[PDF] Guerre et commerce chez les Indiens de lAmérique du Sud





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Guerre et commerce chez les Indiens de lAmérique du Sud

li. " ' . •. • • 1. Biblioteca Digital Curt Nimuendajú http://www.etnolinguistica.org 



(Re-)Telling the War Story Healing the Wounds: A Bibliotherapeutic

matériaux secondaires liés à la guerre civile en Afrique. Allah is Not Obliged témoigne du traumatisme de la guerre et du processus de guérison chez les.



Bibliography of international humanitarian law. 2012 edition.

IHL Bibliography 2012. X. Conduct of Hostilities. ICRC Library



WOMEN IN INDUSTRY. TRAINING OF WOMEN FOB WAR WORK: A

This bibliography dealing principally with the training



La crise europeenne et la grande guerre (1904-1918). By PIERRE RE-

The well-arranged bibliography includes not only a wide range of govern- conservateur 'a la Bibliotheque-Musee de la Guerre. ("Peuples et civilisations.



Bibliography of international humanitarian law. 2012 edition.

IHL Bibliography 2012. X. Conduct of Hostilities. ICRC Library



Conflict state failure and urban transformation in the Eastern

'Fatigués de la guerre' they insisted on the ending of violence in their province. In a meeting held by Kabila on. June 26 of 2006 in Goma



BIBLIO LA GUERRE A CENT ANS

BIBLIO LA GUERRE A CENT ANS. Quelques livres ou albums qui peuvent vous aider à parler de cette guerre à vos élèves : Cette bibliographie fruit de mes 



BIBLIOGRAPHY

BIBLIOGRAPHY. Baker Marilyn. “To Honor and Remember: Remembrances of the (http://www.warmuseum.ca/cwm/exhibitions/guerre/war-graves-e.aspx) and “The.



El Arte de la Guerra

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RENAISSANCE

REVUE 122
des . onduite et aux con trait à la la vie des 1 te p[llDl semble que e nuhtaues 1 ,. ce et la fréquence es belliqueuses,

1 . t . e et

i ien .l lan Il suffisait . t des 1 les 1 d dra::iq~:a:~s principalement par Jean

Tumnamba, telles quelles nous .

c -r· ainanon l' "urucu o. les teintures, rouge et la fumée al du piment, tous es Le tableau de la vie intemation 1 1 1 peu d'ann6es. cette O. expliquerait de petites unités sociales appartenant souvent aux ou du plateau brésiliens, si on pas que, dans forces d'union et de cohésion. Il n'est pas douteux qu'à une époque ancienne, comme d'ailleurs à l'heure et Jean de

Tupinamba de Rio' cle

Les guerres avaient un but, qui

repas antropapbages. en fut le risqua maintes

Tupinamba de

monies occupent dans la Les rites f.l.4

à nave.s

.ocial d.es individus. Que les livrées pa< le lé. gagne vendre leurs

A quoi la

Po"' rente groupes et une c<>ntraite régulict et physiquement, des piestations de 1WI des sikles

Les conditions sociale dans les

é<é premier

ordre. et il n'est su< la d accrochées des autres, ....-. villa la lan uns des autres 'b . , gue id& ch t us cUi. .sem Depuis ethn bes ' Xingu a fti vUilé à ainsi H de la distributi d ' -w; n. wu:ç1a1ts témoins hablis

à oe!W r-tent pmfoôs gnndcs pu ocs

von den Steinen est seul , ontrant ainsi que la 1--'' des essentiels au moins dans le d la morphologie du Xin hail. la concentrab. d' on rela ' un nombre im t rogènes, soit qu'ils a u rentes, 'il s l qu s se considèren . par ent la lan e t comme o mSlste sur l'h é . . omog néité de la culture ma . tion a .adis il est certain qu' .. J entre l .. i; , es tn us L'h et sexplique r tat du q &Miri et N on en E aux ah1'q1'41 par l K ' tait oumie aux

Trumoi ainsi , es ustenau et les M

-de langue T . e , et aux "l"• par les W Ce

1 p<ésente,

.i. es .oeciali recton urucu. daus

NahtunUJ perles

• --i -comme les ill 01S1DS

Les Trumai et les de

"1" awrent le mo 1 il . nopo e de la fabrication des culture parti'culi tabac. De la . èremnt la er sel de lis d' et aux MehituÙt Les . continue u. tnbus de lan aux Trumai potenes contre les calebasses des N gue Arawak échangeaient ah1'qua et, en 1938 encore Q .

126 RENAISSANCE

Trurnai

étaient de manufacture Karnayura.

Cette

Y avait frappé von den

Steinen; chez ces Indiens, la nourriture était maigre et les objets par la coutume des voyageurs d'allumer un feu de signalisation plusieurs heures, et

On classe les tribus en

Trurnai venaient d'être attaqués par les Suya, qui avaient

Manitsaua. Les

Bakairi redoutaient en revanche les Trurnai, qu'ils accusaient de Trumai fuyaient les Suya dont ils avaient grand peur. Ces

Nahuqua.

