[PDF] TAUX DE CHANGE ET CROISSANCE ECONOMIQUE AU MAROC





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Calcul du taux de change effectif nominal et réel du dirham

taux de change effectif réel (TCER)1 de sa monnaie. A cet égard et compte tenu du contexte d'ouverture du Maroc sur l'extérieur



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On calcule les indices de taux de change effectifs nominaux en comparant pour chaque pays la variation de son propre taux de change par rapport au dollar des États-Unis à une moyenne pondérée des variations des taux de change de ses concurrents (également par rapport au dollar des États-Unis)



221 Le taux de change réel : définitions et interprétations

mondiale Les déterminants à long terme du taux de change (les fondamentaux) sont donc de nature réelle Définitions On appelle taux de change réel (TCR) le taux de change nominal entre deux monnaies déflaté des prix Plusieurs calculs du TCR sont possibles On peut calculer le TCR sur la base des prix relatifs à la



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graphiques reproduisent les fouchettes d’évolutions passées des taux de change effectifs réels (ajusté de l’IPC) du dollar et de l’euro calculées sur des périodes ininterrompues de hausse (baisse) de 36 mois

Qu'est-ce que le taux de change effectif réel?

TCER : La variable expliquée de notre étude est désignée par le taux de change effectif réel. Le taux de change réel en vigueur est le taux de change nominal en vigueur (une mesure de la valeur d'une devise face à une moyenne pondérée de plusieurs devises étrangères) divisé par un déflateur des prix ou un indice des coûts.

Qu'est-ce que le taux de change effectif réel de l'Euro ?

Le taux de change effectif réel de l'euro pour la France tient compte, outre le taux de change, du rapport des prix à l'exportation de la France avec les pays concurrents de la zone considérée. Une hausse du taux de change effectif nominal (resp. réel) correspond à une dégradation de la compétitivité change (resp. prix).

Comment calculer le taux de change réel ?

Le taux de change réel est égal à e (P/P*), où P et P* dénotent les niveaux des prix intérieurs et des prix étrangers (déflateurs du PIB). Dans l’hypothèse extrême d’une spécialisation complète dans le bien d’exportation, les deux concepts sont identiques.

Quels sont les effets du taux de change réel d’équilibre?

La production, la dépense publique et la richesse extérieure nette diminuent, l’inflation et les taux d’intérêt augmentent (cf. Graphique 5-3). Le niveau du taux de change réel d’équilibre ne dépend pas de ?e.

Finance & Finance Internationale N°18 janvier 2020 http://revues.imist.ma/?journal=FFI ISSN: 2489-1290 1 TAUX DE CHANGE ET CROISSANCE ECONOMIQUE AU MAROC :

EVIDENCE EMPIRIQUE

Par

Amina HAOUDI

upérieur à la FSJES de Fès, Université Sidi

Mohamed Ben Abdellah.

Ayoub RABHI

Chercheur à la FSJES de Fès, Université Sidi Mohamed Ben Abdellah.

Résumé

x de change sur la croissance économique au Maroc au cours des trois dernières décennies (1988-2016), période qui a inclus plusieurs dévaluations. Pour ce faire, on

analytique des différents agrégats macroéconomiques et à établir par la suite un modèle de la

croissance économique qui intègre la variable du taux conclure finalement appréciation (surévaluation) du taux de change réel peut exercer

un effet négatif sur la croissance économique à court terme, ce qui justifie en effet les

dévaluations pratiquées au cours de cette période, toutefois, les variations du taux de change

éventuelle d

conséquent une résorption du déficit structurelle de la balance commerciale.

Mots-clés : Taux d change, dévaluation, dépréciation, cointégration, croissance économique,

Maroc.

Exchange rate and economic growth in Morocco: Empirical evidence

Abstract

This article aims to study the effects of the exchange rate on economic growth in Morocco during the last three decades (1988-2016) that included several devaluations. To do this, we Finance & Finance Internationale N°18 janvier 2020 http://revues.imist.ma/?journal=FFI ISSN: 2489-1290 2 first presented an analytical reading of the different macroeconomic aggregates and then used a model of economic growth that included the real exchange rate as a variable. The empirical analysis relied on the AutoRegressive Distributed Lag (ARDL) method, to conclude at the end that an appreciation (overvaluation) of the real exchange rate can have a negative effect on short-term economic growth, which justifies the devaluations practiced during this period, however, variations in the exchange rate over the long term do not have the expected effect on economic growth, which predicts that a possible depreciation of the exchange rate in the context of a flexible exchange rate regime will have only a short-term effect which will not allow a price competitiveness in the long terme and consequently eliminate the structural trade deficit. Key-Words: Exchange rate, devaluation, depreciation, cointegration, economic growth,

Morocco.

