Dynamiques territoriales métropolisation et réseaux en Aquitaine
3 sept. 2016 Vingt-cinq grandes aires urbaines structurent le territoire régional : elles abritent deux habitants sur trois de l'ALPC. Depuis longtemps dans ...
Dynamiques urbaines et sociales dans les quartiers péricentraux. L
21 mai 2007 Source : INSEE et définition basée sur le critère de la forme urbaine. *L'unité urbaine définie selon le critère de la.
Chapitre 2 - Le zonage en aires urbaines
sur la base d'éléments dynamiques de manière à étudier et comparer leur la définition des pôles urbains précède celle de l'espace péri urbain ;.
Démographie et dynamique urbaine
d'habitations présentant entre elles une continuité et comportant au moins 2 000 habitants. (définition Insee). La superficie des communes urbaines dépasse
Dossier
mission exprime le souhait que l'Insee propose une approche nouvelle des espaces ruraux qui ne soit pas en négatif de la définition de l'urbain
Dossier
Dossier - Dynamiques régionales dynamiques urbaines. 79. * Patrick Redor
Nouvel espace régional et dynamiques métropolitaines
2 déc. 2017 Le territoire compte 21 aires urbaines de plus de. 50 000 habitants. L'aire urbaine de Lyon réunit. 22 millions d'habitants
Drôme : un dynamisme démographique soutenu et équilibré
Source : Insee Recensements de la population 2006 et 2011. Carpentras Dieulefit en retrait des dynamiques urbaines. Le sud drômois de la.
Analyse
23 oct. 2011 liées aux dynamiques propres des villes mais aussi à la proximité du littoral ... 1. selon la définition actuelle des aires urbaines.
1.4 Villes de France
graphie moins dynamique que la moyenne nationale. Dans toutes ces grandes aires urbaines les communes de la couronne péri- urbaine sont plus dynamiques que
Dynamiques régionales dynamiques urbaines - Insee
Les profils urbains les plus dynamiques se concentrent sur un groupe d'une dizaine de villes parmi lesquelles les capitales régionales de la plupart des
[PDF] Chapitre 2 - Le zonage en aires urbaines - Insee
L'apport de l'aire urbaine est de proposer un concept englobant des villes sur la base d'éléments dynamiques de manière à étudier et comparer leur
[PDF] Dossier - Insee
Dossier - Dynamiques régionales dynamiques urbaines définition couramment acceptée des villes comme agglomérations ou unités urbaines
[PDF] Chapitre 1 - Les unités urbaines - Insee
L'unité urbaine est une commune ou un ensemble de communes qui comporte sur son territoire une zone bâtie d'au moins 2 000 habitants où aucune habitation
[PDF] Dynamiques urbaines et sociales dans les quartiers péricentraux L
21 mai 2007 · Source : INSEE et définition basée sur le critère de la forme urbaine *L'unité urbaine définie selon le critère de la
[PDF] Démographie et dynamique urbaine - DREAL Hauts-de-France
d'habitations présentant entre elles une continuité et comportant au moins 2 000 habitants (définition Insee) La superficie des communes urbaines dépasse
Dynamiques urbaines et mutations des espaces agricoles en
Cette croissance de la population s'explique principalement par un bilan migratoire positif (INSEE 2007) et se traduit du point de vue spatial par un fort
[PDF] Mesurer un univers urbain en expansion
Pour l'Insee sont réputées urbaines toutes les com- périphérie d'une métropole dynamique est souvent une sant la définition récemment adoptée Par
[PDF] Typologie des aires urbaines selon la population - Fnau
sont rénovées portées par les dynamiques d'intercommunalité ci sont assez voisines de celle de l'unité urbaine Insee
Lurbanisation de lÎle de la Réunion : évolution et modèles de villes
Dans un premier temps pour ses recensements l'INSEE-Réunion avait commencé par restreindre la définition de la population urbaine au seul cadre du chef-lieu
C'est quoi la dynamique urbaine ?
La dynamique urbaine peut aussi faire l'objet d'une analyse systémique : ce sont alors les relations entre une ville et son environnement ou entre les différentes villes d'un même ensemble – un pays par exemple – qui importent.Quelles sont les dynamiques urbaines ?
