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Lurbanisation de lÎle de la Réunion : évolution et modèles de villes

Dans un premier temps pour ses recensements l'INSEE-Réunion avait commencé par restreindre la définition de la population urbaine au seul cadre du chef-lieu 

  • C'est quoi la dynamique urbaine ?

    La dynamique urbaine peut aussi faire l'objet d'une analyse systémique : ce sont alors les relations entre une ville et son environnement ou entre les différentes villes d'un même ensemble – un pays par exemple – qui importent.
  • Quelles sont les dynamiques urbaines ?

    Le phénomène dominant l'espace urbain aujourd'hui est le phénomène d'étalement urbain qui est une augmentation de la zone occupée par la ville. Ce phénomène s'explique par l'arrivée d'habitants et d'activités dans les espaces ruraux en périphérie des grandes villes qui les transforment peu à peu en espace urbain.
  • Quels sont les dynamiques urbaines en France ?

    L'aire urbaine parisienne est la plus dynamique, mais les aires urbaines du sud et de l'ouest connaissent une croissance sans précédent. Les villes fran?ises s'étendent de plus en plus, grignotant sur leur passage l'espace agricole, qu'il faut alors réorganiser à son tour.
  • Une unité urbaine est une agglomération de population, définie comme un ensemble d'habitations telles qu'aucune ne soit séparée de la plus proche de plus de 200 mètres, et abritant au moins 2 000 habitants.

Les nouvelles aires urbaines

L'influence des villes bretonnes se renforce

En Bretagne, les flux domicile-travail engendrés par les 56 pôles urbains de la région témoignent d'une emprise croissante des villes sur les territoires. Alors que la région est moins urbanisée, l'influence des villes y est plus forte qu'ailleurs. Dans l'ensemble, la progression de la population sous influence urbaine tient désormais autant à la densification des territoires déjà sous l'emprise des villes, qu'à l'extension géographique de leur aire d'influence. Ce constat masque toutefois de fortes disparités au sein de la région, liées aux dynamiques propres des villes mais aussi à la proximité du littoral ou d'autres pôles urbains qui limitent les capacités d'extension. A l'avenir, l'extension des aires d'influence des villes pourrait également être contrainte par l'évolution des comportements de localisation des ménages, dans un contexte de hausse des coûts et des temps de transport quotidiens. L de l'agglomération. Les villes constituent des centres d'activité économique attirant quotidien nement nombre de travailleurs qui résident en péri de l'espace, avec notamment des pôles urbains pour voyeurs d'emplois et des zones alentour accueillant la res d'influence des pôles d'emplois. Elles sont compo sées de ces pôles et des communes périphériques où plus de 40 % de la population en emploi rejoint

quotidiennement le pôle ou sa couronne.La Bretagne : une régionmoins urbanisée que la moyennemais davantage sous influence des villes

La priseen comptedesrésultatslesplusrécentsdu re- censement a conduit à définir une nouvelle carto graphie de ces aires d'influence. Selon ce nouveau zo nage, la Bretagne compte désormais 56 pôles d'emplois, à savoir des unités urbaines abritant au moins 1 500 emplois. Ces pôles, leurs couronnes, ainsi que l'ensemble de l'espace multipolarisé (sous influence de plusieurs pô les), représentent 1 082 communes, couvrant 83 % de

Numéro 23 - Octobre 2011

TerritoireINSEE BRETAGNEAnalyse

OctantAnalyse

national (hors aire urbaine de Paris). Ainsi, alorsquelapartdelapopulationbretonnevi vant en commune urbaine est légèrement plus faible que la moyenne nationale, l'in fluence des villes bretonnes s'exerce sur un territoire plus étendu. Le réseau des villes spatiale moins concentrée des emplois (no tamment agroalimentaires)confèrent à la ré gion un système urbain plus diversifié et un maillage relativement serré. Par rapport aux tonne est beaucoup moins concentrée dans les grands pôles urbains (36 % contre 52 %, 19 e ronnesmaisaussidanslesespacesmultipo laire des Bretons à l'habitat individuel.

De grandes aires urbainessouvent littorales...

Parmi les 16 pôles urbains bretons abritant

plus de 10 000 emplois, 14 sont entourés de larges couronnes périurbaines, reliées éco- pent à cette règle en raison notamment de leur proximitéavecdespôlesde plusgrande taille.

L'organisation interne de ces grandes aires

lesurbainsneregroupentque18%descom- munes mais concentrent 58 % des habitantset 75 % des emplois. Dans ce schéma, les plus grandes villes, offrant le plus d'emplois, génèrent les plus larges couronnes. Pour

10 emplois situés dans un grand pôle, l'aire

correspondante abrite en moyenne 30 habi tants,dont17aupôleet13danslacouronne.

Au premier rang des grandes aires urbaines

bretonnes figure Rennes dont l'aggloméra tion se compose de 13 communes - le pôle - entourées de 177 communes périurbaines.

