Technologie et petites entreprises - Étude Points de vue BDC
de mesures appropriées pour évaluer les investissements. Page 2. ÉTUDE POINTS DE VUE BDC
Cinq nouvelles tendances de consommation qui changent la donne
À l'aide d'études de cas et de recherches nous vous BDC Research and Market Intelligence. Marketing interentreprises : ÉTUDE POINTS DE VUE BDC (2013).
Sommaire du Plan dentreprise
→ BDC publie des études et des opinions sur le marché du CR à l'image de 8 Source : Sondage Points de vue de BDC. 9 Indicateur standard du secteur du ...
Sommaire du Plan dentreprise
BDC Capital comprend les activités de BDC dans l'investissement de croissance le financement sur actifs de propriété intellectuelle et Capital de risque
OUTIL DE PILOTAGE DE LA PERFORMANCE DU
Ainsi une étude de recherche et d'intelligence de marché de la BDC a permis de Défis des PME : étude Points de vue BDC. Repéré à https://www.bdc.ca/fr ...
Comparaisons de 10 stratégies nationales sur lintelligence artificielle
3 апр. 2023 г. La stratégie nationale de recherche en intelligence artificielle - avril 2023. Cour des comptes - www.ccomptes.fr - @Courdescomptes. Page 28 ...
ÉTUDES ET PERSPECTIVES
Ce document a été préparé par Dale Alexander Point de contact des Territoires Membres associés de l'Unité de soutien du programme
UNIVERSITÉ DU QUÉBEC MÉMOIRE PRÉSENTÉ À LUNIVERSITÉ
La technologie joue un rôle détenninant dans la gestion de la relation client. Selon certains auteurs la technologie de l'information et de la communication (
Comment accroître sa productivité
28 янв. 2021 г. Les articles études et autres textes signés n'engagent que leurs auteurs
Guide des mesures de prévention et datténuation des violences
30 сент. 2013 г. IDEA international Electoral System Design: The New International IDEA Handbook (Stockholm : IDEA international
Technologie et petites entreprises - Étude Points de vue BDC
TABLE DES MATIÈRES Ce document est produit par l'équipe Recherche et Intelligence de marché de ... panel Points de vue BDC le 16 avril 2013.
INTELLIGENCE ÉCONOMIQUE ET STRATÉGIE DES ENTREPRISES
En effet le processus de mondialisation des marchés contraint les agents économiques à s'adapter aux nouveaux équilibres qui s'établissent entre concurrence et
Sommaire du Plan dentreprise - 2019–2020 à 2023–2024
Table des matières. Demande d'approbation. Le Sommaire du Plan d'entreprise de la Banque dedéveloppement du Canada (BDC) est fondé sur.
Diplôme Universitaire de Technologie GESTION DES
Ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche 2013. Page 1/103 http://www.enseignementsup-recherche.gouv.fr. SOMMAIRE.
Comment accroître sa productivité
Table des matières travailleurs âgés et des femmes au marché du travail. ... l'OCDE «Mesurer la productivité» du point de vue de l'analyse de la ...
Stratégie québécoise de la recherche et de linnovation 2022
Les RSRI ont pour but de faire aboutir les projets d'innovation en étant présents à toutes les étapes du parcours de l'idée entre le laboratoire et le marché.
Sommaire du Plan dentreprise - 2019–2020 à 2023–2024
Table des matières Remarque : L'exercice financier de BDC commence le 1er avril et se termine ... BDC table sur un résultat net supérieur à 10 milliard.
OUTIL DE PILOTAGE DE LA PERFORMANCE DU
jour les études et les outils élaborés en matière de développement durable se d'intelligence de marché de la BDC a permis de dresser le portrait des ...
Le Québec
Table des matières. Le Québec économique 9. 6. CHAPITRE 4. Les technologies et les politiques publiques en appui à l'essor de l'intelligence artificielle.
