MODIF DU 27 OCTOBRE 21-RAPPORT PEFA OUAGA (final) pour
3 abr 2009 Titre II articles 44-71. 27 Loi de Finances de la Commune de Ouagadougou est intitulée budget primitif. 28 Décret No 2006-204/PRES/PM ...
NOMINAL MODIFIERS IN NOUN PHRASE STRUCTURE
5. 2.1 Definition function and structural patterns of noun phrases . 3.5 Nominal modifiers versus other kinds of modification within the noun phrase.
Status Report on Alcohol and Health in 35 European Countries 2013
The WHO Regional Office for Europe is grateful to the Ministry of Social Affairs and Health Finland
Instruction DAF/DPACI/RES/2009/018
Décret n° 79-1037 du 3 décembre 1979 modifié relatif à la compétence des 5 -. 0.3.2. Présentation de l'instruction. 0.3.2.1. Tableaux.
INSTRUCTION CODIFICATRICE
31 mar 2009 FINANCES PUBLIQUES. INSTRUCTION CODIFICATRICE N° 09-006-M22 DU 31 MARS 2009. 5. TITRE 1. LA NOMENCLATURE DES COMPTES ...
Annexe n°2 « Tome budgétaire »
2.1.2 Les budgets annexes relatifs aux activités de lotissement ou d'aménagement ANNEXE N° 5 : LISTE DES PRINCIPALES OPERATIONS SEMI-BUDGETAIRES.
mesure de la performance du systeme de gestion des finances
19 dic 2009 Tableau .2.1 – Budget de l'administration centrale (en % du PIB). Année. 2007. 2008. 2009. Recettes totales et dons. 201. 17
JOURNAL OFFICIEL
18 oct 2010 Décision modificative n° 2 du budget de la Nouvelle- ... décembre 2008 objet du rapport de commission des finances et du budget n° 98 des ...
No 2009/8 bis
CLASSE 5. Une décision modificative doit être adoptée pour abonder les comptes 66 et ... Intégration des stocks des budgets annexes au budget principal.
Untitled
24 oct 2017 2.1 EAU - RAPPORT ANNUEL 2016 SUR LE PRIX ET LA QUALITE DU SERVICE DE L' ... 3.1 DECISION MODIFICATIVE N°02/2017 - BUDGET PRINCIPAL COMMUNAL.
MINISTERE DE l"ECONOMIE
ET DES FINANCES BURKINA FASO
Unité - Progrès - Justice
MESURE DE LA PERFORMANCE
DU SYSTEME DE GESTION DES
FINANCES PUBLIQUES
AU BURKINA FASO
SELON LA METHODOLOGIE PEFA
Juin 2010 Version finale 2Avant-propos
Le PEFA (Public Expenditure and Financial Accountability - Dépenses publiques etresponsabilité financière) est un programme de partenariat entre plusieurs institutions, qui est
parrainé par : La Banque mondiale, Le Fonds monétaire international, La Commission européenne, Le
Département pour le développement international du Royaume-Uni, Le Ministère français des
Affaires étrangères, Le Ministère des Affaires étrangères du Royaume de Norvège, Le Secrétariat
d"État aux affaires économiques de la Suisse, Le Partenariat stratégique avec l"Afrique. Ce rapport a été préparé à l"issue d"une mission d"un mois à Ouagadougou, du 1 er février au 4 mars, financée par le Gouvernement, suivie d"un atelier de validation du 4 au 6mai et d"un atelier de dissémination du 17 au 20 mai. Il a été rédigé par Monsieur Mario
Dehove, chef de mission, et Monsieur Jean Mathis, consultants en finances publiques. Un comité de suivi de l"évaluation, présidé par Monsieur Daniel BAMBARA,Secrétaire général du Ministère de l"économie et des finances, a assuré la surveillance du
processus et facilité le travail d"évaluation. Au sein de ce comité, un groupe d"homologues présidé par Monsieur Abdouramane OUATTARA, Directeur général des marchés publics, aassuré l"organisation des réunions et des entrevues avec les structures et la préparation des
données d"informations. La mission tient à remercier l"administration Burkinabé pour l"accueil et la disponibilité qu"elle lui a réservés et tout particulièrement Madame Léa ZAGRE/RIMTOUMDA, Directrice du suivi des réformes au SP-PPF, qui a permis qu"elle sedéroule dans les meilleures conditions. Elle se félicite également de l"aide apportée par les
partenaires techniques et financiers. La mission a débuté par un atelier d"une journée dont le but était de rappeler la méthodologie PEFA et d"organiser le travail ultérieur. 3Table des matières
