Francis Ponge Le Savon
https://www.jstor.org/stable/pdf/3685581.pdf
Poésie de Résistance et résistance de / à la poésie : le cas Ponge
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Fabriques du Savon d après Francis Ponge Alain Trouvé To cite this version: Alain Trouvé Fabriques du Savon d après Francis Ponge
Bibliothèque De Prêt - Le savon / Francis Ponge - Détail
Le savon / Francis Ponge ; Type de document: Magasin ; Langue: français ; Description physique: 128 p ; 21 cm
Le savon : un poème de Francis Ponge et mon aphorisme du jour
27 fév 2019 · Francis Ponge ou l'en-vers des mots Francis Ponge (1899-1988) se réfère au courant surréaliste sans réellement adhérer à cette doctrine
Université Waseda
Département de littérature française
La poésie comme pensée matérialiste de l'événementFrancis Ponge et Henri Michaux
parYu KAJITA
À Marie
SOMMAIRE
Introduction : La littérature est une pensée1. Opinion................................................................................................................................p. 2
2. Procédure de vérité..............................................................................................................p. 5
3. L'être e(s)t l'événement ....................................................................................................p. 13
4. Onto-logie et onto-logie ....................................................................................................p. 18
5. Nouvelle configuration......................................................................................................p. 28
Première Partie : Francis Ponge
La poétique de l'événement des choses
Abréviations ..........................................................................................................................p. 32
Avant-propos.........................................................................................................................p. 33
Chapitre 1 : L'énigme de la " qualité différentielle », ou la confusion catégorielle.............p. 35
Chapitre 2 : De l'objoie à l'objeu : la triple articulation de l'Être, du Vrai et du Beaudans la poétique de Ponge .................................................................................p. 57
Chapitre 3 : La verticalité de la vérité littéraire : " Le Soleil placé en abîme » et " Le
Pré »...................................................................................................................p. 81
A) " Le Soleil placé en abîme » ....................................................................................p. 83
B) " Le Pré »..................................................................................................................p. 96
Ponctuation philosophique I
Derrida - La déconstruction est-elle une procédure de vérité ?Avant-propos.......................................................................................................................p. 121
Chapitre 1 : Derrida comme lieu commun..........................................................................p. 123
Chapitre 2 : L'existence de l'inexistant...............................................................................p. 126
Chapitre 3 : L'éthique de l'autre ou la communauté des égaux ?.......................................p. 134
Chapitre 4 : La décision ontologique de la déconstruction .................................................p. 144
Chapitre 5 : L'impensé de la déconstruction.......................................................................p. 158
Chapitre 6 : La pensée du peut-être : la trace......................................................................p. 169
Deuxième Partie : Henri Michaux
La poétique de l'infini
Abréviations ........................................................................................................................p. 181
Avant-propos.......................................................................................................................p. 182
Chapitre 1 : Événement, infini, rythme...............................................................................p. 184
Chapitre 2 : Dramaturgie de l'infini....................................................................................p. 211
Chapitre 3 : Langage du continu .........................................................................................p. 237
Ponctuation philosophique II
Deleuze ou la création du corps nouveau
Avant-propos.......................................................................................................................p. 278
Chapitre 1 : L'ontologie de l'événement selon Deleuze.....................................................p. 279
Chapitre 2 : La théorie de l'individuation et son impasse...................................................p. 289
Chapitre 3 : Vers la théorie de l'agencement ......................................................................p. 298
Chapitre 4 : Typologie des pensées.....................................................................................p. 305
Conclusion..........................................................................................................................p. 315
Bibliographie......................................................................................................................p. 323
1 La poésie comme pensée matérialiste de l'événementFrancis Ponge et Henri Michaux
2Introduction
La littérature est une pensée
" Si la littérature meurt, ce sera nécessairement par mort violente et assassinat politique. »Gilles Deleuze, Pourparlers.
