[PDF] [PDF] Analyse 1 - Alexandre Afgoustidis





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Borne Inférieure borne supérieure

Caractérisation 1 : Soit A une partie de R non vide et majorée. La borne supérieure de A est l'unique réel tel que : i) Si a ? A alors a ? sup(A) 



Borne supérieure et borne inférieure

f (x) ? m. 8. Caractérisation séquentielle. Soit A une partie non vide et bornée de Ê. 8.1. Il 



SMIA 1 ANALYSE 1 PROPRIETES DE LENSEMBLE R et SUITES

TOUTE PARTIE NON VIDE MINOREE DE R admet une BORNE INFERIEURE. 1.2.4. Caractérisation de la borne SUPERIEURE. Il s'agit de donner une condition nécessaire 



Analyse 1

Théorème 1.33 – Caractérisation de la borne inférieure. Soit A une partie non vide et minorée de R. Un réel m est borne inférieure de A si et seulement si :.



Chapitre 12 Bornes dune partie de R

On définit la borne inférieure de A notée inf A



Bornes supérieures et inférieures

Admet une borne inférieure et une borne supérieure que l'on déterminera. Allez à : Correction exercice 1 : Exercice 2 : Pour chacun des exercices suivants 



Nombres réels 1 Manipulation de la borne sup dans R.

?? Méthode utilisant la caractérisation de la borne inférieure avec des ?. 1. Page 5. (i) 0 minore C. (ii) Soit ? 



Chapitre 1 exercice 9 (B

E) B = {e n;n ? N} 0 1 e0 e1 e2 • B ...



Les espaces vectoriels normés

On définit de même un minorant une partie minorée et la borne inférieure notée Propriété Caractérisation de l'intérieur et de l'adhérence.



Borne Inférieure borne supérieure - Correction des exercices

Ecrire la partie précédente pour la borne inférieure au lieu de la borne sup. 1.2 Correction de l'Exercice 1 : Voir cours. 1.3 Exercice 2 :.



[PDF] Borne Inférieure borne supérieure

Caractérisation 1 : Soit A une partie de R non vide et majorée La borne supérieure de A est l'unique réel tel que : i) Si a ? A alors a ? sup(A) 



[PDF] Analyse 1 - Alexandre Afgoustidis

Comme pour la borne supérieure on peut démontrer que si A admet une borne inférieure elle n'en admet qu'une seule : on la note inf(A) 2 5 Caractérisation de 



[PDF] Bornes supérieures et inférieures - Licence de mathématiques Lyon 1

Si est majoré admet une borne supérieure sup( ) et d'après le 1 est minoré et donc admet une borne inférieure inf( ) Pour tout un majorant de  



[PDF] SMIA 1 ANALYSE 1 PROPRIETES DE LENSEMBLE R et SUITES

Il s'agit de donner une condition nécessaire et suffisante pour qu'un réel M soit la borne inférieure d'une partie A non vide et minorée de R Cette condition 



Démonstration : caractérisation de la borne supérieure

Mathématiquement la borne inférieure existe infF est l'unique élement de E étant : Un minorant: ?x?FsupF? 



[PDF] CHAPITRE 1 R BORNE SUP´ERIEURE ET CONS´EQUENCES

Il existe un unique corps R caractérisé par les propriétés R poss`ede aussi la propriété de la borne inférieure c -`a-d si A est



[PDF] Nombres réels 1 Manipulation de la borne sup dans R

? Montrons que inf D = 1 ?? Méthode utilisant la caractérisation de la borne inférieure avec des ? (i) 1 minore D (ii) 



[PDF] Nombres réels - MP Dumont

Les propositions suivantes permettent de déterminer des bornes supérieures et inférieures en pratique Proposition 2 3 Caractérisation «epsilonesque» des bornes 



[PDF] Cours danalyse - Alain TROESCH

1 juil 2009 · 1 2 2 Bornes supérieures et inférieures dans R 4 1 5 Caractérisation séquentielle d'une limite



[PDF] Fiche de révision1 : Les nombres réels

Maximum (max) Minimum (min) Borne supérieure (sup) Borne inférieure (inf) Propriété de la borne supérieure Caractérisation de la borne supérieure

  • Comment trouver la borne inférieure ?

