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Règlement sur le régime des études collégiales (RREC) publié
18 févr. 2008 Le « DEC sans mention de programme » décerné a posteriori à un moment où ... nous nous attendions à ce que la définition de « cours ».
Accord franco algérien du 27 décembre 1968
rendant en France sans intention d'y exercer une activité professionnelle salariée Le certificat de résidence d'un an portant la mention « vie privée et ...
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Institutional Policy on the Evaluation of Student Achievement (IPESA)
3) means three hours of class two hours of lab and three hours of outside class the request
DEC.2-12-389.FR.c2.pdf
2) Etiquetage nutritionnel : toute mention ou autre indication visant à informer le Cette définition ne couvre pas les produits emballés sur le lieu.
Algerie - Loi n°19-14 du 11 decembre 2019 portant loi de finances
11 déc. 2019 (sans changement jusqu'à) à des personnes non établies en Algérie. Page 8. JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE ALGERIENNE N° 81. 3 Joumada El Oula ...
Règlement no 10
4 Source : définition inspirée de la politique d'intégrité en recherche du Un DEC sans mention peut également être accordé et pour y être admissible un.
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Ce document est une liste non exhaustive et seulement à titre indicatif des baccalauréats accessibles avec un DEC quelle que soit la discipline
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Diplome détudes collégiales (DEC) - Inforoute FPT
Le diplôme d'études collégiales ou DEC est délivré par le ministère de l'Enseignement supérieur (MES) et est décerné pour des études techniques ou
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6 2 2 Diplôme d'études collégiales général (DEC sans mention) a) L'étudiant a été admis en conformité avec le règlement d'admission en vigueur dans un
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conditions reliées à l'obtention d'un DEC général aussi appelé DEC sans mention telles que définies dans le Règlement sur le régime d'études collégiales
Diplôme détudes collégiales - Wikipédia
Le diplôme d'études collégiales (DEC) est un document officiel québécois décerné par le ministre de l'Éducation ou le ministre de l'Enseignement supérieur
Admission conditionnelle à lobtention du DEC - Étudiants - UQO
Selon la politique d'admission conditionnelle à l'obtention du DEC appliquée par l'UQO vous devez fournir la preuve de l'obtention de votre diplôme
Comment faire la demande d'un DEC sans mention ?
Si vous faite une demande d'admission sur la base d'un DEC sans mention, ce sera plutôt votre cote R globale qui sera utilisée. Dans la majorité des cas, c'est l'université qui vous convoque en vous faisant parvenir une lettre, un courriel ou en vous téléphonant.Quelle est le DEC ?
Ultime diplôme de la filière, le diplôme d'expertise comptable se prépare en 3 ans après un bac + 5 et permet d'exercer en tant qu'expert-comptable ou de se préparer au métier de commissaire aux comptes.Quand Obtient-on le DEC ?
Diplôme d'études collégiales (DEC)
Généralement, de 3 à 4 mois après la fin de leurs études, les étudiants ayant respecté les conditions associées à leur programme d'études techniques ou préuniversitaires ainsi que celles prévues dans le règlement se verront décerner leur DEC par le Ministère.- Si vous ne détenez pas de DEC ou l'équivalent, vous pourriez être admissible au programme d'Année préparatoire aux études universitaires, qui vous permettra, lorsque vous l'aurez complétée, d'accéder à la grande majorité de nos programmes de 1er cycle. D'autres bases d'admissibilité peuvent s'appliquer.