1. Opinion
La littérature est une pensée, voilà la thèse que nous soutenons au cours de cette recherche. Nous croyons qu'il est aujourd'hui nécessaire d'affirmer cette thèse. Pour comprendre cette nécessité et ce que nous entendons par pensée, il faut prendre en considération le discours dominant qui se tient aujourd'hui sur la littérature et sur l'art en général, l'opinion qui est précisément ce contre quoi on peut dans un premier tempsdéterminer la pensée. L'opinion d'aujourd'hui, concernant la littérature et l'art, c'est sans
aucun doute le discours culturaliste ou multiculturaliste, qui fait l'apologie de la différenceculturelle, et qui est, par là même, couplé au discours éthico-politique du " respect de l'autre ».
L'art étant réduit à une affaire de culture, ce qui est pensée dans l'art est attaché à un
espace-temps déterminé, qui peut être une communauté nationale, ethnique, religieuse,sexuelle, etc. L'appartenance à une culture est ce qui donne à la fois sa validité et sa limite à
cette pensée, car le consensus " démocratique » réclame la diversité des cultures et interdit la
prédominance d'une culture sur les autres. Cela ne produit pourtant pas la séparation descultures. Toutes les cultures sont supposées être en " dialogue » dans un consensus universel
et humaniste. Ainsi, la revendication des particularités identitaires et communautaires de chaque culture finit par l'adoption du consensus démocratique universel. Dans ce dispositif sont condamnées, d'un côté, toute revendication excessive de la particularité (figure du " communautarisme » ou du " fondamentalisme », hostile aux autres), de l'autre, toute prétention à l'universalité en dehors de ce consensus (figure du " totalitarisme », irrespectueux des autres). Dans ce régime du consensus, la pensée se confond donc avec l'opinion. La pensée n'est rien d'autre que ce que la majorité pense. Gilles Deleuze détermine l'opinion de cette façon : " sera vraie une opinion qui coïncide avec celle du groupe auquel on appartiendra en3 la disant. [...]. L'opinion dans son essence est volonté de majorité
1». Il s'avère alors que le
discours culturaliste est non seulement lui-même une opinion mais aussi un dispositif d'imposition qui transforme une pensée en opinion, car, comme le dit Jacques Rancière, lanotion de culture implique précisément qu'il y a " l'identité entre une manière de dire, une
manière d'être, une manière de faire, en faisant que, en fonction de leur situation et de leur
nom, les corps soient comme assignés à telle place, à telle fonction 2». Toute expression,
verbale ou non, d'un corps doit donc se conformer à celle d'un groupe ou d'une communauté auxquels il appartient, et aussi à la fonction ou à la place qu'il occupe dans le groupe ou lacommunauté. La culture est une véritable machine à opinions. Alors, considérée comme une
des manifestations culturelles, la littérature devient une opinion dans laquelle s'exprime une communauté ou une société dans une époque déterminée 3 . L'analyse sociologique de l'oeuvrelittéraire et de l'oeuvre d'art de tout genre fait pendant à cette tendance. La sociologie est en
effet un type de rationalité qui se croit capable de tracer une ligne droite reliant l'expression artistique et l'état d'une communauté qu'elle est censée exprimer. Ce qu'on appelle aujourd'hui cultural studies n'en est qu'une variante ou qu'une extension. Comme le dit Alain Badiou, " le nom culture vient oblitérer celui d'art 4». On constate partout cette
oblitération, non seulement dans les médias, mais aussi, dans le monde académique. On ne peut alors que souscrire à cette provocation de Badiou : " la question d'aujourd'hui est celle-ci, et nulle autre : y a-t-il autre chose que de l'opinion, c'est-à-dire, on pardonnera (ou non) la provocation, y a-t-il autre choses que nos "démocraties" ? 5 Alors comment identifier la pensée ? Le culturalisme suppose une harmonie entre l'expression d'un corps et celle d'une communauté (pas seulement étatique ou nationale, mais 1Gilles Deleuze, Qu'est-ce que la philosophie ?, Minuit, rééd., 2005 (première éd., 1991), coll. " Reprise »,
p.139 (désormais noté QPh). 2 Et tant pis pour les gens fatigués, Entretiens, Editions Amsterdam, 2009, p. 87. 3Ainsi, l'auteur du livre intitulé L'Adieu à la littérature déclare : " Une théorie est acceptable quand elle se
limite à témoigner des attentes et des conceptions d'une époque et d'une culture donnée » (William Marx,
L'Adieu à la littérature, Minuit, 2005, p. 15). À la fin du livre, il énonce positivement, malgré une distance de
bon sens, le relève possible de la littérature par la culture : " De fait, quand on observe la série des
dénominations de ce qui s'appelle aujourd'hui littérature et qui porta d'abord le nom de poésie, puis de
belles-lettres, on constate qu'à chaque fois la portée du terme s'élargit et recouvrit un champ auparavant
dédaigné : au XVII esiècle, par exemple, l'étiquette "littérature" ne s'appliquait qu'à des écrits de caractère
technique. Si le mouvement d'élargissement se poursuit, le nouveau terme pourrait bien être "culture" et
désigner un art aux propriétés assez voisines de celui qui triompha à la charnière du XVIII
e et du XIX e siècle. Ence sens, l'adieu n'aura été qu'un au revoir, sans qu'on puisse décider s'il faut s'en réjouir ou s'en désoler. Mais il
se pourrait aussi, bien sûr, que l'histoire prît une tout autre direction » (ibid., pp. 170-171).
