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UNIVERSITÉ DE VERSAILLES SAINT-QUENTIN-EN-YVELINES ÉCOLE DOCTORALE CULTURES, RÉGULATIONS, INSTITUTIONS ET TERRITOIRES. CRIT ED 538 Laboratoire Professions, Institutions, Temporalités PRINTEMPS -UMR 8085 THESE DE DOCTORAT DE L'UNIVERSITE DE VERSAILLES SAINT-QUENTIN-EN-YVELINES SOCIOLOGIE: Présentée par : CELINE CRAVATTE Pour obtenir le grade de Docteur de l'Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines CONSOMMATION ENGAGEE, SOUCI DE L'AUTRE ET QUETE D'AUTHENTICITE. LES PRESTATIONS DE TOURISME SOLIDAIRE ET EQUITABLE Soutenue le 4 février 2013 JURY Monsieur Dominique Desjeu x, Professeur d'anthropolo gie sociale et culturelle, Université Paris 5 (Rapporteur) Madame Sophie Dubuisson-Quellier, Directrice de Recherche CNRS, Sciences-Po Paris (Rapporteur) Madame Saskia Cousin, Maîtresse de Conférences en anthropologie, Université Paris 1 (Examinateur) Monsieur Pascal Dauvin, Ma ître de Conférences en science politique, U niversité Versaill es Saint -Quentin-en-Yvelines (Examinateur) Monsieur Lucien Karpik, Professeur de Sociologie, Ecole des Mines de Paris (Examinateur) Monsieur Charles Gadéa, Professeur de Sociologi e, Université Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (Directeur de thèse) Numéro national d'enregistrement :
- 1 -Remerciements
Ce travail n'aurait pu être mené sans de nombreuses personnes auxquelles il est redevable.Je tiens tout d'abord à remercier Charles Gadéa, qui a accepté de diriger cette thèse dont il a
accompagné les différentes étapes avec une confiance sans cesse renouvelée.Cette thèse doit aussi beaucoup à différents lieux de recherche. Elle doit au laboratoire
Printemps, dans lequel a été soutenu mon DEA sous la direction de Claude Dubar, et qui a ànouveau été mon laboratoire de rattachement à partir de ma 4ème année de thèse, et en
particulier au séminaire collectifs d'engagements animé par Sandrine Nicourd. Elle doit aulaboratoire GRIS, à l'Université de Rouen ou j'ai été monitrice pendant 3 ans et aux échanges
que j'ai pu y avoir avec ses membres. Elle a été enrichie par un séjour en 2006 à la Chaire de
Développement Durable de l'UQAM de Montréal dirigée par Sophie Gendron. Elle doit enfinà la participation au séminaire à propos du tourisme co-animé par Saskia Cousin et Bertrand
Réau à l'EHESS, et à l'inscription dans le réseau de recherche Fairness à propos du
commerce équitable. Elle doit enfin indirectement aux échanges avec les collègues et élèves
de lycée où j'ai enseigné les Sciences Economiques et Sociales pendant la rédaction de cette
thèse. L'enseignement en lycée permet en effet parfois d'envisager sous un nouvel aspect certains savoirs au moment ils doivent être transmis à des lycéens néophytes. Je tiens aussi à remercier les acteurs de terrain, accompagnateurs, touristes, voyagistes qui m'ont consacré du temps lors d'échanges riches et conviviaux.Je tiens enfin à remercier les membres de mon entourage qui ont contribué à la réalisation de
ce travail, par des échanges intellectuels, un accueil pendant des temps de rédaction, ou une aide au moment de la relecture du manuscrit. Je pense en particulier à mes parents Anne-Marie et Pierre Cravatte, mes soeurs Marie et Sophie, mon frère Matthieu, mais aussi à
Damien Babet, Linda Betraoui, Sophie Bourgeois, Bénédicte Gaillard, Adèle Horaist, Elsa Lagier, Lamyne Mohamed, Léonie Mullon, Adeline Pierrat, Anne Revillard, Alfred Schwartz,Daouda Traore et Patricia Venant.