    Si l'ensemble des majorants d'une partie A de R admet un plus petit élément M on dit que M est la borne supérieure de A et on note M = sup(A). Cette borne est alors unique. Si l'ensemble des minorants d'une partie A de R admet un plus grand élément m, on dit que m est la borne inférieure de A et on note m = inf(A).
  • Comment trouver la borne supérieure d'un ensemble ?

    La borne supérieur d'une partie F d'un ensemble (E,?) partiellement ordonné (N ou R par exemple) est, si elle existe, le plus petit des majorants de F dans E et est unique. On la note supF. Mathématiquement, si la borne supérieure existe, supF est l'unique élement de E étant : Un majorant : ?x?F,x?supF.
  • Est-ce que la borne sup appartient ?

    Article détaillé : Propriété de la borne supérieure. On dit qu'un ensemble ordonné E poss? la propriété de la borne supérieure si toute partie non vide et majorée de E poss? une borne supérieure.
  • Math Sup est l'abréviation de la première année. Math Spé de la seconde année qu'on peut redoubler si on n'a pas eu l'école qu'on souhaitait la première année. Pour y entrer, il faut donc avoir suivi une filière scientifique: être titulaire d'un bac scientifique ou un bac STI2D, STL et STAV.

Département MIDO, première année

Analyse 1

Fondements de l"analyse réelle

Rédigé par Alexandre Afgoustidis et remanié par Pierre Cardaliaguet et Benjamin Melinand (version du 7 janvier 2020) Rédigé par Alexandre Afgoustidis et remanié par Pierre Cardaliaguet et Benjamin Melinand CEREMADE, Université Paris-Dauphine, 75016 Paris, France. E-mail :cardaliaguet@ceremade.dauphine.fr , melinand@ceremade.dauphine.fr Ce document est mis à disposition selon les termes de la licence

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.Il est protégé par le code de la propriété intellectuelle : toute utilisation illicite pourra entraîner des poursuites

disciplinaires ou judiciaires.

Ce polycopié a été créé avec L

ATEX; pour la mise en forme, nous avons adapté des fichiers de style fournis par la Société Mathématique de France, notamment la classesmfbook.

ANALYSE 1

Rédigé par Alexandre Afgoustidis et remanié par Pierre Cardaliaguet et Benjamin Melinand

TABLE DES MATIÈRES

Avant de commencer.....................................................................................v

1. Nombres réels.........................................................................................1

1. L"ensembleR..........................................................................................1

2. Borne supérieure.......................................................................................

8

3. Intervalles..............................................................................................

18

4. Partie entière..........................................................................................

20

5. Valeur absolue et distance surR.......................................................................22

6. Densité................................................................................................

23

2. Suites de nombres réels...............................................................................26

1. Définition et premières propriétés......................................................................

26

2. Limite.................................................................................................

28

3. Opérations sur les limites..............................................................................

34

4. Formes indéterminées, croissances comparées..........................................................

37

5. Théorèmes de comparaison............................................................................

39

6. Deux théorèmes assurant l"existence d"une limite sans donner sa valeur................................

40

7. Notion de suite extraite................................................................................

42

3. Limites de fonctions d"une variable réelle..........................................................47

1. Vocabulaire sur les fonctions...........................................................................

47

2. Notion de limite.......................................................................................

53

3. Caractérisation séquentielle............................................................................

60

4. Continuité..............................................................................................65

1. Définition et premières propriétés......................................................................

65

2. Théorème des valeurs intermédiaires...................................................................

68

3. Théorème des bornes atteintes.........................................................................

71

4. Monotonie et injectivité; bijection réciproque d"une bijection continue.................................

75

5. Notion de prolongement par continuité.................................................................

77

6. Continuité uniforme....................................................................................

78

AVANT DE COMMENCER

À propos de ce document. -Le présent polycopié est issu d"un support de cours distribué entre septembre

et décembre 2017. Il doit beaucoup

au document utilisé entre 2013 et 2016, qui avait été rédigé par François Simenhaus,

aux étudiants des promotions 2015, 2016 et 2017 et 2018 qui m"ont subi en cours, à Olivier Glass, co-responsable du cours pour 2017-2018,