Commissariat Général du Plan
INTELLIGENCE
ÉCONOMIQUE ET
STRATÉGIE DES
ENTREPRISES
Travaux du groupe présidé
par Henri MartreLa Documentation Française
Commissariat général du Plan
Rapport du Groupe
" Intelligence économique et stratégie des entreprises »Président : Henri Martre
Président de l'AFNOR
Président d'honneur d'Aérospatiale
_______________Rapporteur général : Philippe Clerc
Commissariat général du Plan
_______________Conseiller : Christian Harbulot
Institut d'étude et de stratégie de l'intelligence économique ________________Rapporteurs :
Philippe Baumard
New York Université
Bernard Fleury
Commissariat général du Plan
Didier Violle
Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergieFévrier1994
AVANT-PROPOS
parJean Baptiste de Foucauld
Commissaire au Plan
Le groupe de travail "Intelligence économique et stratégie des entreprises", présidé par Henri
Martre, se situe dans la continuité des réflexions conduites par le Commissariat général du
Plan au cours des années passées sur les facteurs immatériels de la compétitivité. Il prolonge ainsi utilement les travaux menés par le groupe "Information et compétitivité", ainsi que ceux plus récents de la commission "Compétitivité française" du XIe Plan. Le rapport met en valeur l'importance de l'intelligence économique comme outil decompréhension de réorganisation des économies des pays tiers, indispensable à la définition
de stratégies industrielles adaptées, réactives et performantes. La gestion stratégique de l'information économique est devenue l'un des moteurs essentiels de la performance globale des entreprises et des nations. En effet, le processus de mondialisation des marchés contraint les agents économiques à s'adapter aux nouveaux équilibres qui s'établissent entre concurrence et coopération. Désormais, la conduite des stratégies industrielles repose largement sur la capacité des entreprises à accéder aux informations stratégiques pour mieux anticiper les marchés à venir et les stratégies des concurrents. L'analyse comparée de la pratique de l'intelligence économique dans les économies les plus compétitives fait apparaître que certains pays, tels l'Allemagne, le Japon ou la Suède, ont depuis longtemps développé des "systèmes d'intelligence économique" qui leur ont permis d'accroître leurs parts de marchés tout en préservant leurs emplois.Ces organisations nationales reposent précisément sur une maîtrise collective de l'information
ouverte par l'ensemble des acteurs économiques. L'État joue un rôle essentiel à la fois dans le développement du système national d'information en liaison avec le secteur privé et dans la définition des grandes orientations stratégiques du pays, indispensables aux entreprises dans la définition de leurs actions et de leurs prévisions.Un certain nombre d'entreprises françaises ont pris des initiatives et déployé des efforts dans
le domaine de l'intelligence économique, en particulier en ce qui concerne la veille technologique.Toutefois, l'évaluation de la pratique française, à partir de nombreuses études de cas, fait
apparaître clairement l'ampleur des progrès qu'il convient encore d'accomplir au regard desexpériences étrangères. Cela suppose ce particulier un décloisonnement de notre système
socio-productif et de nos administrations, afin d'accroître la concertation à tous les niveaux, et
en particulier su sein des entreprises.Des actions doivent être menées pour développer des systèmes de gestion stratégique de
l'information économique permettant à la France d'appréhender efficacement les opportunités
et les risques liés à la mondialisation des échanges. Dans ce contexte, notre système public
doit poursuivre l'amélioration de l'accès à l'information publique et participer à l'efficacité
collective par la définition d'orientations et d'objectifs stratégiques clairs. II s'agit en effet de s'engager résolument dans une mobilisation collective des compétences pluridisciplinaires pour la mise en oeuvre d'un système d'intelligence économique au service de la performance globale.Pour ce travail de qualité, je tiens à remercier le président Henri Martre, le rapporteur général
Philippe Clerc, les rapporteurs (Philippe Baumard, Bernard Fleury, Christian Harbulot, DidierViolle) et l'ensemble des membres du groupe.
