Mais doù viennent les plantes ?
Situées dans le groupe le plus ancien des Plantes à fleurs Réunion. L'adulte est un arbre atteignant 25 mètres
Éditrice responsable : Marie-Paule Forthomme – Photos : HP
10 oct. 2008 la façade des anciens thermes est déco- rée de la façon suivante : a. corbeilles fleuries : • Begonia tubéreux “Illumination Apri-.
Flore des Seychelles : dicotylédones
biogéographiques anciennes plus étroites entre les Seychelles et l'Asie. Tubéreux : = tubérisé (voir ce mot) ou à organes tubérisés : plante tubéreuse.
90. Rhizophoracées à 106.Araliacées
2 fruits apportés de La Réunion par 'Lemonnier en 1770.L'un fut disséqué et dessiné échantillons plus anciens viennent de la Plaine des Palmistes.
~ PLANTES VIVAGES DE PLEINE TERRE
peut penser encore a des plantations de geraniums begonias
Le choix des plantes et espèces locales dans les projets de
23 sept. 2015 b- Le Wild Garden : un courant déjà ancien . ... Bégonia tubéreux (600 cultivars) (Jardin botanique du Montet 2015).
e lÿ ^^^^^ s
Pour les Bégonias tubéreux dont on ne désire pas la floraison l'année.du variées depuis la boule ancienne d'une lourdeur carac-.
Pharmacopées traditionnelles en Guyane : créoles wayapi
https://horizon.documentation.ird.fr/exl-doc/pleins_textes/divers11-05/010034335.pdf
2nd Cahier du Conseil national des parcs et jardins
6 févr. 2008 Contrairement à celui d'exotique qualificatif ancien de la langue ... son jardin de Belgentier près de Toulon
Untitled
tubéreux Racine de persil
© ACTES SUD, 2019
ISBN : 978-2-330-12667-4
FRANCIS HALLÉ ET ROLAND KELLER
Mais d où viennent les plantes??
Une approche graphique de l'architecture de 40 familles de Plantes à ?eurs Avant d'entrer dans le vif du sujet, ces quelques indications techniques faciliteront la lecture :Nous avons laissé une place aux questions non résolues et aux recherches qu'il conviendrait d'entre
prendre : elles ont été indiquées par le signe , destiné à attirer l'attention des chercheurs en quête de nouveautés.Les mots marqués d'un astérisque (*) sont expliqués dans le glossaire en ?n d'ouvrage, la référence
étant, sauf exception,
[7].Les numéros entre crochets renvoient aux références bibliographiques données à la ?n du livre.
Les auteurs des noms d'espèces sont mentionnés dans l'index des noms scienti?ques. On trouvera aussi un index des noms usuels, souvent plus beaux et plus poétiques.La terminologie adoptée est classique : les familles sont désignées par le nom du premier genre qui
a été répertorié, suivi de la terminaison familiale caractéristique enNous utilisons la phy-
logenèse établie par l' apg (Angiosperm Phylogeny Group).SOMMAIRE
SIX FAMILLES EXCLUSIVEMENT TROPICALES, COMPORTANT DES ARBRES,DES ARBUSTES OU DES LIANES, MAIS AUCUNE HERBE
Myristicaceae
Pandanaceae
Dioncophyllaceae
Ochnaceae
Ancistrocladaceae
Lecythidaceae
HUIT FAMILLES VIVANT AUX LATITUDES TROPICALES ET TEMPÉRÉES, COMPTANT DES ARBRES, DES ARBUSTES OU DES LIANES, MAIS AUCUNE HERBEProteaceae
Hamamelidaceae
Fagaceae et Nothofagaceae
Myricaceae
Combretaceae
Actinidiaceae
Sapotaceae
Aquifoliaceae
VINGT -SIX FAMILLES QUI COMPTENT DES ARBRES ET DES ARBUSTES AUX LATITUDES TROPICALES ET DES HERBES AUX LATITUDES TEMPÉRÉESPolygonaceae
Cactaceae
Nyctaginaceae
Violaceae
Euphorbiaceae
Clusiaceae
Caesalpiniaceae
Rosaceae
Rhamnaceae
Melastomataceae
Urticaceae
Datiscaceae
Malvaceae
Rutaceae
Primulaceae
Boraginaceae
Rubiaceae
Gentianaceae
Loganiaceae
Apocynaceae
Solanaceae
Bignoniaceae
Araliaceae
Apiaceae
Adoxaceae
Asteraceae
GLOSSAIRE
BIBLIOGRAPHIE
INDEX DES NOMS SCIENTIFIQUES
INDEX DES NOMS USUELS