Finance & Finance Internationale N°18 janvier 2020 http://revues.imist.ma/?journal=FFI ISSN: 2489-1290 3

Introduction

Au Maroc, la gestion du taux de change est considérée comme un objectif politique majeur pour atteindre un ensemble

maintenir la compétitivité externe. Bien que le pays ait commencé à mettre en place un

mécanisme fondé sur le marché depuis les années 90, son régime de taux de change reste

fortement interventionniste 1.

A la lumière de la politique de change adoptée au Maroc durant les 3 dernières

relation entre le taux de change réel et la croissance économique est en train de devenir un

économistes affirment que le taux de change joue un rôle central dans le débat public sur le

dépréciation ou à la simple stabilisation. Rodrick (2008) reconnaît que les économistes savent

depuis longtemps que des taux de change mal gérés peuvent être désastreux pour la croissance

économique. Le taux de change réel sert donc de prix international pour déterminer la

cet article vise à apporter des réponses aux questions citées précédemment en exam croissance économique au Maroc surtout que le pays a pratiqué de nombreuses dévaluations pour son taux de change durant la période étudiée.

Ainsi, notre article est organisé comme suit : après cette introduction, la première

section fournit une brève revue de littérature change et la croissance économique

marocaine à travers une analyse des différents agrégats macroéconomiques au cours des trois

dernières décennies; la troisième et dernière section, décrit les variables et la méthode

économétrique utilisées pour étudier à travers un modèle de la croissance économique, les

effets à long et à court terme du taux de change sur la croissance économique dans le contexte

marocain. I. Revue de littérature autour de la relation entre la croissance économique et le taux de change Selon la théorie économique libérale "Orthodoxe», les dévaluations ou bien dépréciations2 peuvent avoir deux effets expansionnistes principaux: premièrement, par un changement de la structure de la demande intérieur en incitant les consommateurs à se tourner vers le produit national au détriment des importations provenant des concurrents;

deuxièmement, en améliorant la compétitivité internationale et en renforçant les exportations.

Cependant, les dévaluations ou dépréciations peuvent également réduire la croissance de la

te la production nationale

domestique de façon importante dans le cas où les produits exportés dépendent en partie des

1 Les bandes ont passé de (+0,3%, -0,3%) à (+2,5%, -2,5%).

2

rapport à une autre. En effet, la dévaluation est décidée par les pouvoirs publics, elle est utilisée dans un régime

libre, elle est utilisée dans un régime de change flexible. Finance & Finance Internationale N°18 janvier 2020 http://revues.imist.ma/?journal=FFI ISSN: 2489-1290 4

importations pour réaliser leur production (on parle des produits énergétiques et des produits

de consommation intermédiaire importés). I.1. Les effets des fluctuations du taux de change sur la croissance économique

secteur commercial en général et des exportations en particulier, la dévaluation aurait un effet

commerciale, il est à craindre que les coûts indirects dits " effet de contraction de la

dévaluation

Cet effet de contraction a de multiples fondeme

augmente le prix des biens échangés, ce qui se répercute sur le niveau général des prix

(inflation), entraînant un effet négatif sur le solde la balance et une baisse de la demande et de

la production (Edwards, 1986). Deuxièmement, un effet de contraction pourrait également

résulter de la dévaluation sur la répartition des revenus, idée mentionnée pour la première

fois par Diaz-Alejandro (1963) qui stipule que la dévaluation pourrait conduire à une

redistribution du revenu des personnes ayant une forte propension à consommer à celles ayant

une forte propension à épargner, ce qui a un effet négatif sur la demande globale.

Troisièmement, si la demande de biens importés est inélastique en raison de la prédominance

production. Outre ces canaux du côté de la demande, des effets de contraction peuvent

conséquent réduire la demande des entreprises pour les capitaux productifs. Une littérature abondante a évalué la relation entre les fluctuations des taux de change et la croissance économique. Les premières contributions, notamment celles de Connolly (1983) et Gylfason et Schmidt (1983), qui études de Kamin et Rogers (2000), Bahmani-Oskooee et Miteza (2006) et El-Ramly et Abdel-