Page Résumé de l"évaluation ............................................................................................................... 6
1. Introduction ......................................................................................................................... 17 2. Données générales sur le pays ............................................................................................. 19
2.1. Description de la situation économique du pays ......................................................... 19
2.2. Description des objectifs budgétaires .......................................................................... 23
2.3. Description du cadre juridique et institutionnel pour la gestion des
finances publiques ....................................................................................................... 24 3. Evaluation des systèmes, des processus et des institutions de gestion des
finances publiques ............................................................................................................... 29
3.1. Crédibilité du budget ................................................................................................... 30
3.2. Exhaustivité et transparence ........................................................................................ 45
3.3. Budgétisation fondée sur les politiques publiques ...................................................... 69
3.4. Prévisibilité et contrôle de l"exécution du budget ........................................................ 78
3.5. Comptabilité, enregistrement de l"information et rapports financiers ....................... 158
3.6. Surveillance et vérification externe ........................................................................... 174
3.7. Pratiques des bailleurs de fonds ................................................................................ 196
3.8 Synthèse des notes ...................................................................................................... 209 4. Le processus gouvernemental de réformes ....................................................................... 217
4.1. Description des réformes récentes ou en cours ......................................................... 217
4.2. Facteurs institutionnels contribuant à la planification et à
la mise en oeuvre des réformes .................................................................................. 219 Documents consultés .............................................................................................................. 220
Personnes rencontrées ............................................................................................................ 226
4Liste des abréviations
ACCT Agent Comptable Central du Trésor
AGSE/EPE Assemblée Générale des Sociétés d"Etat consacrée aux Etablissements Publics de l"Etat
ARMP Autorité de Régulation des Marchés Publics ARTEL Agence de Régulation des Télécommunications ASCE Autorité Supérieure de Contrôle d"EtatAT Avance de Trésorerie
BIB Banque Internationale Burkinabé
CAM Commission d"Attribution des Marchés
CAMEG Centrale d"achat des Médicaments Essentiels Génériques et des consommables médicaux
CAPA/FP Cadre Partenarial d"Appui au renforcement des Finances Publiques CAST Conférence Annuelle des Services du TrésorCBMT Cadre budgétaire à moyen terme
CDMT Cadre de Dépense à Moyen Terme
CEFORE Centre de Formalités des Entreprises
CENTLAC Centre de lecture et d"Animation Culturel CERT Commission d"Envoi et de Retrait du TrésorCGAB-CSLP Cadre général d"organisation des appuis budgétaires en soutien à la mise en oeuvre du CSLP
CNCS Comité National de Coordination et de Suivi des réformes du secteur des marchés publics
CNDP Comité National de la Dette Publique
CHN Centre Hospitalier National
CHR Centre Hospitalier Régional
CHU Centre Hospitalier Universitaire
