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DU RURAL A LURBAIN. INTEGRATIONS USAGES ET GESTIONS
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Décembre 2005
UNIVERSITE PAUL VALERY - MONTPELLIER III
Arts et Lettres, Langues et Sciences Humaines et SocialesUFR III
Département de Géographie et d'Aménagement DOCTORAT DE L'UNIVERSITE PAUL VALERY - MONTPELLIER IIIGEOGRAPHIE
THESEPrésentée et soutenue publiquement par
Corinne PARDO
DU RURAL A L'URBAIN.
INTEGRATIONS, USAGES ET GESTIONS DE L'ARBRE DANS LESPAYSAGES DE LA MEDITERRANEE NORD-OCCIDENTALE.
Sous la direction de
Daniel PUECH
MEMBRES DU JURY :
Alix AUDURIER-CROS, Professeur HDR, Ecole d'architecture MontpellierClaudine
DURBIANO, Professeur émérite, Université de Provence, Aix-Marseille I (Rapporteur) Maurice GOZE, Professeur, Université Bordeaux III (Rapporteur) Anne HONEGGER, Chargée de recherche, CNRS, Université Lyon I Yves LUGINBUHL, Directeur de recherche CNRS, Université Paris I (Président)Daniel
PUECH, Chargé de recherche CNRS, HDR, Université Montpellier III Cette thèse a été préparée avec le concours de la Région Languedoc-Roussillon et du CNRS dans le cadre d'une bourse Docteur-Ingénieur 2001 / 2004Remerciements
Je tiens tout d'abord à remercier mon directeur de recherche Daniel Puech qui a su être à mon écoute
durant toute la durée de ce travail. Je pense également à Anne Honegger et Alix Audurier-Cros qui ont su
m'apporter le soutien nécessaire et de précieux conseils méthodologiques. Qu'ils trouvent ici toute ma
reconnaissance. Je voudrais également exprimer ma profonde gratitude envers Alain Berger et Jean-Paul Volle pourm'avoir accueilli au sein du laboratoire " Mutations des territoires en Europe ». Leur aide efficace et leurs
relectures m'ont été précieuses et m'ont toujours incité à persévérer.Merci également au chaleureux accueil qui m'a été réservé dans ce laboratoire. La bonne humeur qu'il y
règne en permanence en fait un cadre propice aux échanges. Je tiens tout particulièrement à remercier Pascal
Chevalier, Marc Dedeire, Stéphane Ghiotti et Fabienne Watteau pour leurs encouragements et leurs précieux
conseils ; Lala Razafimahefa, Stéphane Coursière, Sylvie Hammel, Christiane Lagarde et Elisabeth Natale
pour le soutien et l'écoute inestimables que tous m'ont accordés.Ce travail de recherche résume également des rencontres inoubliables avec des gens passionnés, des
" méditerranéens de coeur » qui ont fa cilité mon intégration dans chacune des villes étudiées. Que ces quelquesmots leur expriment toute ma reconnaissance et le privilège de les avoir, un jour, croisés. Merci Bruno Vecchio,
Mario Sulli, Carlo Maria Marini, Alban Lauriac, Philippe Croze, Santiago Reyna, Sergi, Olida Torcini-
cassai, Alessandro et Mickaela... Il est une personne sans qui ce travail ne pourrait exister. J'ai appris en sa compagnie, depuis maintenant de nombreuses années, à dé couvrir les diverses facettes des chênaies vertes méditerranéennes : de l'anthracologie aux paysages. Merci Laurent.Je voudrais enfin remercier mes parents, ma famille et mes amis qui ont permis grâce à un soutien
indéfectible l'aboutissement de ce travail. Merci Sophie, Sandrine, Coralie, Lina, Estelle, Jean-Claude, Samuel
et les autres.Une pensée privilégiée pour celui qui m'accompagne et a supporté mes sautes d'humeur inhérentes à
l'avancée de ce travail...SOMMAIRE
INTRODUCTION GENERALE
PARTIE I
DU PAYS AUX PAYSAGES : L'INTEGRATION PAYSAGERE DE L'ARBREIntroduction
Chapitre I L'arbre dans le paysage, enjeu et témoin de l'histoire de la société Chapitre II Les valeurs de l'arbre au service du processus de fabrication de la composante paysagère Chapitre III Les représentations, un regard fondamental des sociétés sur l'arbreConclusion
PARTIE II
DE MARQUEUR SPATIAL A MARQUEUR TERRITORIAL : L'ARBRE PORTEUR D'UNEIDENTITE
Introduction
Chapitre IV L'inscription spatiale de l'arbre
Chapitre V L'arbre, un élément de l'espace en territorialisationChapitre VI L'arbre un marqueur identitaire : le chêne vert pour une nouvelle méditerranéité
Conclusion
PARTIE III
D'UN STATUT EVOLUTIF A UNE GESTION SPECIFIQUE ET RAISONNEE DES ARBRESIntroduction
Chapitre VII Les politiques et les outils adaptés au statut évolutif de l'arbreChapitre VIII L'impact territorial des réseaux d'acteurs, des politiques, et des gestions actuelles
