[PDF] Low cost : turbulences sur laéroport niçois





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Low cost : turbulences sur laéroport niçois

18 févr. 2011 p.31. Emploi : les cadres azuréens s'en sortent plutôt bien ... SDEG 18 RUE CHATEAUNEUF 06000 NICE 04 93 44 24 40 Tél : 04.93.44.24.40 Eclai ...

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Low cost : turbulences

sur l'aéroport niçois Pour enrayer la montée en puissance des compagnies à bas prix, Air France contre-attaque au national. Et notre société aéroportuaire devra réviser son plan de développement. lus d"un tiers du trafic niçois dans les mains des low cost : constat édifiant pour

Hervé de Place, président du directoire

de la société aéroportuaire. Avec 3 de 9,6 millions de passagers traités en 2010, Nice s"af- fiche comme la première plate-forme nationale pour ces trafics à prix bradés, avec une vingtaine de compagnies concernées, et ce sans terminal spécifique ni aides particulières. Et les mêmes redevances que les compagnies plus tradition- nelles. Après s"être imposés dans les cieux euro- péens, les low cost veulent prendre pied sur le trafic national, hors Paris, pré carré d"Air France. Vueling, low cost espagnol, crée sa base à Tou- louse pour s"attaquer aux transversales (dont une liaison Toulouse- Nice). Easyjet, depuis sa base lyonnaise, exploite depuis quelques mois une ligne entre Nice et Satolas et peaufine d"autres

estocades vers Bordeaux, Nantes ou autres. Ryanair revient sur Marseille et affiche son ambi-tion. "Car il y a un fort trafic potentiel à défricher

sur les transversales nationales», analyse Fran- çois Bacchetta, directeur général pour la France d"Easyjet : présente à Nice depuis 1996, avec une vingtaine de lignes et deux millions de passagers au compteur, Easyjet se positionne comme la seconde compagnie de la plate-forme, talonnant Air France. "Entre les villes de province, tout reste à faire. Il y a une forte demande du public. Nous avons inauguré Toulouse-Nantes, d'autres lignes suivront. Mais nous restons discrets car d'autres compétiteurs sont à l'écoute, comme Vueling.» Même analyse du côté d"Hervé de Place : "nous estimons le potentiel sur les vols nationaux à près d'un million de passagers par an, c'est du moins ce qu'avait révélé Air Littoral à l'époque.» P suite en page 3 Air France / EasyJet : deux conceptions pour l'heure différentes, mais le succès du low cost fait réfléchir la compagnie historique.

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entre Marta Vicenzi et Christian Estrosi. p.5

Triple monographie

politiquement fort correcte Agréable exposition, mais sans surprise... p.31

Emploi : les cadres azuréens

s'en sortent plutôt bien Selon le dernier panel APEC

Entreprises

(association pour l"emploi des cadres). p.4 Cannes : Itinéraire d'un jeune créateur comblé La JCE recevait les jeunes ou futurs diplômés dans le cadre de la Quinzaine de l"emploi. p.4

Une plate-forme

agroalimentaire va naître à la Baronne

Alors que la Communauté

urbaine s'apprête à choisir l"assistant à maîtrise d"ouvrage chargé d"y définir l"accueil des MIN dès 2015, quelques incertitudes demeurent sur le terrain... p.6

Vendredi 18 février 2011

Tribune Bulletin Côte d'Azur

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Repères

Repères

Agenda

CONFERENCE

> Le 24 février à Nice : accompagner le dévelop- pement de vos clients en Europe, tout ce qu'il faut savoir, réunion technique organisée par l'ANECS et le CIC en direction des jeunes experts-comptables.

