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Dans ce chapitre nous allons étudier le modèle relationnel (MRD) en abordant les bases théoriques Afin d'éviter une démarche trop désincarnée 

:

2014-06-10

1

Base de données

MODÈLE RELATIONNEL

1

Le modèle relationnel

XLe modèle relationnel est créé par Edgar Frank Coddet présenté en 1970. XAprès quelques années, le modèle est développé. Dès lors, les BDR deviennent progressivement les SGBD les plus répandus. XI·LQPHQPLRQ GX PRGqOH UHOMPLRQQHO 05 HVP GH ŃUpHU XQH PpPORGH GpŃOMUMPLYH QRQ SURŃpGXUMOH SHUPHPPMQP GH VSpŃLILHU O·RUJMQLVMPLRQ GHV GRQQpHV MLQVL TXH OHV PR\HQV G·\ MŃŃpGHUB XF·HVP OH OMQJMJH 64I TXL SHUPHP GH GRQQHU QMLVVMQŃH MX 05 HQ ŃH VHQVB XIH PRGqOH UHOMPLRQQHO HVP NMVp VXU OM QRPLRQ G·HQVHPNOH XPLOLVMQP O·MOJqNUH relationnel ainsi que le calcul relationnel. 2

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2

Le modèle relationnel

Définition

XGMQV OH 05 OM QRPLRQ G·HQVHPNOH VH SUpVHQPH VRXV OM IRUPH GH relation. XIH 05 HVP PUqV VLPSOH SXLVTX·LO HVP ŃRQVPLPXp G·XQH VHXO pOpPHQP OM relation.

XUne relation est définie ainsi :

Xelle porte un nom;

XHOOH HVP ŃRPSRVp G·MPPULNXPV QRPPpV M\MQP GLIIpUHQPHV ŃRQPUMLQPHV

Xelle est constitué de tuple(s).

XLes liens existants entre les relations se font par le concept de clé

étrangère.

XToutes les opérations du MR utilisent des relation (en entrée et en sortie). 3

Le modèle relationnel

Définition

XLes attributs définissent la structure de la relation. XLes tuplescorrespondent aux données de la relation. Chacun décrit un enregistrement unique. XOn représente généralement la relation par une table où :

Xles colonnes correspondent aux attributs;

Xles lignes correspondent aux tuples.

4

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3

Le modèle relationnel

Définition

5

NomPrénomNASCourriel

WongTony123456789tw@ets.ca

Individu

CherietMohamed987654321mc@ets.ca

SabourinRobert2468013579rs@ets.ca

attribut colonne tuple ligneenregistrement nom de la relation nom de la table relation table

Le modèle relationnel

Contraintes

XIl existe plusieurs formes de contraintes :

Xles contraintes sur les attributs;

Xles contraintes sur les tuples;

Xles contraintes sur les valeurs;

XOHV ŃRQPUMLQPHV G·LQPpJULPp

Xles contraintes sur la base de données.

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4

Le modèle relationnel

Contraintes sur les attributs

XFOMTXH UHOMPLRQ SRVVqGH XQ QRPNUH ILQL G·MPPULNXPV Na1 XChaque attribut est associé à un domaine de valeur déterminé par le concepteur : AiDi XDiest généralement constitué de 2 parties :

Xtype (obligatoire);

Xcontraintes supplémentaires (optionnelles).

X2Q GLP G·XQH UHOMPLRQ TX·HOOH SRUPH OH GHJUp GX QRPNUH G·MPPULNXPV TX·HOOH SRVVqGHB $LQVL XQH UHOMPLRQ GH GHJUp 2 SRVVqGH 2 MPPULNXPV XQH relation de degré 3 possède 3 attributs et ainsi de suite. 7

Le modèle relationnel

Contraintes sur les tuples

XChaque relation possède un nombre fini de tuple: Nt0 si Nt= 0 la relation est vide XUn tupletjest composé de i valeurs correspondant aux i attributs définis :

Tj= { v1, v2, v3 " vi} { D1, D2, D3 " Di}

XFormellement, la relation ne peut avoir deux tuplesidentiques.

