[PDF] Lété tend les bras aux lauréats après les remises de diplômes





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27 juil. 2016 PMOT : Prélèvement multi-organes et tissus ... A l'opposé de la permanence des pratiques anciennes défendues par les tenants de la tradition ...



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Lété tend les bras aux lauréats après les remises de diplômes

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Du terrain à la théorie. Les 40 ans du lacito

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Dernière expo de Walter Tschopp au Musée dart et dhistoire

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NOTRE SUPPLÉMENT

PAGE 17

FIN D'ANNÉE EN APOTHÉOSEAprès des cérémonies où ils ont rivalisé d"élégance, des centaines de jeunes

gens peuvent prendre des vacances. Environ 3200 diplômes ont été remis, à des lauréats neuchâtelois

pour la plupart, mais aussi du Jura bernois et du Jura. Photos et récits dans notre supplément spécial.

FRANCHES-MONTAGNES

Unpassupplémentaire

verslataxeausac

PAGE 9

LA CHAUX-DE-FONDS

Négligencereconnuepour

"Peppi»etsonchapiteauPAGE 8

L'été tend les bras aux lauréats

après les remises de diplômes

LES VERRIÈRES

Untilleulpourmarquer

lepassagedesBourbakis

PAGE 3

RICHARD LEUENBERGER

LA MƒTƒO DU JOUR

ˆ 1000mpied du Jura

10¡22¡14¡ 26¡ATHLÉTISME

Uneréputationmondiale

justifiéepourleRésisprint

Comme Alex Wilson (en photo), plusieurs

athlètes présents jeudi à Athletissima participeront demain au Résisprint au

Centre sportif de la Charrière. La réputa-

tion mondiale du meeting chaux-de-fon- nier nest pas due au hasard.PAGE 28

SOMMAIRE

FeuilletonPAGE 12TélévisionP. 1 4 -1 5

CinémaPAGE 13CarnetP. 3 0 -3 1

GRUYÈRE AOCA La Brévine, depuis des an-

nées, on projetait la construction d"une cave d"affinage de gruyère AOC sur le parc des Taillères. Tous les feux étaient verts.PEUR SUR LA FILIÈREL"Interprofession du gruyère AOC a craint que le marché ne soit déstabilisé et mis en péril par le projet de cave d"affinage de la vallée de La Brévine.INFLUENCE PUISSANTESelon le directeur de la

Chambre neuchâteloise de l"agriculture et de

la viticulture, les gros affineurs ont pesé leur poids dans la mort du projet brévinier.

PAGE 7

RICHARD LEUENBERGER

KEYSTONE

VACANCES

Lesbonsplansdel"été

pours"amusersansseruiner

Promos au Locle (photo), ciné à la Tène,

disco à la pointe du Grain, cirque denfants, animations dans les musées ou à la piscine... Vingt et une idées de sorties tout près de chez soi, gratuites, pour toutes les générations et tous les goûts.PAGE 11

ARCHIVES RICHARD LEUENBERGER

L'IMPARTIALSAMEDI 6 JUILLET 2013

2FORUM

NOSARCHIVES

Chaque samedi, jusqu"au 2 octobre, nousfeuilletons quelques-unes des 1,5 million depages d"archives dont l"accès est désormais,gratuitement, ouvert à tous. Rendez-vous surArcinfo. ch!

L"HISTOIRE EN DIRECT

Connectez-vous!

L"IMPARTIALSAMEDI 6 JUILLET 2013

2 GOURMANDISELes très appétissantes annonces des commerces de comestibles.

Des fins becs, ces Neuchâtelois!

JACQUESGIRARD

A lire les innombrables annon-

ces des épiceries fines, magasins decomestibles,etrestaurants,les plaisirsdelatableoccupaientune placeimportantedèslafindu19e siècle. Certes l"ordinaire était simple et le souci d"économie constant.Mais,surtoutàl"ap- proche des Fêtes, les offres des commerces ne le cèdent en rien, ou presque, à celles que l"on peut voir au- jourd"hui. Les archives de "L"Express» et de "L"Impar- tial» livrent en tout cas des témoignages éloquents de cet art du bien-manger, dans le Bas comme dans le

Haut, qui fait franchement

venirl"eauàlabouche.

