Lobésité
21 déc. 2013 L'unité clinique et de recherche. MoVeRe. Expéditeur : CHU de Liège / Editeur responsable : J. Compère Av. de l'Hôpital
Lobésité
8 Actualités : L'unité clinique et de recherche. MoVeRe. Expéditeur : CHU de Liège / Editeur responsable : J. Compère Av. de l'Hôpital
EST OBÈSE
3 mai 2017 pondérale lorsque l'IMC se situe entre 25 et 299
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du Dr Michel Daudon³ pour effectuer une interprétation clinique la plus pertinente. l'obésité
Rapport dactivités & comptes annuels 2012
Hôpital public et pluraliste le CHU de Liège entend dispenser O l'activité clinique
EFP - Manifeste Parodontopathies et Etat de Santé Général
HbA1C après trois mois ce qui représente un impact clinique équivalent à la troubles cognitifs
La dermatologie
En 1993 la clinique fu- sionne avec le CHU de Liège et Jean. Codognotto intègre les bâtiments du Sart Tilman en tant qu'infirmier chef de service. « Grâce à ma
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Rapport dactivités
Le CHU de Liège est le seul hôpital universitaire en Région wallonne. Chirurgie à la clinique André Renard : Dr Luc BRUYNINX ... du patient obèse.
Rapport dactivités & comptes annuels
21 sept. 2010 Édouard Louis est docteur en médecine de l'ULg hépato-gastroentérologue et chef de clinique au. CHU de Liège depuis 1999. Il succède au Pr.
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21 déc 2013 · MoVeRe (en latin « remuer mouvoir ») est l'unité clinique et de recherche créée en 2009 par le Pr Gaëtan Garraux et dirigée conjointement
Accueil - CHU de Liège
Le Centre de l'obésité du CHU de Liège est à la pointe de l'innovation en terme de temps d'hospitalisation et de récupération de l'autonomie du patient
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en charge d'un patient obèse doit débuter par les mesures hygiéno-diététiques (régime alimentaire CHU Sart Tilman Liège (4) Chef de Clinique Service
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29 jui 2020 · les soins de première ligne ; • des cliniques spécialisées dans le traitement (conservateur) de l'obésité (internes ou externes à l'hôpital ;
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Le patient obèse (IMC ? 30 si < 75 ans ou IMC ? 33 si ? 75 ans) est aussi à risque de dénutrition et de carences et doit bénéficier d'un support nutritionnel
Chirurgie de lobésité - CHU de Toulouse
La chirurgie de l'obésité ou chirurgie bariatrique permet d'obtenir une perte de poids durable supérieure à ce qui peut être obtenu par des traitements (
Sujets de poids normal «métaboliquement obèses
Service de diabétologie nutrition et maladies métaboliques et Unité de pharmacologie clinique Département de médecine CHU Sart Tilman 4000 Liège
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9 3 1 L'intégration de la gastrectomie à la clinique de l'ulcère (1920-1930) LA CHIRURGIE DE L'OBÉSITÉ: VERS UN CONTRÔLE OPÉRATOIRE DES FONCTIONS
Centre de la chirurgie bariatrique (obésité) et de la nutrition - Citadelle
Centre de la chirurgie bariatrique (obésité) et de la nutrition du CHR Liège La clinique de l'obésité est une équipe pluridisciplinaire composée de
[PDF] Le Centre Spécialisé de lObésité Occitanie-Est - CHU de Montpellier
Clinique Bonnefon - Alès Polyclinique le Languedoc - Narbonne Polyclinique Montréal - Carcassonne Polyclinique Saint-Louis - Ganges
Quel est la prise en charge de l'obésité ?
La prise en charge est fondée sur les conseils diététiques, l'activité physique, une approche psychologique et, si néces- saire, le recours aux diététiciens ou aux médecins spécialisés en nutrition, endocrinologues, psychologues, psychiatres, enseignants en activité physique adaptée.Comment aider une personne en surpoids ?
Pour l'aider, il est indispensable de faire preuve d'empathie et d'essayer de comprendre la source de son problème. La plupart des personnes en surpoids se sentent déjà affaiblies au regard des autres. Adopter un discours moralisateur ne fait que renforcer leur sentiment d'exclusion.Quel hôpital pour une sleeve ?
L'hôpital Louis Mourier a bénéficié de l'appui de l'équipe de chirurgie digestive et d'anesthésie-réanimation du CHU d'Amiens, seule équipe fran?ise ayant l'expérience de la sleeve gastrectomie en ambulatoire.- Limiter sa consommation de sucres et de sel ; Consommer des fruits et des légumes quotidiennement ; Augmenter la consommation de calcium chez les enfants ; Suivre régulièrement l'évolution de la courbe de poids des enfants et des adolescents est un moyen de prévention contre l'obésité.