Conclusion
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
Introduction générale
Introduction générale
Introduction
Au carrefour des continents asiatique, européen et africain, les vingt-quatre unités territoriales 1 qui composent l'aire méditerranéenne se rassemblent autour de la " Mare nostrum », d'un climat et de milieux naturels favorisant l'apparente et mythique unité de l'ensemble en dépit de fortes variantes intraméditerranéennes. Bien que par aissant former une unité climatique autour de ce grand bassin maritime de quelques deux millions et demi de kilomètres² (Wackermann, 2001), l'espace méditerranéen se partage de fait entre mer etmontagnes, plaines fertiles et plateaux arides ; diversité qui a d'ailleurs été utilisée dès
l'Antiquité pour favoriser les échanges commerciaux Est-Ouest. Ces contrastes topographiques induisent un fort gradient climatique (variations de précipitations, de chaleur,d'humidité et de vents) décliné cependant au sein d'une nomination " méditerranéenne »
globale. La géographie, soutenue par les courants artistiques, concourt, à partir du XIXème
siècle, à développer l'idée de l'" universalité méditerranéenne », entre unicité du bassin et
extrême diversité des espaces (Chevalier, 2001). La " Méditerranée hétéroclite» de Fernand Braudel (1977), " l'unité territoriale riche de ses contradictions » de Jacques Bethemont (2000)
nuancent donc les lectures paysagères en privilégiant le multiscalaire, du paysage unitaire de proximité au paysage global voire caricatural, afin de saisir les com posantes, les finesses et les enjeux des espaces imbriqués. Ces derniers, si contrastés soient-i ls, composent une mosaïque originale et complexe qui trouve son sens dans la complémentarité des ressources disponibles1 Vingt-quatre Etats riverains de la Méditerranée délimitent cette air
e composée parfois seulement de certainesrégions de ces derniers. Tel est le cas de la France dont seules les régions PACA, Languedoc-Roussillon, et Cors
e sont considérées comme appartenant au bassin méditerranéen. 1Introduction générale
et un axe circulatoire central commun, désormais Nord-Sud, qui s'ouvre pourtant de plus en plus vers l'extérieur. Inscrite dans cette " mouvance » commune à la Méditerranée, la diversité desécosystèmes végétaux participent à la spécificité des paysages ouverts et arides, sombres et
fermés. Bien que peu naturels, ils n'en restent pas moins paysages. Ces stéréotypes ne sontqu'invention, certes, mais quel paysage ne l'est pas ? Dans quels lieux la " double artialisation »
(Roger, 1998) s'est-elle mieux exprimée qu'en Méditerrané e où le paysage réalise enpermanence un " formidable contrepoint aux idées de culture et de nature » (Benzi, Berliocchi, 1998) ?
De plus, le concept de paysage, éloigné de la simple structure physique, interpelle la géographie dans son ensemble et sollicite l'apport de nombreuses autres discipline s telles que la sociologie, l'histoire, l'écologie, les sciences politiques et l'aménagement. Lacomplémentarité de ces approches participe à une analyse fine des territoires et des paysages
qui en découlent. L'intérêt majeur que nous portons d'ailleurs à ces derniers et à leurs
composantes se justifie par la mutation actuelle des territoires méditerranéens, supports de l'observation paysagère. Bien que les conséquences socio-économiques soient difficiles à quantifier 2 , il est néanmoins évident que les images des paysages (Clairet, 1998) sont liées à la valeur attribuée aux espaces ainsi qu'aux modèles culturels, économiques et politiques enplace. L'évolution de ces dernières conduit inévitablement à la transformation des espaces
concernés ainsi qu'à une redéfinition des dynamiques territoriales. Afin de demeurer dansl'exhaustivité requise tant par l'approche (paysagère) que par la complexité des jeux et des
enjeux se nouant autour des territoires questionnés, il est essentiel de partir d'un objet d'étude
qui soit impliqué dans l'organisation des espaces urbains, ruraux ou périurbains, facteurs et/ou
marqueurs de leurs mutations. Le couvert végétal et l'arbre en particulier apparaissent dès lors comme une entréeprivilégiée de l'analyse de la dynamique des territoires méditerranéens. Car, contrairement aux
idées reçues, l'arbre y est toujours présent et marque même l'espace plus fortement qu'ailleurs.
