[PDF] [PDF] Le monde ne cesse de surbaniser Il devient majoritairement - Ined





Previous PDF Next PDF



Maîtriser les effets pervers de létalement urbain

maîtriser les effets négatifs de l'étalement urbain. En pratique les l'étalement urbain augmente les coûts d'urbanisation.



Lurbanisation mondiale en perspective positive

Pour les optimistes les avantages potentiels des villes excèdent largement leurs désavantages. Développement urbain est



FACTEURS DE MIGRATION ET DURBANISATION EN AFRIQUE

L'urbanisation peut avoir des effets à la fois positifs et négatifs sur la santé des migrants et des familles. • Les principaux avantages sont liés à un accès 



Les effets de lurbanisation

Les effets de l'urbanisation. Le recours au remblaiement des zones humides est fréquent pour la réalisation de projets d'urbanisation (construction de 



URBANISATION ET SANTE: APERÇU DE LA SITUATION MONDIALE

Il s'en est suivi une dégradation de l'environne- ment urbain et une réduction des services pub- lics avec des effets négatifs sur la santé



La biodiversité et lurbanisation - Guide de bonnes pratiques sur la

18 déc. 2008 Un nombre croissant d'études documente l'effet positif que peuvent avoir les espaces verts et la biodiversité sur la santé des citoyens.



Lurbanisation mondiale : bienfait ou fléau ? Julien Damon

l'urbanisation de nombre de pays en développement va se poursuivre. Au total comme disent les économistes



Présentation PowerPoint

26 mai 2021 II-Identifier les effets négatifs de l'urbanisation et de l'urbanisme sur le paysage. 1-La privatisation du paysage.



Territoires Écologiques Année 2019-2020 - Impact de lurbanisation

sur les diamètres des fleurs. La surface et la densification ont un effet positif sur cet attribut au même titre qu'une forte gestion (les gestions moyennes et 



Urbanisation et santé: limportance de la biodiversité

20 juil. 2017 Les mesures physiologiques suggèrent ainsi une plus grande détente lors de la vue des scènes naturelles qu'urbaines et un effet plus positif ...



[PDF] Lurbanisation mondiale : bienfait ou fléau - Julien Damon – – – Éclairs

l'urbanisation de nombre de pays en développement va se poursuivre Au total comme disent les économistes les externalités de la ville sont positives



Lurbanisation – économiquement et écologiquement – durable fait l

26 jui 2009 · Si cette urbanisation a contribué à la croissance économique elle a contribué au changement climatique à la pollution à la congestion et 



Urbanisation : définition évolution du phénomène causes et

25 avr 2023 · En effet on constate que globalement dans les pays développés les populations vivant en ville sont plus « durables » que celles qui vivent à 



Lurbanisation mondiale en perspective positive Cairninfo

Pour les optimistes les avantages potentiels des villes excèdent largement leurs désavantages Développement urbain est à bien des égards synonyme de 



[PDF] URBANISATION ET SANTE: APERÇU DE LA SITUATION MONDIALE

Les moteurs de la croissance urbaine sont les problèmes de chômage l'évolution des struc- tures de production et de commercialisation les effets directs et 



Lurbanisation : un outil de développement - the United Nations

le Dr Clos parle des effets de l'urbanisation en Afrique et d'Habitat III Donc selon vous l'urbanisation peut procurer des avantages ? En effet



[PDF] LURBANISATION - ECA Repository

et des retombées positives qui améliorent la productivité et le bi- en-être En particulier les effets d'agglomération et les gains de



[PDF] LurbaniSaTion Du monDE unE chancE Pour La FrancE - Fondapol

Sous l'effet conjugué de la croissance démographique et de l'urbanisation huit pays émergents a produit des effets positifs en termes de dialogue



[PDF] Causes et conséquences dune urbanisation rapide dans une

15 sept 2013 · les autorités locales trouvent certains avantages à favoriser l'urbanisation rien ne les incite à prendre des mesures en faveur de l'éga-



[PDF] Le monde ne cesse de surbaniser Il devient majoritairement - Ined

l'urbanisation de l'Afrique aujourd'hui est-elle comparable à celle de l'Europe hier ? mondiale vivant dans des villes on peut voir un effet du déve-

  • Quels sont les avantages de l'urbanisation ?

