[PDF] La Serbie ne veut plus de Milosevic





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Haendel Theodora

synopsis et phonétique



UNIVERSITÉ PARIS-SORBONNE

17 de fev. de 2008 une interprétation rhétorique au service de Händel ... Livret



DOSSIER

Chanter permet d'exprimer des sentiments et de découvrir la musique comme moyen de communication. Le chant choral est un excellent vecteur de développement 



La rhétorique musicale et les émotions: éveil ou expression des

5 de jul. de 2018 et ne cesse pas de le bercer dans ses bras et



La Serbie ne veut plus de Milosevic

1 de out. de 2018 Le colonel Svetozar Radisic porte-parole de l'armée yougoslave



Revue transatlantique détudes suisses

1 de jul. de 2019 On chanté-lanmou / Liebesgesang [cr. guad. ... aborde lui aussi la traduction nous transporte vers la Jamaïque. ... nature of the plot.



LeMondeJob: WMQ0110--0001-0 WAS LMQ0110-1 Op.: XX Rev.: 30-09-00 T.: 11:07 S.: 111,06-Cmp.:30,12, Base : LMQPAG 54Fap: 100 N

o : 0748 Lcp: 700 CMYK

Des gants

franØais en or

En boxe,

Brahim Asloum

emporte le tournoi mi-mouche

Les basketteurs

français retrouvent les Américains en ®nale

Marion Jones

médaille de bronze au saut en longueur et sur 4 ×100 m

Lire notre cahier spécial

56
e

ANNÉE ± N

o

17320 ± 7,50 F - 1,14 EURO FRANCE MÉTROPOLITAINEFONDATEUR : HUBERT BEUVE-MÉRY ± DIRECTEUR : JEAN-MARIE COLOMBANIDIMANCHE 1

er

- LUNDI 2 OCTOBRE 2000Allemagne, 3 DM ; Antilles-Guyane, 10 F ; Autriche,25 ATS ; Belgique, 48 FB ; Canada, 2,50 $ CAN ;Côte-d'Ivoire, 900 F CFA ; Danemark, 15 KRD ;Espagne, 225 PTA ; Gabon, 900 F CFA ; Grande-Bre-tagne, 1£ ; Grèce, 500 DR ; Irlande, 1,40 £ ; Italie, 3000 L ;Luxembourg, 46 FL ; Maroc, 10 DH ; Norvège, 14 KRN ;Pays-Bas, 3 FL ; Portugal CON., 270 PTE ; Réunion, 10 F ;Sénégal, 900 F CFA ; Suède, 16 KRS ; Suisse, 2,20 FS ;Tunisie, 1,4 Din ; USA (NY), 2 $ ; USA (others), 2,50 $.

www.lemonde.fr

JULIE SNYDER

France 2 mise sur le bagout

et le culot de l'animatrice québécoise pour relever l'audience de l'avant-

20 heures.

Page 6

Radio-France se met au Bleu

Depuis le 4 septembre, la radio de service public propose un nouveau r•seau g•n•raliste, musical et populaire, France Bleu. Pages 4-5

SEMAINE DU 2 AU 8 OCTOBRE 2000

GARRY KASPAROV

Rencontre exceptionnelle

avec le maître des échecs, champion du monde depuis 1985. Sur France 3.

Page 29ET LA LUMIERE FUT

Par le cinéaste géorgien Otar Iosseliani,

une fable africaine pleine de charme et d'humour.

Sur Arte.

Page 21

aaaLE MONDE T...L...VISIONaLe plan Bleude Radio-FranceaLa tornade

Julie Snyder

International............. 2

France.......................... 7

Soci•t•........................ 10

Abonnements............12

Carnet...........................15

Horizons......................16

Entreprises ................. 21Placements................. 22

Aujourd'hui................ 25

M•t•orologie............. 27

Jeux............................... 27

Culture......................... 28

Guide culturel............ 30

Radio-T•l•vision....... 31

Le " big business »

à l'heure des comptes

IL EST DEVENU banal de

constater que les Etats sont affai- blis et qu'ils sont peu à peu concurrencés dans leur pouvoir et leur capacité d'in¯uence par les grandes entreprises multinatio- nales. Evolution logique quand on sait que la capitalisation boursière de General Electric est supérieure au PIB de la Thaïlande... La mon- tée en puissance du secteur privé fait l'objet d'une ré¯exion généra- lisée. Le secrétaire général des

Nations unies, Ko® Annan,

cherche désormais à associer les grandes entreprises à son action et leur demande de respecter des règles de bonne conduite en ma- tière de droits de l'homme, de droits sociaux et d'environne- ment.