PRÉFACE
par Henri Martre président de l'AFNOR, président d'honneur d'Aérospatiale L'entreprise ! On attend beaucoup de sa vitalité pour assurer le dynamisme de notre économieet le bien-être du corps social. Elle doit, et c'est son rôle, prendre des initiatives, innover,
investir, embaucher, se montrer compétitive et vendre. Pour remplir sa fonction elle doit bien connaître son métier de base et ses clients, mais aussi ses concurrents, ses fournisseurs, ses personnels, et tenir compte de toutes les contraintes de son environnement. Pour la conduire,l'entreprise, il faut s'informer, analyser, prévoir, organiser, établir des projets, des stratégies,
lancer des actions, en un mot décider et décider sans cesse. Ce qui rend cet exercice de plus en plus difficile, c'est que son champ a changé de dimensions : la globalisation progressive des marchés multiplie à la fois le nombre des acteurs, leurdiversité et les types de contraintes ; l'accélération des communications change le rythme des
événements et impose des réactions rapides. Ces phénomènes sont d'une ampleur telle que
leur évolution ne peut plus être maîtrisée dans le cadre des organisations classiques. Constatant le nombre élevé des facteurs et de leurs relations, admettant que beaucoup ne pourront être appréhendés au moment de la décision, on établit la complexité comme dominante essentielle du management, ce qui impose une révision profonde des modes de réflexion, des méthodes d'approche et des comportements. Cela pose en particulier leproblème du niveau des connaissances apportées au décideur et de leur adéquation à ses
besoins. On pourrait le croire facile à résoudre en raison de l'extraordinaire masse d'informations disponibles dans le monde sur tous les sujets, et des progrès techniquesfantastiques qui ont été réalisés pour transmettre et traiter ces informations. L'expérience
montre qu'il n'en est rien et que les systèmes d'information, compte tenu de leur richesse et deleur diversité, sont en eux-mêmes des éléments de la complexité qui s'impose à l'entreprise.
La réflexion proposée à notre groupe de travail par le Commissaire au Plan n'avait pas pourambition d'étudier l'ensemble des problèmes relatifs à l'analyse stratégique des entreprises et
aux systèmes d'informations qui immergent notre économie, mais, tenant compte des travaux antérieurs 1 et de l'expérience, de prêter une attention plus particulière à l'exploitation de l'intelligence économique dans la conduite des entreprises. A cet effet le groupe rassemblait un ensemble de praticiens venus de tous les horizons : administration, collectivités locales, industrie, services, organismes consulaires, syndicats, consultants, formant un échantillonreprésentatif de la communauté de l'intelligence économique, riche d'une somme considérable
d'expériences diversifiées, vécues et actuelles.L'approche suivie a été essentiellement pragmatique : il ne s'agissait pas de se livrer à une
analyse systémique et de bâtir de nouvelles organisations, mais plutôt de dresser une imagedes réalités mondiales et nationales et de tracer quelques pistes pratiques et réalistes de nature
1) Il convient de citer en particulier le rapport "Information et compétitivité» du Comité
"Information professionnelle et compétitivité" créé par le Commissariat général du Plan et présidé par René Mayer. à redresser une situation que l'on sait peu satisfaisante dans son ensemble. Ce fut un travail d'équipe, chacun apportant sa vision, ses exemples et ses suggestions. De nombreuses études de cas ont été réalisées, dont certaines restent confidentielles compte tenu de leur caractère exceptionnel et caricatural. Le tableau qui en résulte est fait de coups de projecteurs mettant en lumière des situations, des usages, des comportements, et a de ce fait un caractère quelque peu impressionniste : c'est en soi un bon exemple d'intelligence économique. On ne peut évidemment résumer en quelques phrases un rapport aussi riche de diversités, mais on peut dégager quelques traits essentiels. Tout d'abord, on ne traite dans ce domaine que l'exploitation de l'information ouverte, c'est-à-dire celle qui est obtenue par des moyens légaux, même si elle est parfois difficile d'accès. On observe ensuite que les organisations et les pratiques ont un caractère national, que les systèmes soient fragmentés comme aux États-Unis ou établis en réseau comme au Japon. Elles trouvent en fait leurs racines dans l'histoire et la culture et sont le plus souvent l'expression d'une ambition et d'une solidarité nationales. A l'origine on trouve de grandes
