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RAPPORT ANNUEL
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N°4 SPECIAL-IDEF - REVUE DE LERSUMA
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de l'école et la gestion (car il y a beaucoup plus à administrer et à gérer) s'occupent du suivi des élèves
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LÉDUCATION DANS UN CONTEXTE DINÉGALITÉS ET DE
Il représente la scène scolaire dans laquelle s'épanouie l'apprentissage de tous les élèves. Véronique Hamel. Mise en page : Aude Gagnon-Tremblay. ISBN : 978-2-
VIOLENCES
L'AFRIQUE FRANCOPHONE SUBSAHARIENNE À L'ÉTUDEDIRIGÉ PAR
Jean Jacques DEMBA
Marie-Claude BERNARD
Liliane MBAZOGUE-OWONO
PRÉFACE DE
Éric DEBARBIEUX
Conception de la couverture :
En discutant sur les inégalités scolaires en Afrique francophone, l'idée d'illustrer l'éducation dans cette
région du monde en combinant une forme de carte du continent africain avec un baobab a émergé.
L'illustration fait ainsi référence à l'arbre à palabres, ce lieu traditionnel africain qui invite aux
rassemblements, aux échanges, à l'écoute et à l'expression. Les villageois de toutes les générations
s'assoient à l'ombre de l'immense arbre pour enseigner, discuter, raconter, débattre et apprendre. Au
Gabon, les étudiants universitaires utilisent le terme pour désigner le lieu où ils discutent sur leur vie
scolaire, sociale et politique. Par ailleurs, les couleurs du feuillage cherchent à donner force au concept
de l'inégalité. Idée forte, le contraste entre les couleurs chaudes des tons rouges et orangés et celui
des couleurs froides bleues et vertes veulent montrer la violence et l'agression qui résultent des
inégalités, versus le calme et l'espoir qui correspondent aux milieux scolaires dans lesquels la dignité
humaine est respectée et où élèves et enseignants et enseignantes évoluent dans un environnement
harmonieux. Le côté gauche de l'image, souvent représenté comme la part ie où se situe le passé, estmarqué par l'inégalité ; le côté droit, qui représente pour d'aucuns la place du futur, on aperçoit une
éclaircie. Il représente la scène scolaire dans laquelle s'épanouie l'apprentissage de tous les élèves.
Véronique Hamel
Mise en page : Aude Gagnon-Tremblay
ISBN : 978-2-921559-45-4
Pour citer cet ouvrage :
Demba, J J., Bernard, M-C., & Mbazogue-Owono, L. (dir.). (2020). L'éducation dans un contexted'inégalités et de violences : l'Afrique francophone subsaharienne à l'étude. Québec : Livres en
Centre de recherche et d'intervention sur la réussite scolaire (CRIRES), Québec : septembre 2020
Cette création est mise à disposition selon les termes de laLicence Creative Commons
Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International. Pour toute information et pour découvrir nos publications en libre accès, consultez notre site web : http ://lel.crires.ulaval.ca iiiTable des matières
Avant propos 5
Sylvie Barma
Préface 6
Éric Debarbieux
Introduction 8
Jean Jacques Demba
Marie-Claude Bernard
Liliane Mbazogue-Owono
Partie I : Inégalités scolaires 12
Chapitre 1 13
Filles, femmes et enseignement de la philosophie au Gabon : État des lieuxRomaric Franck Quentin d
e MongaryasChapitre 2 31
Lecture socio-historique de la différence de scolarisation des filles et des garçons en Afrique
francophone subsaharienne. Points de vue de lycéennes gabonaisesBrigitte Pulchérie Mavoungou
Chapitre 3 45
Filles et sciences au Gabon
Marthe Maroundou
Chapitre 4 67
Représentations du féminin et déscolarisation des filles : contribution à une histoire économique et
sociale de la dot chez les Eton du CamerounJean Philippe Ntede Edongo
Partie II : Violence en milieu scolaire 79
Chapitre 5 80
Violences en milieu scolaire gabonais : état des lieux, enjeux et défis pour une école en mutation
Hermine Matari
Dany Daniel Bekale
ivChapitre 6 96
Abus sexuels, abus de pouvoir et
d'autorité envers les filles à l'école en Afrique subsaharienne francophone : mieux comprendre pour agir et prévenirAnastasie Amboulé Abath
Chapitre 7 114
La violence dans l'enseignement supérieur au Gabon. État des lieux de la violence endogène à l'UOB
Orphée Martial Soumaho Mavioga