Haleim (2008). Des résultats mitigés ont été rapportés par Edwards (1986) et Rhodd (1993),

qui ont constaté des effets négatifs à court terme de la dévaluation du taux de change sur la

production, tandis que la réponse à long terme de la production semblait être positive. El- Ramly et Abdel-Haleim (2008) ont signalé une réponse négative pendant plusieurs années aucun effet significatif des mouvements de taux de change (Bahmani-Oskooee, 1998; Upadhyaya & Upadhyay, 1999). Des études portant sur plusieurs pays ont souvent fait état de résultats différents selon les pays (Bahmani-Oskooee et Miteza, 2006). Une autre branche de la recherche, popularisée par Edwards (1986), commence à

examiner si les taux de change dans les pays en développement ont été surévalués. La

conclusion selon plusieurs économistes est que la surévaluation nuit à la croissance

économique selon Dollar (1992) et Easterly (2005). Ainsi la littérature récente suggère que

des taux de change sous-évalués favorisent la croissance économique. Dans un article

influent, Rodrik (2008) a utilisé un indice de sous-évaluation basé sur la parité de pouvoir

effet des devises sous-évaluées sur la croissance. Il précise Finance & Finance Internationale N°18 janvier 2020 http://revues.imist.ma/?journal=FFI ISSN: 2489-1290 5

que les secteurs des échanges sont plus gravement touchés par les mauvaises institutions et les

défaillances du marché, et que la sous-évaluation des monnaies nationales aide à surmonter

ces p sous-évaluations sont nuisibles et conduisent à une surchauffe et à une inflation excessive (Berg & Miao, 2010)3. Des Études ultérieures, Levy-Yeyati et Sturzenegger, (2012); Mbaye, (2012); Razmi et

al. (2011) ont généralement confirmé cette association positive entre les taux de change sous-

évalués et la croissance économique, mais le mécanisme par lequel fonctionne la sous-

évaluation reste débattu pour Magud et Sosa (20

revanche, Mbaye (2012) a constaté que la croissance de la productivité totale des facteurs était

stimulée par la sous- exportations. Toutefois, compte tenu de la divergence des résultats présentés par plusieurs sur la croissance économique dans un contexte bien particulier qui est celui de marocaine. II : -0,3 %, +0,3 %)

des politiques de change, le choix de chaque stratégie de change doit être homogène avec les

caractéristiques spécifiques de mondiale, les pouvoirs publics ont engagé le macroéconomiques. Les résultats de ces réf

des grandes difficultés traduites par son insolvabilité vis-à-vis des institutions internationales.

La mis

performance économique a été en deçà des attentes, ce qui a amené les autorités publiques a

ouverture économique devant encourager marché. première partie est de présenter une lecture de la situation économique, financière et monétaire du Maroc à travers une analyse descriptive des principaux agrégats économiques exister entre ce régime et les agrégats macroéconomiques.

3 Berg et Miao, 2010 se positionne entre les deux extrémités du débat. Selon eux, la sous-évaluation peut

soutenir une croissance plus forte à court et moyen terme, cela implique des ajustements qui sont opérés pour

revenir à la trajectoire de production normale. Finance & Finance Internationale N°18 janvier 2020 http://revues.imist.ma/?journal=FFI ISSN: 2489-1290 6 I une volatilité depuis

indépendance, cette volatilité est liée principalement au secteur agricole qui reste toujours

dépendant des aléas climatiques et des marchés mondiaux. Le taux de croissance économique

est de 4,13%. Ainsi, entre 1983 et 1993 avec ce taux est essentiellement cas au Maroc. Le taux de croissance devient 4,48% entre 1994 et 2006, cette performance

des années 2000, aux répercussions positives des différentes réformes réalisées au cours des

infrastructures hydrauliques et de modernisation des techniques de production agricoles.

Arrive la dernière décennie de 2007 à 2017 marquée par la crise financière mondiale de 2008

et le printemps arabe en 2011 qui ne semblent pas affecter la croissance économique au Maroc qui a fait preuve de résilience notable au cours de cette période avec un taux annuel

moyen de 3,9%. Généralement, les performances économiques réalisées depuis le début des

profité, entre autres ent bon marché. Globalement, la situation

donc pas accompagné de création de valeur ajoutée dans les branches porteuses de

technologie. Ceci constitue probablement un o un stade de développement supérieur pour être définie comme un pays émergent. Figure 33 : Taux de croissance économique annuel au Maroc depuis 1967

Source : Banque mondiale

II

des épisodes inflationnistes élevées durant les années 80 et 90 a pu maitriser son taux

