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de mobilité (ascendante et descendante). La littérature contem- sociation intrinsèque entre l'origine et la position sociales des.



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Figure 1 : Lorsque l'air ascendant est humide la condensation de la vent Figure 2 : Formation des orages le long de la surface d'un front froid

  • Comment expliquer l'origine des vents ?

    À l'origine du vent, le soleil
    L'air, ainsi chauffé, augmente de volume, il devient plus léger et monte dans le ciel. Cet air chaud qui monte rencontre un air froid qui descend. C'est cette différence de température entre ces deux masses d'air qui crée le vent.
  • Comment expliquer la direction des vents ?

    Le vent et la rotation de la Terre
    C'est que, dès qu'un mouvement s'établit, la rotation de la Terre sur elle-même entraîne une déviation des mouvements d'air horizontaux, vers la droite dans l'hémisphère nord et vers la gauche dans l'hémisphère sud. Cette force qui dévie le mouvement, c'est la force de Coriolis.
  • Quel est le nom des 4 vents ?

    Quatre vents principaux sont à distinguer parmi ceux que dirige le dieu des vents : Borée, le terrible vent hivernal du nord, Notos, le vent pluvieux du sud, annonciateur de l'été, Euros, vent automnal froid et violent de l'est et enfin Zéphyr, la douce brise printanière.
  • L'unique moteur de la circulation atmosphérique est l'ensoleillement. Sous les contraintes de la gravité, de la poussée d'Archim? et de la force de Coriolis due à la rotation de la Terre, les différences de température entre l'équateur et les pôles font circuler l'air tout autour de la Terre.

ÉCONOMIE ET STATISTIQUE N° 410, 200723

* L"auteur appartient au laboratoire de Sociologie quantitative du Crest-Insee.

L"auteur tient à remercier les rapporteurs de la revue pour leurs conseils qui ont permis d"améliorer cet article.

SOCIÉTÉ

Éducation et mobilité sociale :

la situation paradoxale des générations nées dans les années 1960

Camille Peugny*

Les diffi cultés rencontrées par les générations nées dans les anné es 1960 ont été illus- trées par de nombreux travaux qui soulignent notamment l'existence d'inégalités entre les générations, en termes de salaire ou de mobilité en cours de carrière. De telles inégalités, au détriment des générations née s au tournant des années 1960,

apparaissent également lorsque l'on mesure l'évolution des fl ux de mobilité intergéné-

rationnelle au fi l des cohortes de naissance successives. En effet, si la part des individus qui parviennent à s'élever au-dessus de la condition de leurs parents demeure toujours

supérieure à celle des déclassés, l'écart entre les deux fl ux diminue considérablement :

en 2003, parmi les 35-39 ans, les ascendants ne sont plus que 1,4 fois plus nombreux que les descendants. Cette dégradation des perspectives de mobilité sociale est géné- ralisée aux enfants de toutes les origines sociales. Pour les individus issus des classes populaires, les trajectoires ascendantes sont plus rares, et pour ceux n

és dans des milieux

sociaux plus favorisés, les trajectoires descendantes se multiplient. Cette dégradation s'explique par des raisons structurelles (sous l'effet des diffi cultés économiques, la structure sociale s'élève moins rapidement vers le haut). Pour autant, elle est paradoxale car le niveau d'éducation de ces générations est sans précédent. Ces

deux évolutions contradictoires amènent à questionner l'évolution au fi l des générations

du poids du diplôme dans le statut social atteint. L'affaiblissement du lien entre diplôme et position sociale est mis en évidence, ce qui remet en cause l'i dée de l'avènement pro- gressif d'une société plus méritocratique.