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UN WALLON SUR SIX
EST OBÈSE
CALCULEZ VOTRE INDICE DE MASSE CORPORELLE (IMC)
Le chiffre est alarmant, surtout chez les jeunes.
L'obésité altère l'espérance de vie.
Et vous, êtes vous en surpoids
© D.R.
2Les mois d'avril et de mai sont les mois les
plus recherchés pour sensibiliser le public aux questions de santé. En avril, le Télévie a focalisé toutes les attentions sur la recherche contre le cancer. A Liège, votre générosité a, à nouveau, été merveilleuse. Sous l'impulsion du Pr. Cas tronovo et de son équipe, le record de généro- sité a encore été battu : L'université de Liège et leCHU ont en e?et remis un chèque de 153.333
au Télévie, améliorant encore le chi?re global.L'an prochain, ce sera le 30
e anniversaire duTélévie et aussi le dernier que coordonnera
Vincent Castronovo. L'on se retroussera les
manches pour accroître encore le nombre de vélos aux 24 Heures du Télévie et ainsi associer physiquement le plus grand nombre. En ce mois de mai, Le Patient attire votre atten- tion sur un ?éau dont on parle avec trop de légè- reté... alors que ses conséquences sont graves l'obésité. Les complications liées ont un impact sur la qualité et sur l'espérance de vie. Un jeune sur cinq est concerné ! Le Patient insiste aussi, à l'occasion de la journée mondiale des Mala dies In?ammatoires Chroniques de l'Intestin (MICI) (la maladie de Crohn et la rectocolite hémorragique), sur cette maladie qui ressemble une gastro qui n'en ?nit pas ». Elle trouve aus- si vraisemblablement son origine dans les per- turbateurs endrocriniens. Ceux-ci provoquent aussi des dysfonctionnements de la thyroïde.Le Patient cite le Pr. Barbara Demeneix, experte
mondiale de la question qui pointe du doigt les pesticides utilisés par l'agriculture. En ce mois de mai, les télés locales de la Fé- dération Wallonie-Bruxelles proposent le 20 mai une grande opération " Télédon ». Il ne sera pas question d'argent mais bien de mettre en place une soirée de promesse de don d'organes.La rédaction
FAITES DU SPORT
POUR LE TÉLÉVIE
EDITO U n Wallon sur six est obèse, contre seulement un sur dix il y a vingt ans, selon l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Des chiffres alarmants, appelés à grimper encore dans les prochaines années. Et l'obésité frappe de plus en plus tôt : un jeune sur cinq est en surpoids. Un sur quatorze est déjà obèse. Autant de candidats à la chirurgie à l'âge adulte... Que faire ? Insister sur la prévention dès le plus jeune âge, pour enrayer l'épidémie et son lot de maux pour la santé.Les chi?res de l'obésité inquiètent de
plus en plus l'OMS et mobilisent le corps médical. Car si l'on ne meurt pas " en soi » d'un excès de masse grasse, les innombrables complica- tions ou " comorbidités » de l'obésité altèrent sérieusement la qualité et l'espérance de vie : diabète, hyperten- sion, asthme, apnées du sommeil, pro- blèmes cardiovasculaires, articulaires, hépatiques, neurologiques, gynécolo- giques... Sans compter les dommages psychologiques et sociaux liés aux moqueries à l'école ou aux discrimi- nations professionnelles, qui peuvent générer une mauvaise image de soi et même mener à la dépression.L'obésité n'est pas une tare, mais une ma-
ladie complexe, aux causes multiples et inter-reliées, n'en déplaise à ceux qui l'as- socient à un simple laisser-aller. Dé?nie comme un excès de masse grasse, elle dépend en partie de facteurs biologiques, génétiques ou hormonaux. Elle peut être liée à certaines maladies telles que l'hy- pothyroïdie, le diabète ou le syndrome deCushing ou à certains traitements mé-
dicamenteux comme les corticoïdes, les anti-dépresseurs, etc. On connaît aussi les e?ets délétères des régimes draco niens à répétition et le fameux " e?et yo- yo»... Mais les facteurs socio-culturels
et psychologiques jouent également un rôle : éducation, stress, deuil, dépression, pour ne citer que ceux-là.En revanche, l'évolution croissante des
chi?res de l'obésité est plutôt liée à des changements environnementaux : " nous sommes de plus en plus sédentaires, y compris nos enfants souvent rivés à leur tablette plutôt qu'à leur vélo, alors que l'accès à la nourriture et en particulier à la malbou?e est devenu très facile et bon marché. Il su?t de regarder les distribu teurs de sodas et autres barres chocolatées dans les écoles, et même dans nos hôpi- taux ! », déplore le Dr Laurent Kohnen, chirurgien et responsable du Centre de l'obésité du CHU de Liège. Cela dit nous ne sommes pas tous égaux face à un potentiel déséquilibre de la balanceénergétique
certains peuvent manger tout et n'importe quoi sans prendre un gramme, alors que d'autres grossiront en mangeant normalement. Nous n'avons pas tous le même métabolisme ».SOIGNER LA MALADIE SOUS
SES DIFFÉRENTES FACETTES
L'obésité étant une maladie multifac-
torielle, elle doit être soignée sous ses di?érentes facettes, qui sont médicales, diététiques et psychologiques » insiste leDr Kohnen. C'est pourquoi l'équipe mul-
tidisciplinaire du Centre de l'obésité duCHU dé?nit en fonction du pro?l propre
à chaque patient une stratégie adaptée,
prise en charge par des diabétologues, diététiciens, endocrinologues, psycho logues... Lorsque les e?orts de perte de poids se soldent par des échecs et que l'excès de poids atteint un seuil critique (IMC ≥ 40), une solution chirurgicale peut être envisagée.Dr Laurent Kohnen
Cwand tès hozètes t'ares lèyî,
Sèrè trop tard po t'fé sognî»
Quand tu seras mort, Il sera trop tard pour te faire soigner »Extrait de "
Li Walon dès Docteûrs»
de P.H. ?omsinSUIS-JE EN SURPOIDS ?
