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22 mar 2012 · Comment expliquez-vous la soustraction avec retenue lorsqu'il y a trois chiffres et plus et surtout un zéro dans le plus grand nombre Exemple 

  • Qu'est-ce qu'une soustraction avec retenue ?

    La soustraction avec une retenue dans la colonne des dizaines. Pour effectuer une soustraction posée avec une retenue dans la colonne des dizaines : D'abord on soustrait les unités. Si la soustraction est impossible, on ajoute une dizaine dans la colonne des unités.
  • Règle : pour soustraire un nombre, il faut additionner son opposé. Exemples : (–13) – (–9) = (–13) + (+9) = – 4 On transforme la soustraction en addition et on prend l'opposé de –9 qui est +9.
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Mémoire de recherche

LA MANIPULATION POUR CONCEVOIR LE CONCEPT D

CONSTANT : COMPRENDRE LE SENS DE LA RETENUE POUR POSER UNE

SOUSTRACTION SANS ERREURS.

Direction

inspe-lille-hdf.fr / 03 20 79 86 00 : Léa FAGEZ

Site de formation : Arras

Section : 4

Nom de l'enseignant : Antonietta DEMURO

3 e être un exercice plus difficile qu imaginé et je tenais, avant toute chose, à

En premier lieue pen-

dant toute la rédaction de ce travail avec professionnalisme mais aussi beaucoup de bienveil- lance, et a su me guider et me conseiller au cours de mes deux années de master. Je so

dans ma pratique enseignante, elle a, entre autres choses, réorganisé son emploi du temps et son

organisation de classe pour me laisser la liberté de réaliser mes séances avec les élèves.

e mémoire. Ils e, encouragée et remotivée lorsque cela était nécessaire, et

ont relu mes écrits, à de très multiples reprises, pour me permettre de parvenir à la version la

plus aboutie possible.

A tous, merci.

4

Table des matières

Introduction ................... 6

Partie théorique ........................................................................................................................ 10

1. Les différentes techniques opératoires de la soustraction. ............................................ 10

1.1. Les aspects positionnel et décimal de la numération. .............................................. 10

1.2. ..................................................................................................... 11

1.3. La technique par cassage. ........................................................................................ 12

1.4. La technique traditionnelle. ..................................................................................... 13

2. Quel choix pour les enseignants ? ................................................................................. 14

3. Les erreurs des élèves. ................................................................................................... 15

4. .............................. 17

5. ................ 18

6. Problématique et hypothèses. ........................................................................................ 20

Partie expérimentale ................................................................................................................. 22

1. Méthodologie de recueil de données : présentation de la séquence expérimentale. ..... 22

1.1. Evaluation diagnostique. .......................................................................................... 23

1.2. Séance 1 : La soustraction pour calculer un écart entre deux nombres. .................. 25

1.3. Séance 2 ..................................................................................... 26

1.4. Séance 3 : La soustraction avec la technique traditionnelle. ................................... 26

1.5. Evaluation finale. ..................................................................................................... 27

1.6. Nature des données recueillies. ................................................................................ 28

2. Analyse des données. .................................................................................................... 28

2.1. Evaluation diagnostique ........................................................................................... 28

2.1.1. Analyse a priori. ............................................................................................... 28

2.1.2. A ......................................... 31

2.2. Séance 1. .................................................................................................................. 40

2.2.1. Analyse a priori. ............................................................................................... 40

2.2.2. Analyse des données de la séance n°1. ............................................................. 42

2.3. Séance 2. .................................................................................................................. 43

2.3.1. Analyse a priori. ............................................................................................... 43

2.3.2. Analyse des données de la séance n°2. ............................................................. 45

2.4. Séance 3. ................................................................................................................. 47

2.4.1. Analyse a priori. ............................................................................................... 47

5

2.4.2. Analyse des données de la séance n°3. ............................................................. 49

2.5. Evaluation finale. ..................................................................................................... 53

2.5.1. Analyse a priori. ............................................................................................... 53

2.5.2. ..................................................... 53

3. Résultats. ....................................................................................................................... 58

4. Conclusion. .................................................................................................................... 60

Bibliographie. ........................................................................................................................... 63

Annexe : Fiches de préparation des trois séances expérimentales. .......................................... 65

6 Introduction : Présentation générale du mémoire et . Dans le cadre de la réalisation de ce mémoire de recherche pour ma seconde année de master MEEFeffectuer un travail sur le thème de la manipulation tissage des techniques opératoires et plus particulièrement celle de la soustraction posée.