- 2 - - 3 -Sommaire
REMERCIEMENTS 1
SOMMAIRE 3
INTRODUCTION 15
Vendre une rencontre solidaire, offrir une possibilité d'agir par sa consommation 16 Qu'est ce que le tourisme solidaire et équitable ? 16Vendre la rencontre 17
Valoriser l'efficacité de l'acte de consommation 17Une perspective de recherche constructiviste 19
Des travaux questionnant la possibilité d'un tourisme alternatif 19Des travaux plus descriptifs rendant compte de décalages entre les discours tenus par les voyagistes et la
réalité 20Du questionnement sur l'expansion du marché touristique à l'analyse des cadres collectifs d'une
expérience sensible 23 Une expansion du capitalisme par la marchandisation de la rencontre ? 23Comment définir l'échange marchand ? 25
Récupération, neutralisation, ou renouvellement de la critique artiste ? 28Les études portant sur le tourisme sont historiquement marquées par la séparation entre l'étude du
regard touristique et celle du processus de mise en tourisme 31 Quelques caractéristiques originales de la pratique touristique 31Tourisme et sociétés locales : la contestation de la problématique de l'impact et de la marchandisation
culturelle 33L'étude du touriste : la quête d'authenticité, la place du mythe, de l'imaginaire et de l'émotion 35
Des pratiques touristiques différenciées à relier à des groupes sociaux porteurs 37Parvenir à articuler étude des touristes et dynamiques de développement : des institutions internationales aux
territoires 38Les études à propos du commerce équitable soulignent l'importance du travail de construction du lien
entre les producteurs et les consommateurs 42 Capter des consommateurs en attachant une qualité au produit : l'appel au marché 43La construction formelle du partenariat et du lien entre producteur et consommateur : une asymétrie des
critères de certification 44Entrer dans la forme magique de la marchandise 47
Analyser les catégories de jugement en amont des goûts équitables 49 - 4 - Les apports d'un terrain à l'intersection entre plusieurs domaines de recherche 52L'apport de la question de l'ajustement entre l'offre et la demande et de la construction des jugements des
touristes 52L'apport de la question de l'ajustement entre l'offre et la demande et de la construction des jugements des
consommateurs pour le commerce équitable 53 Consommation, expérience sensible et engagement militant 54 La consommation engagée et l'intégration des consommateurs dans des collectifs 54L'engagement militant et le rapport des militants aux organisations : des militants consommateurs ? 55
Recueillir des données pour analyser l'articulation entre critique artiste et critique sociale 58 La diversité des méthodes d'investigation utilisées, l'importance accordée au langage 58 Les entretiens auprès des promoteurs de la catégorie de tourisme solidaire et équitable 58Les entretiens auprès des touristes 59
Les observations des salons et des débats 59
Les catalogues et rapports d'association, l'enquête de clientèle 60 Période de recueil des données et évolutions récentes 61 Comment prendre en compte les pratiques des acteurs ? 62Plan de la thèse 64
PARTIE 1. LA CONSTRUCTION DE LA CATEGORIE DE TOURISME SOLIDAIREET EQUITABLE 67
CHAPITRE 1 : UNE ENTREE ATYPIQUE DANS L'ACTIVITE TOURISTIQUE :MYSTIQUE DE L'AUTRE ET BIENS DE SALUT 69
1. Entrer en tourisme pour offrir des biens de salut 70
1.1. Analyser l'activité touristique comme une offre de biens de salut 70
1.1.1. Des professionnels du récit de soi 70
1.1.2. L'activité touristique comme une confirmation 72
1.2. Révélation, engagement et prise de conscience 74
1.2.1. Le flash, l'inoubliable : " C'était un peu ce qu'inconsciemment je recherchais » 74