Infos www.anecs.org

EMPLOI

> Le 22 février à Nice : Emploi par le travail temporaire, réunir les partenaires, rencontrer les professionnels, s'informer, organisé par le Forum

Cyber Espace. Entrée libre. Au Cyber Espace,

place Yves Klein - infos 04.97.13.42.80

RENDEZ-VOUS

> Le 17 mars à Sophia : DEEE Day, les clefs du recyclage des Déchets d'Equipement Electrique et Electronique, journée de sensibilisation organisée par Telecom Valley. Au CICA. Inscription gratuite.

Infos :

SALONS

> Le 17 mars à Saint-Laurent : salon des comi- tés d'entreprise et des collectivités. A l'Atoll Beach.

Infos www.forum-ce.com

> Du 25 au 27 février à Cannes : 25è Festival international des Jeux. De 10h à 20h au Palais des festivals.

EDHEC > Vers une TVA emploi ?

Conseil général >

Groupe communiste

Préserver l'équilibre entre cadre de vie

et activité économique au port de Nice (...) Nous avions, dès mai 2006, alerté sur les dangers d"une vision du Port de Nice prison- nière d"enjeux politiciens. En effet, l"actuel maire de Nice, alors président du Conseil géné- ral, avait manœuvré en coulisse pour qu"une exception soit faite à la loi afin de confier la gestion du Port de Nice au Département au détriment de la Région. Il affirmait à ce moment vouloir consacrer le bassin Lympia à sa "vocation de plaisance». Nous avons, dès cette époque, exprimé nos inquiétudes sur le devenir "de la continuité territoriale dans un contexte de fragilisation du service public mari- time, des activités industrielles et de leur impact sur l'emploi local et de la place qui serait réser- vée aux Niçois dans cette nouvelle configuration portuaire». Nous demandions que ces impor- tantes questions soient "l'objet d'un débat au grand jour, avec les élus, les associations et la population sans préalables déjà verrouillés

». En

mars 2007, nous rappelions que "mettre l'ac- cent sur la vocation petite et moyenne plaisance, sans évoquer les autres activités, revient à faire l'impasse sur celles-ci, à savoir le fret, les croi- sières et surtout la continuité territoriale vers la Corse, segment très important dans ces activités pour nombre de nos concitoyens et qui relève d'une logique d'aménagement du territoire et de service public.

» Sans parler, pour le fret, de son

incidence sur certaines activités économiques locales, notamment industrielles. Nos craintes se révèlent aujourd"hui fondées et ce sont para- doxalement les mêmes ayant soutenu au départ le projet pharaonique de tête de ligne pour les croisières qui cherchent, depuis sa mise en échec, à opposer de façon démagogique la préservation du cadre de vie avec l"activité

économique du Port et les emplois qui s"y atta

chent. Procéder de la sorte, c"est non seulement mettre d"ores et déjà en péril de nombreux emplois mais aussi, à terme, ouvrir la porte à la captation d"un équipement public au profit des plaisanciers les plus fortunés au détriment de tous les usagers les plus modestes du Port Lympia. C"est également créer les conditions objectives d"une opération de recomposition sociale de tout ce secteur visant à le transfor- mer en quartier réservé pour plaisanciers for- tunés et à en exclure les populations environ- nantes actuelles (...)Le débat lancé par Jean-François Copé sur une hausse possible du taux de TVA laisse ouverte la question de savoir si la baisse de cotisations sociales envisagée doit plu tôt porter sur les cotisations " employé

» ou les coti

sations "employeur». Les effets économiques à en attendre sont sensiblement différents. Pour sa part, l"EDHEC recommandait dès 2007 la mise en place d"une "TVA emploi». La "TVA emploi» correspond à une baisse des cotisations "employé» accompagnée d"une hausse de la

TVA. Elle est favorable à la consommation en

dégageant un gain de pouvoir d"achat et rend la prise d"emploi plus profitable. Dans un exer- cice de macro-simulation, l"EDHEC montrait qu"un basculement de 25 milliards depuis les cotisations sociales vers la TVA était suscep- tible d"augmenter le PIB de 0,4% et de créer

114.000 emplois. Ce volume de nouveaux

emplois est supérieur à celui induit par une "TVA sociale» qui correspond à une baisse des cotisations "employeur» et pour laquelle

l"effet positif lié à la hausse des exportations est amputé par son impact négatif sur la consomma-

tion.