Le phénomène dominant l'espace urbain aujourd'hui est le phénomène d'étalement urbain qui est une augmentation de la zone occupée par la ville. Ce phénomène s'explique par l'arrivée d'habitants et d'activités dans les espaces ruraux en périphérie des grandes villes qui les transforment peu à peu en espace urbain.Quels sont les dynamiques urbaines en France ?
L'aire urbaine parisienne est la plus dynamique, mais les aires urbaines du sud et de l'ouest connaissent une croissance sans précédent. Les villes fran?ises s'étendent de plus en plus, grignotant sur leur passage l'espace agricole, qu'il faut alors réorganiser à son tour.- Une unité urbaine est une agglomération de population, définie comme un ensemble d'habitations telles qu'aucune ne soit séparée de la plus proche de plus de 200 mètres, et abritant au moins 2 000 habitants.
Année 2006
|__|__|__|__|__|__|__|__|__|__|THÈSE
pour obtenir le grade deDOCTEUR DE L'UNIVERSITÉ DE NANTES
Discipline : Géographie
présentée et soutenue publiquement parLaurent COUDERT
Le 26 octobre 2006 à l'Université de NantesTitre :
Dynamiques urbaines et sociales dans les quartiers péricentraux L'exemple de trois métropoles régionales : Nantes, Bordeaux et Toulouse ______Directeur de thèse :
Jean-Pierre PEYON, Professeur émérite
______ JURY M. Rémy ALLAIN Professeur à l'Université de Rennes 2 Rapporteur M. Jean-Pierre WOLFF Professeur à l'Université de Toulouse-le-Mirail Rapporteur M. François MADORÉ Professeur à l'Université de Nantes M. Joël PAILHÉ Professeur à l'Université de Bordeaux 3 M. Jean-Pierre PEYON Professeur émérite à l'Université de NantesREMERCIEMENTS
Ce travail est le résultat d'un long cheminement personnel. Néanmoins, il n'a pu aboutir qu'avec l'aide de nombreuses personnes. En premier lieu, mes remerciements s'adressent à Jean-Pierre Peyon, directeur de cette thèse, qui m'a proposé ce sujet puis soutenu tout au long de ce
parcours. La réalisation de ce travail n'a pu s'effectuer que dans le cadre d'un environnementscientifique propice à la recherche et sur ce point, je tiens à marquer ma gratitude envers l'équipe
du laboratoire ESO Cestan (UMR 6590 du CNRS), installé dans le château du Tertre. Je voudrais aussi exprimer ma reconnaissance à l'Institut de Géographie et d'Aménagement Régional del'Université de Nantes (IGARUN) qui me fait bénéficier, en cette rentrée 2006, d'un poste
d'Attaché Temporaire d'Enseignement et de Recherche (ATER). Un grand merci également à Aurore Mangenot pour son amitié et son soutien. L'environnement scientifique et matériel, c'est également une salle des doctorants, elle aussiau château. Au fil des ans, ce lieu est devenu un cadre à la fois stimulant pour la recherche et
agréable à vivre au quotidien. Des doctorants, pour certains aujourd'hui docteurs, ont contribué à
son aménagement puis à son fonctionnement. Sur ce point, je tiens vivement à remercier Régis
Barraud, Claire Choblet, Brice Tonini et Brice Trouillet. Je sais aussi que la relève est assurée.
Bon vent à tous les nouveaux...
Cette thèse, c'est aussi de multiples contacts hors de l'université nantaise. À ce sujet, je
remercie Lydie Trigodet ainsi que Gérard Pénot, du service URBANA de la mairie de Nantes. Jetiens enfin à saluer Lionel Rougé qui lors de l'un mes déplacements à Toulouse m'avait très
chaleureusement hébergé. En outre, je remercie l'ensemble des habitants rencontrés au cours des
entretiens. Dans les derniers moments, plusieurs personnes m'ont été d'une aide précieuse. Pour la relecture, je remercie Vincent Hervouet et Florence Coudert. Aude Chasseriau et Helen Maulion m'ont rendu un grand service pour la traduction. Enfin et surtout, le soutien logistique deThéodora Allard pour la mise en forme des figures m'a été d'une aide précieuse. Merci Théo
pour toutes ces heures de travail passées en commun et toujours dans la bonne humeur ! Enfin, au cours de ces années de Doctorat, les moments de détente n'ont pas manqué non plus. À ce sujet, je voudrais faire un petit clin d'oeil à mes amis du Cercle Breton de Nantes(CBN) ainsi qu'à ceux de l'Institut des Géographes OEnologues Rabelaisiens de L'Université de
Nantes (IGORUN).
