[PDF] Séance 7 : Elasticité En élasticité linéaire isotrope





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Diapositive 1

B. Le modèle élastique linéaire isotrope. 1. Définition. 2. Paramètres usuels. C. Elasticité en sollicitations simples. 1. Contrainte uniaxiale.



III Élasticité linéaire

Le comportement du matériau est élastique linéaire



ELASTICITE

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Séance 7 : Elasticité

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  • 24 C. Théorème de superposition La théorie de l’élasticité fournit un outil essentiel pour la résolution de problèmes complexes : le théorème de superposition. Imaginons un domaine matériel de surface extérieure , divisée en deux parties et .

Comment résoudre les problèmes complexes avec la théorie de l’élasticité?

  • La théorie de l’élasticité fournit un outil essentiel pour la résolution de problèmes complexes : le théorème de superposition. Imaginons un domaine matériel de surface extérieure , divisée en deux parties et . On peut soumettre ce système à une première sollicitation, sous la forme des conditions aux limites suivantes :

Comment résoudre un problème élastique?

  • La première approche analytique de résolution du problème élastique consiste à considérer que le champ de contraintes est la seule inconnue. Il s’agit de l’approche en contraintes. Il faut donc faire disparaître les déformations et les déplacements du problème.

Mécanique des milieux continus

Séance 7 : Elasticité

Guilhem MOLLON

GEO3 2012-2013

Plan de la séance

A. Lois de comportement

B. Le modèle élastique linéaire isotrope

1. Définition

2. Paramètres usuels

C. Elasticité en sollicitations simples

1. Contrainte uniaxiale

2. Cisaillement simple

3. Compression hydrostatique

2

A. Lois de comportement

Séance 7

4

A. Lois de comportement

On a présenté en détail depuis le début de ce cours de MMC deux personnages essentiels : -Le tenseur des déformations linéarisées Ce tenseur possède une base propre , dans laquelle la matrice du tenseur fait apparaître les trois déformations principales : -Le tenseur des contraintes

Ce tenseur possède également une base propre , dans laquelle la matrice du

tenseur fait apparaître les trois contraintes principales : 5

A. Lois de comportement

et de contraintes soient les mêmes. Pour mettre en relation ces deux objets physiques, on introduit ici la notion de modèle de comportement. Mathématiquement, un modèle de comportement est une fonctionnelle qui fournit la

On peut donc écrire :

On remarque que cette formulation fait intervenir , tenseur des déformations, en tout point 6

A. Lois de comportement

simplifier en posant plusieurs hypothèses crédibles. point : le tenseur des déformations linéarisées : instant : 7

A. Lois de comportement

simplement une fonction : Dans ce dernier cas, on fait souvent usage du modèle de " milieu à mémoire infiniment taux de déformation à un instant donné :

B. Le modèle élastique linéaire isotrope

Séance 7

9

B. Le modèle élastique linéaire isotrope

Le modèle de comportement élastique est une loi locale et sans mémoire, qui possède en outre les propriétés suivantes :

-Il existe pour chaque particule du milieu un état de référence, appelé état au repos, tel que

le tenseur des déformations linéarisées et le tenseur des contraintes sont tous les deux égaux au tenseur nul.

déformation par rapport à O·pPMP de référence. Cet état de référence peut donc être

assimilé à O·pPMP initial au sens lagrangien du terme. Plus simplement, un milieu élastique est un milieu qui se déforme sous un chargement (la nature et la quantification de cette déformation étant quelconques), et qui revient exactement à son état initial si on supprime le chargement.

1. Définition

10

B. Le modèle élastique linéaire isotrope

sur la nature de la fonction qui relie les contraintes aux déformations. On peut aller plus loin en

parlant de modèle élastique linéaire. Dans ce cas, on ajoute les hypothèses suivantes : -Le mouvement est conforme à O·+33 -La relation entre contraintes et déformations est affine Grâce à ces hypothèses, on peut écrire une relation de proportionnalité entre chaque

terme de la matrice du tenseur des déformations linéarisées et chaque terme de la matrice du

tenseur des contraintes : Chaque terme du tenseur des contraintes est donc obtenue comme une composition linéaire de tous les termes de la matrice des déformations linéarisées.

1. Définition

11

B. Le modèle élastique linéaire isotrope

et . Le plus souvent, pour simplifier les notations, on a adopte plutôt le système suivant :

La matrice est alors appelée matrice des raideurs élastiques, et possède 21 termes indépendants (du fait de certaines symétries).

1. Définition

12

B. Le modèle élastique linéaire isotrope

Pour décrire un matériau de manière pratique, 21 paramètres sont encore beaucoup trop. Ils ne

émettre une dernière hypothèse simplificatrice, qui correspond au modèle élastique linéaire isotrope : -Le comportement mécanique du milieu est invariant par rotation. Autrement dit, il se comporte de la même manière dans toute les directions.

Sous cette hypothèse, on travaille avec 2 paramètres au lieu de 21, et on appelle ces paramètres

pression (kPa ou Mpa).

ont une direction structurelle privilégiée : bois, composites, certains sols stratifiés, etc.