Pour l"EDHEC, dans la situation économique

actuelle qui se caractérise par des anticipations d"une reprise de l"inflation, une TVA emploi reste préférable à une TVA sociale. En effet, la TVA sociale porte en germe un risque inflationniste. L"ajustement des prix est lent et les entreprises peu- vent ne reporter qu"une part de la baisse des coûts du travail sur leurs prix. Il se crée une pression à la hausse des salaires, et donc au final une croissance plus faible que dans le cas d"une TVA emploi.

Les travaux de l"EDHEC montrent également que

la TVA n"est pas un impôt équitable. Si pour envi- ron 80% des ménages français, l"effort pour acquit- ter la TVA est équitablement réparti (il correspond à environ 8% du revenu), pour les ménages les plus pauvres, l"effort consenti est plus important (de l"ordre de 11% du revenu). Une augmentation de la TVA suppose donc que soient mis en place des dispositifs correcteurs pour ne pas induire des hausses relatives trop importantes des taux d"ef- fort des plus modestes.

A la reprise des discussions sur la conven-

tion d"assurance chômage deux visions de l"Unedic se sont croisées : - d"une part un MEDEF rappelant la nécessité de réduire le déficit de l"Unedic pour assurer la péren- nité du régime face à l"augmentation du nombre de chômeurs indemnisés, - d"autre part des organisations syndicales de sala riés réaffirmant le devoir de l"Unedic d"assurer un revenu de remplacement dès la privation d"emploi.

La confrontation sera maintenant celle des chif

frages réclamés à l"Unedic par les uns et les autres.

Les réflexions devraient notamment porter sur

l"impact de la condition d"âge de 50 à 52 ans ou de

60 à 62 ans pour aboutir au maintien des droits

jusqu"à la retraite.

La CFE-CGC demande comment intégrer les

conséquences de la réforme de la retraite, celle de

la disparition de l"AFDEF (Allocation en Faveur des Demandeurs d"Emploi en Formation), d"une multiplication des ruptures conventionnelles qui concernent de plus en plus les seniors, quand la croissance est si peu génératrice de créations d"em-

plois.

A ce stade deux constats s"imposent :

- le contexte économique de faible progression du

PIB pour 2011 et 2012 ne donne aucune marge de

manœuvre financière, - la convention de 2009 a joué son rôle d"amor- tisseur des disparitions d"emplois générées par la crise depuis 2008.

Pour Alain Saubert président de la CFE-CGC des

Alpes-Maritimes, ces deux paramètres sont les

bases des réunions à venir. Le principe de l"assu- rance chômage doit être maintenu. De plus, nous devons pleinement prendre en compte les situa- tions les plus fragiles issues d"un chômage de lon- gue durée.

CFE-CGC > L"assurance chômage

Une soirée au Mas Candille

Traditionnel rendez-vous à Mougins pour les clients et partenaires du Crédit du Nord et de Tribune-Bulletin Côte d'Azur de la "Rive droite». Et toujours l"accueil chaleureux du chef Serge Gouloumès et de ses

équipes, dans un cadre

somptueux où nous nous sommes retrouvés, comme à l"accoutumé e, fort nombreux et... fort heureux de partager ce moment de convivialité et de gourman- dise entre gens de bonne compagnie.

Professions du droit et du chiffre étaient

bien sûr à l"honneur, avec aussi une belle et sympathique implication des Jeunes

Chambres Economiques.

Elisabeth Vincent, Michel Valiergue, Julien Ceppodomo,

Stephen Fernandez et Laetitia Gaborit.Zakia

De Medeiros

et Angelo

Ciranni

(Directeur du Groupe

Esterel du

Crédit du

Nord).