Partie III : Autres apports : Une revue de littérature et une approche méthodologique 133Chapitre 8 134
Revue de littérature sur l'inclusion scolaire à la petite enfance au Québec et au GabonFlavienne Ntsame Edjo
Chapitre 9 145
Récits de vie dans l'étude des inégalités scolaires en Afrique francophone et ailleursMarie-Claude Bernard
Jean Jacques Demba
Conclusion 160
Une scolarisation sexuée et encline aux violences : quelles perspectives éducatives et sociales pour
l'Afrique francophone subsaharienne ?Liliane Mbazogue-Owono
Présentation des auteurs et
des autrices 168 5Avant propos
Le CRIRES oriente son champ de recherche sur les facteurs scolaires à améliorer tout comme lessolutions à mettre en oeuvre par les acteurs sociaux qui interviennent à l'école pour réduire
l'abandon et l'échec scolaires. La réussite éducative et la persévérance scolaire sont au coeur des
préoccupations du centre de recherche et ses membres prennent pour acquis que l'école doit serévéler un espace de liberté et de dépassement pour les jeunes qu'elle prend sous son aile.
Le collectif, L'éducation dans un contexte d'inégalités et de violences : l'Afrique francophone
subsaharienne à l'étude, en présente une image contrastée. La persévérance scolaire y prend un tout
autre sens dans le contexte économique, social et culturel d'une Afrique francophone subsaharienneoù l'école peut paraître comme un espace de non-droit, d'inégalités et de violence. Cet ouvrage a le
courage de partager des réalités dures qui nous plongent au coeur des racines de la violence en
milieu francophone subsaharien où le passé col onialiste et tribal tient en bride des pratiquesscolaires sexistes et humiliantes. La direction du CRIRES veut souligner la nécessité de partager
librement ces résultats de recherche documentaire et de méthodes mixtes de terrain(questionnaires, enquêtes, récits de vie) qui nous renvoient une image douloureuse du vécu de
jeunes africains et africaines résilients ainsi que l'intérêt pour des recherches-action tel que proposé
par les directeurs du collectif. Ce livre se révèle un passage nécessaire pour expl iquer les inégalités etproposer des avenues porteuses d'égalité des sexes, d'égalité des chances et d'inclusion réussie dans
les espaces scolaires.Sylvie Barma
Directrice du CRIRES, Université Laval
6Préface
Éric Debarbieux
Professeur émérite
Université Paris Est Créteil
Il y a des livres importants. Cet ouvrage collectif prend place sans aucun doute parmi ceux qu'il est
urgent de lire pour mieux comprendre les défis de l'éducation au XXIème siècle. Si ces problèmes
sont ici posés dans un contexte particulier : l'Afrique francophone subsaharienne, ils concernent bienplus que cet espace géographique. Ils sont ceux qui se posent à tous les pays du monde, contre les
idéologies mortifères et populistes qui alimentent le sexisme, la violence, les inégalités.
Les chapitres qui composent ce livre prennent en effet à bras le corps ce " défi mondial » qu'est la
violence à l'école, dont les violences du sexisme et de ses conséquences inégalitaires pour la
scolarisation des filles. Les auteur.e.s pistent d'abord les stéréotypes de genre qui en sont le substrat.
C'est en effet dans la minoration du féminin que prennent place les violences masculinistes à l'école
dont un relevé sans concession est dressé : l'exemple de la notation, des moyennes sexuellement
transmissibles, du chantage exercé par certains enseignants est relié justement aux violencesexercées par les élèves eux-mêmes. Bien sûr sont évoquées les violences les plus dures, celles du viol
et des coups, violences individuelles ou collectives.Mais sont également étudiées les "
microviolences », ces " petites » violences dont la répétition forme la trame du harcèlement avec de
lourdes conséquences psychologiques et en termes d'abandon scolaire. Les violences de l'imaginaire
et les violences psychologiques et symboliques sont également largement documentées. Il convient
de signaler comment les recherches menées sont précautionneuses, avec une déontologiemagistrale. Elles donnent la parole de l'intérieur ; elles donnent la parole aux victimes elles-mêmes.