ŃH TXL Q·HVP SMV YUML HQ IMLP

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5

Le modèle relationnel

Contraintes sur les valeurs

XIM YMOHXU G·XQ MPPULNXP GRLP UHVSHŃPHU OH GRPMLQH GpILQL vjiDi

XChaque valeur doit être atomique:

vji{ x} Xvjipeut posséder une valeur nulle ayant deux interprétations possibles : XMXŃXQH YMOHXU MSSOLŃMNOH OM GMPH GH PMULMJH G·XQH SHUVRQQH ŃpOLNMPMLUH Xaucune valeur connue (date de naissance inconnue). 9

Le modèle relationnel

FRQPUMLQPHV G·LQPpJULPp

XHO H[LVPH PURLV ŃRQPUMLQPHV G·LQPpJULPp

Xintégrité de domaine;

XLQPpJULPp G·HQUHJLVPUHPHQP

Xintégrité référentielle.

XIl est important de comprendre que les SGBD modernes ont plusieurs RXPLOV SHUPHPPMQP G·MVVXUHU ŃHP MVSHŃP IRQGMPHQPMO GHV %G5B XI·LQPpJULPp GH GRPMLQH ŃRUUHVSRQG MX[ ŃRQPUMLQPHV VXU OHV YMOHXUV

Xvaleur correspondant au domaine défini;

Xvaleur atomique.

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6

Le modèle relationnel

FRQPUMLQPHV G·LQPpJULPp

XHQPpJULPp G·HQUHJLVPUHPHQP

Xchaque relation doit posséder une clé primaire définie par un ou plusieurs attributs; Xchaque tupledoit avoir une valeur unique de clé primaire;

Xune clé primaire ne peut être nulle.

XHQPpJULPp UpIpUHQPLHOOH ŃOMTXH ŃOp pPUMQJqUH GRLP SRVVpGHU O·XQ GH ŃHV deux états :

Xla valeur de la clé primaire du tuplelié;

XOM YMOHXU QXOOH V·LO Q·H[LVPH SMV GH OLMLVRQ SRXU ŃH tuple. 11

Le modèle relationnel

Contraintes sur la BDR

X8QH NMVH GH GRQQpHV UHOMPLRQQHOOH %G5 HVP ŃRQVPLPXpH G·XQ regroupement de plusieurs relations : Nr1

XChaque relation doit avoir un nom unique.

X)LQMOHPHQP OH ŃRQŃHSPHXU GRLP pYLPHU OM UHGRQGMQŃH G·LQIRUPMPLRQ HQ créant une seule entrée du même enregistrement dans tout le système. 12

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7

Le modèle relationnel

Représentation de la BDR

XOn représente graphiquement les BDR par :

Xle schéma relationnel;

XLe diagramme du schéma relationnel.

13

Le modèle relationnel

Schéma relationnel

XLe schéma relationnel consiste à illustrer de façon compact une BDR.

XIHV UqJOHV G·MIILŃOMJH VRQP

Xon représente les relations par leur nom;

XRQ HQŃOMLQH SMU OM OLVPH G·MPPULNXPV PLV HQPUH SMUHQPOqVHV Xles attributs liés à la clé primaire sont soulignés.

XPar exemple :

Individu(Nom, Prénom, DateNaissance, NAS, Courriel)

Cours(Sigle, Nom, Description, NombreCrédit)

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Le modèle relationnel

Diagramme du schéma relationnel

XLe diagramme du schéma relationnel consiste à illustrer une BDR sous forme GH PMNORwGHB HO SHUPHP GH UHSUpVHQPHU MXPMQP OM VPUXŃPXUH TX·XQ H[HPSOH G·LQVPMQŃHB

XLes UqJOHV G·MIILŃOMJH VRQP

Xon représente les relations par un tableau au-dessus duquel on appose le nom; Xsur la première ligne, on met dans chaque cellule le nom des attributs; Xles attributs liés à la clé primaire sont soulignés; Xsi seulement la structure est présente, on ajoute généralement une deuxième ligne vide;

Xpour représenter une instance, on ajoute plusieurs lignes dans lesquelles on met les valeurs mises en exemple;

Xon représente généralement les clés étrangères par une flèche indiquant les liens.