NOTE AUX LECTEURS
REPERTOIRE DES SIGLES
Central Business District (centre des affaires)
C.D.M.O.T. : Centre de Documentation du Mouvement Ouvrier du Travail (C.H.T. à partir de 1994) C.E.S.T.A.N. : Centre d'Etude sur les Sociétés, les Territoires, l'Aménagement, Nantes C.E.S.U.R.B. : Centre d'Etudes des eSpaces URBainsC.H.T. : Centre d'Histoire du Travail
C.I.E.U. : Centre Interdisciplinaire d'Etudes UrbainesC.M. : Conseil Municipal
C.O.S. : Coefficient d'Occupation des Sols
C.U.B. : Communauté Urbaine de Bordeaux
C.U.N. : Communauté Urbaine de Nantes (Nantes Métropole) D.A.T.A.R. : Direction à l'Aménagement du Territoire et à l'Aménagement Régional D.D.A.S.S. : Direction Départementale des Administrations Sanitaires et Sociales D.D.E. : Direction Départementale de l'ÉquipementD.D.U. : Direction de Développement Urbain
D.I.A. : Déclaration d'Intention d'Aliéner
D.O.M.-T.O.M. : Départements d'Outre Mer - Territoires d'Outre Mer E.P.C.I. : Etablissement Public de Coopération Intercommunale F.N.A.I.M. : Fédération Nationale de l'ImmobilierF.S.S. : Formation Socio-Spatiale
H.L.M. : Habitation à Loyer Modéré
I.G.A.R.U.N. : Institut de Géographie et d'Aménagement Régional de l'Université de Nantes
I.G.N. : Institut Géographique National
I.M.A.R. : Image, Mer et Aménagement Régional I.N.S.E.E. : Institut National de la Statistique et des Études ÉconomiquesSOMMAIRE
Introduction
Première partie : identifier les espaces péricentraux Chapitre 1 La démarche d'une approche socio-spatiale Chapitre 2 Trois études de cas : Nantes, Bordeaux et Toulouse Chapitre 3 Formes urbaines et densités péricentrales Deuxième partie : la revalorisation sociale des espaces péricentraux Chapitre 4 Un espace d'accueil pour de nouvelles populations Chapitre 5 Une nouvelle distribution de la population en fonction de l'âge Chapitre 6 Vers une gentrification des espaces péricentraux ? Troisième partie : des espaces aux quartiers péricentraux Chapitre 7 Des quartiers identifiés grâce aux commerces et services de proximité Chapitre 8 Nouveaux quartiers et/ou centre-ville élargi : un double processus de territorialisationConclusion
12Introduction Générale
13 INTRODUCTION GENERALE
Introduction Générale
14Introduction Générale
15 " La forme d'une ville » La démarche descriptive, utilisée par Julien Gracq dans le cadre d'un roman autobiographique sur son enfance et son adolescence nantaise pendant l'Entre-deux-guerres, estun moyen d'appréhender les quartiers péricentraux. L'auteur a suivi des études dans la cité des
Ducs de Bretagne, au lycée Clemenceau, et raconte, dans son oeuvre rédigée un demi-siècle plus
tard, l'ambiance qui régnait dans les divers secteurs de la ville. À propos de ces espaces qui entourent le centre, il évoque notamment l'atmosphère " chargée de vie » des faubourgs et celle, au contraire apaisée, des quartiers résidentiels. Les contrastes existants dans la morphologieurbaine sont également soulignés. D'une façon générale, les étapes de l'urbanisation dans les
villes d'Europe occidentale 1 sont lisibles à partir de l'observation sur le terrain des multiples disparités de la trame urbaine. Thierry Paquot (2004) 2 explique que l'idée de flâner dans la ville, outre l'intérêt pour la littérature, " n'est pas un détour inutile pour mesurer les enjeux del'urbanisation à l'oeuvre. En effet, peut-on habiter ce monde urbain sans pouvoir l'appréhender
physiquement, sensiblement, charnellement ? » Une première approche nous conduit à distinguer trois principaux secteurs urbain qui eux-mêmes peuvent être subdivisés en plusieurs sous ensembles. Le premier d'entre eux, le centre-
