La cause en bref : PF Résolu Canada inc. c. Hydro-Québec
11 Ara 2020 d'électricité puis transféré à Hydro-Québec juge la Cour suprême. ... nationaliser l'électricité (c'est-à-dire faire de l'électricité un ...
Rapport sur le développement durable 2021 dHydro-Québec
3 May 2020 Intégrer le développement durable à la gouvernance de même qu'aux activités et aux projets de l'entreprise. Faire affaire avec des.
COUR SUPRÊME DU CANADA - La cause en bref : Hydro-Québec
13 Kas 2020 Pour ce faire elle devait construire une nouvelle ligne de ... l'expropriation
Plan de développement durable 2020-2024 Sinspirer dhier
HydroQuébec est un grand acheteur de biens et de services au Québec avec plus de 7 700 fournisseurs 2 Faire affaire avec des fournisseurs responsables.
Procédures dexamen des plaintes des clients dHydro-Québec
communiquer avec les Services à la clientèle du lundi conformément à la décision D?2018?156 pour faire examiner votre plainte.
Plan stratégique 2022-2026 dHydro-Québec
25 Mar 2022 Les hommes et les femmes d'Hydro-Québec abordent l'avenir avec autant d'humilité ... postpatrimoniaux pour faire face à la demande accrue.
Demande daccès c-5008 : Lettre de réponse
des contrats ainsi qu'au document Faire affaire avec Hydro-Québec. Ces documents sont accessibles sur le site Web de l'entreprise à l'adresse suivante :.
Plan de développement durable 2020-2024
HydroQuébec est un grand acheteur de biens et de services au Québec avec plus de 7 700 fournisseurs 2 Faire affaire avec des fournisseurs responsables.
Hydro-Québec : approvisionnements et perspectives daffaires
6 Haz 2019 Hydro-Québec et l'approvisionnement sur votre territoire. Faire affaire avec Hydro-Québec. Virage SST. Perspectives d'affaires.
Rapport annuel 2020 - Hydro-Québec
12 ?ub 2021 et à aider tous nos concitoyens et concitoyennes à en faire autant. Le regard fixé sur l'horizon nous agirons pour soutenir à la fois le.
COUR SUPRÊME DU CANADAavailable in English
La cause en bref : Hydro-Québec c. Matta
Jugement rendu le 13 novembre 2020 | En appel de la Cour d'appel du QuébecRéférence neutre : 2020 CSC 37
Hydro-Québec pouvait se fonder sur des autorisations données des dizaines d'années
auparavant pour construire une nouvelle ligne de transmission sur des terrains appartenant à des particuliers, juge la Cour suprême à l'unanimité.Ces dernières années, Hydro-Québec a travaillé à moderniser son réseau électrique. Elle cherchait à accroître
la fiabilité de l'accès à l'électricité dans la région de Montréal. Elle voulait aussi s'assurer de répondre à la
demande en électricité provenant des gens de Terrebonne.Pour ce faire, elle devait construire une nouvelle ligne de transmission. Les lignes de transmission transportent
de l'électricité à haut voltage sur de longues distances. (Le voltage diminue avant d'atteindre les lignes de
transport régulières situées plus près de l'endroit où l'électricité sera consommée.) Les lignes de ce type sont
munies de câbles plus épais et sont soutenues par de hautes tours de métal.Pour construire la ligne de transmission, Hydro-Québec devait traverser des propriétés appartenant à des
particuliers. Elle s'est rendu compte qu'il serait plus facile de faire passer la ligne de transmission par un endroit
où elle était déjà autorisée à le faire.Suivant les règles du droit civil québécois, une " servitude » est une sorte d'autorisation d'utiliser la propriété
d'une autre personne à une fin précise. C'est similaire à la " servitude » (easement) que l'on trouve dans les
règles de common law des autres provinces. Tant en droit civil qu'en common law, les servitudes sont
enregistrées dans des registres fonciers.Hydro-Québec détenait près de 40 000 servitudes différentes sur des propriétés privées. Bon nombre d'entre
elles étaient très vieilles. Les servitudes qu'Hydro-Québec voulait utiliser pour construire la ligne de transmission
remontaient aux années 1970. Au départ, elles ont été obtenues par " expropriation » dans le cadre de la
construction d'une autre ligne de transmission. Une expropriation a lieu lorsque le gouvernement porte atteinte
au droit de propriété d'un propriétaire. Celui-ci obtient généralement une indemnisation dans un tel cas. Après
l'expropriation, Hydro-Québec a conclu des ententes avec ceux à qui appartenaient les terrains à l'époque. Ces
ententes décrivaient précisément les autorisations données à Hydro-Québec et les indemnités dues aux
propriétaires. Une première ligne de transmission a été construite par la suite.En 2016, Hydro-Québec a commencé à travailler à son nouveau projet. Des travailleurs se sont rendus sur les
propriétés que devait traverser la ligne de transmission. Ils voulaient arpenter les terrains et les préparer en vue
de la construction. Mme Matta et les autres propriétaires de terrain ne les ont pas laissés faire. Les propriétaires
ont dit que les servitudes sur lesquelles Hydro-Québec se fondait visaient uniquement l'établissement de la ligne
de transmission qui avait été construite dans les années 1970. Ils ont déclaré qu'Hydro-Québec n'était pas
autorisée à se servir de ces servitudes pour construire une nouvelle ligne.Le juge de première instance a affirmé qu'Hydro-Québec pouvait aller de l'avant avec son projet. La Cour d'appel
a dit qu'elle ne pouvait pas le faire. Selon elle, Hydro-Québec devait obtenir de nouvelles servitudes, soit en
concluant de nouvelles ententes avec les propriétaires, soit en suivant le processus habituel d'expropriation.