On trouvera dans cette seconde partie de Mais d'où viennent les plantes ?, sous forme graphique,l'état actuel de nos connaissances sur la radiation architecturale* de 40 familles de Plantes à ?eurs*
dicotylédones*. D'autres groupes, Fougères*, Gymnospermes*, Monocotylédones*, ont été évoqués
ponctuellement dans la première partie de cet ouvrage, mais les contraintes de place et de temps nous amènent à nous concentrer sur un nombre restreint de familles de Dicotylédones. Concernant les familles qui ne ?gurent pas ici, l'information architecturale disponible peut être obtenue
sur simple demande auprès de l'éditeur, Actes Sud, qui transmettra.Nombreux ont été les problèmes rencontrés pour identi?er les plantes en région tropicale ; lors du
travail en forêt, nous ne disposions pas de ?ore locale et beaucoup des pays visités ne béné?ciaient
ni de la présence d'un herbier national, ni de celle d'un jardin botanique ?able. Il s'ensuit que notre
ouvrage compte plusieurs plantes non identi?ées, dont l'espèce est inconnue ; il arrive que le genre
lui-même reste douteux.C'est évidemment regrettable, mais est-ce si grave ? Notre enquête architecturale se situant au niveau
familial, l'essentiel était d'éviter les erreurs de famille et nous espérons y être parvenus.
Lorsqu'elle est disponible, l'indication d'une référence d'herbier rend envisageable une identi?
cation plus complète dans l'avenir. Il n'est pas exclu que, parmi les plantes mentionnées dans cet
ouvrage, il s'en trouve n'ayant pas de nom, étant des "espèces nouvelles".Dans tout ce qui suit, la nomenclature que nous avons adoptée est celle de l'édition de 2017 du
Plant Book
de David J. Mabberley [63].La répartition des types biologiques en fonction des latitudes, tropicales et tempérées, amène à recon
naître trois groupes parmi les familles de Plantes à ?eurs étudiées ici. Les deux premiers, quantita
tivement réduits, contrastent avec le troisième, largement majoritaire :- Les familles exclusivement tropicales et ne comptant que des arbres, des arbustes et des lianes ; les
herbes sont absentes, ou exceptionnelles. Ce groupe comporte 6 familles, dont les Myristicaceae.- Les familles qui occupent à la fois les régions tropicales et tempérées, et qui ne comptent que des
arbres, des arbustes, mais aucune herbe. Ce groupe comporte 8 familles, dont les Fagaceae.- Les familles qui comptent à la fois des arbres et des arbustes aux latitudes tropicales, et des herbes
aux latitudes tempérées. Ce groupe comporte 26 familles, dont les Rubiaceae. Largement majoritaire, ce dernier groupe représente la trajectoire géographique et évolutive habituelle chez les Plantes
à ?eurs.
Ces trois groupes sont passés en revue, les familles étant présentées : - dans l'ordre de l'évolution comme le comprennent les botanistes de l'Angiosperm PhylogenyGroup (
apg) ;- par un court texte dans lequel les caractères végétatifs ont plus de place que ceux de la sexualité ;
- et par des dessins montrant les modèles architecturaux.Il n'est pas exclu que certaines familles de Plantes à ?eurs, actuellement limitées au monde tropi
cal, aient vécu aux latitudes tempérées à des périodes anciennes de leur histoire. S'agissant de ques
tions très éloignées de nos compétences, nous sollicitons ici l'aide des paléobotanistes
SIX FAMILLES EXCLUSIVEMENT TROPICALES,
COMPORTANT DES ARBRES, DES ARBUSTES
ET DES LIANES, MAIS AUCUNE HERBE
M yristicaceaePandanaceae
Dioncophyllaceae
Ochnaceae
Ancistrocladaceae
Lecythidaceae
MYRISTICACEAE
Une petite famille des forêts tropicales de tous les continents, comprenant 19 genres et 520 espèces.