à Irène Waldspurger, dont la relecture a permis de corriger de très nombreuses erreurs et fautes de frappe,

à la vigilance des étudiants et des collègues qui en ont repéré beaucoup d"autres, aux discussions avec les collègues avec qui j"ai partagé ce cours : Amine Bey, Raphaël Butez, Jorge Clarke, Olivier Glass et Irène Waldspurger (en 2017-2018),

Anne-Marie Boussion, Jean Louet, Jessica Massetti et François Simenhaus (en 2015-2016 et 2016-2017).

Il reste sans aucun doute beaucoup d"erreurs et de coquilles; j"en suis seul responsable. N"hésitez pas à me les

signaler. Un conseil pour votre travail. -Pour bien s"approprier le cours,

D"une part, il est essentiel d"avoir compris les définitions et les résultats (propositions, théorèmes) du cours,

de lesconnaîtreavec précision, et d"avoirétudié les exemples du courssans lesquels les notions paraîtront

inévitablement très abstraites,

D"autre part, il est utile de fairesoi-mêmedes exercices variés, pour tester sa compréhension du cours et

pour s"entraîner à développer sa réflexion autour (et à l"aide) des notions nouvellement étudiées.

Deux écueils sont à éviter. D"une part, il n"est pas nécessairement souhaitable de faireénormémentd"exercices

au détriment de l"étude approfondie du cours. Souvenez-vous que le cours n"estpasun prétexte pour faire des

exercices et passer des examens : au contraire, ce sont les exercices qui sont faits pour tester et améliorer votre

compréhension du cours. D"autre part, il est probablement nuisible de se contenter de lire les corrections d"exercices

que l"on n"a pas cherché soi-même : l"impression, en lisant et en comprenant le corrigé, qu"on " aurait su faire

l"exercice » est en général mauvaise conseillère.

CHAPITRE 1

NOMBRES RÉELS

1. L"ensembleR

Entiers, rationnels. -Vous êtes habitués à l"ensemble

N=f0;1;2;3;:::g

des entiers naturels, et aux manipulations qu"il permet : additionner, multiplier, comparer deux entiers naturels;

mener un raisonnement par récurrence... Vous connaissez aussi l"ensemble des entiers relatifs

Z=f:::;4;3;2;1;0;1;2;3;4;:::g

obtenu en ajoutant un opposé pour chaque entier non nul; vous savez qu"on peut, dansZ, comparer, additionner,

multiplieret soustrairedeux éléments. On peut rappeler que l"idée de " nombre négatif » n"a pas été acceptée sans mal (1)et que les " règles » que

vous avez l"habitude d"utiliser dansZ(" moins par moins donne plus »,18<2) sontadoptéesparce qu"elles

permettent à la multiplication, l"addition et la comparaison deZd"être " aussi faciles à manier » que celles deN,

mais qui ne peuvent pas sedéduiredes propriétés deN. L"ensembleZest ainsiconstruit à partir deN; l"addition,

la multiplication et la comparaison sontdéfiniesà partir de celles deNet des " règles » habituelles.

À partir deZ, on peut de mêmeconstruirel"ensemble Q=pq ; p2Z; q2N?

desnombres rationnels, avec ses opérations (addition, multiplication, mais aussi soustractionetdivision), sa

notion de comparaison, sa notion defraction irréductible, etc. Nous ne reviendrons pas sur ces constructions ni sur les propriétés deN,ZetQ.