1.2.2. Négocier un tournant 76
1.2.3. La prise de conscience d'un manque à combler : définir la mission de l'activité. La démarche et la
conviction. 781.3. L'entrée dans l'activité touristique comme une quête d'authenticité 80
1.3.1. L'insatisfaction face à la vie quotidienne... et au système capitaliste 81
1.3.2. La mise en cohérence entre les valeurs et le travail : créer son propre travail et trouver une vocation
821.3.3. A la recherche de choses qui valent la peine d'être vécues et de souvenirs forts 83
1.4. Sublimer l'activité : ne pas faire du tourisme pour faire du tourisme 84
1.4.1. Les rétributions symboliques valorisées de l'activité 85
- 5 -1.4.2. Faire du tourisme " autrement », une forme d'apesanteur sociale ? 87
2. Individualisme, entreprenariat et engagement pour les autres 89
2.1. La figure de l'entrepreneur : aventures " individuelles », création, réalisation de soi 89
2.1.1. Inventer et tester un concept : être un découvreur et inventer son activité 90
2.1.2. Travailler seul, c'est dur : y mettre " ses » tripes et garder la foi. 92
2.1.3. S'articuler à un collectif : chercher à changer le monde 93
2.2. Mettre sa petite pierre pour changer le monde hors des partis et privilégier la relation personnelle avec un
autre à aider : l'humanisme personnaliste. 942.2.1. Soucis de l'autre et humaniste personnaliste 94
2.2.2 Un rattachement distendu au politique... et à l'engagement, malgré des expériences significatives. 95
2.3. Articuler héroïsation de soi et dévouement aux autres 99
2.3.1. Rendre compatible la réussite économique et le dévouement à l'autre 99
2.3.2. Quelques figures de référence articulent réflexivité, héroïsation, engagement au service de l'autre 99
3. Les expériences mobilisées au moment de l'entrée dans l'activité touristique 101
3.1. Expérience de l'international 101
3.1.1. Quelle socialisation à l'international ? 101
3.1.2. Capital narratif et voyageurs indépendants. 103
3.1.3. La première étape avant d'entrer dans l'activité : apprendre à connaître des partenaires et un lieu
précis ou bénéficier d'une double culture. 1053.2. Des expériences en complétant l'expérience de l'international 108
3.2.1. Des expériences passées de l'engagement associatif 109
3.2.2. Quelques expériences - souvent déniées - du monde touristique 110
3.2.3. Titres scolaires et autoformation : ingénierie et communication. 112
Conclusion du chapitre 1 115
CHAPITRE 2. LA CONSTRUCTION DE LA CATEGORIE DE " TOURISME EQUITABLE ET SOLIDAIRE » : DELIMITATION D'UN COLLECTIF FAISANTAPPEL AU CONSOMMATEUR ENGAGE 116
1. Les mondes du tourisme solidaire et équitable 118
1.1. Un tourisme Nord-Sud différent: une première mobilisation autour de Dev'Tour au milieu des années
1980 119
1.1.1. La nébuleuse de Dev'Tour au milieu des années 1980 119
1.1.2. Le coeur de l'activité de Dev'tour en question : production de savoirs et production de séjours
touristiques 1211.1.3. Dev'Tour, et les points communs avec les membres de l'ATES : l'importance de la pédagogie et de
la transformation du regard du touriste 1231.1.4. Des éléments nouveaux : vers la promotion de prestations et la mobilisation du consommateur
engagé 1251.2. Le monde du tourisme d'aventure et le tourisme responsable 126
- 6 -1.2.1. Une pratique touristique ascétique, sensible et esthète du monde 127
1.2.2. Le monde du tourisme d'aventure : quels moyens de promotion et de diffusion de la pratique ? 128
1.2.3. La mobilisation du touriste responsable et la démarche de certification 129
1.2.4. Les luttes de classement du monde du tourisme d'aventure. 133