Lecélèbre"Faisandoré»,

de Neuchâtel ("Feuille d"Avis du 10 décembre

1910) propose ainsi à sa

clientèle,pourNoëletNouvelan un étalage complet de pigeons, faisans, poules à bouillir, poulets, poulardes, chapons, oies, ca- nards,dindes,lièvred"Allemagne et lapins, accompagnés de jam- bon "pic-nic», de "salamis vrais deMilan»,deconservesdefruits, légumes et viandes, de marrons et - c"était un aliment de choix à l"époque - d"oranges et de man- darines.Letoutbiensûrarroséde vins fins et liqueurs assorties, dont des champagnes - on pou- vait les appeler ainsi à l"époque - desmarquesBouvieretMauler.

Les commerces de La Chaux-

de-Fonds n"ont rien à envier à cette offre. Ainsi les comestibles

A. Steiger ("L"Impartial» du

21décembre1895,p.14)fontpa-

outre les volailles déjà citées ci- dessus,A.Steigervenddespinta- desmaisaussidugibier"detoute sorte», du poisson frais du lac et de rivière, des huîtres, des mou- les, des langoustes, des homards -vivantsbiensûr-descrevettes, des soles de l"Océan,"etc»,pré- cise l"annonce histoire de souli- gnercombienl"offreestvaste.

A Neuchâtel, les comestibles

Seinet Fils ("Feuille d"Avis» du

9décembre1910,p.3)disposelui

aussi d"un étal à rallonge, digne des "Trois messes basses» d"Al- phonse Daudet. Toutes les vo- lailles y figurent, rivalisant avec des lièvres du pays et d"Allema- gne, des gigots et filets de che- vreuil,ducivetdechevreuiletde lièvre, des lapins, des faisans do- rés,descanardssauvages,dessar- celles doubles ou simples, des perdreaux, des perdrix, des bé-casses et des grives. Un défilé de délices accompagnées d"huîtres, d"escargots, de saumon fumé, de caviar et d"une kyrielle de pois- sonsdulac,derivièreetdemer.

Dans les Montagnes, l"épicerie

fine A. Sève, qui annonce fière- ment qu"elle dispose du télé- phone ("L"Impartial du

22 septembre 1900, p. 7)

offre des poulets de Bresse "kascher» et des carpes vi- vantes, un témoignage de l"importance de la commu- nauté juive à La Chaux-de-

Fonds. La célèbre

recettedela "carpe à la juive» exige en effet des poissonsvivants.

Pour ceux qui ne

voudraientpascuisi- ner, surtout durant les Fêtes, les restau- rants se sont mis en quatre. La brasserie

Gambrinus, à Neuchâ-

tel ("La Feuille d"Avis» du

24décembre1910),faitpa-

raître une grande annonce pour ses menus de Noël.

Celuidemidicomportepo-

tage oxtail (à la queue de bœuf), filet de sole Victoria, gigot d"agneau forestière, pouletàlabroche,salademê- léeetcornetschantilly,letout pour 2 francs. A la Chaux-de-

Fonds ("L"Impartial du 31 dé-

cembre 1899 p. 18), le restau- rant des Armes-Réunies offre lui aussi dîners et soupers à la carteouàprixfixe,etorganise, les 1er et 2 janvier 1900, un grand banquet à 2 francs, vin compris. Il est vrai que la bou- teille de pinot de Neuchâtel se vendaitalorsà1fr40! préparationaujourd"huidisparue. se dément pas jusqu"à nos jours. Mais on trouve, au cours du 19e et jusque dans les années 1910, un apprêt mystérieux nommé "escar- gots à la mode des capucins», ceci exclusivement dans les restau- rants du bas du canton (par exemple "L"Express» du 24 novembre lesjournauxd"alors. On sait que l"escargot a été consommé dès la plus haute antiquité. pure. L"escargot devient alors la viande du pauvre, mais elle cumule

aussilesavantagesinsignesd"êtrebonmarchéetdenepasrompreleCarême. Du coup, de nombreux ordres religieux entretenaient une

tume d"organiser régulièrement, jusque dans les années 1940, des repas d"escargots. Hélas, les témoignages manquent sur la manière voureux. Pourquoi "jacquerie»? Mystère aussi. Peut-être parce qu"il s"agit effet, dès le Moyen Age, une révolte paysanne. Cette insurrection tire son nom de Jacques Bonhomme, surnom puis sobriquet dési- gnant les paysans français. Et comme l"escargot a permis d"atténuer suite tombé en désuétude. Par bonheur, il est aujourd"hui remis à l"honneur par plusieurs restaurants du canton dans leurs menus "terroir». Le mystère des escargots à la mode des capucins

De la fin du 19e siècle et jusque dans les années 1920, la diversité et la qualité des produits proposés

montrent à l'envi que les Neuchâtelois aimaient faire bonne chère.