SUIS-JE OBÈSE ?
Pour le savoir, il faut se référer à l'Indice de Masse Corporelle (IMC). Il s'obtient en divisant le poids (en kilos) par la taille (en mètres) au carré. Par exemple, une personne qui mesure 1,80 m et pèse 78 kg aura un IMC de 24,07. D'après les normes de l'OMS, on parle de surcharge pondérale lorsque l'IMC se situe entre 25 et 29,9, d'obésité à partir de30 et d'obésité morbide à partir de 40.
IMCIMC
18,54024,9
29,9MAIGREUROBÉSITÉ MASSIVENORMALOBÉSITÉSURPOIDS
Editeur responsable
Sudpresse - Pierre Leerschool
Rue de Coquelet, 134 - 5000 Namur
Rédaction
• Frédérique Siccard • Jenifer Devresse • Vinciane Pinte • Louis Maraite • Georges LarbuissonCoordination
• Rosaria CrapanzanoPhotographies
• Michel HouetMise en page
• Sudpresse CreativeImpression
• Rossel PrintingOBÉSITÉ :
19 MAI - JOURNÉE EUROPÉENNE DE L'OBÉSITÉ
3LE MOT DE LA PSYCHOLOGUE
MANGER N"EST PAS UN COMBAT ! Sophie Galler est psychologue au Centre de l"obésité pour enfants et adolescents du CHU de Liège.UN ENFANT OBÈSE RISQUE
DELE RESTER À L"ÂGE ADULTE
"obésité touche de plus en plus de jeunes, parfois dès la maternelle. Or un enfant en surpoids présente 50 à 70% de risques d"être obèse une fois adulte... Un constat qui invite
à prendre ces enfants en charge au
plus tôt. L"objectif ? Détecter les pathologies en cause et modier les comportements alimentaires et physiques pour éviter les com plications à l"âge adulte.Pas de régime! L"obésité infantile n"est
pas l"obésité de l"adulte, et sa prise en charge dière sensiblement. "», explique
le Dr Marie-Christine Lebrethon, responsable du Centre de l"obésité pour enfants et adolescents du CHU de Liège. "». Chaque enfant est
diérent : l"idée est de rééquilibrer la balance énergétique (apport d"énergie vs dépense d"énergie) en fonction des caractéristiques biologiques, médi cales, psychologiques, familiales, etc. propres à chacun.L"équipe multidisciplinaire du Centre
de l"obésité dénit des programmes mêlant activité physique adaptée, plan alimentaire, accompagnement psycho- logique pour l"enfant et sa famille, édu- cation thérapeutique... "Les critères d"obésité chez l"enfant
dièrent de chez l"adulte : l"Indice de Masse Corporelle (IMC ou BMI en anglais) dépend de la courbe de croissance, en fonction du sexe et de l"âge. Ces données doivent être régu lièrement surveillées en consultation et une prise en charge est indiquée en cas de rebond.OPÉRER DES ADOS
En théorie, la chirurgie de l"obésité ne
s"envisage pas avant 18 ans. Mais le DrLebrethon n"y est pas opposée dans
certains cas raresJen D.