    Le rapport indique que l'urbanisation a contribué à la croissance économique, qu'elle a également contribué aux défis environnementaux et socio-économiques, y compris le changement climatique, la pollution, les embouteillages, et la croissance rapide des bidonvilles.26 jui. 2009
  • Quels sont les avantages de l'urbanisation en Afrique ?

    L'urbanisation favorise le développement inclusif tout en améliorant le bien-être des populations en faisant progresser le revenu disponible. L'agglomération, on l'a vu, permet la fourniture de biens publics indivisibles plus adaptés tels que les transports en commun ou les moyens de communication.
  • Quel est le but de l'urbanisation ?

    L'urbanisation est un mouvement historique de transformation des formes de la société que l'on peut définir comme l'augmentation du nombre d'habitants en ville par rapport à l'ensemble de la population. C'est donc un processus de développement des villes et de concentration des populations dans celles-ci.
  • Les zones urbaines n'affectent pas seulement les modèles météorologiques mais aussi ceux des schémas d'écoulement des eaux. Les zones urbaines génèrent en général plus de pluies, mais elles réduisent l'infiltration des eaux et font baisser les nappes phréatiques.

Introduction

Le monde ne cesse de s'urbaniser. Il devient majoritairement urbain. Les métropoles sont toujours plus nombreuses. Leur population ne cesse de croître et elles consomment toujours plus d'espace. Ce phénomène urbain apparaîtaujourd'hui comme majeur aux yeux de ceux qui analysent les interactions entre popula- tion, environnement et développement,àl'échelle de la planète commeàcelle d'unitésgéographiques plus restreintes. Majeur, ce phénomène reste toutefois difficileàcaractériser, dès lors qu'il est considéréavec attention. Par exemple, dans quelle mesure l'urbanisation de l'Afrique aujourd'hui est-elle comparableà celle de l'Europe hier ? La différence entre taux d'urbanisation tient-elle seulementàun décalage temporel ou existe-t-il une nouveautéradicale des processus actuellement observables dans les pays en développement ? Le monde urbain, dominépar l'artifice, lieu de concentra- tion de l'industrie puis des services,était classiquement opposé au monde rural, restéproche de la nature et tournéprincipale- ment vers l'agriculture, ainsi que vers l'artisanatetlapetite industrie. En opposant villes et campagnes, on opposait aussi une représentation de la tradition et de la modernité.Tony

Champion et Graeme Hugo [2004]

1 ont donnéune présenta- tion des stéréotypes, dans la comparaison faite entre populations

1. Les références entre crochets renvoientàla bibliographie en fin d'ouvrage.

urbaines et rurales : domination des secteurs d'activitéécono- mique secondaire et tertiaire en milieu urbain, du secteur primaire en milieu rural, salaires plusélevés, meilleur niveau d'éducation, meilleur accès aux services etàl'information dans les villes, féconditéet mortalitéplus basses, moindre conserva- tisme politique et population plus hétérogène d'un point de vue ethnique que dans les campagnes. La ville se caractériserait aussi par une immigration nette et la campagne par uneémigration nette. Mais cette opposition radicale entre deux"mondes»,l'un rural attachéàdes valeurs etàdes pratiques traditionnelles, et l'autre, urbain, tournérésolument vers l'avenir, a perdu de sa pertinence : cette distinction entre ville et campagne n'est pas figéeetonpeutenfairel'histoire. Le remarquable essor des transports et l'omniprésence des moyens de communication de masse - on a pu parler de la"mort de l'espace»avec le dévelop- pement de l'information - font en particulier qu'il convient mieux de comparer villes et campagne en termes de différences plutôt que d'opposition. Les villes sont aussi diverses. Entre des regroupements de quelques milliers, voire de quelques dizaines de milliers d'habitants, et des mégapoles rassemblant sur un même lieu plus de 10 millions de personnes, qu'y a-t-il vraiment de commun ? Et les villes mondiales, dans quelle mesure sont- elles comparables aux autres cités? L'urbanisation du monde est, de manièreévidente, une tendance lourde, particulièrement structurante. Toute réflexion sur ce que peutêtre un développement durable de la planète conduit inévitablementàune interrogation sur l'avenir des villes. Les modèles de consommation des citadins et, plus géné- ralement, leurs modes de vie tendentàse généraliser : les popu- lations rurales - et particulièrement les jeunes - aspirent alors