CIBPE Cellule d"Implantation du budget programme de l"EtatCID Circuit Informatisé de la Dépense
CICL Comptabilité Intégrée des collectivités localesCIE Comptabilité Intégrée de l"Etat
CIO Comptabilité intégré de l"OrdonnancementCIR Circuit Intégré de la Recette
CIFE Circuit Intégré des Financements Extérieurs CMA Centre Médical avec Antenne ChirurgicaleCGAB-CSLP Cadre Général d"organisation des Appuis Budgétaires en soutien à la mise en oeuvre du CSLP
CNCS Comité National de Coordination et de Suivi de la réforme des marchés publicsCNDP Comité National de la Dette Publique
CODEP Comité de Suivi des Délais d"Exécution de la Dépense Publique COMFIB Commission des Finances et du Budget de l"Assemblée national CNSS Caisse Nationale de Sécurité SocialeCPAR Country Procurement Assessment Review
CP/BPE Comité de pilotage pour l"implantation du Budget programme de l"Etat CRAL Commission de Règlement Amiable des LitigesCSI Contribution du Secteur Informel
CSLP Cadre Stratégique de Lutte Contre la Pauvreté CSPS Centre de Santé et de Promotion Sociale CTI/CTR Comité Technique Interministériel/Régional DA(A)F Direction des Affaires (Administratives et) Financières DAMOF Direction des Affaires Monétaires et FinancièresDAO Dossier d"appel d"offres
DGCF Direction Générale du Contrôle financierDDP Direction de la Dette Publique
DELF Direction des Etudes et de la Législation financière DEP Direction des Etudes et de la PlanificationDGB Direction Générale du Budget
DGCOOP Direction Générale de la CoopérationDGD Direction Générale des Douanes
DGMP Direction Générale des Marchés Publics DGEP Direction Générale de l"Economie et de la PlanificationDGI Direction Générale des Impôts
DGTCP Direction Générale du Trésor et de la Comptabilité PubliqueDPP Direction de la Dette Publique
DPEBA Direction Provinciale de l"Enseignement de Base DREBA Direction Régionale de l"Enseignement de BaseDRI Debt Relief International
DRH Direction des Ressources Humaines
DRS Direction Régionale de la Santé
5DS Direction de la Solde
DOC Direction de l"Ordonnancement et de la ComptabilitéEPE Etablissement Public de l"Etat
FBDES Le Fonds Burkinabé de Développement Economique et Social FONAENF Fonds pour l"Alphabétisation et l"éducation Non FormelleIFU Identifiant Financier Unique
IGF Inspection Générale des Finances
IGT Inspection Générale du Trésor
INSD Institut National de la Statistique et de la Démographie INTOSAI International Organization of Supreme Audit Institution IPSAS International Public Sector Accounting Standards MATD Ministère de l"administration territoriale et de la décentralisationMDA Ministères, Départements et Agences
MEBA Ministère de l"Enseignement de Base et de l"AlphabétisationMEF Ministère de l"Economie et des Finances
ONATEL Office National des TélécommunicationsONC Observatoire des Normes et des Codes
OP Opérations de trésorerie
PAA Plan d"Action d"Accra
PANEA Plan d"actions national de l"efficacité de l"aidePAP Plan d"Actions Prioritaires
PDDEB Plan Décennal de Développement de l"Education de BasePIP Programme d"Investissement Public
PRGB Plan de Renforcement de la Gestion Budgétaire PRM Personne Responsable des Marchés publicsPTAS Plan triennal d"Actions Sectorielles
PTF Partenaire Technique et Financier
SCADD Stratégie de croissance accélérée et de développement durable SIGASPE Système Intégré de Gestion Administrative et Salarial du Personnel de l"Etat SIMP Système Intégré des Marchés PublicsSINTAX Système Intégré de Taxation
SOFITEX Société Burkinabé de Fibres Textiles SONABEL Société Nationale Burkinabé d"Electricité SONABHY Société Nationale Burkinabé des Hydrocarbures SONAGESS Société Nationale de Gestion des Stocks de Sécurité SPM Spécialistes en Passation de Marchés publics SP-PPF Secrétariat Permanent pour le suivi des Politiques et Programmes FinanciersSRA Service des Régies d"Avances