Au cours de ma scolarité, et par la suite,

éprouvé de quelconques difficultés en ce qui concernait les mathématiques. Bien au contraire,

ai toujours pris beaucoup de plaisir, et a été en facilité dans ce domaine, en comparaison avec certains de mes camarades pour qui les . Or, il se trouve que lors de

cours de mathématiques disciplinaires dispensés , une séance a été consacrée à la ré-

vision des techniques opératoires posées, notamment celles qui nous intéressent ici, les diffé-

rentes techniques de soustraction posée. O, au cours cette séance, une multitude de techniques opératoires hension de ltechnique puis des années, la technique dite " technique traditionnelle » ou " technique par compensa- tion apparu que bien que je sache -là jamais saisi le sens réel. Mes lacunes se sont trouvées reliées -ci. Ma conception des différentes en ce qui concerne la retenue était la suivante : lorsque du diminuende sont inférieures aux unités du même ordre du diminuteur troduire une retenue afin que sa valeur devienne supérieure. 87, il est

impossible de soustraire 7 unités à 3 unités. On ajoute donc 10 unités au premier terme, consi-

dérant donc ainsi 13 unités. Afin de ne pas changer la différence, nous ajoutons également 10

(figure 1). toujours posé à moi a été de retenir " laquelle de ces deux retenues valait 1 et laquelle valait 10 pris la raison pour aux 3 unités du premier terme Figure 1 - Soustraction posée avec la technique traditionnelle. 7 pe dizaine et de 3 unités, alors que la seconde retenue placée

au rang des dizaines était additionnée à 8 dans le deuxième terme (sur la figure 1, 8 + 1 = 9). Une

réflexion logique me permettait tout de même de parvenir à mes fins, puisque notre exemple de la figure 1, ajouter 1 à 3 ne permet pas de solutionner le problème initial, puisque 4 restant est impossible. Cette procédure de résolution étant donné intéressée aux notions sous-jacentes à cet algorithme.

La réponse en lien avec les principes positionnel et décimal de notre système de numération me

permis ensei-

gnante, une réflexion plus professionnelle à ce sujet : si moi, relativement bonne élève, me trou-

nalement une situation similaire à la mienne. Il semble tout à fait légitime , du fait de cette incompréhen-

sion, certains des élèves les plus en difficulté se retrouvent totalement bloqués dans la réalisation

mes observations sur le t novembre 2019 un premier stage dans une classe de CM1 dune école primaire de centre-ville,

et même si pour la majeure partie des élèves, poser une soustraction avec retenue était une com-

pétence maitrisée, pour certains, cette tâche seconde expérience de stage : un stage dans une classe de CM1, entre octobre 2020 et février 2021, mais cette fois, ritaire). Mes doutes se sont hélas renforcés : lréalisée en début scolaire avaient su effectuer une soustraction posée avec retenue. et semble être confirmée par l CE- DRE (Cycle des Evaluations Disciplinaires Réalisées sur Echantillon) publiés en septembre

2020. Cette dernière, menée par la D

mance élémentaire

niveau des élèves au fil des années et le constat est sans appel : " les performances en mathéma-

tiques des élèves de CM2 sont en baisse en 2019 » (DEPP, 2020). Cela concerne aussi bien les

8

élèves considérés comme " » que les élèves " en retard », même si cette baisse du ni-

veau des élèves en mathématiques concerne surtout les milieux sociaux les moins favorisés. Si

pour 17% des élèves de CM2 interrogés en 2019, les connaissances des nombres entiers permet-

tent la réalisation dadditions et de soustractions mais que "

» (DEPP, 2020)8,8% ont un

niveau inférieur. programmes officiels de juillet 2020 (MEN, 2020), la soustraction posée est introduite à partir du cycle 2. Dles repères annuels de progression fournis par le site éduscol (Eduscol, 2016), le CP étant consacré Au plus tard en période 3 de CE1, après que la maitrise t été consolidée et étendue à des nombres plus grands