ÉCONOMIE ET STATISTIQUE N° 410, 200724

D ans les annŽes 1990, de nombreux travaux menŽs par des sociologues et des Žco- nomistes soulignent lÕimportance de la prise en compte de la gŽnŽration de naissance dans lՎtude du processus de stratiÞ cation sociale. dont les gŽnŽrations successives peuvent conna"- tre des dynamiques opposŽes. LÕintroduction de la gŽnŽration de naissance dans lÕanalyse per- met plus gŽnŽralement aux travaux empiriques de souligner la dŽgradation des perspectives des gŽnŽrations nŽes autour des annŽes 1960, en termes de salaire (Baudelot et Gollac, 1997 ;

Koubi, 2004b), de trajectoire professionnelle

(Koubi, 2004a) ou dÕinsertion dans la vie active (Baudelot et Establet, 2000). Cet article se propose dÕappliquer cette mŽthode ˆ la mesure des ß ux de mobilitŽ sociale, pers- par ThŽlot (1983) mais peu systŽmatisŽe par la suite. Comment Žvoluent les perspectives de mobilitŽ sociale des gŽnŽrations successi- ves (1) ? En rŽalitŽ, les difÞ cultŽs des gŽnŽra- tions nŽes autour des annŽes 1960 illustrŽes par les travaux prŽcŽdemment citŽs laissent entre- voir des ŽlŽments de rŽponse. Si les individus nŽs au lendemain de la seconde guerre mon- diale ont proÞ tŽ de la diffusion massive du sala- riat moyen et supŽrieur amenŽe par les Trente glorieuses pour sՎlever frŽquemment au-des- sus de la condition de leurs parents, les pers- pectives des gŽnŽrations nŽes dans les annŽes

1960 apparaissent dÕemblŽe plus contrastŽes :

plus souvent issus de milieux favorisŽs (ce qui limite mŽcaniquement la frŽquence des trajec-

toires ascendantes), les individus nŽs dans les annŽes 1960 doivent en outre faire face aux consŽquences prolongŽes de la crise Žconomi-que qui, au milieu des annŽes 1970, met Þ n ˆ la

forte croissance. Deux dynamiques paradoxales semblent ainsi coexister : le devenir des gŽnŽra- tions nŽes dans les annŽes 1960 sÕobscurcit en dŽpit de lՎlŽvation continue du niveau dՎdu- cation. LÕhistoire de lÕexpansion scolaire laisse certes entrevoir deux brusques accŽlŽrations dans le rythme de diffusion des dipl™mes, mais lÕaugmentation des taux de scolarisation est une rŽalitŽ sur lÕensemble de la pŽriode (Chauvel,

1998b ; ThŽlot et Vallet, 2000). CÕest alors la

question complexe du lien entre dipl™me et position sociale qui est posŽe. LՎvolution de ce lien est Žclairante en ce quÕelle questionne le degrŽ de mŽritocratie de la sociŽtŽ. 1

La mobilité sociale :

un mouvement global de moins en moins positif L Õutilisation de cinq Žditions de lÕenqute

Emploi de lÕInsee (1983, 1988, 1993,

1998 et 2003), dont la compilation autorise

1. En posant cette question, nous adoptons le point de vue de

la mobilité observée, qui consiste à donner une mesure des fl ux de mobilité (ascendante et descendante). La littérature contem- poraine propose de compléter ce point de vue par celui de la fl uidité sociale qui cherche à prendre en compte l"évolution des marges des tables de mobilité sociale, liée à l"évolution du poids des différentes catégories socioprofessionnelles au sein de la structure sociale. Le point de vue de la fl uidité mesure donc l"as- sociation intrinsèque entre l"origine et la position sociales des individus (Vallet, 1999).

Tableau 1

Suivi de générations quinquennales à partir des enquêtes Emploi Générations 25-29 ans 30-34 ans 35-39 ans 40-44 ans 45-49 ans 50-54 ans 55-59 ans

1924-19281983

1929-19331983 1988

1934-19381983 1988 1993

1939-1943 1983 1988 1993 1998

1944-1948 1983 1988 1993 1998 2003

1949-1953 1983 1988 1993 1998 2003

1954-1958 1983 1988 1993 1998 2003

1959-1963 1988 1993 1998 2003

1964-1968 1993 1998 2003

1969-1973 1998 2003

1974-1978 2003

Lecture : pour la génération née en 1944-1948, l"enquête Emploi de 1983 a été utilisée pour avoir des informations correspondant à

l"âge de 35-39 ans.

