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RAPPORT ANNUEL

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La Société générale échappe à la BNP

28 août 2021 blique que privée la Roumanie connaît



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Page 35

gueilleuse Am•rique, m-me si les astronautes de la NASA y •taient accueillis “ bras ouverts ± et au prix fort ± par leurs anciens adver- saires russes. Ces 136 tonnes de ferraille sont d•sormais livr•es “ elles-m-mes en attendant le grand plongeon dans le Paci®que (Le Mondedu 27 aožt). L'affront est effac•. La prochaine station spatiale sera internationale. Ou, plutþt, am•ricano-russe avec ± ac- cessoirement ± participations eu- rop•enne, japonaise, canadienne et br•silienne. Le tout sous contrþle de la NASA.

L'histoire commence en 1961,

lorsque l'URSS humilie les Etats-

Unis en lanØant le premier homme

dans l'espace. Sous l'impulsion de

John Kennedy, l'Am•rique r•-

plique avec toute la puissancedont elle est capable. Le 21juillet

1969, Neil Armstrong •clipse Youri

Gagarine en posant le pied sur la

Lune. Les Sovi•tiques n'ont pas pu

suivre. L'explosion de leur fus•e g•ante N1-L3 sur le cosmodrome de Ba'konour le 3 juillet de la m-me ann•e leur a fait perdre d•-

®nitivement la course “ la Lune. Ils

d•cident de changer de strat•gie.

Le 19 avril 1971 est lanc•e Sa-

liout-1, premi˜re structure orbitale habitable et anc-tre de Mir.

Alors que les Am•ricains conti-

nuent leurs exploits lunaires (entre juillet 1969 et d•cembre

1972, douze astronautes fouleront

la Lune), les Russes s'attaquent “ l'orbite terrestre. Avec bien des dif®cult•s : le premier •quipage de

Saliout-1 ne pourra pas y p•n•trer,

et le second se tuera au retour, apr˜s trois semaines pass•es dans l'espace. Les trois " stations » sui- vantes, lanc•es en 1972 et en 1973, seront des •checs, mais les choses s'am•liorent ensuite. Cinq •qui- pages travailleront pour de courtes p•riodes “ bord de Sa- liout-3, 4 et 5, lanc•es successive- ment entre 1974 et 1977.Jean-Paul Dufour

Lire la suite page13

La mort de Dom Helder Camara, évêque des pauvres et frère des hommes

RIO DE JANEIRO

de notre correspondant Insupportable aux généraux-présidents qui ont régné sur le Brésil pendant plus de vingt ans, de 1964 à 1985, sa voix chaleureuse et forte s'est dé®nitivement tue dans la nuit du vendredi 27 au samedi 28 août. Dom Helder Camara, archevêque émérite d'Olinda et Re- cife, avait, depuis longtemps, conformément

à l'enseignement de l'Evangile, choisi " l'op-

tion préférentielle des pauvres ». Il restait, à quatre-vingt-dix ans, la ®gure la plus connue de la Théologie de la libération. Pendant près d'un demi-siècle, Dom Helder a incarné l'en- gagement de l'Eglise brésilienne au côté des plus déshérités. " Quand je donne de la nourriture aux pauvres, on m'appelle un saint. Quand je de- mande pourquoi ils sont pauvres, on m'appelle un communiste », rétorquait à ses détracteurs celui que l'on avait surnommé " l'archevêque rouge de Recife ». Ses ennemis l'assimilaient volontiers à un dangereux agitateur " sub- versif ». Après avoir ¯irté dans sa jeunesse avec le Mouvement intégraliste, version tro-picalisée du fascisme mussolinien, Helder Ca- mara avait ®nalement rallié le courant " pro- gressiste » de la Conférence nationale des évêques du Brésil (CNBB) dont il fut, en 1952, un des fondateurs et le premier président.

Sa prodigieuse énergie, d'autant plus

contagieuse qu'elle émanait d'une silhouette apparemment fragile, était au service d'un combat toujours d'actualité. Marginalisé, puis pratiquement réduit au silence après l'accession en 1978 de Jean Paul II au ponti®- cat, le prélat le plus célèbre du pays avait ac- cepté, la mort dans l'âme, la fermeture du sé- minaire d'Olinda qu'il avait fondé, et que

Rome tenait, peu ou prou, pour un centre

d'enseignement marxiste.

