin d'appui pour mener à bien cette négociation. . • c'est précisément ce qui devrait justifier en grande partie les interventions extérieures, qu'elles émanent des services de l'Etat ou des ONG. -Les pratiques contractuelles des intervenants sont très variables. Si 1' on note des approches originales, des méthodes réellement participatives, une créativité croissante dans les instruments utilisés (en particulier mais non exclusivement chez certaines ONG de développement), en revanche certains appareils ont du mal à se reconvertir et les pratiques descendantes et plus ou moinsquotesdbs_dbs11.pdfusesText_17[PDF] extraction du charbon
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