1.2.5. Le positionnement de l'ATES dans le monde du tourisme d'aventure 135
1.3. Le tourisme comme outil d'aide au développement dans le cadre de la coopération internationale. 139
1.3.1. Un soutien déterminant d'un membre de le Direction Générale de la Coopération Internationale et du
Développement (DGCID) 139
1.3.2. Tourisme enclavé, tourisme intégré 142
1.3.3. Recenser et expertiser des projets existants pour promouvoir le tourisme comme outil de
développement 1441.3.4. Faire appel au consommateur responsable 145
1.3.5. Le tourisme comme moyen de développement local : positionnement de l'ATES 147
2. Le processus de construction du collectif de l'ATES 150
2.1. Une plate-forme d'échange portée par une initiative publique 150
2.1.1. Un positionnement de différents acteurs à propos du thème " Ethique et Tourisme » 150
2.1.2. Quels acteurs ? 151
2.1.3. Gagner en notoriété et définir une même " attitude de fond » 152
2.2. Le rôle de l'UNAT, un ancrage dans le tourisme associatif et social 153
2.2.1. Droit aux vacances et aménagement du territoire 154
2.2.2. Un lieu de rationalisation de l'activité s'opposant aux structures commerciales 154
2.2.3. Les liens entre l'UNAT et l'ATES 156
2.3. Soutenir de petits entrepreneurs associatifs en mutualisant les ressources 157
2.3.1. Soutenir de petites structures économiques et soutenir une cause ? 157
2.3.2. Qui a intérêt à s'engager dans ce collectif ? De petites structures récentes proposant des prestations
en quête de reconnaissance et de soutien 1582.3.3. Promouvoir des prestations identifiables 160
2.3.4. Partager l'agrément, assurer la promotion et la notoriété 161
3. Garantie face au consommateur et socialisation professionnelle 165
3.1. Quelles garanties face au consommateur ? La place de la certification 165
3.1.1. De la revendication d'une certification à un contrôle réciproque entre membres 165
3.1.2. S'accorder sur des critères 167
3.1.3. Renforcer les oppositions symboliques existantes : une affirmation identitaire 168
3.1.4. La certification : avantages et contraintes pour les membres de l'ATES. 169
3.2. Quelle " formation » des nouveaux entrants ? 172
3.2.1. En amont de la sélection, le rôle de référence et de circulation des conseils professionnels 172
3.2.2. Dans la jungle des différents concepts du tourisme 173
3.3. Apprendre la forme du dévouement à l'autre et mobiliser les réseaux pertinents 174
3.3.1. Les signes de reconnaissance de l'appartenance à un monde humaniste 174
3.3.2. Entrer dans le monde du tourisme solidaire ou rester à l'écart : deux parcours différents. 176
3.4. Un processus de stabilisation des pratiques et des discours ? 179
- 7 -3.4.1. Un groupe qui s'est progressivement fermé 179
3.4.2. Un rapport distendu au collectif des structures y appartenant 181
3.2.2 Entrer au sein du groupe : avoir déjà construit son activité 182
Conclusion du chapitre 2 184
CONCLUSION DE LA PARTIE I 186
PARTIE II. LE TRAVAIL D'INTERMEDIATION DES VOYAGISTES : CONSTRUIRE LA DEMANDE ET L'OFFRE DE TOURISME SOLIDAIRE ET EQUITABLE. 189 CHAPITRE 3 : SELECTION DES PARTENAIRES ET CONTENU DES VOYAGES :GOUTS TOURISTIQUES SOLIDAIRES. 192
1. Articuler demande de développement et demande des touristes : différentes déclinaisons du travail
d'intermédiation. 1941.1. Système de mise en tourisme et qualité solidaire et équitable d'une prestation. 195
1.1.1. Afficher la dimension solidaire et équitable auprès du touriste 195
1.1.2. Les critères communs que les membres de l'ATES s'engagent à respecter 196
1.1.3. Des interprétations différentes du coeur et de l'activité d'intermédiation 197
1.2. La " population locale » : une catégorie mobilisatrice connaissant différentes déclinaisons 202