Plus qu'un discours surplombant c'est une parole sensible qui émerge dans une pluralité deméthodes dont la dernière partie de l'ouvrage dresse un inventaire basé sur une réflexion
épistémologique et éthique dont bien des chercheurs sur ces questions difficiles pourraient s'inspirer.Sur le plan de l'analyse, ces textes osent faire le saut vers les facteurs endogènes, tout en sachant les
éclairer dans leur construction socio-historique : pédagogie verticale, discours sexistes et inégalités
sociales augmentées par un effet-établissement négatif. Si la pauvreté, les insuffisances sociétales et
parentales, l'héritage postcolonial sont évoqués ce n'est pas pour tout y rapporter : certes la violencese construit en partie hors de l'école, mais on aurait tort de ne pas étudier en même temps ce qui
dépend de l'école elle -même, entre autres des attitudes des enseignant.e.s car les solutionsenvisagées passent aussi par la réforme éducative, la formation, la dotation des établissements
scolaires. Pour ma part je pense que lien fort qui est fait dans ce livre entre sexisme et violence n'est passimplement de dire que le sexisme est une violence, mais que toute violence est sexiste, liée à la
promotion de la force comme définition du masculin. C'est en cela qu'il ne s'agit pas d'une violence
seulement sexuelle - de l'homme contre la femme - mais d'une violence qui s'exerce contre bien desgarçons eux-mêmes, s'ils ne sont pas dans le modèle du " mâle fort ». Il est question aussi de penser
qu'être doux est une attitude et une valeur qui font grandir l'humain en nous, fille ou garçon ou
autre. C'est d'engagement collectif et individuel dont nous avons besoin, c'est du courage de prôner
des valeurs humanistes dans l'accueil de l'autre, de sa parole, de son intégrité physique et psychique 7en classe comme ailleurs. Cela reste un combat politique mondial pour la non-violence, l'égalité et la
solidarité et il concerne les femmes comme les hommes : par les violences sexistes les hommes seprivent aussi de leurs possibles. Si le combat des doux est le combat de Sisyphe poussant sa pierre, il
n'en reste pas moins le grand combat humain. Citons ici Virginie Despentes : " le féminisme est une
aventure collective, pour les femmes, pour les hommes et pour les autres. Une révolution bien enmarche. Une vision du monde, un choix ». Un choix ici éclairé par des recherches de la meilleure
qualité.L'éducation dans un contexte d'inégalités et de violences : l'Afrique francophone subsaharienne à l'étude
8Introduction
Jean Jacques Demba
École Normale Supérieure de Libreville
Marie-Claude Bernard
Université Laval, Québec
Liliane Mbazogue-Owono
École Normale Supérieure de Libreville
La question de réduire les inégalités et les violences scolaires dans les systèmes éducatifs reste au
coeur des préoccupations des politiques ministérielles des pays et des organisations internationalesdont notamment de l'OCDE, mais aussi l'ONU et l'UNESCO, entre autres. Même si les inégalités et les
violences scolaires perdurent encore dans les différents systèmes scolaires, elles se sont plutôt
accentuées dans certaines régions de la planète dont la plupart des pays francophones du continent
africain. Qu'il s'agisse d'égalité à l'accès à l'école, de pratiques humiliantes en particulier à l'égard de
certains groupes ethniques ou sociaux, d'égalité filles-garçons, ou encore d'abus d'ordre sexuel,
l'école, dans plusieurs de ces espaces, est considérée comme un " espace de non-droit » (Demba,
2012 ; Merle, 2005). Plus encore, elle peut être considérée comme une source de " rêves brisés » pour
plusieurs étudiants et étudiantes (Demba, 2012 ; Demba & Bernard, 2016 ; Gbetnkom, 2015 ; Lange,
2014 ; Lanoue, 2006 ; Lopsiwa, 2015 ; Matari, 2014 ; Mimche & Tanang, 2013).