Sur les nombres irrationnels. -La notion de nombre permet decompter; c"est le cas bien sûr pour les

entiers naturels, pour les entiers relatifs (qui peuvent " compter des dettes »), pour les rationnels (qui permettent

de former des " parts égales » d"une même quantité).

Depuis longtemps, elle est également utilisée pourmesurer des longueurs. Vous avez l"habitude d"attacher à

chaquesegment de droiteune longueur et de considérer que cette longueurestun nombre; il est alors naturel

d"additionner des longueurs, de les multiplier (pour obtenir des aires), etc.

On peut alors s"appuyer sur les théorèmes de la géométrie pourcalculercertaines longueurs, sans les mesurer

directement. Dans ce contexte, le théorème de Pythagore a une conséquence célèbre : la longueur de la diagonale

d"un carré dont les côtés ont pour longueur un mètre, exprimée en mètres, doit être donnée par un " nombre »

dont le carré vaut12+ 12= 2.Théorème 1.1 - Irrationnalité de p2 Il n"existe pas de rationnel dont le carré soit égal à 2.

1. En Europe, Descartes parle de " quantités fausses » en 1637 pour désigner les solutions négatives d"une équation.

1. L"ENSEMBLER2

Démonstration. -Nous allons raisonner par l"absurde.

Supposons qu"il existe un nombre rationnelvérifiant2= 2. On sait qu"il existe deux nombres entierspetq

vérifiant : 8>>< >:=pq p2Zetq2N?;

PGCD(p;q) = 1:

(les entierspetqfournissent l"écriture desous forme de fraction irréductibleet sont entièrement déterminés

par).

Mais alors2vautp2q

2, et par hypothèse on a2= 2, doncp2= 2q2.

L"entierp2est donc pair, et cela ne peut arriver que sipest pair. On peut donc écrirep= 2kaveck2Z;

et alors2q2=p2= 4k2, doncq2= 2k2, si bien queq2est pair, et cela ne peut arriver que siqest lui-même

pair. Nous constatons donc quepetqdoivent être tous deux pairs, c"est-à-dire divisibles par 2;

or nous sommes partis d"un couple(p;q)vérifiantPGCD(p;q) = 1, on aboutit donc à une contradiction.Exercice 1.1. -

1. Mon trerqu"il n"existe pas de rationnel don tl ecarré soit le nom bre3. 2.

Mon trerqu"il n"existe pas de nom brerationnel vérifiant :2= 3.Le théorème ci-dessus a été découvert au moins cinq siècles avant notre ère; on l"attribue en général aux

pythagoriciens. Il y a au moins deux réactions possibles à ce fait : 1.

Considérer que le mot " nom bre» doit être réserv éaux rationnels et séparer tout ce qui se rapp orteà la

notion de longueur en géométrie de ce qui se rapporte à l"arithmétique (" science des nombres »);

2.

étendre la signification donnée au mot " nom bre» p ourque ce mot puisse désigner la longueur de " tout »

segment de droite. La première réaction n"est pas absurde : elle fut longtemps (2)dominante.

De la deuxième réaction est issue la notion denombre réelà laquelle vous êtes habitués.

Est-il facile de dire exactement ce qu"est un nombre réel?

1.1. Nombres " réels » et développements décimaux. -Dans ce cours, nous partirons de l"usage courant

d"écrire les nombres sous forme de " suite de chiffres ».Définition 1.2 - Développement décimal

Undéveloppement décimalest la donnée

d"un signe (+ou), d"un entier naturel,

d"une suite (infinie) de chiffres entre 0 et 9 : pour chaquendeN?, on donne un entiercndef0;::;9g.Même sans disposer d"une définition formelle des " nombres réels », vous avez l"habitude du fait qu"un déve-

loppement décimal définit un (et un seul) " nombre réel » : par exemple, pour décrire le nombre rationnel

13

vous avez l"habitude d"utiliser le développement décimal donné par le signe+, l"entier0et la suite(cn)n2N?ne

comportant que le chiffre 3; cela donne lieu à l"écriture usuelle 13 = +0:3333333333333333::: :

On peut donc espérer s"appuyer sur la notion de développement décimal pour " définir » les nombres réels.2. L"idée de traiter les " quantités irrationnelles » comme des nombres semble apparaître à la fin du premier millénaire dans le

monde musulman; l"expression " nombre réel » semble remonter à Descartes.