Situées dans le groupe le plus ancien des Plantes à ?eurs, celui des Angiospermes basales, les Myristi
caceae appartiennent à l'ordre des Magnoliales avec les Annones, le Corossol et l'Ilang-Ilang (Anno
naceae), les Magnolias et le Tulipier de Virginie (Magnoliaceae).Les Myristicaceae vivent presque toutes en forêt tropicale humide d'Afrique, d'Amérique et d'Asie.
Certaines espèces d'
Iryanthera
et deVirola
sont liées aux milieux inondables,Virola surinamensis
est un arbre à échasses de bords des cours d'eau sud-américains. Exceptionnellement,Virola
se trouveaussi dans les savanes brésiliennes et cette famille est, bien entendu, absente de la ?ore d'Europe.
Les Myristicaceae sont presque uniquement des arbres, jamais très grands ;Pycnanthus angolensis
l'Ilomba d'Afrique, et diverses espèces deVirola
, dontV. surinamensis
, sont exploités pour leur bois.La seule liane connue,
Pycnanthus dinklagei
, est africaine. Le Muscadier, Myristica fragrans, cultivépour ses graines, les "noix muscade", est originaire de quelques îles de l'archipel des Moluques. Épice
très recherchée, la noix muscade a été l'objet d'un commerce ?orissant à l'époque de la suprématie
des navigateurs arabes et portugais. Les écorces de plusieurs espèces deVirola
(Epená, Nyakwana sont des sources d'hallucinogènes utilisés en inhalation, les snu?s de la littérature ethnobotanique.Les Myristicaceae se caractérisent par des feuilles qui peuvent être très grandes, jusqu'à 30 centi
mètres de long, entières et sans stipules*, des in?orescences latérales sur les branches et le tronc, et
de petites ?eurs ternes. Les in?orescences sont latérales, les ?eurs à 3-5 pétales. Le fruit est une cap
sule charnue contenant une graine unique et arillée*.Toutes les espèces produisent par incision de l'écorce une exsudation au goût astringent, virant rapi
dement au rouge sang par oxydation des polyphénols. Ces tannins sont à l'origine du nom de Cuajo
(caille-lait) donné àVirola surinamensis
dans les régions hispanophones d'Amérique tropicale. Lesbranches des Myristicaceae sont disposées en étage, par le raccourcissement des entrenoeuds à l'ex
trémité des unités de croissance* du tronc. La croissance immédiate de ces branches se traduit par
un étage sommital sur le tronc.Un seul modèle est connu, celui de
massart, dans les forêts tropicales humides du monde entier :Pycnanthus angolensis
, ou Ilomba (), et Cephalosphaera usambarensis (), deux arbres d'Afrique tro- picale. Hors?eldia irya () et Knema laurina (), deux arbres d'Indonésie. Iryanthera hostmannii ()et Virola surinamensis, deux arbres d'Amérique du Sud tropicale. Myristica subalulata (), un arbre
de Nouvelle-Guinée.Avec un seul modèle pour 19 genres, la diversité architecturale de 13 est, parmi l'ensemble des
familles de Plantes à ?eurs, la plus basse connue. Cette famille est aussi un exemple exceptionnel
d'architecture unique, alors que sa répartition est pantropicale.Cette famille n'est sortie des tropiques ni vers le Nord, ni vers le Sud. Cette incapacité à a?ronter
les hautes latitudes est peut-être liée à la propension de l'axe principal à se rami?er au cours de sa
phase d'élongation, ce qui entraînerait, en climat froid, un risque d'avortement de plusieurs méris
tèmes* apicaux en même temps.1. cephalosphaera usambarensis - Mtambao
Modèle de
massart. Un arbre forestier observé à Amani, Tanzanie. 2. - Mendaharan Une branche avec des fruits insérés à sa base. Parc national deManusela, île de Seram, Indonésie.