La prise en charge chirurgicale de
l"obésité a considérablement progres- sé en quelques années, comme en témoigne le Dr Kohnen». Mais il n"y
a pas de miracle : la modication des comportements alimentaires et phy- siques à vie reste indispensable, malgré la chirurgie.UN EFFET IMMÉDIAT
SUR L"ESPÉRANCE DE VIE
L"obésité réduit la durée de vie de 6 à7 ans en moyenne
: " plus l"IMC aug- mente, plus le taux de mortalité aug-mente, jusqu"à atteindre chez certains patients trois fois plus de risque de mort par rapport à un patient sans surpoids alerte le Dr Kohnen. "À l"inverse, une perte de poids même
minime chez un patient obèse aura un eet positif immédiat sur sa santé et son espérance de vie». Voilà qui devrait
donner du cur au ventre pour persé- vérer dans l"eort.Jen D. et V. P.
OBÉSITÉ :
ENRAYER L'ÉPIDÉMIE
4SERVICE MÉDIATION
Cher Monsieur,
Je fais suite à votre dossier de médiation concernant la consultation en Chirurgie Bariatrique du 24/10/2016, chez le Docteur Z. Un contact a été pris avec ce dernier. Il signale que la chirurgie qui pourrait vous être proposée nécessite de remplir un certain nombre de conditions, discutées en réunion multidisciplinaire. Si son point de vue dière du vôtre, c"est parce qu"au regard des risques inhérents à cette intervention, il est intransigeant sur les critères validant sa décision d"opérer, en fonction des recommandations internationales en ce domaine. Et en tenant compte du rapport remis par Madame X, psychologue, une intervention n"est pas envisageable actuellement. Par ailleurs, le Docteur Z ayant perdu conance dans la relation soignant-soigné, il ne souhaite plus eectuer votre suivi et vous recommande une prise en charge par un autre médecin du centre de Chirurgie bariatrique. En espérant que ces explications vous permettront de comprendre les diérences d"opinion, veuillez croire, Cher Monsieur, en mes sentiments distingués.L'analyse
de la médiatrice du CHUPRÉSENTATION DE LA SITUATION
La Médiatrice a reçu un courrier de plusieurs pages d'un patient mécontent du déroulement de la dernière consultation qui s'est tenue avec le Dr Z, chirurgien abdominal. Il s'avère que malgré un Indice de Masse Corporelle un peu inférieur à 40 (pour une chirurgie bariatrique, l'IMC doit être supérieur à 40), le patient estimait que l'opération était une nécessité pour sa santé, vu son hypertension et divers problèmes liés au surpoids. Suite à la réception des doléances, une discussion s'est tenue entre la Médiatrice, le Docteur Z et la psychologue qui suit les patients demandeurs d'une gastroplastie. La réponse suivante fut ensuite transmise au patientLa Médiatrice est ponctuellement
contactée pour des cas de gure semblables : manque de collabo ration du patient au traitement, perte de conance dans la rela tion soignant-soigné, agressivité, etc. Si le patient bénécie de nom breux droits, octroyés par la loi du22-08-2002 relative aux droits du
patient, il est aussi tenu à un de voir de bienveillance à l"égard du personnel soignant dont l"objectif est d"assurer une prise en charge de qualité.En cas de rupture de conance, la
Médiatrice est disposée à faire des
rencontres en médiation entre les parties en vue de restaurer la com- munication. Mais il se peut aussi que le médecin fasse valoir des dis- positions du code de déontologie médicale et réfère le patient à un confrère. Cela peut s"appliquer hors cas d"urgence. Il en informe alors par écrit le médecin traitant et s"as- sure de la continuité des soins, tout en tenant à disposition du confrère le dossier médical du patient.LA MÉDIATRICE
AU SERVICE DU PATIENT
Dans le cade de la gestion
des dossiers de médiation, il se peut que d"autres notions que celles reprises dans la législation relative aux droits du patient (loi du 22-08-2002) interviennent.LE MÉDECIN
AU SERVICE DU PATIENT
Relations avec le patient
Néanmoins, une limitation de ce libre choix peut s"avérer inévitable dans le cadre de l"organisation pratique d"une ore permanente de soins de qualité. Une information aussi adéquate que possible est fournie à propos de cette limitation. Si le malade refuse un examen ou un traitement proposé, le médecin peut se dégager de sa mission dans les conditions prévues à l'alinéa 2 de l'article 28. 5 L "opération Télédon se termine ce 20 mai par une grande soirée en télé sur les tv locales de la fédération Wal lonie-Bruxelles.Son but
? Rappeler qu"une vie peut en sauver une autre, via don d"organes et/ou de sang. Et qu"il est essentiel de faire une décla ration ocielle auprès de sa com- mune, ou de le dire à ses proches.CHACUN PEUT DONNER,
CHACUN POURRAIT UN JOUR
RECEVOIR
DONS D'ORGANES
SAUVER 7 VIES
Vinciane PINTE
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