DM-25216
Montréal, le 18 février 2008
Madame Nicole Boutin
Présidente
Conseil supérieur de l'éducation
1175, avenue Lavigerie, bureau 180
Québec (Québec) G1V 5B2
Objet : Avis de la Fédération des cégeps sur le projet deRèglement modifiant le
Règlement sur le régime des études collégiales (RREC) publié dans la Gazette officielle du Québec le 16 janvier 2008Madame la Présidente,
En réponse à l'invitation que vous m'avez adressée le 16 janvier dernier, je souhaite par la
présente vous transmettre l'avis de la Fédération des cégeps sur le projet de Règlement
modifiant le Règlement sur le régime des études collégiales (RREC) qui a été publié dans la Gazette
officielle du Québec le même jour. Il s'agit d'un avis favorable puisque nous sommes en accord avec l'ensemble des changements envisagés, dont nous avions nous-mêmes proposé certains et que nous attendions depuis un moment déjà. Nous sommes convaincus qu'ils peuventcontribuer à améliorer l'accès des Québécoises et des Québécois à l'enseignement supérieur
tout en appuyant les efforts constants des collèges pour adapter la formation qu'ils offrent aux besoins de la population et de la société.L'admission au collégial
Nous sommes d'accord avec les deux modifications proposées pour l'admission. La première, l'admission conditionnelle, vise des élèves de 5e secondaire ou de la formation professionnelle qui sont déjà admissibles aux études collégiales - ils ont fait leur demande le 1 er mars et ontdéjà été acceptés sous réserve d'obtenir leur diplôme de fin d'études - mais qui butent en fin
de parcours sur un cours, parfois deux, pour des raisons très variables d'un individu à l'autre, ce
qui les empêche de décrocher leur DES ou leur DEP. Actuellement, ces élèves doivent reprendre
le ou les cours échoués, au secteur des adultes du secondaire la plupart du temps, et refaire une
demande d'admission au cégep pour la session suivante - certains programmes collégiauxn'étant offerts qu'à l'automne, l'inscription doit même dans certains cas être reportée d'une
année entière. Leur projet d'études collégiales est donc interrompu, ils perdent du temps, ils se
retrouvent en décalage par rapport à leurs pairs, des facteurs qui jouent de façon négative sur
leur motivation à poursuivre des études supérieures et en poussent plus d'un à renoncer à ce
projet, alors qu'ils sont susceptibles de le réussir. Le fait de leur offrir la possibilité de " se
rattraper » rapidement tout en commençant un programme collégial, à travers une mesure 2 circonscrite dans le temps et comportant des obligations claires pour eux, évitera au contraire de les décourager et favorisera leur scolarisation. La seconde modification, l'admission sur la base d'une formation jugée suffisante, vise de soncôté à ouvrir davantage les portes du cégep à des adultes ou à de jeunes adultes qui y ont un
accès limité actuellement. Ils n'ont ni DES ni DEP, mais des expériences scolaires et professionnelles qui rendent possible leur inscription à un baccalauréat, ou encore à uneattestation d'études collégiales, mais pas à un DEC, ce qui constitue, avouons-le, une situation
plutôt incongrue. Ce faisant, on les prive notamment de l'option du DEC technique, unpasseport pourtant réputé pour l'emploi, et donc de débouchés professionnels très stimulants,
alors que plusieurs secteurs économiques manquent de techniciennes et de techniciens. Cette nouvelle mesure, qui s'appliquera elle aussi sur la base des balises identifiées dans le RREC etdes critères établis dans le règlement sur les admissions de chaque collège, viendra donc
corriger cette " anomalie », tout en renforçant la contribution de la formation collégiale à la
résorption des pénuries de main-d'oeuvre.Ces deux modifications, qui s'ajoutent à celles qui ont été apportées au RREC en août 2007,
entraîneront très certainement une diversification des profils étudiants et exigeront des efforts
accrus de la part des collèges pour encadrer et soutenir ces nouvelles populations. Quoiqu'ilsoit difficile pour l'instant d'évaluer la proportion qu'elles représenteront à moyen et long
terme, les collèges comptent sur l'appui du ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport (MELS) pour suivre avec attention leur évolution, autant en ce qui concerne leur nombre que leur cheminement scolaire, et ajuster éventuellement le niveau de ressources nécessaires pour favoriser leur réussite. Ils auront également besoin de cet appui pour le développement de nouveaux outils de reconnaissance des acquis et des compétences permettant d'évaluer la " formation suffisante » des étudiants admissibles sur cette base, ainsi que pour assurer, en concertation avec les centres régionaux de reconnaissance des acquis et des compétences, l'information, l'accueil et l'accompagnement de ces nouvelles clientèles.L'organisation scolaire
Nous sommes en accord avec la modification proposée à l'organisation scolaire, par laquelle les
collèges pourront aménager autrement le calendrier scolaire dans le cas de programmes dontles caractéristiques exigent des sessions dont le format diffère de celui qui est prescrit par le
RREC, généralement parce qu'ils correspondent à des secteurs d'activités saisonniers. Nous
avons compris que ces aménagements, qui permettront d'apporter des correctifs favorablesaux étudiants et aux milieux professionnels concernés, devront avoir un caractère exceptionnel.