àvivre comme en ville.

Tout le monde s'accordeàreconnaître que les villes des pays développéscommecellesdespaysendéveloppement devront être"durables»,maisqu'entend-on exactement par"ville durable»?Àuneéchelle locale, une telle ville doit permettre aux citadins de vivre mieux : il importe donc d'améliorer l'habitat et les transports, de même que l'environnement urbain. Mais la

L'URBANISATION DU MONDE4

question des villes durables se pose aussiàuneéchelle mondiale, en particulieràtravers les effets des pollutions urbaines sur le changement global. Une part vraisemblablement toujours croissante desêtres humains vivra en milieu urbain. Cela ne doit pas faire oublier que plusieurs milliards d'individus continueront d'habiter en zone rurale. Ce qui importera donc, dans la perspective d'un développement durable de la planète, tout autant que les futures conditions de vie des citadins ou la pression que les villes exer- cent sur l'environnement, ce seront les relations entre les villes etlemonderural.Ilexisteenréalitéde très nombreuses manières d'envisager le fait urbain [Paquotet al., 2000] : ce sont bien les relations entre population, urbanisation et développe- ment qui seront privilégiées ici.

INTRODUCTION5

I / Vers une planète de citadins

En 1950, moins d'un tiers de la population (29 %)était urbain. Un peu plus d'un demi-siècle plus tard, la moitiéde la popula- tion mondiale vit dans des villes. Selon les projections des Nations unies, le taux d'urbanisation de la planète dépasserait

60 % en 2030 [United Nations, 2004].

Dans cette croissance continue de la part de la population mondiale vivant dans des villes, on peut voir un effet du déve- loppement, si le postulat selon lequel urbanisation et dévelop- pement vont de pair est acceptable. Mais l'attraction des villes peutêtre très largement indépendante de la croissanceécono- miqueoududéveloppement. L'urbanisation peut aussi se nourrir du caractère répulsif des campagnes. Ce phénomène serait alors inéluctable et, en tout cas, autonome.

Un sens de l'histoire ?