15

Le modèle relationnel

Diagramme du schéma relationnel

16

NomPrénomNASCourriel

Individu

SigleNom

Département

Departement

NomPrénomNASCourriel

WongTony123456789tw@ets.ca

Individu

CherietMohamed987654321mc@ets.ca

ChampliaudHenri333444555hc@ets.ca

SigleNom

ELEGénie électrique

GPAGénie de la production automatisée

MECGénie mécanique

Departement

GPA GPA MEC

Département

représentation structurelle représentation structurelle avec un exemple d'instance relation Individurelation Département

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Le modèle relationnel

Impacts du modèle

XSuivant le dernier exemple, on pourrait être tenté de tout simplifier en mettant toutes les données dans une seule relation. Comme ceci : X7RXPHIRLV O·XVMJH ŃRUUHŃP GX 05 SHUPHP GH QRPNUHX[ MYMQPMJHV HQ évitant certains pièges comme le montre cet exemple. 17

NomPrénomNASCourriel

WongTony123456789tw@ets.ca

Individu

CherietMohamed987654321mc@ets.ca

ChampliaudHenri333444555hc@ets.ca

NomDepartement

Génie de la production automatisée

Génie de la production automatisée

Génie mécanique

SigleDepart

GPA GPA MEC

Le modèle relationnel

Impacts du modèle

XI·H[HPSOH SUpŃpGHQP PRQPUH SOXVLHXUV SURNOpPMPLTXHV XSHUPH GH O·HVSMŃH PpPRLUH UpSpPLPLRQ GX QRP GH GpSMUPHPHQP SRXU ŃOMTXH instance; XGLIILŃXOPp GH PLVH j ÓRXU GRQŃ GLIILŃXOPp GH PMLQPHQLU HP JMUMQPLU O·LQPpJULPp G·HQUHJLVPUHPHQP VL XQ GpSMUPHPHQP ŃOMQJH GH QRP LO IMXP V·MVVXUHU TXH toutes les instances sont modifiées; XLQVHUPLRQ PMVVLI GH YMOHXUV QXOOHV GqV TX·XQH LQVHUPLRQ HVP IMLPH SRXU XQH SMUPLH GHV GRQQpHV XQ LQGLYLGX Q·M\MQP SMV pPp MVVLJQp j XQ GpSMUPHPHQP SMU exemple. XAinsi, en ayant deux relations distinctes, il est possible de dissocier les "objets» du monde réel et de les manipuler plus efficacement. 18

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Le modèle relationnel

Transformation : modèle EA vers MR

XTous les éléments présentés pour les modèle EA et EAE peuvent être transformés vers le MR. XNéanmoins, la transformation ne garantie pas une forme optimale du MR. Si le modèle de base présente déjà des lacunes de conception, il est probable que ces dernières se propagent dans le MR. XAttention, ces lacunes ne sont pas nécessairement due à une mauvaise modélisation mais souvent à un choix non optimal en fonction du contexte. XI·pPMSH ILQMOH GH QRUPMOLVMPLRQ SHUPHPPUM GH IMLUH ŃHPPH RSPLPLVMPLRQB 19

Le modèle relationnel

Transformation EA WMR

Étapes de transformation

1.entités fortes et faibles;

2.attributs participant à la clé primaire;

3.attributs simples, dérivés et

obligatoires;

4.attributs composites;

5.relations binaires 1:1;

6.relations binaires 1:N;

7.relations binaires M:N;

8.relations ternaires;

9.attributs multivalués;

10.MVVRŃLMPLRQ G·LGHQPLILŃMPLRQ

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Le modèle relationnel

Transformation EA WMR

XÉtape 1 : Transformation des entités fortes et faibles Xles entités deviennent directement des relations dans le modèle relationnel;

Xle nom des relations est le nom des entités;

XGMQV OH 05 LO Q·H[LVPH MXŃXQH GLIIpUHQŃH HQPUH OHV GHX[ P\SHV G·HQPLPpVB 21
abc---- abc entité forterelation def---- def entité faiblerelation

Le modèle relationnel

Transformation EA WMR

XÉtape 2 : Transformation des attributs participant à la clé primaire Xun attribut participant à la clé primaire devient un attributs équivalent;

Xle nom reste le même.