ville, regroupe généralement les quartiers les plus anciens de l'agglomération. Ils sont reconnaissables notamment par : - les rues étroites et tortueuses de l'époque médiévale ; - les longues et hautes façades parfaitement alignées du XVIII e siècle ; - les percées parfaitement rectilignes de l'époque haussmannien ne. Le deuxième secteur, la périphérie, située à l'opposé du premier, présente unemorphologie plus disparate encore. Le principe du zonage des lieux d'activités et de résidence,
établi lors de la charte d'Athènes
3 , est de rigueur. Ces espaces comprennent : - de grands ensembles d'habitat collectif, sous formes de hautes tours ou d'immeubles, construits entre les années 1950 et 1970, époque pendant laquelle le besoin en logements s'est fait le plus sentir ; 1Les villes de la moitié ouest du vieux continent ont connu les mêmes grands évènements au cours des
mêmes périodes de l'histoire. Epoques médiévale, moderne, contemporaine correspondent chacune à un style
d'urbanisme donné, visible dans la majorité des villes européennes. 2Thierry Paquot est Philosophe et Professeur à l'Institut d'Urbanisme de Paris (Paris XII-Val-de-Marne).
3Le Corbusier, La Charte d'Athènes - 1933 - Publiée la première fois en 1942. Cette charte prône l'émergence
d'une nouvelle forme d'urbanisme et d'organisation de la ville, fondée sur le zonage des fonctions résidentielles et
des activités et un bâti privilégiant l'espace et la luminosité.Introduction Générale
16- de vastes espaces occupés essentiellement par de l'habitat individuel, pour l'essentiel
construit depuis les années soixante-dix ;- des zones d'activités récentes qui s'étendent généralement le long des grands axes à la
sortie des agglomérations. Entre ces deux types d'espaces, centraux et périphériques, il existe un troisième ensemble urbain que l'on ne peut pas considérer comme une simple zone de transition : la " couronne péricentrale ». Celle-ci correspond aux secteurs urbanisés entre le milieu du XIX e siècle et la Seconde Guerre mondiale et dont la structure urbaine n'a pas subi de transformationradicale par la suite. En outre, les faubourgs dont le développement a débuté dès le début
du XIX e siècle sont également considérés comme péricentraux. Cet effort de définition estd'autant plus nécessaire que le terme de péricentre sert parfois à décrire d'autres secteurs de
l'ensemble urbain. Ainsi, J.-P. Augustin (1991) l'utilise pour désigner les communes périurbaines,
en cours d'urbanisation et situées autour de la communauté urbaine de Bordeaux. Il parle ainsi du
" péricentre communautaire » bordelais. Schématiquement, l'agglomération dans sa dimension
" physique » (continuité du bâti) peut donc être divisée en trois zones distinctes que sont le noyau
central entouré de ses deux couronnes, l'une péricentrale, l'autre périphérique (figure 1). Hors
agglomération, les différentes couronnes périurbaines, où les zones urbanisées sont cette fois
discontinues, forment autant d'enveloppes supplémentaires à la ville.PéricentreCentre
Périphérie
Agglomération
(unité urbaine*)Couronnes périurbaines
(hors agglomération) Laurent COUDERT © CNRS - UMR 6590 ESO - CESTAN, 2004 Source : INSEE et définition basée sur le critère de la forme u rbaine*L'unité urbaine, définie selon le critère de la continuité urbaine, représente une commune ou un ensemble de communes comportant sur son territoire une zone bâtie continue d'au moins2000 habitants.