SRFP Stratégie de Renforcement des Finances PubliquesSTARE Système de Taxe de Résidence
SYGADE Système de Gestion et d"Analyse de la Dette TMDC Trésorerie des Missions diplomatiques et consulaires TOFE Tableau des Opérations Financières de l"Etat UEMOA Union Economique et Monétaire Ouest Africaine 6Résumé de l"évaluation
Evaluation synthétique de la performance de la gestion des finances publiquesCrédibilité du budget La crédibilité globale du budget reste moyenne dans son ensemble. Les prévisions des
dépenses de la loi de finances initiale sont, comme en 2007, très proches des dépensesexécutées, sauf en 2009, à cause d"évènements exceptionnels, notamment les inondations qu"a
subies le Burkina Faso en septembre 2009. Le réalisme des prévisions de recettes - même lorsqu"on ne tient pas compte des importantes, mais difficiles à prévoir, recettes de privatisation tirées de la cession d"une part importante de la Société nationale detélécommunication (ONATEL) - s"est amélioré. Ce progrès est dû à un renforcement des
capacités de l"Etat à recouvrer les impôts et taxes fiscales, le budget continuant à fixer des
niveaux de prélèvement très volontaristes. En revanche, la répartition des crédits entre les
ministères fixée par la loi de finances initiale continue à être fortement modifiée par le
gouvernement dans le cours de l"exécution du budget, ce qui l"amène, souvent, comme par le passé, et comme le montre la Cour des comptes dans ses rapports successifs sur la loi derèglement, à réaliser des transferts entre les ministères qui ne respectent pas les règles fixées
par les lois pour les limiter. Concernant les arriérés de paiement, les informations qui étaient disponibles en 2007ne fournissaient pas une image exacte de leurs montants. Une étude sur la dette intérieure à la
fin de 2005 réalisée en 2008 a montré qu"un encours relativement élevé de dette non contractuelle accumulée (auprès des fournisseurs, auprès des organismes de protection sociale, auprès des organisations internationales, auprès des agents de l"Etat) n"apparaissaitpas dans les comptes. Elle ne correspondait pas dans sa totalité à des arriérés de paiement, car
une notable partie de cette dette intérieure non contractuelle pouvait ne pas être considérée
comme immédiatement exigible. Certaines créances, en effet, n"avaient pas été réclamées, ou
étaient incertaines dans leur montant, à cause notamment de possibles irrégularités oud"insuffisantes justifications. Il ressort des éléments d"appréciation fournis par l"étude de
2008 que, contrairement à ce qu"avait retenu le PEFA 2007 sur la base des données alors
existantes, le stock des arriérés était important et que le dispositif de suivi des délais de
paiement présentait des insuffisances notables. Ce qui a amené la mission PEFA de 2010 àreconsidérer la notation de cet élément de crédibilité du budget pour la diminuer fortement.
Ce " rebasage » (nouvelle notation du précédent PEFA 2007 par rapport à laquelle le PEFA2010 mesure les évolutions) réalisé, il apparaît alors que la situation relative aux arriérés s"est
améliorée au cours des trois dernières années : l"encours accumulé a été considérablement
réduit grâce à des apurements financés par des ressources - notamment externes - exceptionnelles dans le cadre d"un plan d"apurement d"arriérés dans la sous-région dontl"UEMOA a pris l"initiative et grâce au soutien du FMI ; des dispositions ont été prises pour
que disparaisse un des principaux mécanismes à l"origine de l"accumulation des ces arriérés :
le non réengagement rapide, faute de crédits prévus pour cet emploi, dès le début de l"année
suivante, des dépenses exécutées mais dont l"engagement devait être annulé en fin d"exercice
(à cause du délai de traitement des dossiers ou d"une insuffisance des pièces justificatives
rendant la dépense non immédiatement exigible quand bien même le service eût été fait).