L'ensemble dépasse désormais les 650 000

habitantsetles300000emplois.Lepôleren nais, à la fois central et dominant dans son département, a pu trouver autour de lui un large terrain d'expansion : il s'étend mainte nant sur 3 750 km² et représente ainsi 55 % de la superficie départementale.

A contrario, la plupart des autres grandes ai

resurbainesbretonnessontlittoralesetorga niséesen chapelet,ce qui limiteleur possibi lité d'étalement géographique. La proximité d'autres pôles crée des zones multipolaires.

Ainsi, de Lorient à Vannes, ou de Morlaix à

Saint-Brieuc, les aires d'influence des villes

s'étendent en se chevauchant, formant de larges espaces périurbains, où les actifs se répartissent selon leurs choix ou leurs contraintes budgétaires.

Lescommunespolariséesparaumoinsdeux

grandes aires urbaines constituent de fait des zones de rencontre des différentescouronnes périurbaines, où leurs champs d'attraction interfèrent. ... et des aires plus modestesà l'intérieur

Parmi les 40 pôles de moins de 10 000 em-

plois, seuls trois d'entre eux disposent d'une véritable couronne périurbaine : Loudéac (8 communes), Carhaix-Plouguer (4) et Ploërmel (3). Pour tous les autres, l'aire d'in fluence ne dépasse pas les frontières du pôle : en regard des emplois proposés, ces la main-d'oeuvre correspondante.

Par ailleurs, plus d'une commune sur trois

est multipolarisée, sous influence de plu sieurs grandes aires urbaines ou de plu sieurs pôles plus modestes. Il s'agit pour la agglomérations, mais à proximité de plu sieurs pôles d'emploi. L'importance de ces espaces (19 % de la population bretonne et

37 % de la superficie régionale) constitue

également une spécificité bretonne, qui

renvoie au maillage territorial des villes petites et moyennes dans la région. comme " hors influence des pôles ». Pour- tant, cette influence peut exister, mais elle concernemoinsde40%desactifs:ceuxqui se déplacent vers les pôles pour aller travailler.

2 Insee Bretagne - OCTANT Analyse n° 23 - Octobre 2011

La population dans les catégories du zonage en aires urbaines

Bretagne France métropolitaine*

Communes Population en 2008

Surface

(en km²)

Densité

(en hab/km²)

Répartition

des communes (en %)

Répartition

de la population 2008
(en %)Nombre % Nombre %

Espace des grandes aires urbaines

Grandes aires urbaines501 39,4 1 990 174 63,2 9 927 201 39,4 71,9

Grands pôles urbains(au moins 10 000 emplois)

87 6,8 1 143 185 36,3 1 792 638 8,1 52,3

Couronnes des grands pôles urbains414 32,6 846 989 26,9 8 134 104 31,3 19,6 Communes multipolarisées des grandes aires urbaines151 11,9 232 427 7,4 3 216 72 11,4 6,5

Espace périurbain**

565 44,5 1 079 416 34,3 11 351 95 42,7 26,1

Espace des autres aires

Aires moyennes65 5,1 229 579 7,3 1 287 178 3,6 4,2 Pôles moyens(de 5 000 à moins de 10 000 emplois)

46 3,6 212 741 6,8 968 220 1,3 3,5

Couronnes des pôles moyens19 1,5 16 838 0,5 319 53 2,3 0,7

Petites aires43 3,4 143 183 4,5 1 094 131 4,2 5,0

Petits pôles(de 1 500 à moins de 5 000 emplois)

42 3,3 142 521 4,5 1 087 131 2,5 4,7

Couronnes des petits pôles1 0,1 662 0,0 8 85 1,7 0,3

Autres communes multipolarisées

322 25,4 372 236 11,8 6 998 53 20,2 6,5

Communes isolées, hors influence des pôles188 14,8 182 102 5,8 4 685 39 21,2 5,9

Ensemble

1 270 100,0 3 149 701 100,0 27 208 116 100,0 100,0

*: hors aire urbaine de Paris.

**: l'espace périurbain comprend les couronnes des grands pôles urbains et les communes multipolarisées des grandes aires urbaines.

Source : Insee, recensements de la population

Les aires d'influence des villes

Insee Bretagne - OCTANT Analyse n° 23 - Octobre 2011 3

Communes isolées,

hors influence des pôles

Communes multipolarisées

des grandes aires urbaines

Grands pôles (au moins 10 000 emplois)

Couronnes des grands pôles

Pôles moyens (de 5 000 à moins de 10 000 emplois)

Couronnes des pôles moyens

Petits pôles (de 1 500 à moins de 5 000 emplois)

Couronnes des petits pôles

Autres communes multipolarisées

Espace des grandes aires urbaines

Grandes aires urbaines

Espace des autres aires

Aires moyennes

Petites aires

Source : Insee, recensement de la population 2008 - Zonage en aires urbaines 2010 Le zonage en aires urbaines 2010 (selon les données du recensement de 2008) Brest