3. cf. tomentosaModèle de
massart. Jeune arbre couché par la chute d'un plus gros que lui ; les branches sont regroupées par cinq à chaque étage. Réserve naturelle de Khao Chong, Sud dbe la Thaïlande. 4.Knema laurina
Modèle de
massart. Petit arbre aux étages de branches très rapprochés donnant une allure de modèle de roux. Jardin botanique Kebun Raya, Bogor, Indonésie. 5.Modèle de
massart. Un arbre de Guyane française ; les étages sont de 5 branches. En bas : le détail d'une branche.6. - Muscadier
Modèle de
massart. Petit arbre dont les branches du haut sont dressées, l'orientation horizontale se manifestant tardivement. Arboretum de la réserve naturelle de Khao Chong, Sud de la Thaïlande. 7.Modèle de
massart. Un jeune arbre observé en Nouvelle-Guinée. 8. - IlombaModèle de
massart. Un arbre dont les fruits sont insérés à la base des branches et des rameaux latéraubx ;
en haut, une branche vue en plan.Afrique tropicale.
9.Modèle de
massart. Une grande liane grimpant à l'aide de ses branches qui s'appuient sur leur support.Côte d'Ivoire.
10. - Yayamadou montagneModèle de
massart. Un arbre âgé portant des réitérations* qui apparaissent sur les branches anciennes
*X\DQH française.PANDANACEAE
Une petite famille de 4 genres et 825 espèces, appartenant aux Monocotylédones et voisine des Cyclanthaceae et des Velloziaceae, dans l'ordre des Pandanales. Le genrePandanus
compte à lui seul 520 espèces.Les Pandanaceae sont des plantes tropicales rares en Afrique, très fréquentes en Asie et en Mélané
sie, mais absentes du Nouveau Monde. Elles ne sortent pas des tropiques, sauf dans l'archipel desRyu Kyu ainsi qu'en Nouvelle-Zélande. Souvent littorales, ces plantes sont fréquentes en Polyné
sie ; Madagascar est un centre de diversité spéci?que et architecturale pour le genrePandanus
, qui y est représenté par 85 espèces.Ce sont de petits arbres
(Pandanus) , souvent à échasses et couverts d'épines, des arbustes (Pandanus) ou des lianes (Freycinetia) . On connaît quelques épiphytes* (Pandanus) , mais aucune herbe. Cettefamille, localement très utile, fournit des feuilles qui servent à faire des toits, des voiles de bateau,
des paniers, des cordes, des nattes, etc. Les fruits sont parfois consommés, en Papouasie notamment.
Les Pandanus sont souvent utilisés comme arbres d'ornement dans les jardins tropicaux, pour l'as- pect spectaculaire qu'ils doivent à leurs échasses et à leurs hélices foliaires.Les feuilles sont simples, linéaires, épineuses sur les marges et la nervure médiane, et insérées en 3
ou 4 hélices, ce qui donne un aspect spectaculaire auxPandanus
, que les anglophones nomment "Screw Pines".À l'exception de quelques
Freycinetia
, les Pandanaceae sont dioïques* ; les ?eurs sont petites et grou pées en lourdes in?orescences.Étant des Monocotylédones, donc sans cambium* ni croissance en diamètre, il est curieux qu'elles
présentent pourtant des réitérations, traumatiques (Pandanus) ou adaptatives (Freycinetia) . Une investigation anatomique serait utileCette petite famille réalise 9 architectures di?érentes, et peut-être 10 ; les exemples indiqués ici
s'ajoutent parfois à ceux des ?gures 1 à 17.Modèle de
corner : Pandanus danckelmannianus, des îles Salomon.Modèle d'
oldeman : Freycinetia funicularis, une liane indonésienne () [79].Modèle de
chamberlain : Freycinetia comptonii, une liane volubile à spirale en forme de "S", por- tant des réitérations ( ). Nouvelle-Calédonie [105].Modèle de