4Alain Badiou, Saint-Paul La fondation de l'universalisme, PUF, 1997, pp. 12-13. On reconnaîtra que notre
diagnostic doit beaucoup à celui de Badiou. Nous renvoyons entre autres au Chapitre I de Saint Paul :
" Contemporanéité de Paul », à L'Ethique Essai sur la conscience du mal, (Nous, 2003, surtout Chapitre II :
" L'Autre existe-il ? ») et à l'analyse de ce qu'il appelle " matérialisme démocratique » dans la Préface de
Logiques des mondes (Seuil, 2006, désormais cité LM.). 5 Alain Badiou, Petit manuel d'inesthétique, Seuil, 1998, p. 29.4 ethnique, sociale, religieuse, sexuelle, etc.) à laquelle ce corps appartient. La véridicité ou
l'authenticité d'une expression est évaluées selon cette harmonie. La culture peut être considéré comme l'ensemble de règles ou de codes qui instituent cette harmonie. Leculturalisme relève alors de ce qu'on appelle le " tournant langagier », qui délimite la pensée
à ce qui est dicible dans les règles d'un langage 6 . Dès lors, pour que la pensée puisse sedistinguer de l'opinion, il faut qu'elle ait son principe dans ce qui se soustrait à cette harmonie
instituée. Le nom que la philosophie contemporaine donne à cette soustraction estl'événement. Un événement est ce qui ne se laisse pas déchiffrer par les règles dont on dispose
déjà, et c'est cela qui lui donne sa nouveauté, son imprévisibilité, et aussi parfois son
obscurité mystérieuse. Un événement est surgissant aussi bien que disparaissant et évanouissant. Son avènement est indiscernable de son retrait. L'événement est ainsiprécisément ce qui rompt l'harmonie culturelle présupposée, et permet par là même à la
pensée de se démarquer de l'opinion. On objectera que, en opposant la pensée aux règles, nous ressuscitons une autre opinion de l'art conçu comme avant-gardiste, anti-social et anarchiste, où l'opérationprincipale est la destruction transgressive et iconoclaste : la mythification de l'art sans règles.