L'entreprise apparaît au-

jourd'hui comme le principal mo- teur de l'histoire en marche, que ce soit pour le meilleur (création de richesses, augmentation du ni- veau de vie général) ou pour le pire (destruction de ressources naturelles, creusement des inéga- lités). Au moment où les lois de l'économie de marché sont re- connues dans le monde entier, sauf à Cuba et en Corée du Nord, le capitalisme a les mains libres à peu près partout. Parvenu à l'apogée de sa puis- sance, le capitalisme est confronté

à une situation nouvelle : les ac-

tionnaires ne sont plus les seuls à lui réclamer des comptes. On as- siste ainsi depuis quelques mois à une multiplication des actions en justice, surtout aux Etats-Unis, contre des entreprises amenées à répondre de leur passé (l'industrie allemande à propos du travail for- cé sous le III e

Reich), de leur res-

ponsabilité en matière de santé publique (procès contre les entre- prises du tabac aux Etats-Unis) ou de leurs pratiques en matière de discrimination raciale (procès

Coca-Cola).

A Prague, en marge des assem-

blées annuelles du FMI et de la

Banque mondiale, les multinatio-

nales ont été l'une des cibles privi- légiées des militants anti-mondia- lisation, comme cela avait déjà été le cas à Seattle et à Washington quelques mois plus tôt. " Les 200 premières entreprises multinatio- nales ont un revenu combiné supé- rieur à celui de 80 % de la popula- tion mondiale », dit le sociologue américain Charles Derber.

Lucas Delattre

Lire la suite page 19

Les vacances de M

me

Tiberi, " femme du bouc émissaire »

LE CROISIC (Loire-Atlantique)

de notre envoyée spéciale

Il arrive, il arrive ! Cela fait deux heures que

les photographes l'attendent, devant l'entr•e du centre de vacances de Port-aux-Rocs, au Croisic, oŸ s'ach˜vent les journ•es parlemen- taires du RPR, vendredi 29 septembre. En®n, “

10 h 30, c'est lui : le maire de Paris, Jean Tiberi,

sort de sa Safrane, accompagn• de Jean-Fran- Øois Probst, directeur de l'information et de la communication de l'Hþtel de Ville, et suivi de son •pouse, Xavi˜re. Souriant, d•contract• dans son costume sans cravate, sžr de son ef- fet : m-me " suspendu » du RPR, M. Tiberi re- vit depuis la publication, dans Le Monde, de la confession posthume de Jean-Claude M•ry, dans laquelle il n'est pas mis en cause.

Dans le hall, un service d'ordre muscl• fait

barrage. " Il faut canaliser et ne laisser passer que ceux qui ont un badge », glisse un vigile.

M. Probst, membre du mouvement depuis

1974, n'en a pas et reste sur le carreau. Dans la

salle, on pr•vient Jean-Louis Debr• : "il» ar- rive. Le pr•sident du groupe RPR de l'Assem- bl•e nationale hausse les •paules, l'air fataliste. Jean Tiberi fait son entr•e. Il choisit une place

au fond, isol•e, un rang derri˜re son ancienneadjointe, la d•put•e de Paris FranØoise de Pa-

na®eu. Mme

Tiberi, " la femme du bouc émis-

saire », comme elle se surnomme, prend place

“ distance. Ses cheveux blondis lui donnent un

air plus doux, son pardessus Nina Ricci, cou- leur sable, un style BCBG, mais l'•pouse du maire ne tient pas en place. " Je sors, j'ai un fou rire », dit-elle soudain.

Dehors, elle s'explique. " C'est de voir toutes

ces têtes de bouffons et de bouffonne sur l'es- trade ! », dit-elle, en rassemblant sous cette ap- pellation Mich˜le Alliot-Marie, FranØois Fillon,

Adrien Gouteyron et Jean-Louis Debr•, entre

autres. Puis elle part faire un petit tour sur la plage. Les ¯ashes cr•pitent. Ses escarpins “ la main, elle va de rocher en rocher, touche l'eau, batifole. " Je les imagine en train d'exclure Jean », rit-elle. Le vent, le cri des mouettes, le soleil... " J'ai l'impression d'avoir pris huit jours de vacances et d'être lavée de toutes les ava- nies », con®e-t-elle.

Pendant ce temps, M. Debr• termine son

discours : " A nous parlementaires d'úuvrer a®n que ce patient travail de reconquête ne soit pas compromis [•crit en gras], à l'occasion des mu- nicipales, par des comportements archaïques, ir- responsables, suicidaires.» M. Tiberi conserveson masque, il se gratte juste un peu le nez. En quittant la salle, apr˜s le discours de M me

Alliot-

Marie, il feint encore l'ing•nuit• : M. Debr• " visait sans doute Séguin ». Dans les couloirs, il " note avec stupéfaction »que, sur l'amnistie, la pr•sidente du RPR a condamn• les propos de M. Devedjian, " porte-parole du RPR ». " Je suis surpris qu'il n'y ait pas de coordination », ajoute-t-il. Quant “ la " repentance », " c'est l'ancien président du RPR et candidat de l'appa- reil [“ la mairie de Paris] qui a lancé cette idée que combat la présidente. Alors, il y a un discours qui est incompréhensible et assez étonnant », es- time le candidat " suspendu ». Il est l'heure de partir. De toute faØon, il n'y a personne “ qui parler, personne “ qui serrer la main, mis “ part Roger Romani, conseiller “ l'Elys•e et •lu du 5 e arrondissement, qui consent “ •changer quelques mots avec lui.

Une derni˜re photo et M

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