ÉCONOMIE ET STATISTIQUE N° 410, 200725

le suivi tous les cinq ans de gŽnŽrations quin- quennales (2), a permis de mesurer des ß ux de mobilitŽ sociale (3) par cohortes de naissance (cf. tableau 1).

Construire un indicateur de mobilité

sociale Avant de calculer des ß ux de mobilitŽ sociale, il convient de se doter dÕune reprŽsentation hiŽrarchisŽe de la structure sociale qui per- mette de dŽterminer le sens des trajectoires intergŽnŽrationnelles. Lorsque lÕoutil de base est la nomenclature des catŽgories sociopro- fessionnelles, la t‰che est rendue difÞ cile en raison du clivage entre indŽpendants et sala- riŽs : sÕil est relativement aisŽ dՎtablir une hiŽrarchie au sein de la population salariŽe, des cadres jusquÕaux ouvriers, o placer les indŽpendants ?

Dans cet article, nous nous inspirons de la

matrice dŽÞ nie par Erikson et Goldthorpe (1992) ˆ laquelle nous apportons quelques amendements visant ˆ prŽciser la hiŽrarchie aux deux extrŽmitŽs de la structure sociale (cf. tableau 2 et annexe 1). Alors que les auteurs de The Constant Flux identiÞ ent une vaste service class, nous opŽrons une distinc- tion entre les cadres et professions intellec- tuelles supŽrieurs dÕune part et les professions intermŽdiaires (4) dÕautre part. Par ailleurs, vers le bas de la structure sociale, nous ten-tons de rendre compte de la porositŽ entre les catŽgories des employŽs et des ouvriers. Nous inspirant de travaux rŽcents (Chenu, 1990 ;

Chenu et Burnod, 2001), nous utilisons le

ouvriers et les employŽs qualiÞ Žs dÕune part, les employŽs et les ouvriers non qualiÞ Žs dÕautre part. LÕopportunitŽ de cette distinc- tion semble conÞ rmŽe par le travail dÕAmossŽ et Chardon (2006) qui soulignent que les employŽs et ouvriers non qualiÞ Žs compo- sent Ç un segment de main-díúuvre objective- ment ‡ part È caractŽrisŽ par des Ç conditions díemploi, de travail et de salaire difficiles È.

Comme toute tentative dÕordonnancement des

catŽgories socioprofessionnelles, les choix effectuŽs pour la construction de cette matrice sont probablement contestables. Toutefois, dans la mesure o notre optique est diachroni- que, cette matrice fournit une base raisonnable de comparaison. 234

2. Seuls les individus français de naissance sont pris en compte,

afi n de rendre le plus " stable » possible la population suivie au fi l de son avancée en âge.

3. Traditionnellement privilégiée dans la mesure de la mobilité

sociale, l"enquête Formation et Qualifi cation Professionnelle (FQP) est plus diffi cile à manier dans le cas du suivi de cohortes successives, car réitérée à intervalles irréguliers (1985, 1993 et

2003 pour les trois dernières éditions).

4. Les techniciens fi gurent avec les professions intermédiaires.

En revanche, les contremaîtres sont classés avec les ouvriers et employés qualifi és en raison de la proximité de leur score de position avec celui de ces derniers (estimé par la procédure du multidimensional scaling, cf. annexe 2).

Tableau 2

Sens des trajectoires intergénérationnelles

OrigineCPIS (1)

et gros indépendantsProfessions intermédiairesArtisans, commerçantsAgriculteursEmployés et ouvriers qualifi ésEmployés et ouvriers non qualifi és

CPIS et gros

indépendants Immobiles Descendants Descendants Descendants Descendants Descendants

Professions

intermédiaires Ascendants Immobiles Descendants Descendants Descendants Descendants

Artisans,

commerçants Ascendants Ascendants Immobiles Descendants Descendants Descendants Agriculteurs Ascendants Ascendants Ascendants Immobiles Ascendants Immobiles

Employés et

ouvriers qualifi és Ascendants Ascendants Immobiles Descendants Immobiles Descendants

Employés et

ouvriers non qualifi és Ascendants Ascendants Ascendants Immobiles Ascendants Immobiles

1. Cadres et professions intellectuelles supérieures.

Lecture : les hiérarchies choisies dans cet article s"inspirent de la matrice définie par Erikson et Goldthorpe (1992) et des t

ravaux français récents (Chenu, 1990 ; Chenu et Burnod, 2001 ; Amossé et Chardon, 2006).