Rennes

Châteauneuf-du-Faou

LorientSaint-Malo

Pont-de-Buis

Noyal-PontivySaint-Brieuc

Vannes

QuimperLannion

FougèresMorlaixDinard

Redon

Vitré

ConcarneauDinan

AurayGuingamp

Pontivy

PenmarchPaimpol

Loudéac

Douarnenez

Pont-l'Abbé

QuimperléSaint-Pol-de-Léon

Carhaix-PlouguerLesneven

Landivisiau

Ploërmel

Lamballe

Plouhinec -Audierne

CarnacCrozon

Locminé

SarzeauRosporden

QuestembertGuerTréguier

Châteaulin

Baud La Guerche-de-BretagneSaint-Méen-le-GrandPlancoët

QuiberonDol-de

-Bretagne

MuzillacGourin

MalestroitRostrenen

La GacillySaint-Brice-en-Coglès

Josselin

©Insee - Datar -IGN 2011

Le zonage en aires urbaines 2010 (selon les données du recensement de 1999) Source : Insee, recensement de la population 1999 - Zonage en aires urbaines 2010

DinanLannion

Saint-BrieucBrestMorlaix

QuimperFougères

Redon

RennesSaint-Malo

Vitré

Lorient

Vannes

©Insee - Datar -IGN 2011

Désormais, les aires croissentautant par densificationque par extension

Ces différents types de territoires ont connu

desdynamiquesdiversesaucoursdelader nière décennie. Les communes périurbaines mographiques : + 18 % entre 1999 et 2008.

Ellesont accueillides famillesà la recherche

d'un logement plus spacieux, un environne ment plus aéré, des loyers ou des prix de vente moins élevés.

Depuis 1999, la population de l'ensemble

des aires d'influence bretonnes s'est ainsi accrue de 367 000 habitants, dont plus de la moitié résulte d'une extension géographique de leur périmètre. Le nombre de communes sous influenced'un pôle d'emploisest passé de481en1999 1

à609en2008,soit189000

habitants supplémentaires. Par ailleurs, l'es séde407à188communesetde14%à6% de la population régionale.

Toutefois et en parallèle, les aires se sont

également densifiées : à périmètre inchangé par rapport à 1999, elles ont gagné 178 000 habitants, soit 9 % en 9 ans. Ce phénomène de densification fait désormais jeu égal avec le mouvement d'extension, alors que son in- tensité était deux fois moindre dans les années 1990.

Ce nouveau partage de la croissancepériur-

baine marque donc un frein à l'étalement ur bain, dont les conséquences, en termes de coûts et temps de transport, d'accès aux lent les ménages à de nouveaux arbitrages quant à leur stratégie résidentielle.

Ces deux mouvements, qui affectent surtout

les grandes aires urbaines, n'agissent pas uniformément sur tous les territoires, mais font apparaître des disparités locales dues à des contextes particuliers. Des formes d'évolutiondifférentes selon les territoires

Au cours des années 1999 - 2008, l'effet de

densification l'emporte sensiblement dans l'aire de Vannes et plus nettement encore dans cellesd'Auray,Quimper, Lannionet Vi- tré. Les effets sont plus équilibrés et plus fai blesdanslesairesdeBrestetdeSaint-Malo.

L'impact du mouvement d'extension est plus

vigoureux et se conjugue à une densification forte dans les aires de Rennes, de Saint-

4 Insee Bretagne - OCTANT Analyse n° 23 - Octobre 2011

Source : Insee, recensement de la population 2008

Un ratio nb. d'habitants/emploi plus élevé dans les principales grandes aires urbaines Nombre d'habitants des grandes aires urbaines pour 10 emplois dans le pôle

Nombre d'habitants pour 10 emplois

Grandesaires urbaines

(moyenne)

04010 2030

Vitré

Guingamp

DinanPontivy

Auray

MorlaixRedon

Quimper

Saint-Malo

Vannes

FougèresLannion

Brest

Saint-Brieuc

Rennes

Lorient

Pôle

Couronne

en 21 habitants au sein du pôle et 17 habitants dans la couronne. Forte croissance pour Auray, Saint-Brieuc, Vannes et Rennes Évolution de la population dans les 16 grandes aires urbaines bretonnes

Nombre de

communesPopulation en 2008Variation 1999 - 2008

Évolution

1999 - 2008

(en %)Emploi (au lieu de travail)

2008par

extensionpar densification

Rennes

190 654 478 78 859 77 088 31,3 303 167

Brest52 311 735 3 517 6 945 3,5 128 981

Lorient29 212 317 16 151 9 406 13,7 82 943

Saint-Brieuc49 166 040 31 398 12 178 35,6 72 587

Vannes33 144 353 15 048 19 409 31,4 66 238

Quimper21 123 963 2 714 8 119 9,6 59 754

Saint-Malo16 73 469 3 946 1 994 8,8 32 197

Lannion26 63 526 739 5 065 10,1 24 446

Fougères20 42 706 5 418 1 187 18,3 19 441

Morlaix11 40 060 2 904 1 274 11,6 19 423

Redon9 28 517 3 771 1 995 25,3 13 673

Vitré12 27 594 660 2 904 14,8 15 502

Dinan9 26 747 - 5 857 1 502 - 14,0 12 723

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