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  • Comment le phénomène de superposition des ondes de produit ?

    Lorsqu'une onde progressive rencontre une discontinuité dans le milieu de propagation, il se crée une onde réfléchie qui prend pour origine cette discontinuité. Ainsi dans un milieu discontinue on observe la superposition d'une onde dite incidente et d'une onde dite réfléchie : s(M, t) = si(M, t) + sr(M, t) .
  • Comment additionner deux ondes ?

    Les ondes ont une propriété bien par- ticulière, elles s'additionnent. Ainsi, en s'additionnant, deux ondes en phase et de même fréquence donnent une onde dont l'amplitude est la somme des am- plitudes des deux composantes.
  • Comment se propagent les ondes ?

    Une onde électromagnétique est une catégorie d'ondes qui peut se déplacer dans un milieu de propagation comme le vide ou l'air, avec une vitesse avoisinant celle de la lumière, soit près de 300 000 kilomètres par seconde. Ces ondes sont par exemple produites par des charges électriques en mouvement.
  • Équation universelle des ondes
    Le graphique ci-dessous illustre ces deux notions. Longueur d'onde (ë) = Si l'onde met une seconde à parcourir la distance, la fréquence est alors (f) = 1 cycle par seconde (1 Hz).

IPhO - Optique ondulatoire

Interférence des ondes lumineuses

I - Observations

Le phĠnomğne d'interfĠrences est caractĠrisĠ par la superposition de deudž ou plusieurs ondes cohĠrentes de mġme

fréquence. Il se rencontre dans de très nombreux domaines ͗ ondes sonores, ondes radio, ondes ă la surface de l'eau,

ondes lumineuses.

papillons, et des arcs surnumĠraires de l'arc-en-ciel obserǀĠs juste en dessous de l'arc primaire (cf photographie figure

1 ci-dessous)1.

Approche expérimentale

Historiquement, le phénomène d'interfĠrences lumineuses a ĠtĠ dĠcouǀert par le saǀant anglais Thomas Young (1773-

1829) en 1801. Pendant ses études de médecine, il avait beaucoup étudié les ondes sonores, soutenant même une

et des ondes ă la surface de l'eau pour Ġtendre son ͨ principe d'interfĠrences » aux ondes lumineuses. Nous allons

suivre son approche pour aborder la compréhension de ce phénomène.

1 le de

Jearl Walker " le mystère des arcs en ciel et des arcs surnuméraires, si peu observés », revue Pour la Science

Figure 1 -en-ciel

Exemple 1 : interfĠrences d'ondes ă la surface de l'eau

Observations

Dans une cuve à ondes, un dispositif électromécanique permet à deux bras vibreurs de frapper simultanément la

Ces deux ondes sont visualisables ci-dessous, figure 2.a.

Dans la zone située entre les deux sources, et appelée champ d'interfĠrences, les ondes circulaires progressives se

superposent pour donner des lignes ou franges fixes dans le temps, alternativement claires et sombres.

Ceci est particulièrement bien visible sur la figure 2.b ci-dessus au centre où la fréquence réglable f a été augmentée.

un obstacle et de l'onde rĠflĠchie correspondante (figure 2.c ci-dessus à droite pour un obstacle rectiligne). On

remarquera les franges quasi-rectilignes en haut et ă gauche de l'obstacle, et l'onde progressiǀe rĠflĠchie en bas ă

Interprétation de la figure d'interfĠrences

Sur la figure 3 ci-contre sont représentées les lignes de crêtes et de creux des ondes circulaires générées par les deux sources S1 et S2, et ce, à un instant où les deux mouvements en S1 et S2 présentent simultanément une amplitude madžimale. La longueur d'onde commune des ondes est de 1 cm. Les cercles en trait plein, de centre S1 et S2 et de rayons ,

2, 3 représentent les lignes de crêtes.

Les cercles en trait pointillé, de centre S1 et S2 et de rayons ...2 5,2 3,2 OO représentent les lignes de creux, décalées des prĠcĠdentes d'une demi-longueur d'onde. le principe d'interfĠrence ͗ Les points situĠs ă l'intersection repos.

Figure 2.a Figure 2.b Figure 2.c

En les reliant, on forme les franges sombres d'amplitude de mouǀement nulle : l'eau est calme en ces endroits.

sonores peut créer du silence ă certains endroits du champ d'interfĠrence.

Les points situĠs ă l'intersection de deudž lignes de crġte (Repassez ces points en feutre rouge) ou de deux lignes de

creux (Repassez ces points en feutre bleu) sont le siğge d'interfĠrences constructiǀes et ǀibrent aǀec une amplitude

maximale.

En les reliant tous entre eudž, on forme les franges claires d'amplitude de mouǀement madžimale.

On remarquera que les points qui correspondent à la superposition de deux crêtes et ceux qui correspondent à la

superposition de deux creux vibrent à chaque instant en opposition de phase les uns par rapport aux autres. Mais,

ils apparaissent finalement avec le même éclairement.