Disparu, depuis sa retraite, du devant de la

scène, Dom Helder Camara laisse une impo- sante cohorte de disciples que Jean Paul II n'a jamais réussi à mettre au pas, en dépit de multiples tentatives de réduire leur in¯uence. Téléguidée par le Vatican, l'élection, il y a deux ans, à la tête de la CNBB, de Mgr Lucas

Moreira Neves, ancien archevêque de Bahia

et primat du Brésil, qui a récemment rejointla Curie romaine, n'a guère affecté l'équilibre

au sein de l'épiscopat brésilien, où les conser- vateurs restent minoritaires.

Profondément enracinées dans les cam-

pagnes et les quartiers pauvres des grandes métropoles, les communautés ecclésiales de base représentent aujourd'hui le fer de lance de cette Théologie de la libération dont Mgr Camara fut jadis l'apôtre exalté. Cet ac- tivisme religieux a donné naissance au Mou- vement des sans-terre, qui lutte pour la ré- forme agraire et est devenu la principale force d'opposition au président Fernando

Henrique Cardoso.

Vénéré dans tout le pays, et surtout dans le Nord-Est, la région la plus pauvre du Brésil d'où il était originaire, Mgr Camara était, se- lon les confessions d'une religieuse de Recife au Jornal do Brasil, " une personne de grande vivacité, un pasteur, un prophète qui avait une vision politique et sociale du monde ».

Jean-Jacques Sévilla

Lire le portrait de Mgr Camara page12

La Société générale échappe à la BNP

bLe Comité des établissements de crédit n'autorise pas la BNP à prendre le contrôle de SG

bLe projet de créer un géant français de la banque est mis en échec bSG recherche des alliés

européens bM. Chevènement au " Monde » : " Un attentat contre l'intérêt national »

La rentr•epolitique

aPS : M. Jospin dé®nit ses " nouvelles perspectives » et ses " nouveaux chantiers » aVerts : M. Cochet critique un budget 2000 " électoraliste » aRPR : M. Sarkozy expose le programme d'un RPR adapté

à " la France

d'aujourd'hui »

Lire pages 5 et 6

À L'ISSUE de plus de onze

heures de d•lib•rations, le Comit• des •tablissements de cr•dit (Ce- cei), organe de r•gulation du sys- t˜me bancaire franØais, a d•cid•, samedi matin 28 aožt, de ne pas autoriser la BNP “ prendre une participation minoritaire dans le capital de la Soci•t• g•n•rale. Sauf recours ou surench˜re aujourd'hui improbables de la BNP, cette d•ci- sion met un terme au projet de ma- riage “ trois (BNP-Paribas-SG) lan- c• par l'•tablissement dirig• par

Michel P•bereau. Ce projet •tait

soutenu par les pouvoirs publics, qui voyaient d'un úil favorable la cr•ation d'un champion bancaire franØais.

Pr•sid• par le gouverneur de la

Banque de France, Jean-Claude

Trichet, le Cecei a jug• qu'avec

37,5 % du capital de la Soci•t• g•-

n•rale " la BNP ne détient pas de fa-

çon manifeste le pouvoir effectif de

contrôle de la Société générale ». Il a aussi conclu “ l'impossibilit• pour les dirigeants des deux •tablisse- ments de s'entendre sur une solu- tion " claire et concertée ». En®n, iln'a pas voulu prendre le risque d'une fusion forc•e qui aurait pu tourner “ la catastrophe devant la r•sistance des salari•s de la SG.

La Soci•t• g•n•rale retrouve

donc sa libert•. La tentation sera grande pour elle de vouloir s'allier rapidement “ un autre •tablisse- ment librement choisi. Son PDG,

Daniel Bouton, a clairement laiss•

entendre qu'il chercherait des al- liances europ•ennes.

Cette perspective a provoqu•

une r•action virulente du ministre de l'int•rieur, Jean-Pierre Chev˜- nement. Sollicit• par Le Monde, il d•nonce " un véritable attentat contre l'intérêt national », s'in- qui˜te d'une " Société générale ex- posée au raid des prédateurs étran- gers »et critique un " comité de banquiers irresponsables et indé- pendants de toute instance démo- cratique ». M. Chev˜nement stig- matise en®n une d•cision qui "en dit long sur la déliquescence de l'Etat ».