1.2.1. Soutenir la " cause » de la " population locale ». 202
1.2.2. Les différentes déclinaisons de la " population locale » : l'intermédiation développementiste. 205
1.2.3. Les différentes déclinaisons de la " population locale » : l'intermédiation marchande 206
1.2.4. Les différentes déclinaisons de la " population locale » : les intermédiations centrées sur la rencontre
2061.3. Des outils de quantification de la contribution au développement 208
1.3.1. Prendre place dans les cadrages concurrents de l'objectivation de la contribution au développement
2091.3.2. La quantification : à la recherche d'une légitimité marchande 214
1.3.3. Une quantification paradoxale ? 218
2. La rencontre et l'échange au coeur de la prestation : quelles rencontres touristiques ? 220
2.1. La catégorie de population locale, une place centrale dans la qualité touristique 220
2.1.1. La population locale, la traduction touristique du " petit producteur » ? 220
2.1.2 Caractériser les " rencontres » possibles dans un cadre touristique 221
2.1.3. Le rôle central du guide ou de l'accompagnateur 223
2.2. Quelles activités et quel contenu des prestations ? S'appuyer sur des pratiques touristiques ou de
solidarité internationale préétablies 2242.2.1 La diversité du contenu possible des prestations 224
2.2.2. Infléchir le sens de pratiques classiques du tourisme culturel 229
2.2.3. Favoriser les activités participatives 231
- 8 -2.2.4. S'informer à propos des projets de développement 231
2.3. Les effets de sélection en amont de la rencontre 233
2.3.1. Qui rencontrer ? Eviter les trop grands décalages 233
2.3.2. Le tourisme, un bien convivial : ambiance du groupe, sélection des touristes, et qualité de la
prestation 2362.3.3. Un tourisme de distinction ? 238
3. Les choix réalisés lors du travail d'intermédiation : une construction conjointe de l'offre et de la
demande 2413.1. La sélection des partenaires des organisations de tourisme solidaire et équitable 241
3.1.1. A quel degré de développement touristique territorial travailler avec des partenaires ? 242
3.1.2. Travailler avec les populations " locales » et les aider à accéder au marché. 244
3.1.3. Partager un projet commun ? 247
3.2. Qui s'adapte à qui ? Le travail d'ajustement de l'offre et de la demande 250
3.2.1. Demander au touriste de ne pas se comporter en consommateur et forger son regard 251
3.2.2. Former les partenaires aux " normes occidentales » 253
3.2.3. Connaître la demande, mais quelle demande ? 254
Conclusion du chapitre 3 257
CHAPITRE 4. LA SOLIDARITE FAIT-ELLE VENDRE ? DISPOSITIFS DEJUGEMENT ET RECRUTEMENT DES TOURISTES 259
1. Quels sont les touristes potentiellement intéressés par le tourisme solidaire ? 262
1.1. Les mesures et la forme de l'intérêt du consommateur pour le tourisme durable 262
1.1.1.Enquêtes de notoriété et instabilité des cadrages concurrents du tourisme responsable ou durable 267
1.1.2. Comment les consommateurs perçoivent-ils leur responsabilité ? 268
1.1.3. Durabilité et tourisme : une notion étroitement liée à un style de tourisme particulier 271
1.2. La prise en compte de préoccupations durables ou solidaires dans le domaine du tourisme, un
comportement distinctif ? 2731.2.1. Goûts et pratiques touristiques 273
1.2.2. Peut-on identifier des propriétés sociales des consommateurs engagés? 277
1.2.3. Quelques propriétés sociales spécifiques des personnes intéressées par le tourisme durable et
responsable 2791.3 Les propriétés sociales des " touristes solidaires » 283
1.3.1. Les touristes étant partis avec les associations de tourisme responsable et solidaire : les effets des