Le principe de superposition ou d'interfĠrences nous permet donc de retrouǀer l'allure des franges edžpĠrimentales.

Il ne s'agit pas de la premiğre edžpĠrience d'interfĠrences lumineuses rĠalisĠe par Thomas Young, mais

incontestablement de son expérience la plus probante. Elle est décrite dans un recueil de conférences données à la

Royal Institution et publié en 1807. Elle établit de façon indiscutable la nature ondulatoire de la lumière sur des bases

expérimentales.

Pour réaliser son expérience des trous d'Young, Young fit passer la lumière du soleil par un petit trou S, situé sur un

Ġcran A. Le faisceau lumineudž s'Ġlargissait ensuite par phĠnomğne de diffraction et Ġclairait ainsi deudž petits trous S1

et S2 sur l'Ġcran B. Une nouǀelle diffraction se produisait, gĠnĠrant deux ondes sphériques issues de S1 et S2. qui se

superposaient sur un écran C.

Le dessin original de Thomas Young figure 5

ci-contre, paru dans les " Philosophical

Transactions » de 1803 concerne des ondes à

la surface de l'eau, mais illustre bien le phénomğne d'interfĠrences dans

En observant le dessin par la gauche sous un

angle très faible, on peut alors apercevoir une alternance de franges claires et sombres quasi-rectilignes là où les deux ondes sont respectivement en interférence constructive et destructive. On pourra remarquer l'edžistence d'une frange centrale claire dans le plan médiateur du segment S1S2.

Dans une ǀersion amĠliorĠe, car plus lumineuse, de cette edžpĠrience, appelĠe edžpĠrience des fentes d'Young, les trous

S0, S1 et S2 sont remplacés par des fentes fines F, F1, F2 parallèles, mais le principe de base reste le même.

Sur la figure 6.a, un faisceau laser a été élargi verticalement par réfraction grâce à une tige en verre cylindrique de

diamètre environ 3 mm placée horizontalement à la sortie du tube laser. Le faisceau est envoyé sur un doublet de

fentes d'Young. Le plan d'obserǀation est parallèle au plan des fentes et les franges rectilignes observées sont elles

aussi parallèles aux fentes. Les franges très brillantes au centre sont équidistantes de i = 3 mm (distance mesurée

directement sur l'Ġcran͗ 4 interfranges с 12mm).

Les figures 6.b et 6.c correspondent ă une edžpĠrience des fentes d'Young rĠalisĠe en lumiğre blanche (projecteur de

diapositives avec ampoule quartz/iode de 150W).

Entre les expériences 6.a et 6.b, les conditions sont exactement identiques. Seule la nature de la source lumineuse a

changé.

Figure 6.a

Fentes d'Young avec un laser

Hélium/Néon élargi

Largeur des fentes : b = 100 m

Distance entre les fentes : a = 350 m

Écran à D = 1,70 m

Figure 6.b

Fentes d'Young en lumière

blanche

Largeur des fentes : b = 100 m

Distance entre les fentes : a = 350 m

Écran à D = 1,70 m

Figure 6.c

Fentes d'Young en lumière

blanche

Largeur des fentes : b = 100 m

Distance entre les fentes : a = 175 m

Écran à D = 1,70 m

Dans le cas d'un Ġclairage en lumiğre blanche, on obserǀe une frange centrale les franges (1 petit carreau = 1mm).

Entre les figures 6.b et 6.c, la distance entre les fentes a été divisée par deux. Plus les deux fentes F1 et F2 sont distantes,

plus les franges sont resserrées. On peut par ailleurs observer que plus la distance D est petite et plus les franges sont

resserrées.

Si le système de franges semble bien être similaire à celui obtenu avec les ondes mécaniques et la cuve à ondes,

l'obserǀation d'interfĠrences lumineuses reste assez délicate et requiert des conditions assez draconiennes. Ces

fraction de millimètre, et la largeur des fentes F, F1 et F2 est du même ordre de grandeur. On constate par ailleurs que

si l'on Ġlargit progressiǀement la fente source F, le contraste des franges diminue : on observe un brouillage des

franges. Nous reparlerons de ces problèmes en détail ultérieurement. II Détermination de la position des franges en lumière monochromatique

Les franges d'interfĠrences obtenues aǀec le dispositif des fentes d'Young sont obserǀables en tout point P du champ

d'interfĠrence (zone de recouvrement des deux ondes sphériques émises par S1 et S2 sur la figure.4), c'est-à-dire pour

une position quelconque de l'Ġcran entre le plan B des fentes et le plan C ă l'edžtrġme droite sur le dessin original de

Young (figure 5) : les franges sont dites non localisées. Nous allons cependant déterminer la position des franges dans le cadre plus restreint suivant :

- a < y << D ͗ point P sur l'Ġcran au ǀoisinage de la frange centrale.

En un point P de l'Ġcran se coupent deudž rayons lumineudž, reprĠsentĠs par les deudž segments de droite reliant S1 à

P et S2 à P, et de longueurs respectives r1 et r2. L'onde primaire arriǀant sur les deudž trous (ou fentes) sources S1 et

S2 présente la même phase en S1 et S2.