Du cèdre du Liban à l'olivier, du cyprès au chêne liège, du pin d'Alep au chêne vert, ces
espèces, par leurs caractères physiques, biologiques, historiques, utilitaires et identitaires, se
sont autant inscrits dans les terroirs que dans l'esprit de la société qui les a façonnés.
2 Exceptés l'impact touristique de paysage particulier qui nécessite la mise en place de points d'accueil,
d'hébergement, et d'activités répondant à une demande. Ces données chiffrées peuvent donner lieu à une
évaluation plus aisée.
2Introduction générale
LA TYPICITE DES COUVERTS VEGETAUX, MARQUEUR FONDAMENTAL DES PAYSAGESMEDITERRANEENS
Se questionner sur la mutation des territoires méditerranéens et de ses paysages renvoieinéluctablement à la question des milieux " naturels ». Ils se prêtent bien comme l'explique
Frédéric Alexandre " à la dialectique classique de l'unité et de la diversité » (Alexandre, 2001).
L'unité climatique impose d'une part " un temps » et " un rythme » propres à laMéditerranée, et d'autre part, une logique végétale associée au stress hydrique inhérent à ces
espaces. Il en émane une composition floristique homogène dont le caractère essentiel estd'avoir su s'adapter aux plus ou moins longs épisodes de sécheresse. La végétation se compose
essentiellement de plantes xéromorphes, peu exigeantes du point de vue hydrique. Afin de limiter l'évapo-transpiration, les feuilles se couvrent d'une légère pubescence sur la faceinférieure des feuilles (dans le cas du chêne pubescent), deviennent coriaces, luisantes sur le
dessus et fortement pubescentes sur le dessous (comme dans le cas du chêne vert, du chêneliège, du laurier-tin, des filaires...) ou réduisent leur taille jusqu'à se présenter sous la forme
d'écailles, comme chez le genévrier, ou bien d'aiguilles. D'une façon générale, la flore
méditerranéenne se caractérise donc par des végétaux à feuillage sempervirent, excepté sur les
versants nord et les sols plus profonds où l'on retrouve un couvert mixte de cimes à feuillages
caduque ou persistant. Cette homogénéité comportementale ne signifie pas pour autant une faible biodiversité bien au contraire. La diversité intraméditerranéenne [induite par les transitions abruptes, au sein d'unmême espace, de traits physiques disparates et par les fortes variabilités interannuelles] nuance
les constantes structurelles par l'élaboration de gradients climatiques, pluviothermiques essentiellement. L'anthropisation des milieux modifie d'autant plus la structuration spatiale dela végétation. La diversité des écosystèmes n'est plus à démontrer ; celle des compositions
végétales qui structurent les paysages hétéroclites de la Méditerranée non plus. Fondées sur
des critères phytocénologiques (séries et étages de végétations) et bioclimatiques (indices
ombro-climatiques), les populations végétales de chaque étagement bioclimatique se succèdent
à partir d'un stade initial (niveau zéro) jusqu'à atteindre, rarement d'ailleurs, un stadeclimacique, la plupart du temps forestier en Méditerranée (Vernet, 1997). Sans détailler d'ores
et déjà les caractéristiques propres aux étages méditerranéens, les paysages végétaux rencontrés
dans ces régions se répartissent, selon les conditions précédemment définies, depuis les
steppes ou les pelouses à brachypode rameux dans les milieux les plus dégradés, aux forêts
3Introduction générale
méditerranéennes essentiellement sclérophylles dont la biodiversité dépasse celle des autres
forêts européennes (Quezel, Médail, Loisel, Barbero, 1999), en passant par les formations majoritaires, buissonnantes à arbustives plus ou moins denses, qui se présentent sous le terme de matorral. En France, l'on distingue en son sein deux types de formation, la garrigue sur sol calcaire et le maquis sur sol siliceux. Dans ce milieu qui rencontre des problèmes majeurs d'approvisionnement en eau, de densification et d'extension des aires urbaines, l'arbre s'instaure comme un vecteur de questionnement autour de la gestion des ressources naturelles, de la restauration de pratiquesagricoles et du développement de l'esthétisme vert. L'arbre est désormais un élément moteur