1. Définition

13

B. Le modèle élastique linéaire isotrope

contraintes-déformations prend une forme simplifiée, appelée Loi

1. Définition

Robert Hooke

1635-1703

linéarisées en la multipliant par la constante et en lui ajoutant le scalaire . On en

déduit une propriété très intéressante : En élasticité linéaire isotrope, les directions principales de déformations et de contraintes sont identiques.

Il faut bien noter que cette propriété est uniquement valable pour ce modèle de comportement,

14

B. Le modèle élastique linéaire isotrope

On a introduit les coefficients de Lamé car ils fournissent la formulation la plus simple de la loi de Hooke. Ils ont donc une grande importance théorique. Dans un cadre pratique, pourtant, on utilise beaucoup plus souvent module G·KRXQJ et le coefficient de Poisson : Ces deux paramètres sont très couramment utilisés car ils ont un sens physique beaucoup plus tangible que les coefficients de Lamé,

2. Paramètres usuels

Thomas Young

1773-1829

Siméon Denis Poisson

1781-1840

15

B. Le modèle élastique linéaire isotrope

On constate que cette expression est légèrement plus compliquée que celle faisant intervenir les

coefficients de Lamé. On peut retourner la relation pour exprimer les déformations en fonction des contraintes : déformation. On utilise souvent le terme de raideur.

2. Paramètres usuels

16

B. Le modèle élastique linéaire isotrope

matricielle, en faisant intervenir tous les termes des tenseurs de contrainte et de déformations :

Grâce à O·LVRPURSLH du matériau, ces relations sont vraies dans toute base.

2. Paramètres usuels

C. Elasticité en sollicitations simples

Séance 7

18

C. Elasticité en sollicitations simples

Imaginons un cube unitaire de matériau élastique, et soumettons-le à une traction uniaxiale définie par le tenseur de contraintes suivant, supposé homogène : En appliquant la loi de Hooke, on détermine immédiatement le tenseur de déformation issu de cette sollicitation : La déformation selon est une extension proportionnelle à la contrainte appliquée. Le module G·KRXQJ est donc le coefficient de proportionnalité entre une déformation axiale et la contrainte normale qui O·M produite.

1. Contrainte uniaxiale

19

C. Elasticité en sollicitations simples

Par ailleurs, on constate que les déformations dans les directions et ne sont Le coefficient de Poisson est donc, au signe près, le rapport entre O·H[PHQVLRQ dans la direction de chargement et la contraction dans les deux directions normales.

1. Contrainte uniaxiale

20

C. Elasticité en sollicitations simples

Pour la même sollicitation, la loi de Hooke donne également : On peut alors distinguer deux cas limites pour le coefficient de Poisson : -si , une contrainte uniaxiale Q·LQGXLP pas de déformation transversale.

O·HIIHP Poisson disparaît.

-si , on observe que . Ce cas limite correspond donc à un milieu parfaitement incompressible. Par conséquent, on aura toujours la règle suivante :

1. Contrainte uniaxiale

21

C. Elasticité en sollicitations simples

matériau, on est en mesure de déterminer très facilement ses propriétés élastiques :

-en mesurant sa déformation axiale, on accède au module G·KRXQJ -en mesurant sa déformation transversale, on accède au coefficient de Poisson répandu que les coefficients de Lamé.

1. Contrainte uniaxiale

22

C. Elasticité en sollicitations simples

On sollicite maintenant un milieu continu par un cisaillement simple défini par le tenseur de contraintes suivant :

2. Cisaillement simple

23

C. Elasticité en sollicitations simples

Le glissement observé correspond à un angle donné par :

On constate donc que cet angle est proportionnel à la contrainte de cisaillement exercée sur le

milieu. Le deuxième coefficient de Lamé, noté apparaît donc comme le rapport de proportionnalité entre une contrainte de cisaillement et le glissement induit. On O·MSSHOOH " module de cisaillement », et on le note parfois

2. Cisaillement simple

24

C. Elasticité en sollicitations simples

Si on se place dans la base principale, on voit alors apparaître des dilatations. Par définition, les

glissements dans cette base sont nuls.

On a déjà démontré que cette base principale (à la fois de contraintes et de déformations)

correspond aux bissectrices de la base de départ, et on peut donner directement le tenseur de déformations dans cette base : Par conséquent, une sollicitation de cisaillement simple dans un milieu élastique linéaire isotrope produit deux dilatations opposées selon les bissectrices de la base de départ, et ces dilatations sont proportionnelles à la contrainte de cisaillement. Cette proportionnalité fait intervenir le module de cisaillement.

2. Cisaillement simple

25

C. Elasticité en sollicitations simples

On sollicite maintenant un milieu continu par une compression isotrope, aussi appelée compression hydrostatique et définie par une pression : Par application de la loi de Hooke, la déformation associée est :

à une déformation également isotrope.

3. Compression hydrostatique

26

C. Elasticité en sollicitations simples

On introduit la grandeur suivante, appelée module de compressibilité : En introduisant cette grandeur dans le tenseur des déformations, on obtient : On en déduit donc que le module de compressibilité correspond au coefficient de proportionnalité entre la pression appliquée à un milieu continu et sa perte de volume.

3. Compression hydrostatique

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