Nous aurions souhaité, cependant, que les établissements puissent aussi utiliser cette souplesse pour instaurer des pratiques pédagogiques novatrices ou particulièrement propicesà la persévérance et à la réussite des étudiants - ce qui viendrait appuyer les efforts déployés
pour augmenter le nombre de diplômés du collégial et la scolarisation de la population québécoise.Par ailleurs, nous voyons l'ajout d'un sixième domaine de formation générale complémentaire,
" problématiques contemporaines », comme une ouverture qui permettra d'élargir la formation puisque, selon ce que nous comprenons, il sera accessible à l'ensemble des étudiants, quel que 3soit leur programme d'études, et que les collèges pourront donc offrir à tous des choix qu'ils
n'ont pas nécessairement actuellement, comme l'apprentissage d'une troisième langue, par exemple, ou encore une maîtrise accrue des technologies de l'information et des communications. Ce sixième domaine permettra également de reconnaître des formessignificatives d'engagement citoyen, une nouvelle modalité qu'il faudra bien sûr mettre en lien
étroit avec celle qui existe déjà - la mention de reconnaissance de l'engagement étudiant
inscrite sur le bulletin d'études collégiales - et dont l'application concrète devra faire l'objet de
discussions approfondies entre les collèges et le MELS.La sanction des études
Nous accueillons très positivement, également, l'instauration du " diplôme d'études collégiales
sans mention de programme ». Cette possibilité vient combler une sorte de manque du système actuel, qui laisse des étudiants ayant eu un cheminement scolaire plus difficile, mais important et formateur, quitter le réseau collégial sans aucune qualification reconnue. Lescollèges essaient déjà par différents moyens de les " récupérer » et de les inciter à obtenir leur
diplôme dans un programme donné. Toutefois, un trop grand nombre d'entre eux, qui nesavent pas dans quel domaine ils souhaitent persévérer, échappent à ces tentatives, et se
retrouvent sans diplôme de niveau supérieur - alors qu'ils ont fréquenté le collège pendant
deux ou trois ans, réussi toute leur formation générale et acquis un bagage substantiel, quoique incomplet.Le " DEC sans mention de programme », décerné a posteriori à un moment où l'étudiant a déjà
quitté le cégep, permettra de reconnaître ce type de parcours et de donner accès à l'université
ou au marché du travail à des individus qui, malgré leur " décrochage », ont développé un
certain nombre de compétences. Un accès forcément restreint : la plupart des secteursprofessionnels exigent un DEC spécifique et c'est le cas également pour beaucoup de facultés
universitaires. Il n'y a donc pas lieu de craindre une " dévalorisation » du DEC, ni une tendance
nouvelle des étudiants à viser au départ ce type de diplôme - qui ne correspondra à aucun
programme et auquel on ne pourra pas s'inscrire a priori. En revanche, on peut penser que cette formule offrira une seconde chance à certains jeunes dont le parcours collégial n'a pas donné les résultats escomptés, mais dont l'avenir professionnel et scolaire restera ouvert. Le diplôme de spécialisation d'études techniquesEnfin, nous sommes très satisfaits de la création du " diplôme de spécialisation d'études
techniques » (DSET), que nous avons proposée nous-mêmes plusieurs fois au cours desdernières années, et qui correspond à un véritable besoin de la société québécoise. Certains
secteurs professionnels, en effet, notamment dans le secteur de la santé, souhaitent embaucher des techniciennes et des techniciens possédant une formation plus poussée sur certains aspects que celle qui est acquise avec le DEC de base. On peut penser, par exemple, à un " DSET » en biologie moléculaire pour les techniciens en analyses biomédicales, ou encore, dans un autre domaine, en transport avancé pour les diplômés en génie mécanique. Les" DSET », déterminés par la ministre et accessibles uniquement pour les détenteurs du ou des
DEC correspondants, permettront de répondre à ces attentes tout en favorisant le développement professionnel et la valorisation des techniciennes et des techniciens. Leur 4instauration ne règle pas pour autant, toutefois, le problème de la rigidité du DEC lui-même,