Ce livre propose de documenter certaines de ces problématiques que nous présentons en trois parties
ci-après, le but étant d'amorcer, à court ou moyen terme, un projet de recherche-action visant à
promouvoir un renouvellement de pratiques scolaires, une éducation à la paix, à la citoyenneté, à
l'inclusion et à l'équité, fer -de-lance pour transformer cet " espace de non-droit » et favoriser la réussite scolaire et éducative 1La première partie aborde la question des inégalités scolaires. Cette expression fait référence au
sexisme, aux inégalités psychologiques, aux inégalités d'accès à l'école, aux inégalités de traitement
pédagogique, aux inégalités économiques, sociales et territoriales (Dumoulin, Gremion, Teixeira,
Tardif
& Fahrni, 2018). À propos du sexisme, étant donné qu'il se base sur des a priori, qui ignorent les
capacités, les opportunités et l'environnement individuels et propres à chaque personne (ONU
Femmes, 2011), il perpétue une image inégalitaire des femmes : elles sont sous-représentées dans
plusieurs filières, notamment scientifiques, leur image dans les textes et les illustrations, en particulier
les manuels scolaires, est soit absente, soit caricaturale (Ada Odzame, 2004; Ouédraogo, 1998 ; 1Comme l'ont souligné Demba et Laferrière (2016), la réussite scolaire est exclusivement associée à la
performancescolaire, notamment aux notes et au diplôme de fin de formation. Tandis que la réussite éducative,
sans exclure la réussite scolaire, se réfère au développement du plein potentiel du jeune. Elle comprend
" l'intégration de savoirs académiques, l'acquisition d'attitudes et de valeurs utiles au fonctionnement en
société, le développement des compétences nécessaires à l'insertion professionnelle et la réussite d'objectifs personnels (autonomie, bien -être, mobilité sociale, etc.) » (Demba & Laferrière, 2016, p. 10).L'éducation dans un contexte d'inégalités et de violences : l'Afrique francophone subsaharienne à l'étude
9Rajanoah, 2005; Sinigaglia-Amadio, 2010). Ces stéréotypes sexistes sont nuisibles à la réussite scolaire
et éducative, notamment la réalisation des rêves de jeunes filles et de leurs projets. Un premier chapitre, sous la plume de Romaric Franck Quentin de Mongaryas, aborde, dans unedouble perspective quantitative et qualitative, la question de la sous-représentation des filles et des
femmes en philosophie au Gabon aussi bien en situation de formation, qu'au niveau de la constitutiond'un corps disciplinaire. Un deuxième chapitre de Brigitte Pulchérie Mavoungou soulève la question
de la présence des filles et des femmes dans les filières scientifiques au Gabon, d'une part, enquestionnant le contexte socio-historique de la scolarisation des filles et des garçons en Afrique
francophone subsaharienne et, d'autre part, en menant des entretiens individuels avec des lycéennes
gabonaises. Dans la même foulée, mais en s'appuyant sur une enquête par questionnaire auprès
d'étudiantes des premier et second cycles de l'enseignement supérieur au Gabon, Marthe Maroundou
cherche à comprendre pourquoi certaines filles optent pour les séries scientifiques alors que d'autres
y renoncent. Dans un tout autre contexte, la recherche de Philippe Ntede Edongo traite d'une pratique
très courante en Afrique francophone, notamment au Cameroun, soit la dot, qui soulève des inégalités
scolaires de genre, en l'occurrence le décrochage scola ire de jeunes filles. La deuxième partie de cet ouvrage s'intéresse aux violences en milieu scolaire. En Afrique francophone, notamment subsaharienne, plusieurs travaux documentent les racines conjuguées de la violence pour lesquelles participent à la fois un lourd passé colonial avec son lot d'assujettissements etde pratiques ancestrales africaines où le recours à la violence est conçu comme une forme utile pour