Lire pages 14 et 15

et notre éditorial page 13

LeMondeJob: WMQ2908--0002-0 WAS LMQ2908-2 Op.: XX Rev.: 28-08-99 T.: 10:31 S.: 111,06-Cmp.:28,11, Base : LMQPAG 25Fap: 100 N

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INTERNATIONAL

LE MONDE / DIMANCHE 29 - LUNDI 30 AOÛT 1999

147 000 orphelins en situation d'urgence

BUCAREST

de notre correspondant " Nihil sine Deo », lit-on sur une petite pancarte au- dessus du bureau de Sorina Chivoiu, directrice du centre Pinocchio qui accueille les enfants abandonn•s de Buca- rest. En effet, " rien ne semble possible sans Dieu » dans ces pauvres •tablissements datant de l'•poque Ceauses- cu. Pourtant le centre Pinocchio ± quatre-vingts enfants dans des chambres de douze “ seize lits ± est l'un des meilleurs •tablissements publics pour enfants abandon- n•s. Ici, ils ont au moins de quoi manger. L'enthou- siasme des jeunes assistants sociaux compense pour l'instant leur salaire symbolique : 450 francs par mois. " Mon salaire est si d•risoire, explique l'administrateur, Sorian Dobre, que j'avais l'intention de d•missionner un mois apr˜s mon embauche. Mais les enfants m'ont fendu le cúur,j'ai d•cid• de rester. » Dix ans apr˜s la chute de Ceausescu et la mobilisation d'une extraordinaire aide internationale aussi bien pu- sieurs semaines, une nouvelle crise des orphelinats :

600 institutions qui accueillent quelque 147 000 enfants

abandonn•s. La loi sur la d•centralisation, entr•e en vigueur au d•- but de l'ann•e, a transf•r• la gestion de ces institutions des minist˜res aux autorit•s locales. Mais, avec la pro- fonde r•cession •conomique qui frappe la Roumanie depuis trois ans, la collecte des impþts est al•atoire. Les mairies se retrouvent dans l'impossibilit• de ®nancer les orphelinats (lire ci-contre). Cette crise, qui met en dan- ger la vie de milliers d'enfants, a replong• la Roumanie dans la logique de l'aide humanitaire d'urgence. " La d•- centralisation est bonne pour la prise de d•cision, mais, dans le contexte de la crise •conomique roumaine, elle produit des effets pervers », s'insurge Edith Lhomel, pr•- sidente d'Op•ration Villages roumains. Le premier ministre chr•tien-d•mocrate, Radu Vasile, a demand• “ la Commission europ•enne, dans une lettre dat•e du 26 mai, une aide d'urgence de 26 millions d'euros (170 millions de francs). En guise de r•ponse,

FranØois Lamoureux, charg• des pays de l'Est “ laCommission, n'a pas m"ch• ses mots. Il a rappel• au

gouvernement roumain que l'adh•sion de la Roumanie “ l'Union europ•enne serait conditionn•e par la solu- tion apport•e au probl˜me des enfants abandonn•s. De

1990 “ 1997, Bruxelles a investi 400 millions de francs

dans la protection de l'enfance en Roumanie. " Cette somme n'a pas b•n•®ci• aux enfants abandonn•s,mais aux interm•diaires occidentaux charg•s par les services de la Commission d'ex•cuter le programme », lit-on dans le dernier rapport de l'association franØaise Solidarit• En- fants roumains abandonn•s.