aventures extérieures d'ordre colonial, ou d'ordre industriel et commercial. Les grands empires ont tous pratiqué et pratiquent l'intelligence économique. Enfin, la France devrait disposer d'un excellent réseau d'intelligence économique, compte tenu de son histoire, de son rayonnement dans le monde et de sa position de quatrième puissance exportatrice.Il n'en est rien en raison des cloisonnements de la société française et de l'individualisme de
ses citoyens. Malgré quelques réalisations de grande qualité, cela reste une grande lacune. La
combler est certes une oeuvre de longue haleine, non pas que les moyens à mettre en place soient gigantesques, mais simplement parce qu'il faut changer les états d'esprit et les comportements. Puisse ce rapport y contribuer !Sommaire
INTRODUCTION
CHAPITRE PREMIER - ANALYSE COMPARÉE DES
SYS T ÈM ES D'INT
ELLIGENCE ÉCON
O MIQUE DANS
LE MONDE
1. Méthodologie
2. Émergence et histoire
3. Deux systèmes précurseurs
3.1. Le cas de la Grande-Bretagne
3.2. Le cas de la Suède
4. Tendances et mouvements de convergence
4.1. L
intelligence écono m ique, critère de compétitivité4.2. L
intelligence écono m ique, m a tière pr e m ière d une nouvelle industrie4.3. L
intelligence écono m ique, fonde m ent d'une culture écrite4.4. L'intelligence économique, source de concertation
État/entreprises/collectivités territoriales4.5. L
intelligence écono m ique et la d fense de l intérêt national5. Les grands systèmes contemporains
5.1. Japon
5.2. États-Unis
53. Alle
m a gne6. Analyses comparées et synthèse
6.1. Pourquoi les entreprises pratiquent-ell
e s l intelligence écono m ique ?6.2. Vers une implication culturelle
6.3. Des conceptions nationales de l'intelligence ?
CHAPITRE II - L'INTELLIGENCE ÉCONOMIQUE EN FRANCE :A TOUTS ET LACUNES
1. Histoire, émergence et caractéristiques du système
1.1. Histoire et émergence
1.2. Les caractéristiques du système français
d'intelligence économique2. La pratique des acteurs : atouts et lacunes
2.1. L
entreprise et l intelligence écono m i que2.2 Les banques et l
quotesdbs_dbs35.pdfusesText_40[PDF] SOMMAIRE. Document créé le 1 er août 2014, modifié le 23 juillet 2015 1/18
[PDF] SOMMAIRE. Le Mot du Président. Présentation d Eure-et-Loir Numérique. Les élus du Bureau. Les faits marquants d Eure-et-Loir Numérique
[PDF] SOMMAIRE. Présentation 3. Les deux conceptions historiques de la protection sociale 15 Un droit au cœur des préoccupations sociétales 16
[PDF] Sommaire. Qu est-ce que la RT 2012... 3. Consommation énergétique... 4. Les grands principes de la RT 2012... 5 à 8. Les avantages de la RT 2012...
[PDF] Sommaire. Recruter et intégrer des seniors
[PDF] Sommaire. Sommaire. L Entreprise Page 3. Qu est-ce que la PNL? Page 4. Thérapie PNL et hypnose ericksonienne Page 7
[PDF] Sommaire. Une équipe vivante P3. Un point sur les licences professionnelles.. P4. Une formation qualifiante pour l'emploi.. P4
[PDF] SOMS - Stages professionnels auprès de l'administration fédérale
[PDF] Sondage auprès des Québécois âgés de 50 à 64 ans sur le vieillissement
[PDF] SONDAGE SUR LA SÉCURITÉ ROUTIÈRE DE 2012 L ALCOOL AU VOLANT AU CANADA : TENDANCES. The knowledge source for safe driving
[PDF] Sont présentés ci-dessous les principaux risques et facteurs de risques auxquels le Groupe est confronté. L analyse et le
[PDF] Sophie PLUMECOCQ Technicienne d Etudes Cliniques COREVIH Haute-Normandie
[PDF] SOUS LE HAUT PATRONAGE DE SON EXCELLENCE MONSIEUR LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE
[PDF] SOUS-SECTION 1 SOINS MÉDICAUX ET PARAMÉDICAUX. CONVENTION D'EXERCICE CONJOINT. MAISON DE SANTÉ. CLINIQUE. TRAVAUX D'ANALYSES DE BIOLOGIE MÉDICALE