Cependant, et bien que les étrangers en soient souvent il note que, dans la plupart des villages, on rencontre un contingent de visiteurs appartenant aux groupes voisins. Bien souvent des coutumes inter-tribales, et les exigences du fonctionnement normal des institutions, sont à l'origine de ces visites: nous avons déjà signalé les échanges commerciaux entre i t I l o. les tribus qui 127 , prennent souvent 1 f chères". 1 a orme de jeu tel le "tr b . pes, et les villages s'in . entre membres de

II se po .

la valeur d'un d urra1t que ces invitations appel à 1'

é . CJ es,

,. . . t ntuelle: certaines ' ent en 1

Opération

De ces

S oro d. , souvent d teinen

A es ,

Nahuqua; entre les Meh. t. produisaient les

et les A .. ra; entre les Bakairi d' ueta; entre ces derniers et 1 et les Quand in une et d'autre part les es ment nau un. é . ainsi le village Arauiti co:nner -r•ti. posé de couples d'Aueta d . On . et e u. Xingu, les oppositions guer- pr tent r-... u:tations . un caractère à la fois éc . SI ves, et que celles . tation s'impose d

1 onom1que et SOcial La

1 . ans

am d ens Tupi·Kawahib ·

Lo •·1 , uent e la rive droite d Ri qw

Candida Mariano Sü:; R en 1914, pa.r le Général (alors Col la , que parlant que et lin . vaste et di . nmoms 1 ,. ul . , i l euses. décadence physiol T étant l 1938
1

· ais

1 s, qu une politique

1 n'intervenait que dans la mesure où des entxe les

Namhi1uwa étudiés

types de oe d'une rapide,

Les Indiens

tetreS dont

300 à 800 mètres, un sol sablonneux,

grès. n'offre par la distribution ,..Je qui de hautes distanoe avec koroeS q,aisses et des couLes Indiens Nambi1tuara occupent méri· dionale de des le GénéLes NamJn1tuara pcssMent la saison ils se m!mc seulement couO. ' BT r· erie, ils se livrent à quel . la forêt·

C'.es cultures . ' celle d

d 1 pcurvoient d ' et la mesure où ils ré . USSl pendant la saison le 1 Quan _a so . d la saison vill. ' son Chaq . , en une ou plusieurs b . ue e et quel . on par ois de fer à p dan, ques t sept .. d ' année, ces bandes errent s, e serpents ou d'autres . de fruits et de graines qui l es, et, une f . g n ra e, de tout ce nr e a1m Le pour un ou plusieurs jours po l . urs campements, installés

à une ques semaines parfois se _n .

. ns sommaires formé d , 1 ' tre év r Nambilt

Jour, ramment le f uara se

d , puis

U n g ment des restes de

ensemble ou séparément pour tard, les hommes femmes e es vaquent au . la cuisine Le et bai so e1 commence à Les f . gnent souvent ense hl e par jeu, et parfois un l' accroupit Les vanent peu. La la , f p \JS d . sen ait f l e beso" , emmes et es enfants

1 f partent en

61 t en l au so,

1 1 1 1 . d ·u ge h Le dé 1 t au

1 . digènes échangent des

1 t mutuelles ou f Bânent , questions. Les en ants ê besognes que leurs aînées, l. ornent m mes , hant au bord des cours eau.

1 garçonnets

r es à des travaux de vannene,

èch des mstruments e mu '

quent des

V ers , . les propos deviennent

la ch le campement s

Cllll r .

Vl s, es d . et de tout ce t

On se noumt e . . es miel sauvage, chauves-' d

1 . rnée. ,,

trouve pen ant a . ées t pentes 1 . . de ssées et chacun . d

Dans un com e

. h ts et en la nwt, maIS . . prolongent u= av

1 mères serrent contre elles leur

couples s'unissent plus ~ ·eux

SI ;:e le pas léger d'un

1 î..-que par le craquement p1us

1 d' 1 urvoyeur, les aboiements n . . t ban es t e . tées ar des liens il faut distinguer celles l C. Ces bandes entretiennent des relations normalement pacifiques, bien que le contraire se produise quelquefois à la suite d'une aOEaire com merciale ou amoureuse. D'autres bandes, au contraire, sont étrangères les unes aux autres, ni alliés entre eux; elles sont originaires de

Nam·

n'étant pas un langage homogène. Ces bandes ont, les temps elles y a d'abord les femmes, que seules des Nambi orientaux, qui ignorent la poterie et dont le niveau culturel est nettement inférieur il est impossible que iln· pressionnants du Nambikuara, que celui de in- quiétantes,

Les indigènes lancent des regards

La bande qui s'approche

On discute longuement, auprès des feux, la conduite le il vaut la rencontre la brousse, et les hommes la vie Nambilwara. Les deux bandes, chacun à son tour, à une sorte de monologue prolongé, coupé d'exclamations, et débité où la voix fin de chaque mot. Le groupe animé d'intentions belliqueuses Il est malheureusement impossible de reconstituer après coup le

Des amis! De bons amis!

Nous vous comprenons! Nous sommes venus amicalement!" etc. . . . Le style oratoire est aussi employé pour les invocations naires à une réunissant ses feux sa propre exhibition et exalte celle des partenaires de rencontre: 133
avec une J ne pas ces vite dans . . le ton général s'él et la soirée n'était tion • complètement saient 11 et, malgré Je bruit . . ' ' e es se La colère Nmn1.:L -, . , au d un certain d"'-- J s les parties s, met- des Ainsi

Béchi 1 vers t..

ssant e ù uum- la nPftnnne ..... r--"" · e accrochée, bas , pour la touHe la ru.ilJ r--e . qu un caractère purement le. cache-sexe (qu'on néglige fragil rer a protection, ni même la dissim 1 . e ququotesdbs_dbs27.pdfusesText_33