des politiques publiques de développement des espaces urbain, agricole et forestier. L'arbre forestier est en attente de traitements sylvicoles adaptés à la polyfonctionnalitéprônée par les nouvelles politiques forestières; l'arbre agricole marque d'autant l'espace de son
empreinte plantée et modelée par l'homme qu'il conditionne et impose des aménagemen tsmaçonnés et hydrauliques spécifiques au relief qui l'accueille (culture en terrasse, en coteaux,
huertas, puits, rigoles, norias...). Poumon vert désormais incontesté, il n'est plus l'apanage de
ces milieux soit-disant naturels mais participe de fait au développement raisonné de la ville.L'arbre urbain souligne les tracés architecturaux et instaure de la nature salvatrice dans un lieu
peu adapté : la ville méditerranéenne, construite selon un maillage originel dense et clos qui
rejetait la nature par delà les remparts. Argument et instrument du développement durable, l'arbre est un objet d'étude pertinent tant pour l'analyse de l'urbanisation galopante, que pour la transformation de l'espace rural et des activités tertiaires motrices de l'essor méditerranéen. Les nouvellesfonctionnalités, ornementale et culturelle, attribuées à l'arbre s'associent, jusqu'à parfois les
masquer, aux fonctions originelles, nourricières et forestières. La totalité des domaines englobés impose ainsi l'arbre comme l'un des marqueurs privilégiés des paysages méditerranéens, révélateurs des mutations territoriales successives. 4Introduction générale
- DES DYNAMIQUES URBAINES ET RURALES AU COEUR DES ENJEUX CULTURELS MAJEURSDepuis le début du XX
ème
siècle, l'urbanisation massive, bien que motivée par des facteurs différents suivant la rive observée, est l'une des caractéristiques communes dudéveloppement de l'ensemble du périmètre méditerranéen. Au Nord, l'industrialisation des
Etats, l'attrait de la ville et des nouveaux biens de consommation, en sont les principauxfacteurs. Accélérant ainsi un exode rural qui s'étale dans le temps, la France, puis l'Italie et
l'Espagne, la Grèce et le Portugal enfin, voient leurs campagnes se vider et les exploitationsabandonnées à la friche aux dépends des villes qui deviennent des pôles d'attractivité et
d'activités majeurs. Au Sud, la montée de l'urbanisation est essentiellement due à unecroissance naturelle très élevée. Dans les deux cas, l'attractivité des villes est permanente
durant tout le XXème
siècle bien que le summum de migration campagne-ville ait été atteint dans les années 1960-1970. Aujourd'hui stabilisée dans le Nord, le Sud connaît encore une poussée démographique importante qui sollicite une urbanisation toujours galopante. De plus,la politique culturelle européenne, initiée en 1991 par le traité de Maastricht, qui s'affirme à
l'origine comme un moyen de lutte à l'échelle du bassin mé diterranéen contre les autoritarismes et l'unité totale tout en agissant pour l'unification des diversités, renforce l'importance des villes en les assimilant systématiquement à un lieu fédérateur de connaissances et d'expression de la culture de tout un peuple. C'est ce qu'exprime Paul Baltadans " La Méditerranée : défis et enjeux », en estimant que la culture est restée le parent pauvre de
la Méditerranée et de l'espace euroméditerranéen. Elle y est cependant associée systématiquement,
affirme-t-il, à la ville, notamment par l'instauration à l'échelon européen des capitales
européennes pour la culture, initiative destinée à contribuer au rapprochement des peuples par
une assimilation de la ville à la capitale, au patrimoine, à l'héritage commun. La majorité des
programmes européens de développement en coopération, tels INTERREG, MEDCITE ou URBAN, interpelle et fédère essentiellement les grandes villes autour de leur patrimoine architectural, culturel et naturel. Le développement de la ville est désormais l a matrice dudéveloppement de la Méditerranée dans son ensemble. Car déjà généralisée autour des noyaux
urbains sur les pays riverains du Nord de la Méditerranée, le développement urbainquotesdbs_dbs10.pdfusesText_16[PDF] institut des hautes etudes de defense nationale - France
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