La recette traditionnelle

de la carpe à la juive exige des poissons vivants. Dès maintenant, toutes les archives de L"EXPRESS et de L"IMPARTIAL, soit plus de 1,5 million de pages, sont ACCESSIBLES GRATUITEMENT, à tous, sur internet. L"EXPRESS, fondé le 2 octobre 1738, est le plus ancien journal de langue française au monde à toujours être publié.

L"IMPARTIAL a lui été créé le 1er janvier 1881.Dès maintenant, toutes les archives de L"EXPRESS et

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SAMEDI 6 JUILLET 2013L"EXPRESS-L"IMPARTIAL

GROS PLAN3

LES VERRIÈRESLe "tilleul de la paix» a été inauguré jeudi près du temple pour rappeler linternement de larmée française de lEst le 1er février 1871.

Lucerne n"oublie pas les Bourbakis

FANNYNOGHERO

"Une profonde amitié lie notre associationauxVerrièresdepuisde longuesannées,vousêteslasource de nos idéaux», a déclaré jeudi après-midi Konrad Vogel, le pré- sident de lAssociation pour la sauvegarde du Panorama Bour- baki en descendant du car qui a déposé une délégation lucer- noiseàlafrontièrefranco-suisse.

Bourbaki le 1er février 1871 aux

Verrières est immortalisée dans

le célèbre panorama Bourbaki quitrôneàLucerne,levillageoù sesontdérouléslesfaitsnecom- porte aucune trace ou presque blissementdundroitinternatio- nalàlinternementencoreenvi- gueur aujourdhui. Cette lacune est désormais comblée, puisque jeudiaétéinauguréle"tilleulde lapaix».

Cet arbre a été planté dans le

parc du temple de Meudon, un hameau entre le village des Ver- nie a pris une tournure dautant plus symbolique, quelle sest dé- rouléeenprésencedesautoritésde la Ville de Lucerne, à linitia- tive de lAssociation pour la sau- vegardeduPanoramaBourbaki.

Lesautoritésverrisannesontac-

cueilli leurs collègues lucernois encompagniedeLaurentKurth, présidentduConseildEtatneu- châtelois, ainsi que de Christian

Mermet, président du Conseil

communaldeVal-de-Travers.

Touslestroisouquatreans,de-

puislarestaurationdelacélèbre

œuvre en 2000, quelques cen-

taines de membres de lassocia- tion effectuent un pèlerinage surleslieuxdelentréeenSuisse de larmée française défaite.

Cestlorsdeladernièrevisite,en

2011, qua émergé lidée dins-

taurer des relations officielles entre la commune des Verrières etlavilledeLucerne. "De prime abord, il semble quil nyaaucunpointcommunentrela commune rurale et la ville, mais les apparences sont trompeuses», a relevé Theres Vinatzer, prési- dente du législatif de la ville de

Lucerne. "Lhistoire relie nos

deuxcommunesetcommeledisait

Saint-Exupéry, on ne voit bien

siblepourlesyeux.»Aussi belle soit cette citation, lassociationdesauvegardedupa- norama et les autorités des Ver- rièressouhaitaientvivementren- dre visibles les traces du passage desBourbakis.Etcetilleulconsti- tue la première étape dans léla- borationdunchemindidactique consacréàcetépisodehistorique.Une association, composée de représentants de lAssociation desauvegardedupanorama,des autorités de la ville de Lucerne, des Verrières, de Val-de-Travers etducantondeNeuchâtel,verra prochainement le jour afin de concrétiser ce projet dici 2015 auplustard."Nous avons de plus en plus sou- vent des visiteurs qui demandent à notreadministrationsilyadestra- cesdupassagedesBourbakisauvil- lage. Nous ne pouvons les aiguiller nullepart,sinonverslemonument auxmortsdutempledeMeudon», explique Jean-Bernard Wieland, présidentdesVerrières.Une première initiative de ce type avait été amorcée dans la fin des années 1990. Une artiste du village qui habitait la maison

Martin, dans laquelle a été éla-

borée la Convention des Verriè- res, souhaitait reproduire au centième lœuvre de Castres.