1. L"ENSEMBLER3

Il est important de noter que dans certains cas, deux développements décimaux différents doivent pouvoir

décrire le même nombre : l"exemple le plus important est

1 = 0:99999999999:::

(la ligne ci-dessus est uneégalité rigoureuse(3)). De même,

17:2499999999999:::= 17:25:

Certains nombres doivent pouvoir admettre deux développements décimaux différents : l"un se terminant par

une suite ininterrompue de 0, l"autre se terminant par une suite ininterrompue de 9. Ces nombres sont ceux qui

" peuvent être écrits avec un nombre fini de chiffres après la virgule », lesnombres décimaux(4).

Pour résumer, l"usage courant est de manier les développements décimaux de la manière suivante :Sixest un nombre décimal, alors il correspond à deux développements décimaux différents :

l"un se finit par une suite ininterrompue de 9, l"autre non.

Sixest un nombre qui n"est pas décimal, alors il correspond à un seul développement décimal.

Ce développement ne peut pas se terminer par une suite ininterrompue de 9, sinonxserait décimal.Donnons maintenant un nom aux développements décimaux qui ne se terminent pas par une suite ininterrompue

de 9. Dire que la suite(cn)ne comporte que des 9 à partir d"un certain rang s"écrit avec des quantificateurs :

9N2N=8n2N;(nN=)cn= 9):

En prenant la négation, on aboutit à la définition suivante.Définition 1.3 - Développement décimal propre

Un développement décimalpropreest la donnée d"un signe (+ou), d"un entier naturel,

d"une suite(cn)n2Nde chiffres entre 0 et 9 qui vérifie :8N2N;9n2N;(nNetcn6= 9).On peut être tenté dedéfinirun réelxcomme la donnée de son développement décimal propre :On noteRl"ensemble des développements décimaux propres.L"ensembleRest dans ce cas défini sans ambigüité, même si c"est de manière abstraite, à partir de l"ensembleN.

Ce n"est ni la seule manière possible de définir la notion de nombre réel, ni la meilleure (5).

Un avantage de cette construction est de reposer sur l"habitude que nous avons prise, dans notre vie quotidienne,

de la notion de développement décimal. L"un de ses inconvénients, comme nous allons le voir, est de ne pas

permettre de définir simplement l"addition et la multiplication deR.3. Voici une démonstration de cette égalité : notonsx= 0:9999999:::; alors10x= 9:999999:::, donc10x= 9 +x, d"où on tire

x= 1.

4. Dire qu"un nombrexadmet un développement décimal comportant au plusNchiffres après la virgule, c"est dire que10Nxest

entier : ainsi un nombrexest décimal si et seulement s"il existe un couple(k;N)deZNvérifiant :x=k10

N.Les nombres décimaux

sont donc tous rationnels. Attention, l"exemple du nombre 13 = +0:3333333333333333:::montre qu"il est loin d"être vrai que tout nombre rationnel soit décimal.

5. D"autres constructions, plus abstraites, sont possibles et donnent un résultat " identique » (en un sens que nous ne préciserons

pas ici). On pourra chercher des renseignements sur la notion de " coupure de Dedekind ».

1. L"ENSEMBLER4

1.2. Addition, multiplication. -Une fois qu"un réel est identifié à un développement décimal propre, il est

tentant de penser que les manipulations que vous avez apprises à l"école permettent de définir les opérations

habituelles d"addition et de multiplication : il suffirait de dire, pour chaquexdeRet chaqueydeR, comment

obtenir les développements décimaux dex+yetxyà partir des développements décimaux (propres) dexet de

y.

Mais à l"école élémentaire, vous avez appris à additionner ou multiplier uniquement des nombresdécimaux, avec

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