FONDS VOLATILISÉS

Ces accusations doivent -tre nuanc•es : le r•gime de l'ex-pr•sident Ion Iliescu, en place jusqu'“ la ®n 1996, n'a jamais fait des enfants abandonn•s une priorit•. Et les fonds europ•ens se sont souvent volatilis•s dans les rouages de l'administration roumaine. C'est apr˜s la vic- toire d'une coalition de centre-droite que la Commis- sion europ•enne a pu imposer “ la Roumanie la cr•a- tion d'un d•partement pour la protection de l'enfant. Mais, aujourd'hui encore, une pl•thore de minist˜res et d'organismes publics ont la charge de la diversit• des institutions qui accueillent les enfants, et ne commu- niquent gu˜re entre eux. " Nous exigeons du gouvernement roumain la cr•ation d'une autorit• unique qui puisse assurer une r•forme co- h•rente », d•clare avec d•termination Fokion Fotiadis, le d•l•gu• de la Commission europ•enne en Roumanie. En •change, la Roumanie devrait b•n•®cier d'une aide de 35 millions d'euros (230 millions de francs) pour trai- ter les urgences. La France a d•bloqu• 4 millions de francs destin•s aux organisations non gouvernemen- tales pr•sentes sur le terrain. La Banque mondiale est pr-te “ octroyer 30 millions de francs. Mais c'est aux au- torit•s roumaines d'assumer le reste de l'addition. Rien que pour assurer la survie des orphelinats sur une an- n•e, il faudrait environ 1,5 milliard de francs (230 mil- lions d'euros).

Mi. B.

BUCAREST

de notre correspondant " J'ai tr˜s mal “ la t-te, comme si j'avais sans cesse le vertige, balbutie

Vasile, cinquante-quatre ans, admis

depuis quelques jours “ l'hþpital des maladies infectieuses de Buca- rest. Je ne comprends pas, moi qui n'ai jamais eu de probl˜me “ la t-te.

On m'a dit que c'•tait “ cause d'un

virus. »Sur la ®che de Vasile, le m•- decin a not• " m•ningite virale ».

Comme lui, plus de trois mille

Roumains, en majorit• des enfants

et des jeunes, sont touch•s, depuis un mois, par cette maladie conta- gieuse. L'•pid•mie •volue rapide- ment, avec, en moyenne, une tren- taine de nouveaux cas par jour. " Nous sommes encore dans la phase ascendante, explique Adrian

Streinu, directeur de l'hþpital. La

cause de cette maladie, c'est la mi- s˜re qui nous entoure. Environ 80 % des rivi˜res de Roumanie sont pol- lu•es et pr•sentent un risque d'infec- tion tr˜s s•rieux. »

Outre la m•ningite, les Roumains

ont “ faire face, depuis deux se- maines, “ une •pid•mie de conjonctivite, •galement due “ un virus. Un millier de personnes sont atteintes, et le service des urgences recense une dizaine de nouveaux cas tous les jours. La directrice de l'hþpital d'ophtalmologie de Buca- rest, Monica Pop, s'est vuecontrainte de faire appel aux m•- dias pour diriger les Bucarestois vers d'autres cliniques. L'hþpital qu'elle dirige ne peut plus faire face

“ la demande des gens qui sou-

haitent effectuer un contrþle oph- talmologique.

Par ailleurs, c'est maintenant

l'h•patite A qui risque de faire des d•g"ts. Pour l'instant, on signale environ 200 cas d'enfants atteints.

Mais leur nombre va se multiplier

et menace d'emp-cher la rentr•escolaire, pr•vue le 1 er septembre. En

Moldavie, les autorit•s locales ont

d•j“ d•cid• de la repousser de deux semaines. Selon le minist˜re de la sant•, sur les 27 500 institutions d'enseignement du pays, la moiti• ne disposent pas d'autorit• sani- taire pour fonctionner.

C'est dans le milieu rural que le

risque de contagion est le plus im- portant. Il y a encore beaucoup d'•coles, dans les villages, qui n'ont ni l'eau courante ni canalisations.L'hygi˜ne est affaire d'improvisa- tion “ tout moment, et les r•sultats sont d•plorables. Ce n'est pas un hasard si le noyau dur de cette s•- rie d'•pid•mies se trouve en Mol- davie, r•gion situ•e “ l'est du pays et r•put•e pour sa pauvret•. Pour compl•ter ce sombre tableau, les autorit•s locales de Galatzi, ville si- tu•e en Moldavie, sur les rives du

Danube, ont signal•, au d•but de la

semaine, deux cas de ®˜vre ty- pho'de, une maladie que la Rou-manie ne connaissait plus depuis la guerre.

Les m•decins ne cessent de tirer

la sonnette d'alarme contre ce qu'ils appellent " les maladies de la mis˜re ». " Je n'ai pas le sentimentquotesdbs_dbs27.pdfusesText_33
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