cultiver les valeurs de courage et d'endurance chez l'enfant (Demba & Bernard, 2016 ; Lange, Zoungrana & Yaro, 2006 ; Marchand, 1971). Ce que certains nomment dans ce contexte la " pédagogiedu redressement » tirerait ses racines d'anciens rites initiatiques permettant le passage du jeune du
statut d'enfant à celui d'adulte au moyen d'épreuves à surmonter qui reposent sur des formes deviolence physique (Matari, 2014). Cependant, dans ces espaces, l'école est, elle-même, source de
violence, à travers des pratiques pédagogiques humiliantes (intimidation, rabaissement, châtiments
corporels, punitions diverses, évaluations déloyales, voire illégales), source d'échecs et d'abandons
scolaires. Une première contribution dans cette partie de Hermine Matari et de Dany Daniel Bekale propose,dans une approche critique, s'appuyant sur une analyse documentaire et sur une enquête qualitative
réalisée en milieu scolaire urbain gabonais, une analyse sociologique visant à dégager une typologie
des formes de violences, à mettre en exergue les facteurs favorisant son expansion et à examiner les
violences sexuelles à l'école. Dans le même contexte gabonais, Orphée Martial Soumaho Mavioga
porte un regard critique sur le phénomène de violence dans l'enseignement supérieur, notamment à
l'Université Omar Bongo, à partir d'une perspective théorique dialectique et des entretiens semi-
directifs. Dans un contexte plus global et à partir de l'approche sociologique féministe des rapports
sociaux de sexe, Anastasie Amboulé Abath tente d'éclairer, pour mieux agir et prévenir, la question
La troisième et dernière partie du livre inclut deux contributions, l'une à la revue de littérature et
l'autre à la méthodologie, sur des questions d'inégalités et de violences abordées dans les deux
premières parties. La revue de littérature porte sur l'inclusion scolaire à la petite enfance au Québec
etau Gabon d'enfants à besoins spécifiques ou particuliers, une question qui est au centre des débats
et des réflexions en éducation depuis plusieurs années. Cette recension des écrits réalisée par
L'éducation dans un contexte d'inégalités et de violences : l'Afrique francophone subsaharienne à l'étude
10Flavienne Ntsame Edjo vise à nourrir la réflexion pour des recherches futures et des interventions sur
les conditions nécessaires pour une inclusion réussie de tous les enfants dans les espaces scolaires,
notamment d'Afrique francophone subsaharienne, où la petite enfance est à ses débuts et essentiellement privée. Pour clore ce livre, un chapitre de méthodologie de Marie -Claude Bernard et Jean Jacques Demba présente la méthode des récits de vie comme l'une des avenues pouvantcontribuer à éclairer des problématiques liées à des sujets vifs à l'instar du contexte d'inégalités et de
violences en cours dans les systèmes éducatifs d'Afrique francophone subsaharienne.Références bibliographiques
Ada Odzame, G. (2004).
L'image de la femme dans le manuel scolaire de sciences du secondaire au Gabon (Essai de maîtrise en didactique non publié, Université Laval, Québec, Canada).Demba, J. J. (2012).
La face subjective de l'échec scolaire : récits d'élèves gabonais du secondaire.Libreville : Les Éditions ODEM.
Demba, J. J. & Bernard, M.-C. (2016). Pédagogies humiliantes et rêves brisés dans des récits de vie
d'élèves du secondaire au Cameroun et au Gabon. Dans G. Tschopp, & M.-C. Bernard (Eds.). Actes du panel "L'appel bio-graphique" (groupe ASIHVIF) : Pratiques du récit de vie en formation articulées à des questions d'accompagnement (p. 96-107). Québec : Livres en ligne du CRIRES. Récupéré dehttps ://lel.crires.ulaval.ca/sites/lel/files/tschopp_bernard_2016.pdf Demba, J. J. & Laferrière, T. (2016). Réussite scolaire ou réussite éducative. Savoir, 21(4), 10.
Dumoulin,C.,
Gremion, L., Teixeira, M., Tardif, S. & Fahrni, L. (2018). Les inégalités scolaires. Québec :
Presses
d e l'Université Laval.Gbetnkom,
I2015).
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