Figure 1 - Zonage de l'agglomération contemporaine en trois secteurs distincts À l'échelle de ce qui vient d'être sommairement défini comme la " couronnepéricentrale », il est possible de distinguer au moins trois sous ensembles (figure 2), facilement
reconnaissables par leurs morphologies singulières. Le premier d'entre eux, sans doute le plus aisément identifiable est le faubourg. Du latinfors, foris (hors) et burgus (le bourg), il désigne toute la partie de la ville qui à l'époque de sa
construction était située hors de son enceinte (Brunet, 1992). Les faubourgs s'étendent le long
des axes historiques d'entrée ou de sortie de la cité, parfois sur plusieurs kilomètres. Leur emprise
Introduction Générale
17Boulevard de ceinture
(fin XIX°)Axe de communication
importantQuartiers
périphériquesFaubourg
Couronne péricentrale interne
(habitat collectif dominant)Couronne péricentrale externe
(habitat individuel dominant)Les trois principaux types de
quartiers péricentraux Conception et réalisation : Laurent COUDERT © CNRS - UMR 6590 ESO - CESTAN, 2005Source : relevés personnels
Centre ville
spatiale rappelle celle d'une toile d'araignée, s'accrochant le long de fils radiaux, aujourd'hui devenus boulevards urbains, tandis que les autres quartiers péricentraux occupent les espacesintermédiaires, restés vacants jusqu'à une époque plus récente. Leur urbanisation remonte en
général au XIX e siècle mais peut avoir commencé à une époque antérieure.Des populations
migrantes, ne pouvant s'installer dans la ville même à cause de son exiguïté ou par manque de
moyens financiers, se sont concentrées dans les faubourgs et sont à l'origine de leur profil populaire. À proximité immédiate du centre-ville, un second sous ensemble, composé d'un habitat dense où les immeubles s'imposent, constitue une extension de celui-ci. Ces quartiers péricentraux internes se distinguent cependant par l'absence de fonctions centrales de commerces ou de services. Il s'agit soit de quartiers haussmanniens, ayant acquis leur forme actuelle depuis le XIX e siècle, soit de secteurs qui se sont densifiés plus lentement.Au-delà, le tissu urbain se relâche progressivement. La maison individuelle devient plus présente
et domine même dans le paysage de la ville. Ce critère de distinction est suffisant pour évoquer
l'existence d'un troisième sous ensemble péricentral. Il a été urbanisé au cours de la première
moitié du XX e siècle, comblant les vides entre les faubourgs, et se densifie toujours aujourd'hui.La délimitation des trois types de
quartiers péricentraux n'est pas toujours nette, bien que le faubourg soit en général aisément identifiable dans la trame urbaine. Entre les deux sous-ensembles constituant les couronnes péricentrales internes et externes, la transition est souvent progressive et la proportion d'immeubles d'habitat collectif ne diminue que de façon graduelle. La plupart de ces quartiers, après leur achèvement, n'ont pas sensiblementévolué jusqu'à une époque récente
mais des indicateurs montrent qu'ils font aujourd'hui l'objet d'un intérêt nouveau.Figure 2 - Structure urbaine des couronnes
péricentrales en Europe occidentaleIntroduction Générale
18Les coeurs de villes, comprenant centres historiques, faubourgs et autres quartiers
péricentraux semblent, après plusieurs décennies d'un relatif oubli au profit d'une expansion
périphérique parfois incontrôlée, retrouver une certaine attractivité. Cela se traduit dans le
paysage urbain par une intense activité immobilière. Dans de nombreux quartiers, de nouvelles constructions de petits immeubles collectifs de logements ou de bureaux remplacent des entrepôts désaffectés ou d'anciennes maisons. La densification de l'habitat permet ainsi d'augmenter la capacité du parc de logements. D'un point de vue démographique, les recensements de population effectués par l'Institut National de la Statistique et des Études Économique (INSEE) depuis 1975 montrent le regain d'intérêt des villes-centres 4 dans les septquotesdbs_dbs20.pdfusesText_26[PDF] dynamique urbaine pdf
[PDF] dynamique urbaine wikipédia
[PDF] la defense nationale
[PDF] cours relativité générale pdf
[PDF] emc défense et paix
[PDF] les origines de la géométrie
[PDF] référentiel propre définition
[PDF] reglement interieur d'un parti politique
[PDF] relativité du temps einstein
[PDF] exercices relativité restreinte pdf terminale s
[PDF] exercice sur la dilatation du temps
[PDF] organisation et gestion de données 6ème
[PDF] organisation et gestion de données 3eme
[PDF] organisation et gestion des données cm2