Tous les juges de la Cour suprême ont déclaré qu'Hydro-Québec pouvait aller de l'avant. Ils ont dit être d'avis
que la Cour d'appel avait commis quelques erreurs. Cette dernière s'est fondée sur une preuve dont n'ont pas
parlé les parties, ce qu'elle n'aurait pas dû faire. Elle a également fait une déclaration incorrecte, qui a influencé
le résultat de l'affaire.La Cour a dit que les ententes entre Hydro-Québec et les propriétaires de terrain exprimaient sans doute
fidèlement la compréhension que tout le monde avait de la portée des servitudes. Les servitudes obtenues au
moyen d'une expropriation peuvent être modifiées par contrat si tout le monde est d'accord. Les ententes entre
Hydro-Québec et les propriétaires étaient des documents sur lesquels il fallait se fonder.La cause en bref est un document rédigé par le personnel des communications de la Cour suprême du
Canada afin d'aider le public à mieux comprendre les décisions de la Cour. La cause en bref ne fait pas partie
des motifs de jugement de la Cour et ne doit pas être utilisée lors de procédures judiciaires.
La Cour suprême a ajouté que les tribunaux d'appel jouent un rôle limité. Ils ne sont pas autorisés à modifier la
décision d'un tribunal inférieur sur la nature d'une entente tout simplement parce qu'ils sont en désaccord avec
cette décision. Ils ne peuvent intervenir qu'en présence d'une erreur importante et évidente. En l'espèce, aucune
erreur de ce genre n'a été commise. Le juge de première instance a eu raison de dire que les ententes reflétaient
les autorisations accordées par les servitudes. Il a aussi eu raison d'affirmer que ces autorisations permettaient
à Hydro-Québec de construire sa nouvelle ligne de transmission sur les terrains des propriétaires. En
conséquence, la Cour d'appel n'aurait pas dû modifier sa décision.Il existe différentes règles juridiques encadrant l'intervention des tribunaux d'appel. Ces règles sont les " normes
de contrôle en appel ». Les tribunaux d'appel peuvent plus facilement intervenir dans les cas où le juge a commis
une erreur de droit seulement. Toutefois, ils ne peuvent pas intervenir aussi aisément si l'erreur porte sur les
faits ou encore sur une combinaison du droit et des faits.Décompte de la décision : Unanimité : la juge Suzanne Côté a accueilli l'appel (avec l'accord du juge en chef
Wagner et des juges Abella, Moldaver, Karakatsanis, Brown et Martin)Pour de plus amples renseignements (dossier no 38254) : La décision | Renseignements sur le dossier |
Diffusion Web de l'audience
Décisions des tribunaux inférieurs : décision sur l'injonction interlocutoire, décision sur l'injonction
permanente (Cour supérieure du Québec) | appel, décision sur la demande de sursis des procédures (Cour
d'appel du Québec)quotesdbs_dbs26.pdfusesText_32[PDF] EXPOSITION GOTTFRIED SALZMANN Du 2 mai au 14 juin Au centre d'art de la métairie Bruyère
[PDF] Demandeurs d'emploi inscrits et offres collectées par Pôle emploi en Martinique en décembre 2014
[PDF] Commission des clauses abusives
[PDF] FIPP Société Anonyme au capital de 15 000 000 euros Siège social : 2 rue de Bassano 75116 PARIS 542 047 212 R.C.S. PARIS CHIFFRE D AFFAIRES
[PDF] Extrait du procès-verbal des délibérations du Conseil Municipal
[PDF] 1. Reprises d entreprises de 1994 à 2005
[PDF] Présentation du C2I niveau 2 enseignant (second degré)
[PDF] L agent commercial en Allemagne
[PDF] Actif général ou Obligan Un plan de rachats partiels programmés est attaché à un seul support
[PDF] DROIT ECONOMIQUE. Panorama de jurisprudence sur le statut des agents commerciaux - année 2015 QUALIFICATION DU CONTRAT D AGENT COMMERCIAL
[PDF] Rachat partiel, Rachats partiels programmés et Rachat total
[PDF] Qualité et certification des organismes de formation. Quel accompagnement sur le territoire?
[PDF] LICENCE 3 PSYCHOLOGIE
[PDF] La centrale nucléaire de Fessenheim est une usine de production d électricité dont le combustible