Certes, au niveau théorique, les thèmes comme l'informe, la déformation, le désoeuvrement,
etc., inspirés de près ou de loin par le courant philosophique destructeur ou déconstructeur,
ont proliféré et continuent à proliférer. Certains diraient même que la littérature est l'opération
déconstructrice par excellence, dans sa manière de traiter le langage, qui met en cause le logocentrisme avec la pensée de l'écriture, son opacité mystérieuse qui s'oppose à latransparence du discours logique et rationnel. On répète ainsi, en réalité, un vieux découpage,
qui remonte à Platon, entre le discours rationnel des sciences et de la philosophie et le discours irrationnel de la littérature. Et avec un renversement de valeur, on mettra la penséedu côté de l'irrationalité intuitive. Dans un tel cas, l'événement, par sa transcendance à toute
connaissance établie et à toute déduction logique, deviendra une sorte de forteresse dans laquelle toutes sortes de croyances mystiques deviennent possibles. Ainsi, nous sommes en face d'un dilemme entre le rationalisme langagier sansévénement et le mysticisme irrationnel qui sacralise l'événement. Nous croiserons plusieurs
fois au cours de cette recherche ces deux orientations de pensée. Il faudra donc pouvoir penser 6Selon un des champions de l'esthétique analytique, le " jeu de langage » se définit en ces termes : " il s'agit de
la maîtrise de tout un ensemble de règles et de l'entraînement à un comportement relativement élaboré qui n'est
que partiellement linguistique » (Roger Pouivet, " Le mythe de la signification et l'ontologie de la poésie », in
Poésie et philosophie, cipM, 2000, pp. 126-127).5 rationnellement les régimes de pensée qui échappent à ce dilemme. C'est là que nous
recourons à la philosophie qui propose un ensemble de concepts qui permettent de penserrationnellement l'événement sans le rationaliser, c'est-à-dire sans le fonder sur le principe de
raison (qui réduirait l'événement à un simple fait déductible des règles de la situation où il
advient), et de déterminer la procédure de pensée qui n'est pas suspendue dans le videévénementiel qui ne se prête qu'à la croyance, mais qui se déploie à partir de l'événement en
vue de la construction effective d'une figure positive de la pensée.2. Procédure de vérité
C'est certainement Alain Badiou qui construit le système philosophique le plusélaboré pour répondre à cette exigence. Le régime de pensée qui se soustrait à la fois au
positivisme langagier et au mysticisme transcendant, Badiou l'appelle " procédure de vérité ».
Il s'agit précisément d'une pensée qui se construit comme déploiement des conséquences
d'un événement. Mais pour mesurer la nouveauté de cette pensée, il faut parcourir, au risque
d'une simplification, le système immense de la philosophie badiousienne. Pour Badiou, l'être se présente comme multiple pur, c'est-à-dire comme multiple dépouillé de toutedétermination qualitative. C'est une multiplicité présentée seulement comme multiplicité.
Chaque multiplicité est elle-même composée de multiplicités et cette dissémination a comme
point d'arrêt soit le vide soit un multiple qui est au bord du vide 7 . Une multiplicité ne se compose donc pas d'atomes comme Uns originaires. Le multiple est sans Un, l'un n'est que le résultat du compte, du compte-pour-un. Or la multiplicité sans Un, la multiplicité inconsistante, ne se présente pas en tant que telle. Toute présentation suppose en effet l'opération du compte-pour-un. La multiplicité inconsistante est présupposée commeantérieure à l'un dans la mesure où l'un est le résultat du compte. Cependant, l'ontologie,
comme théorie de l'être en tant qu'être, doit être une théorie du multiple pur. Elle doit donc
présenter le multiple pur sans le faire pourtant un, ce qui manquerait l'être. L'ontologie estainsi un régime tout particulier du compte-pour-un, dont l'opération n'est pas de présenter un
multiple comme un mais de déterminer les conditions à travers lesquelles le multiple se reconnaît comme multiple. Pour Badiou, c'est uniquement la théorie axiomatique desensembles qui peut satisfaire à une telle exigence, car elle présente un multiple par le simple
7Ce point ne devient clair qu'avec un des axiomes de la théorie des ensembles, axiome dit de fondation, que
nous expliquons un peu plus tard.6 fait qu'il appartient à un autre multiple et sans le définir (ce qui ramènerait le multiple à l'un).
D'où son geste philosophique fondamental qui consiste à identifier l'ontologie aux mathématiques 8 Ainsi, Badiou construit un espace ontologique entièrement réglé par l'axiomatique ensembliste. Et toute multiplicité présentée sur ce fondement ontologique, il l'appelle la" situation ». Une situation suppose des éléments qui sont eux-mêmes des multiplicités et la
structure qui les compte pour uns. Badiou détermine alors l'événement comme une exceptionpar rapport à la situation, c'est-à-dire l'avènement de quelque chose qui n'est pas compté par
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