Urbanisation et civilisation

Le démographe Nathan Keyfitz [1996] affirmaitéprouver une difficultéàconcevoir un développementéconomique, poli- tique et social dans des campagnes sans villes. Il est vrai que les grandes civilisations du passéontétéindissociables de l'histoire de villes particulières (Harappa, Athènes, Rome, Teotihuacán, Constantinople, etc.). Mais la relation entre essor des villes et progrèséconomique et social est-elle vraiment de nature causale ou historiquement datée ? Le progrèsécono- mique s'accompagne-t-il nécessairement d'un développement des villes ? Et la réciproque est-elleégalement vraie ? Urbanisa- tion et développement sont-ils unis par une forte relation d'interdépendance ? Dans son livreDe JérichoàMexico. Villes etéconomie dans l'histoire, Paul Bairoch [1985] considérait que,àl'échelle de l'histoire de l'humanité,"il n'y [avait] pas de réels progrèsde civilisation sans villes»et que, compte tenu du lienétroit entre ces deux phénomènes,"il n'y [avait] pas [non plus] de villes sans civilisation». Mais qu'en est-il aujourd'hui ? Entre urbani- sation et développement, l'interaction est-elle toujours posi- tive ? Paul Bairoch lui-même ne le pensait pas :àpropos des pays en développement, il parlait d'une"inflation urbaine»et d'une "urbanisation sans développement»[Bairoch, 1996]. La relation entre croissance démographique et urbanisation peut faire l'objet d'une analyse aussi bien historique que statis- tique. Cette dernière sera présentée ultérieurement. Mais voyons dans quelle mesure l'essor des villes aété, au cours de l'histoire, synonyme de"progrès». Lewis Mumford [1961], qui faisait naître les villesàla fin de la période néolithique, affirmait que l'accroissement de la population aétéun facteur d'urbanisa- tion sansêtre pour autant le seul : la croissance démographique, notait-il alors, n'aurait pas suffiàtransformer un"village»en une"ville». Pour que des villes puissent se développer, il fallait, selon lui, que les hommes en viennentàdépasser les questions de simple survie. Mais, selon Lewis Mumford, la ville n'était pas seulement une agglomération urbaine ; elleétait tout autant la "représentation symbolique d'un monde nouveau». Le développement de villes importantes, qui ont pu jouer un rôleéconomique et politique majeuràcertainesépoques de l'histoire, ne doit toutefois pas faire oublier que les populations sont restées, pendant des millénaires, essentiellement rurales.

L'URBANISATION DU MONDE8

Invention de l'agriculture et premières cités Dans sa présentation de l'histoire urbaine sur cinq millé- naires, Paul Bairoch [1996] distingue quatre phases essentielles. La première démarre avec la révolution néolithique, la deuxième avec la"révolution urbaine»,latroisième avec la révolution industrielle et la quatrième correspondàl'urbanisation actuelle des pays en développement. L'invention de l'agricultureétait un préalableàl'urbanisa- tion : l'augmentation de la production alimentaire par unitéde surface a permis de dégager un surplus alimentaireéchan- geable et, dans le même temps, un accroissement des densités de population. Toutefois, l'existence d'un surplus ne suffisait pas pour qu'il y ait changement ; encore fallait-il qu'il y ait une demande faceàcette offre. Or, d'une part, avec la distance, la valeuréconomique de ce surplus diminue et, d'autre part, la demande doitêtre solvable. Sans la révolution néolithique, l'urbanisation eûtétéimpossible : un territoire plus vaste que celui de la Grande-Bretagne auraitéténécessaire pour nourrir une ville de 1 000 habitants. L'agriculture n'a pas induit de manière immédiate une urbani- sation mais elle en a constituéune condition préalable. Apparue au Moyen-Orient dans la période comprise entre-8500 et -8000, en Amérique quinze cents ans plus tard et en Europe deux mille ans plus tard, l'agriculture précède ce qui est consi- dérécomme une première forme d'urbanisation et qui est nommé"proto-urbanisation». Les villes de cette période sont qualifiées de"citéspré-urbaines»;Jéricho enétait une des premières. Déjàfondée autour de l'an-7800, Jéricho contenait des maisons en pierre entourées d'une enceinte ; on estime qu'elle comptait entre 1 000 et 2 000 habitants, soit moins d'habitants que le seuil minimum requis pour qu'une commune soit aujourd'hui classée, en France, comme urbaine. Les critères couramment admis pour caractériser ces cités concernaient la spécialisation des tâches (présence d'un arti- sanat), la matérialisation d'une fermeture de la ville (fortifica- tions, enceintes), la taille et la densitéde peuplement, la structure urbaine de l'habitat (maisons en dur, rues) et la

VERS UNE PLANÈTE DE CITADINS9

durabilitéde l'agglomération (par oppositionàun campe- ment). Mais la naissance de véritables villes, c'est-à-dire la"véri- table urbanisation», serait beaucoup plus tardive.