ÉCONOMIE ET STATISTIQUE N° 410, 200726

Parmi l"ensemble des 30-59 ans,

une légère dégradation des perspectives de mobilité sociale Sans distinction dÕ‰ge et de gŽnŽration de nais- de mobilitŽ sociale appara"t entre 1983 et 2003 (cf. tableau 3). En vingt ans, la part des indivi- dus immobiles diminue de 4 points, tandis que Ë lÕinverse, la part des descendants augmente de plus de 3 points. Par consŽquent, le rapport entre la part des ascendants et celle des descen- dants Žtaient deux fois plus nombreux que les descendants, ce rapport nÕest plus que de 1,8 vingt ans plus tard (5). mobilitŽ sociale est avant tout le fait des hom- mes, car les perspectives de mobilitŽ sociale qui sÕoffrent aux femmes stagnent sur la pŽriode (cf. graphique I). Cependant le rapport ascen- dants/descendants est sensiblement plus dŽfa- 5

Cette diminution du ratio ascendants/descen-

dants demeure relativement modeste : toutefois, la prise en compte de la notion de gŽnŽration fait appara"tre des dynamiques beaucoup plus sensibles qui soulignent la dŽgradation pronon- cŽe des perspectives de mobilitŽ sociale pour les cohortes nŽes au tournant des annŽes 1960.

Une dégradation progressive

pour les individus nés après les années 1940 Quel que soit lÕ‰ge considŽrŽ, le rapport ascen- dants/descendants est maximal pour les gŽnŽ- rations nŽes au milieu des annŽes 1940, avant dÕamorcer une baisse sensible parmi les gŽnŽ- rations ultŽrieures. Ainsi, ˆ lÕ‰ge de 35-39 ans et pour la gŽnŽration nŽe entre 1944 et 1948, les individus en situation de mobilitŽ ascendante sont 2,1 fois plus nombreux que ceux connais- sant une mobilitŽ descendante ; ce rapport tombe ˆ 1,4 pour la gŽnŽration nŽe entre 1964 et 1968 (cf. tableau 4). Ë 44 ans, le dŽsavantage persiste (2,3 contre 1,8). Cette dŽgradation des perspec- tives de mobilitŽ sociale frappe les hommes (2,6 contre 1,6) comme les femmes (1,6 contre 1,2).

5. Notre matrice de mobilitÈ sociale considËre comme mobiles

des individus Èvoluant entre les catÈgories cadres supÈrieurs et professions intermÈdiaires díune part, et entre celles díemployÈs/ ouvriers quali Ès et díemployÈs/ouvriers non quali Ès díautre part. Si líon ne prend pas en compte ces ´ petits ª mouvements intergÈnÈrationnels, la nature des rÈsultats est identique : alors que les ascendants Ètaient deux fois plus nombreux que les des- cendants en 1983, le rapport est de 1,7 en 2003.

Tableau 3

Évolution de la part des trajectoires intergénérationnelles 1983-2003 En %

1983 1988 1993 1998 2003

Immobiles 43,7 42,3 40,4 40,0 39,4

Ascendants 37,7 38,2 39,5 38,6 38,7

Descendants 18,6 19,5 20,1 21,5 21,9

Ratio ascendants/descendants 2,02 1,96 1,96 1,79 1,77 Champ : hommes et femmes 'gÈs de 30 ‡ 59 ans.

Source : enquÍtes Emploi 1983-2003.

Graphique I

Évolution du rapport ascendants/descendants

selon le genre 2,8quotesdbs_dbs43.pdfusesText_43
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