-10 -5 0 5 10 15 Finance & Finance Internationale N°18 janvier 2020 http://revues.imist.ma/?journal=FFI ISSN: 2489-1290 7

atteignant les 6,3% au cours de la période allant de 1983 à 1993, ses efforts ont contribué à

réduire ce taux moyen à 2,38% entre 1994 et 2006. Alors que la troisième phase a vu le taux

essentiellement aux relations avec les partenaires commerciaux compte tenu de la structure de son co

la fixité de la monnaie contribue à une faible inflation, la caisse de compensation joue

erratiques dans les marchés internationaux. Sans nul doute, la stabilité des prix a contribué à

iser les calculs économiques des Figure 35 : Inflation, prix à la consommation (% annuel) depuis 1960

Source : Banque mondiale

II.3. Secteur financier

a compté dans une large mesure de financier et se sont allées graduellement en ess

marocaine à une économie de marché en faisant évoluer et progresser le système financier

marocain vers un système capable de générer lui-même des ressources dont a besoin le pays.

Dans son rapport " ion financière internationale : Théories, évidences, et

leçons des expériences récentes » de 2015, Pierre-Richard Agénor affirme dans une analyse

ouverture financière internationale bien gérée, peuvent avoir des effets positifs importants.

-5 0 5 10 15 20 Finance & Finance Internationale N°18 janvier 2020 http://revues.imist.ma/?journal=FFI ISSN: 2489-1290 8 dans le modèle de croissance marocain est déterminant. Une intégration est selon certains

économistes, porteuse de germes de crise et déstabilisations financières susceptibles de mettre

capitaux peut être responsable des crises financières et crises de change.

principale qui est celle de la répartition efficace des ressources entre les différents acteurs de

II depuis 1980, sa moyenne entre 1983 et 1993 était de 26,15%. Ensuite, une accélération est remarquée au cours de la deuxième phase (1994-2006 Une légère amélioration continue pour atteindre une moyenne de 28,67% entre 2007 et 2017.

économique au cours de la période 1994-

dépassé les 30% tout au long de cette période pour atteindre un pic de 33, 81% en 2008, avant

de se montrer vulnérable à la crise,

valeur chuter en 2012 à 5,49% avant de se stabiliser les 4 dernières années (2013-2017) qui

Figure 37

Source : Banque mondiale

II.3.2 Le rapport : Investissement-Epargne

0 5 10 15 20 25
30
35
40

Epargne

totale

Epargne

domestique Finance & Finance Internationale N°18 janvier 2020 http://revues.imist.ma/?journal=FFI ISSN: 2489-1290 9 la croissance économique eu Maroc accompagnée par une croi contra- constat est corroboré par la part importante de la demande intérieur dans la composition de la croissance économique exposée précédemment.

Figure 38: Taux

Source : Banque mondiale

II.4.Exposition extérieur et déséquilibres macroéconomiques : Dette, Commerce extérieur et compétitivité bien avant la crise, tant sur le plan des finances publiques que sur celui de la balance des paiements. Comme indiqué plut haut, la performance du Maroc en matière de croissance demande interne et la performance du secteur agricole ainsi que par les ratios

niveaux les plus élevés au monde. En effet, les déséquilibres macroéconomiques, peuvent

ion des investissements

privés par les déficits budgétaires, une inflation ou bien des crises financières et de change.

II.4.1 Balance commerciale et compétitivité

4 n du Gouvernement du Royaume du Maroc avec la Banque africaine

de développement (BAD) et de la Millennium Challenge Corporation (MCC). 0 5 10 15 20 25
30
35
40

Investissement

Epargne totale

Finance & Finance Internationale N°18 janvier 2020 http://revues.imist.ma/?journal=FFI ISSN: 2489-1290 10

un point faible, dominé par les importations des produits énergétiques et alimentaires malgré

les performances réalisées en matière des exportations. Cette dépendance, constitue en effet

une contrainte à la politique de change qui devrait toujours se prémunir contre le risque inflationniste causé par une dépréciation de la valeur du Dirham. balance des transactions courantes, permettra de bien comprendre la structure du compte courant. Figure 40 : Evolution des exportations, des importations et de la balance commerciale (%du PIB)

Source : Banque mondiale

Depuis les années 70, le Maroc a toujours été marqué par un déficit structurel de sa balance commerciale, qui a subi un certain nombre de chocs (choc pétrolier, sécheresse, crise lesse du tissu productif. libérales adoptées en faveur de la promotion des exportations (Ouverture économique, baisse

des tarifs douaniers, exonérations fiscales et simplification des procédures pour les entreprises

exportatrices) ne permettent pas de résorber le déficit, du moment que le volume des

importations accroit à un rythme plus intense, notamment par les biens de consommation, aggravant ainsi le déficit de la balance sme suffisant des exportations et renforçant davantage consommation.quotesdbs_dbs24.pdfusesText_30
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