(champ numérique inférieur à 1000 (Eduscol, 2020)), les élèves apprennent à utiliser la technique

opératoire de la soustraction posée, dans un premier temps sans retenue. Cette connaissance s . Durant le cycle 2, seuls les nombres entiers sont abordés, l soustraction aux nombres décimaux. Les -à-dire les 25% retenue, semblent es au regard des programmes, qui prescrivent cet ap- prentissage en classe de CE1. Il parait alors donc autour de ce thème de la retenue dans la soustraction posée de deux nombres entiers que va

enquête CEDRE ne précise pas la technique opératoire de la soustraction qui est utilisée par

les élèves, et pour cause : il les instructions officielles de technique à enseigner. Lhode enseigner aux élèves, la seule consigne étant que la

méthode soit identique sur les deux cycles (Eduscol, 2016). Il me semble alors intéressant à ce

aux et qui pourraient expliquer ces résultats. Cmon travail, qui sap- puiera sur mes lectures effectuées en lien avec ce thème et me permettra ainsi de formuler mes

hypothèses de travail. La seconde partie de ce mémoire sera une partie expérimentale, qui décrira

9

dans un premier temps, la séquence de remédiation qui a été mise en place pour les élèves de la

classe où ai effectué mon stage

permis de mettre en avant, apportant ainsi des éléments de réponses quant à mes hypothèses.

10

Partie théorique

1. Les différentes techniques opératoires de la soustraction.

Il existe de nombreuses techniques opératoires de la soustraction, mais à

la soustraction se décline principalement sous la forme de trois algorithmes différents : la tech-

nique de laddition à trou, la technique par cassage, ainsi que la technique traditionnelle.

lisation de la retenue dans ces algorithmes repose sur les aspects positionnel et décimal de notre

système de numération écrit et chiffré, et il me semble donc fondamental

rents concepts avant de détailler le fonctionnement des différents algorithmes, leurs avantages et

leurs inconvénients.

1.1. Les aspects positionnel et décimal de la numération.

Dans notre système de numération écrit chiffré, les chiffres qui composent un nombre position dans celui-ci : la valeur associée à un chiffre dépend de son rang dans le nombre. Un nombre composé de quatre chiffres se compose,

Le même chiffre associée,

en première position dans le nombre ou en quatrième : un " 4 » au rang des milliers aura une

valeur de 4000 un " 4 » au rang des unités aura une valeur de 4. Ainsi, le nombre 4404

peut être décomposé en 4 milliers, 4 centaines et 4 unités, la présence du zéro indiquant une

des systèmes de

type additif où les chiffres (ou autres symboles) ont chacun leur valeur propre, indépendamment

de leur position dans le nombre : les chiffres placés les uns à côtés des autres additionnent leur

valeur pour former le nombre.

Le second aspect qui donne au chiffre sa valeur dans notre système de numération est le principe

décimalDans un système é, est égale à dix unités du rang directement inférieur, et in- versement. On parle parfois de groupements par 10 et es unités de rangs. cet aspect dans la numération me semble être de prendre un contre-exemple : dans un système de numération en base 5, vaut 5 unités de rang inférieur.

Le nombre 10 ayant une valeur de

5 dans notre système de numération, le nombre 11 une valeur de 6.

11

Ces deux aspects omposition

en unité de numération : nous sommes ainsi capables de dire que 75 unités + 54 unités est égal à

129 unités, soit 1 centaine, 2 dizaines et 9 unités, mais également 12 dizaines et 9 unités ou 1

centaine et 29 unités. 1.2.

Cette technique pour résoudre une soustraction

le résultat recherché. Elle repose sur la propriété ma- thématique suivante : a b = c ļ b + c = a, qui permet donc de résoudre une soustraction en utilisant la technique opéaddition, par les

élèves. Cette méthode généralement pas pour ambition de persister dans le temps, elle cons-

techniques. Elle l est néanmoins

important de préciser son existence, car elle peut faire partie des procédures des élèves.

68 est transformée en 68 + ? = 199 (figure 2)

répondre à la question " combien font 199 68 ? » mais " combien faut-il ajouter à 68 pour

obtenir 199 ?

tions " combien faut-il ajouter à 8 pour obtenir 9 ? combien faut-il ajouter à 6 pour obtenir 9 ?

combien faut-il ajouter à 0 pour obtenir 1 ? » et ainsi mettre en évidence que le résultat recherché

est 131. la simple utilisation des et peut sembler accessible pour des élèves qui

pris algorithmes de soustraction posée pour résoudre cette opération, ou des élèves en

. Cette technique leur permet ainsi de résoudre des pro-

évoquées plus haut. En revanche,

les élèves de transposer la situation soustractive vers une situation additive et inversement (Aca-

démie de Grenoble, 2011), nous pouvons constater sur la figure 3, que cet algorithme se com-quotesdbs_dbs42.pdfusesText_42
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