La"révolution urbaine»

Selon Childe, citépar Paul Bairoch, il y aurait eu une"révo- lution urbaine»dans les années 3500-3000 av. J.-C. et elle se serait produite au Moyen-Orient. Tandis que les villages du néolithique ne comptaient que de

200à400 habitants, les villes qui se développent alors peuvent

voir leur population atteindre 20 000 habitants. L'artisanat et les formes d'organisation sociale et politique sont beaucoup plus élaborés. Les cités sumériennes, Our en particulier, dont la popu- lation en-2700 est estimée entre 20 000 et 30 000 habitants, marquent le début de cette deuxième période que Paul Bairoch fait durer jusque vers 1700. L'historien de l'économie voit une continuitédans cette période couvrant plusieurs millénaires, dans la mesure oùil s'agit dans tous les cas de sociétés tradition- nelles préindustrielles. D'un point de vue numérique, on peut toutefois constater une évolution notable de la population urbaine au cours de cette période (tableau 1). En 3000 av. J.-C., le monde comptait, estime-t-on, de 1à2 millions de citadins, pour une population totale comprise entre 40 et 70 millions d'habitants. Le taux d'urbanisationétait alors de l'ordre de 2 %à4 %. En 1700, soit quelque cinq mille ans plus tard, la population mondiale dépas- sait un demi-milliard d'habitants ; le nombre de citadins se situait alors entre 60 et 80 millions, et le taux d'urbanisation du monde avoisinait 10 %. Les valeurs maximales du taux d'urbani- sation des sociétés traditionnellesétaient de 10 %-15 %, avec le critère d'une concentration d'au moins 5 000 habitants pour définir une ville, et de 15 %-20 % si le critèreétait une popula- tion de plus de 2 000 habitants. L'Europe, entre 1300 et 1700, ne se serait guère urbanisée, mais les disparités dans les niveaux d'urbanisation restèrent tout au long de cette période particulièrement fortes (tableau 2). L'Espagne et l'Italie connurent une urbanisation précoce (taux

L'URBANISATION DU MONDE10

Tableau 1.Urbanisation du monde,

en l'an-3000 et en l'an 1700 -3000 1700

Population totale (en millions) 40-70 560-720

Population urbaine (en millions) 1-2 60-80

Taux d'urbanisation (en %) 2-4 9-11

Note:lecritère retenu est celui de villes de plus de 5 000 habitants. Le critère de

2 000 habitants conduiraitàaccroître les chiffres de quelque 34 %-45 %.

Source: Bairoch [1996].

Tableau 2.Taux d'urbanisation de quelques pays européens en 1300 et en 1700

Pays 1300 1700

Allemagne 8 8

Espagne 22 20

France 8 12

Italie 21 23

Pays-Bas 14 39

Royaume-Uni 4 12

Pays scandinaves 1 5

Pologne 2 4

Russie d'Europe 5 5

Europe totale 10 11

Source: Bairoch [1996].

supérieursà20 % en 1300) tandis que,àcette même date, les pays scandinavesétaient essentiellement ruraux. En 1700, lesquotesdbs_dbs6.pdfusesText_11
[PDF] les elargissement de l'ue

[PDF] les élargissement de l'union européenne

[PDF] les élèves à passer d'une reconnaissance perceptive (« ça ... Mémoriser le vocabulaire spécifique : côté

[PDF] Les élèves observent que la variation entre la phrase a et la phrase b s'explique par le temps de la principale : le présent (> futur dans la compléti

[PDF] Les élèves ont ils fait ce que la maîtresse a demandé à Pour chaque enfant

[PDF] les élus locaux au maroc

[PDF] les élus locaux qui sont ils

[PDF] les embrayeurs de l'énonciation

[PDF] les emeutes des banlieues en france

[PDF] les emplois de l'avenir

[PDF] les emplois de l'imparfait

[PDF] les emplois de l'impératif

[PDF] les emplois de l'indicatif

[PDF] les emplois de l'infinitif

[PDF] les emplois de la banque