leeuwenberg : Pandanus spiralis (). Ce modèle se singularisant ici par des stolons* à la base des troncs (Benjamin C. Stone, comm. pers.), cet arbre forme des clones. Darwin, Nord de l'Australie.Modèle de
scarrone : Pandanus candelabrum est un arbre d'Afrique tropicale formant, près des eaux douces, des "ronciers" épineux di?ciles à traverser ( ). Savane de Lamto, Côte d'Ivoire.Modèle de
petit : Freycinetia impavida est une liane volubile à spirale en forme de "S" (). Forêt de l'île Ua Huka, archipel des Marquises.Modèle de
stone : Pandanus pulcher est un arbre endémique de Madagascar () [29].Modèle de
rauh : Freycinetia hydra est une liane volubile à spirale en forme de "Z" (). Nou- velle-Calédonie [105].Modèle de
bell : Freycinetia cumingiana est une liane des Philippines () [79].Avec un indice de 183, les Pandanaceae sont à ce jour la famille ayant la plus grande diversité archi
tecturale de toutes les Plantes à ?eurs.Le voyage vers les hautes latitudes n'a pas été tenté par les Pandanaceae, pratiquement toutes restées
entre les tropiques, sauf exception :Pandanus
sp. au Sud du Japon,Freycinetia baueriana
en Nou velle-Zélande et à l'île Norfolk [63]. 1Modèle de
corner. Un arbuste de Madagascar [29]. 2.Modèle de
corner. Un arbuste de Nouvelle-Calédonie [105]. 3. sp.Modèle de
corner racines, tombent au sol et multiplient la plante (FH4636, herbier de Nouméa), île de Vanikoro, archipel
des Salomon. 4.À rapprocher du modèle d'
oldeman. Une liane d'Indonésie avec, à droite, un rameau portant des feuilles 5. sp.Modèle de
cHamberlainHWKHUELHU de Nouméa), île de Vanikoro, archipel des Salomon. 6.Modèle de
cHamberlain. Une liane volubile à spirale en forme de "S" avec des réitérations. Nouvelle-Calédonie [105].
7.Modèle de
leeuwenberg. Un arbre clonal avec des stolons à la base des troncs, Darwin, Australie duNord. D'après une photo de Benjamin C.
Stone.
8.Modèle de
leeuwenberg. Un arbre de Madagascar [29]. 9.Modèle de
scarroneSavane de Lamto, Côte d'Ivoire.
10.Modèle de
petit. Une liane volubile à spirale en forme de "S", en forêt de bl'île Ua Huka, archipel des
Marquises [38].
11.Modèle de
stone. Un arbuste de Madagascar [29]. 12.Architecture inconnue. Une liane des Philippines et de Papouasie-Nouvelle-Guinée, observée au Jardin
botanique Les Cèdres, Saint-Jean-Cap-Ferrat, France. 13.Pandanus Punk
Modèle de
stone. Un arbre malgache comparé à un obélisque par Louis-Marie Aubert du Petit-Thouars14. - Faa en Polynésie
Modèle de
stone. Un arbre épineux des côtes tropicales d'Afrique, d'Asie et de Polynésie. Àb droite, des
réitérations traumatiques sur un arbre coupé. Îles Marquisesb. 15. - Vaquois dans l'océan IndienÀ gauche, la pratique qui consiste à couper les feuilles à la base d'un jeune arbre lui confère une
réelle valeur ornementale ; à droite, la base du tronc a été développée pour montrer que les insertions des racines suivent 3 spirales qui accompagnent les insertions des feuilles. Les lignes de poibnts correspondent aux épines. Îles Marquises. 16.Modèle de
rauH. Une liane volubile à spirale en forme de "Z", Nouvelle-Calédonie [105]. 17.Modèle de
bell. Une liane des Philippines [79].DIONCOPHYLLACEAE
Une minuscule famille de 3 genres et 3 espèces, de l'ordre des Caryophyllales, qui voisine, parmiles Dicotylédones, avec les OEillets, les Cactus et les Bougainvilliers, mais aussi avec les Ancistro
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