22
def abcdef--- abc attribut participant

à la clé primaire

attribut participant à la clé primaire

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Le modèle relationnel

Transformation EA WMR

XÉtape 3 : Transformation des attribut simples, dérivés ou obligatoires Xun attribut simple, dérivé ou obligatoire devient un attribut dans le MR;

Xles noms restent les mêmes;

XLes attributs dérivés et

obligatoires posséderont

G·MXPUHV

particularités lors de

O·LPSOpPHQPMPLRQB

23
ghi abcdefghijkl- abc attributsattribut obligatoire jkl attribut dérivé def attribut simple

Le modèle relationnel

Transformation EA WMR

XÉtapes 4 : Transformation des attributs composites Xun attribut composite est décomposé en attribut dans le MR de façon à représenter tous les constituants du dernier niveau hiérarchique; Xil HVP G·XVMJH ŃRXUMQP GH QRPPHU les nouveaux attributs avec une contraction des constituants hiérarchiques du modèle EA. 24
abcabc_defabc_ghiabc_klm- abc attributs issus de la décomposition attribut composite abcghi def klm

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Le modèle relationnel

Transformation EA WMR

XÉtapes 5 : Transformation des relations binaires 1:1

XTrois approches peuvent être envisagées :

1.fusionner les deux entités vers une relation du MR (fusion);

2.ŃUpHU XQH ŃOp pPUMQJqUH j O·LQPpULHXU G·XQH UHOMPLRQ GX 05 YHUV OM ŃOp SULPMLUH

GH O·MXPUH ŃOp pPUMQJqUH

3.créer une troisième relation dans le MR afin de lier les deux participant (relation

G·MVVRŃLMPLRQB

XSelon le contexte, certaines approches ne sont pas possibles. De plus, ŃHUPMLQHV SUMPLTXHV VRQP UHŃRPPMQGpHV MORUV TXH G·MXPUHV QRQB 25

Le modèle relationnel

Transformation EA WMR

XApproche 1 : fusion des deux entités afin de créer une relation dans le MR Xon identifie les entités selon A et B en fonction de leur contrainte de participation à la relation :

Xparticipation totale des deux côtés : AHVP O·HQPLPp OM SOXV VLJQLILŃMPLYH MORUV TXH B est

O·HQPLPp OM PRLQV VLJQLILŃMPLYH

Xparticipation totale GX Ń{Pp GH O·HQPLPp B et participation partielle GX Ń{Pp GH O·HQPLPp

A (non recommandée);

Xparticipation partielle des deux côtés : A HVP O·HQPLPp OM SOXV VLJQLILŃMPLYH MORUV TXH B est

O·HQPLPp OM PRLQV VLJQLILŃMPLYH QRQ UHŃRPPMQGpHB Xla relation Bdu MR disparaît et transfert tous ses attributs vers la relation A; 26

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Le modèle relationnel

Transformation EA WMR

XApproche 1 : fusion des deux entités afin de créer une relation dans le MR Xles attributs participant à la clé primaire de B deviennent des attributs standards de A (sauf pour les identificateurs numériques arbitraires qui disparaissent); Xsi un même attribut existe dans les deux entités, un seul exemplaire est préservé; Xcette approche est impossible avec les relations binaire 1:1 récursive. 27

Le modèle relationnel

Transformation EA WMR

XApproche 1 : fusion des deux entités afin de créer une relation dans le MR 28
NAS

Étudiant

Nom

No civique

Adresse

Ville

RésideRue

NASNomNoCiviqueRue

Étudiant

Ville Id

1..11..1

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Le modèle relationnel

Transformation EA WMR

X$SSURŃOH 2 ŃUpMPLRQ G·XQH ŃOp pPUMQJqUH Xon identifie les entités selon A et B en fonction de leur contrainte de participation à la relation :

Xparticipation totale des deux côtés : AHVP O·HQPLPp OM SOXV VLJQLILŃMPLYH MORUV TXH B est

O·HQPLPp OM PRLQV VLJQLILŃMPLYH

Xparticipation totale GX Ń{Pp GH O·HQPLPp A et participation partielle GX Ń{Pp GH O·HQPLPp

B;

Xparticipation partielle des deux côtés : A HVP O·HQPLPp OM SOXV VLJQLILŃMPLYH MORUV TXH B est

O·HQPLPp OM PRLQV VLJQLILŃMPLYH QRQ UHŃRPPMQGpHB Xon ajoute une clé étrangère à la relation Adu MR vers la clé primaire de la relation B. 29

Le modèle relationnel

Transformation EA WMR

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