que nous abordons un peu plus bas.Quelques éléments manquants
Notre réaction à ce projet de modification du RREC est donc, sur l'ensemble des aspectsproposés, très positive. En fait, nous aurions même souhaité que certains changements aillent
un peu plus loin, comme nous l'avons évoqué pour l'organisation scolaire. Et il y manque, de notre point de vue, deux éléments très importants.Tout d'abord, dans la section I du RREC, nous nous attendions à ce que la définition de " cours »
soit modifiée pour inclure également la possibilité d'offrir des périodes d'enseignement de
15 h dans le programme Musique. Voilà plusieurs années maintenant que les collèges
demandent ce changement, puisque l'activité d'apprentissage " Instrument principal » de ce programme n'exige qu'une heure de cours par semaine. Pour pouvoir respecter le RREC actuel,ils doivent donc juxtaposer une autre discipline à cette activité, ce qui constitue une opération
artificielle puisqu'il n'y a pas vraiment de lien entre les deux. Il serait beaucoup plus logique, et
plus significatif dans un contexte d'approche-programme, d'inscrire tout simplement un cours de 15 h dans la grille-matières des étudiants. Cet élément faisait partie du projet demodifications au RREC que le MELS avait soumis à une pré-consultation auprès de différents
partenaires, l'an dernier, et il avait fait l'objet d'un consensus. Ensuite, les travaux que nous avons faits ces dernières années sur certains programmes de lasanté nous ont amenés à penser que le format standard de la formation technique, d'une durée
de 3 ans et d'un maximum de 91 unités2/3, fait parfois obstacle à la réponse qui peut être
donnée à l'évolution d'une profession - nouvelles techniques, nouvelles responsabilités assumées par les diplômés, innovations technologiques, etc. Car cette évolution devraitconduire éventuellement à ajouter des compétences, donc des unités, à certains programmes.
Nous avons d'ailleurs demandé tout récemment au MELS de soumettre six programmes -Inhalothérapie, Techniques d'analyses biomédicales, Radiodiagnostic, Médecine nucléaire, Radio-
oncologie et Denturologie - à une opération d'actualisation qui permettra, s'il accepte, de mieux
cerner la situation à cet égard. Advenant toutefois que le besoin d'ajouter des compétences dans l'une ou l'autre de cesformations se confirme, il sera impossible de le faire, l'article 11 du RREC limitant à 65 le nombre
maximum d'unités spécifiques par programme. C'est pourquoi nous formulons la suggestion suivante : que l'article 13 du RREC, qui permet au ministre d'" autoriser l'expérimentation (...) de programmes conduisant au diplôme d'études collégiales qui ne comprennent pas tous leséléments visés aux articles 7 à 11 », soit modifié afin de permettre l'expérimentation, autorisée
par la ministre, de programmes techniques comprenant plus de 65 unités - ou, si un nouveau constat allait dans le sens inverse, moins de 45 unités. Le fait que l'on procède parexpérimentation permettrait à la fois d'apporter une réponse aux besoins du marché du travail
et de tester la pertinence d'un format de DEC plus souple. Il faut rappeler, à cet égard, que dans
d'autres systèmes collégiaux, en Ontario et en Alberta par exemple, la configuration des programmes techniques est beaucoup plus diversifiée, ce qui permet aux établissements 5 d'adapter de façon plus rapide et plus adéquate la formation à l'évolution des milieux professionnels.Tels sont, Madame la Présidente, les principaux éléments que nous souhaitions porter à votre
attention. Je reste à votre disposition pour toute précision à ce sujet et vous prie de recevoir
l'assurance de ma considération distinguée.Le président-directeur général,
Gaëtan Boucher
c.c.: M me Michèle Courchesne, ministre de l'Éducation, du Loisir et du Sport (MELS) M me Hélène P. Tremblay, sous-ministre adjointe à l'enseignement supérieur, MELS M. Alain Veilleux, sous-ministre adjoint à la formation professionnelle et technique, MELS Directeurs généraux et directrices générales des cégeps Directeurs et directrices des études des cégeps Directeurs et directrices, coordonnateurs et coordonnatrices de la formation continue des cégepsquotesdbs_dbs43.pdfusesText_43[PDF] diplome sans mention cegep
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