Une démarche à laquelle sétait

associée lAssociation Région

Val-de-Travers afin de concevoir

un itinéraire historico-touristi- que autour des Bourbakis. Il

était même question dassocier

laCroix-Rougeauprojetetde créerunlieudexpositioncentré surlessoinsmilitairesensollici- tantunprêtLIM. "Une sommemirobolante»

Las."Lartisteexigeaitdelacom-

mune une somme mirobolante pour achever son œuvre, et le pro- jetadonccapoté»,expliqueJean-

Bernard Wieland. Grâce à lim-

pulsion de lassociation pour la sauvegarde du Panorama Bour- baki, le village des Verrières pourraenfinluiaussiprofiterde lintérêt que suscite cet événe- ment dramatique qui sest dé- roulésursonterritoire. Cinq ans après larrivée de larmée de

BourbakienSuisse,lefabriquantdepano-

ramas Benjamin Henneberg charge le peintre genevois Edouard Castres de re- présenter lévénement des Verrières. Le choix du peintre nest pas anodin, puis- quil a lui-même pris part à la retraite des troupesfrançaisesentantquebrancardier volontaire au service de la Croix-Rouge.

Lartiste prend son temps pour préparer

ce travail et ne le réalise quen 1881 à Ge- vreenquatremois.

Pourêtrerentable,unpanoramadoitat-

tirerdumonde.Aprèsquelquesannéesde siteurs recule, et Benjamin Henneberg décide de conquérir un nouveau marché en faisant construire une rotonde à Lu- cerne, ville en plein essor touristique. Le panorama y est transféré en 1889. Si les dimensionsinitialesdutableauétaientde

15 mètres de haut pour 112 de large, elles

sont rognées une première fois de deux mètres sur le bord supérieur en 1926 lors de la construction dun garage au rez-de-chausséedelarotonde.Lehautdupanora- ma est encore amputé de deux mètres supplémentaires en 1949 pour lagrandis- sementduparking.

Plus de mille fissures et trous

Le tableau de Castres est lun des rares

panoramas denvergure de cette époque à aux efforts de lAssociation pour la sauve- garde du Panorama Bourbaki, fondée en

1979, qui a pour objectif de financer les

travaux de restauration et de continuer à assurer lobservation régulière et compé- tente du tableau. Lassociation est princi-palement financée par les cotisations de sesquelque1100membresetlesdons.

Entre1996et2004,lepanoramaBourba-

ki a été soumis à dimportants travaux de restauration, de conservation et de pré- servation. Ils ont notamment porté sur lélimination de grandes ondulations du tableau, le nettoyage de la surface, lho- mogénéisation de la couche de peinture surlatoile,lerebouchagedeplusde1000 fissuresettrousainsiquedesretouchesde lacouchedepeinture.Afindestabiliserle tableau à long terme, des moyens techni- tionsclimatiquesfavorables.

Au total, la restauration a coûté 26 mil-

lions de francs. La mise en scène a égale- ment été modernisée. Si lancienne voi- ture de train est toujours là, ainsi que le qués aux soldats, 21 personnages expres- sifs viennent compléter le tableau. Les vi- siteurs sont transportés au cœur des événements du 1er février 1871 grâce au grondement des canons, au hennisse- ment des chevaux et autres bruits qui composentlabande-son.

Une restauration à 26 millions de francs

A la chute du Second Empire, alors que Paris est assiégée par les troupes prussiennes, le ministère français de la Guerre décide de faire diversion et déloigner les forces ennemies de la capitale. Une armée de lEst est constituée avec à sa tête le général Charles Denis entre Vosges et Jura. Mal entraînée et équipée, larmée de lEst ne res voies de retraite, il demande linternement de son armée en tement évacués vers les hôpitaux et le reste est dispersé dans 188 née, les autorités et la Croix-Rouge sengagent activement. Ce fut tédepaix.

L"arrivée aux Verrières

Jeudi après-midi, les autorités verrisannes, vallonnières, cantonales et lucernoises ont inauguré le "tilleul

de la paix» à côté du temple des Verrières.

RICHARD LEUENBERGER

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