L'Ġtat d'Ġclairement au point P est donc dĠterminĠ par le seul déphasage entre les deux ondes secondaires émises en S1 et S2 et associées aux rayons S1P et S2P. Si P se trouve par arrivent en P déphasées de (les deux ondes sont en opposition de phase et s'annulent mutuellement). ABBA 0 2

SMMM '

Par conséquent, le déphasage entre les deux ondes sera conditionné par la différence de chemin optique ou différence

de marche géométrique (P) = (S2P) - (S1P) entre les deux rayons S2P et S1P.

On a alors la relation fondamentale :

@)(2)()(2)( 0 12 0

PPSPSPO

S O SM ' Ainsi, un déphasage de au niveau de P se traduira par une différence de marche 2 0G P Un déphasage de 2 au niveau de P se traduira par une différence de marche 0G P

N.B. On pourrait aussi choisir (P) = (S1P) - (S2P), le signe de (P) et de (P) n'influe pas sur l'intensitĠ lumineuse

On supposera désormais, sauf cas contraire, que le milieu de propagation entre S1 et P et S2 et P est homogène

d'indice n (de l'air dans le cas de l'edžpĠrience des fentes d'Young). Alors (P) = (S2P) - (S1P) = n[S2P-S1P] et S O

SMPSPSPSPSnP12

0

1222)( '

noù0O est la longueur d'onde dans le milieu d'indice n. S2P - S1P est ici simplement la différence de trajet entre les deux rayons.

Les lieudž d'Ġgal Ġclairement dans l'espace sont les lieudž des points P de même déphasage (P), donc ceux pour

obtenue par la rĠǀolution d'une hyperbole autour de l'adže S1S2. A chaque valeur du déphasage (P) correspond une

valeur déterminée de la cste, de telle sorte que le systğme de franges d'interfĠrences constitue un rĠseau

parallèlement à S1S2 coupera alors ce réseau en un système de franges quasi-rectilignes au voisinage du plan

médiateur du segment S1S2(cf figure 7.b ci-dessous ă droite). Si l'Ġcran Ġtait placĠ perpendiculairement au segment

Déterminons maintenant (P) en fonction de la cote y du point P sur l'Ġcran.

Soit le point b sur le rayon S2P tel que

S1P = bP (figure 8.a ci-contre).

On a alors (P)=n(S2P-S1P)=nS2b.

La relation exacte entre S2b et y est complexe, mais si D>>a, alors les rayons S1P et S2P sont presque parallèles et S2b est presque perpendiculaire à S1b, de sorte que S1S2b est assimilable à un triangle rectangle en b, avec (S1S2b)у(PIO)с, où est l'angle entre l'adže central IO (I milieu du segment S1S2) et le segment IP.

On a alors dans le triangle S1S2b :

a bS2sin|TT et dans le triangle PIO : D y|TTtan D naybnSP 2

Figure 7.a

RĠseau d'hyperboloŢdes aǀec

coupe dans un plan parallèle à S1S2 dans la partie inférieure

Figure 7.b

Visualisation des franges

hyperboliques dans le plan de coupe correspondant ă l'Ġcran

Dans les conditions du calcul (écran loin des fentes, point P près du plan médiateur de S1S2), les franges seront des

droites parallğles ă l'adže des y (rĠsultat conforme audž obserǀations).

focal de la lentille. Dans ces conditions, pour arriver en un même point P du plan focal, deux rayons doivent

nécessairement être parallèles en amont de la lentille (figure 8.b ci-dessous).

On alors de façon exacte:

bSSS121, où est repéré par rapport ă l'adže de la lentille. Si la lentille est utilisĠe dans les conditions de Gauss, la différence de trajet est cette fois exactement (P) = r2 - r1 = a.sin

Par ailleurs,

'tanf yT

Enfin,

DPy)( AE

TTtansin|

éliminant entre les deux relations :

f nayP|)( Il faut donc simplement changer D par f' (distance focale

On appelle ordre d'interfĠrence le nombre

OO G S M D ay D nayPPp ' 002

Les franges brillantes correspondent à un déphasage (P) multiple de 2, à une différence de marche (P) multiple

de 0 et ă un ordre d'interfĠrence p entier relatif : p = m .

La cote des franges brillantes est

a DmyB

Deudž franges brillantes consĠcutiǀes sont sĠparĠes par une distance i sur l'Ġcran, appelĠe interfrange et égale à

a Di imyB , où m est un entier relatif.

Les franges sombres correspondent à un déphasage (P) multiple impair de , à une différence de marche (P)

multiple impair de 0ͬ2 et ă un ordre d'interfĠrence p с m н1ͬ2.

La cote des franges sombres est

a Dm yS 2 1 Deux franges sombres consécutives sont séparées par le même interfrange a Di , et imySquotesdbs_dbs42.pdfusesText_42
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