7Exhaustivité et transparence
L"exhaustivité et la transparence budgétaire sont dans, leur ensemble, bonnes, voiretrès bonnes, mais elles ne sont pas dépourvues de faiblesses, parfois sérieuses, en dépit de
certaines améliorations depuis 2007. Les classifications du budget ont subi peu de modifications ; elles sont issues de la transposition de directives de l"UEMOA et sont complètes, conformes aux normes internationales et identiques pour la prévision comme pour l"exécution. Elles ont été complétées par une classification permettant de mieux suivre l"effet des politiques de luttecontre la pauvreté. La documentation fournie au législateur pour délibérer sur le projet de loi
de finances contient la majorité des informations nécessaires et elle s"est enrichie, notamment,
dans la présentation des hypothèses macroéconomiques sur lesquelles le budget repose. Il continue de manquer toutefois l"analyse détaillée des conséquences des nouvelles mesures fiscales proposées. Les opérations non rapportées de l"administration centrale restent marginales. Du côtédes recettes, des efforts ont été faits pour les réduire : les perceptions spécialisées qui avaient
commencé à être créées en 2006 pour limiter le montant des recettes des services ministériels
qui n"étaient pas collectées par les percepteurs ou régisseurs accrédités on été développées
après 2007 dans les principaux ministères afin d"en rationaliser la collecte et de les réintégrer
dans les circuits normaux de recouvrement. Il reste toutefois des comptes en banque qui neparviennent à la connaissance des autorités de contrôle que par le biais des enquêtes de la
Direction Générale du Trésor et de la comptabilité publique. Du côté de dépenses, il subsiste une zone relativement opaque constituée d"uneconstellation d"entités au statut public incertain (les fonds nationaux de financement) ou privé
(les associations) qui bénéficient de subventions inscrites au budget mais dont il est légitime
de se demander si leur autonomie de gestion, notamment dans le domaine financier, qui leurpermet de s"affranchir des règles strictes de la justification de la dépense publique, correspond
à une réelle nécessité (provenant de la nature de leur activité ou de la nécessité pour l"Etat de
s"associer à des partenaires privées) ou à un moyen de s"en exonérer sans raison valable.
Toutefois, si ces entités sont nombreuses, les crédits qui leur sont alloués sous forme de transferts restent d"un faible montant total au regard de la taille globale du budget de l"Etat.Quant aux fonds qui transitent par les différents projets financés par les bailleurs de fonds, les
informations les concernant sont régulièrement transmises à l"Etat par les responsables qui les
gèrent. Une importante réforme de l"organisation territoriale du Burkina Faso venait d"êtreengagée en 2007 par des textes généraux de 2006. La question essentielle de la répartition des
compétences entre l"Etat et les nouvelles collectivités territoriales n"était pas encoretotalement arrêtée. Cette réforme a progressé mais lentement, surtout sur le plan financier : la
part des recettes totales des collectivités locales dans les recettes publiques reste d"un niveau marginal - voisin de 1,5 %. Toutefois, un important transfert de compétences dans lesdomaines de la santé, de l"éducation, du service des eaux et de l"assainissement, de la culture,
de la jeunesse et des sports, qui sera mis en oeuvre progressivement, a été engagé en 2009. Les ressources des collectivités territoriales venant de l"Etat étant réparties entre ellesselon des clefs fixes et objectives et leur enveloppe globale étant demeurée constante au cours
des trois dernières années, les financements publics sont transparents et le montant des transferts est prévisible pour chaque collectivité qui dispose en temps voulu des informations nécessaires à l"élaboration de son budget. La situation financière des collectivités territoriales est étroitement suivie par l"administration centrale, qui doit approuver leur budget pour qu"il devienne exécutoire, et qui8suit régulièrement leur exécution, sans toutefois élaborer encore un état consolidé des
opérations de l"Etat et de ces collectivités. La surveillance budgétaire globale imputable aux autres entités du secteur public est aussi, dans l"ensemble, d"un haut niveau, notamment grâce aux Assemblées générales annuelles des établissements publics d"Etat et des sociétés d"Etat au cours desquelles sont examinés les états financiers de ces établissements et sociétés dans leur ensemble et individuellement.quotesdbs_dbs35.pdfusesText_40[PDF] RAPPORT D ACTIVITE 2009
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