Stéphanie Grosmaire

et Nathalie Joffroy.Gilles Balaguero et Ines Ganmavo.Martine Blomme-Morgandet Jean-Philippe Giraud.

Vendredi 18 février 2011

Tribune Bulletin Côte d'Azur

3

Frédéric Babu :

imposer Air France sur le créneau des vols à bas prix.. asyjet reste à l"affût : "Il y a de nombreuses possibilités vers l'Italie (Naples, Venise), l'Es- pagne, la Grèce, l'Europe centrale, voire le proche et le moyen-Orient», complète Hervé de Place.

Nous sommes d'ailleurs

satisfaits de l'ouverture en mars par Smarwings du Nice-Prague...»

Une ligne déjà exploitée en son

temps par un autre compagnie,

Sky Europe, et fermée depuis.

Certes, les low cost séduisent

aussi de plus en plus la clientèle affaires, qui contribuait à l"équi- libre des grandes compagnies (Air

France KLM, Lufthansa, British

Airways...) : c"est aujourd"hui un

passager sur 5 pour Easyjet. Cer- taines compagnies ont déjà réagi.

Par exemple Lufthansa, avec Ger-

manwings, sa filiale 100 % low cost, qui neutralise la concur- rence sur son territoire.

Air France qui représentait

50 % de trafic de l"aéroport au

début des années 90 n'en traite plus aujourd"hui que 30 %. En supprimant ses liaisons inter- nationales pour se replier sur l"axe Nice-Paris, elle a provoqué un appel d"air pour les low cost mais aussi pour d"autres com- pagnies longs courriers comme

Delta, Emirates, Turkish Qatar,

Aeroflot... Aujourd"hui, la com-

pagnie nationale ne veut plus rester spectatrice sur le tarmac azuréen : "nous revenons avec un projet porteur», explique Fré- déric Babu, directeur régional

Côte d"Azur-Monaco pour le

groupe Air France KLM. Ce scé- nario de la riposte repose sur la création de bases sur les grands

aéroports, dont Nice. L"objectif ? Reconquérir les parts de marché perdues sur les lignes nationales et européennes avec une straté-

gie proche de celle des low cost. "Nous proposerons des aller-retour dans la journée sur les transver- sales, avec des horaires adap tés aux hommes d'affaires et des tarifs compétitifs, mais le service en plus.» Nice accueillerait ainsi sept à huit appareils dédiés avec une centaine de membres d"équi pages et une flotte en rotation de

6 h à 23 h. "

Et nous mobiliserons

en priorité les pilotes et personnels naviguants habitant déjà dans la région.» Une base qui permettra d"ouvrir moult nouvelles lignes sur des trajets courts. La compa- gnie prépare cette incursion sur le trafic low cost avec la signature de partage de code avec Flybe (Nice Southampton) et Tarom (Nice Bucarest). "On ne s'improvise pas low cost», réplique François Bacchetta. "Air France n'a pas la structure adéquate. Notre modèle écono- mique, c'est le point à point à moins de deux heures, avec rota- tion rapide de la flotte, sans fret, et des escales limitées à 30 minutes.

Pour offrir le tarif le plus bas, on

serre les coûts d'exploitation. Nous avons d'ailleurs un seul type d'ap pareil et une flotte récente, et donc

économique en kérosène.»

Cette effervescence oblige la

société aéroportuaire à adapter son plan d"investissement. Car les experts prophétisent que la part des low cost pourrait atteindre

50 % en 2020. A cette date, Nice

devrait donc gérer 5 à 6 millions de passagers supplémentaires, de quoi alimenter un terminal spéci- fique : "ces compagnies réclament des prestations allégées et des rota- tions plus rapides des appareils, il faut donc adapter nos installa- tions», constate Hervé de Place. "Pour l'extension du Terminal 2, la décision sera prise avant l'été».quotesdbs_dbs26.pdfusesText_32
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