réseaux locaux 2841.3.2. Quelques données à propos d'associations précises 284
1.3.3. Caractéristiques des touristes avec lesquels ont été faits les entretiens 286
2. Rencontre et ajustement entre l'offre et la demande: quel régime de coordination des singularités ? 291
2.1. Canaux de recrutement des touristes et dispositifs de jugement 292
2.1.1. Articuler dispositifs impersonnels et dispositifs personnels 293
- 9 -2.1.2. Les dispositifs de jugement permettant l'ajustement de l'offre et de la demande 295
2.1.3. Entre information et séduction, des dispositifs appuyés sur des mondes préexistants 301
2.2. La tension entre la maîtrise des dispositifs de jugement et l'élargissement de la clientèle 303
2.2.1. Des dispositifs de jugement dont le cadrage est essentiellement maîtrisé par les associations 303
2.2.2. Réputation du guide et réputation du voyagiste 306
2.2.3. Les comités d'entreprise : un élargissement du public qui met en danger l'ajustement entre le
touriste et la prestation ? 3092.3. Quel est le rôle joué par les prix dans le régime de coordination ? 313
2.3.1. Les limites de la comparabilité par les prix et la difficulté de la stabilisation des couples prix-
quantité 3142.3.2. La fixation des prix au regard de la concurrence : quelles contraintes, comment " bien construire son
voyage »? 3162.3.3. Y a-t-il un surcoût lié au caractère solidaire et équitable de la prestation ? 321
3. Les processus d'engagement et de formation du jugement du consommateur 326
3.1. Les processus de rencontre entre l'offre et la demande : un processus d'engagement ? 326
3.1.1. L'intérêt de l'analyse processuelle 326
3.1.2. L'offre de tourisme solidaire comme une offre d'engagement aux attentes parfois imprécises 327
3.1.3. Faire le bon choix sans comparer systématiquement ? 329
3.2. Confiance, signe, et personnalisation des échanges 330
3.2.1. Le rôle de la confiance 330
3.2.2. Des signes à la source de confiance 331
3.2.3. Personnalisation et réassurance sur les salons 332
3.3. Requalifications de l'expérience et ajustement a posteriori 333
3.3.1. Quand les touristes situent la prestation et les possibilités d'échange par rapport à d'autres
expériences touristiques. 3343.3.2. Pourquoi les touristes ayant déjà une pratique du voyage indépendant font-ils appel à un
intermédiaire ? 3353.3.3. La place de la consommation d'une prestation de tourisme solidaire et équitable à la lumière de
l'offre d'engagement de solidarité internationale : participer au développement ? 3373.3.4. La place de la consommation d'une prestation de tourisme solidaire et équitable à la lumière de
l'offre d'engagement de solidarité internationale : garder le lien avec d'autres expériences 339
Conclusion du chapitre 4 342
CONCLUSION DE LA PARTIE II 344
PARTIE III : ENCHANTEMENT DE LA " VRAIE RENCONTRE » : RITUELS,JUGEMENTS, ENGAGEMENT 347
L'enchantement, au coeur du travail touristique et de l'engagement 347quotesdbs_dbs33.pdfusesText_39[PDF] Il convient, au préalable, de réaliser un diagnostic sur l emploi des seniors qui, selon les dispositions de l article D doit comporter :
[PDF] Il ne sera admis qu un seul gain par personne et par foyer pendant toute la durée du jeu.
[PDF] Il permet d introduire une première réflexion sur le monde de l entreprise, et en particulier de la PME.
[PDF] Ils assurent la liaison entre l Assemblée fédérale, d une part, et le Conseil fédéral, d autres autorités et le public, d autre part.
[PDF] IMFBORGO. formation professionnelle continue. DIRECTEMENT ASSOCIES à l élaboration des programmes et des supports pédagogiques.
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