SOLIDARITÉS
15 sept. 2011 des mesures médico-sociales du plan Alzheimer 2008-2012 (mesure 1) ... plate-forme d'accompagnement et de répit pourra bénéficier ...
BO Santé – Protection sociale – Solidarité no 2019/8 du 15
15 sept. 2019 mesure 1b (plateformes d'accompagnement et de répit des aidants) du Plan Alzheimer et maladies apparentées 2008-2012 et aux modalités de ...
SOLIDARITÉS
mesure 1 b (plates-formes d'accompagnement et de répit des aidants) du plan Alzheimer et maladies apparentées 2008-2012 et aux modalités de remontées
Le soutien des aidants non professionnels
jour de plateforme d'accompagnement et de répit séjours
Circulaire Plateforme de répit et daccompagnement
30 juin 2011 Mots-clés : Plan Alzheimer 2008-2012 - mesure n°1 - platefor mes d'accompagnement et de répit des aidants - accueil de jour -mesure n°2 ...
Bibliographie pour la recommandation : « Soutien aux aidants nos
médico-sociales du plan Alzheimer 2008-2012 (Mesure 1). Annexe n°1. Cahier des charges des plateformes d'accompagnement et de répit.
LETTRE 24
N°24 - Juin 2012 - État des lieux 2011 des dispositifs d'accompagnement de des plateformes de répit le développement d'unités spécifiques Alzheimer et ...
20140205_Com plateformes
5 févr. 2014 2012. Les plateformes d'accompagnement et de répit sont adossées à des accueils de ... personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer- et ...
Circulaire DGAS/DSS/DHOS n° 2009-195 du 6 juillet 2009 relative à
du plan Alzheimer et maladies apparentées 2008-2012 et d'en préciser la déclinaison domicile (SSIAD) les plateformes d'accompagnement et de répit
Searches related to plateforme d accompagnement et de répit alzheimer juillet 2012
I- Contexte et objectifs de l’appel à candidatures Les plateformes d’accompagnement et de répit (PFR) ont été créées dans le cadre du Plan Alzheimer 2008-2012 (mesure 1b) Leur déploiement se poursuit dans le cadre de la mesure 28 du Plan Maladies Neuro-Dégénératives (PMND) 2014-2019 Les Agences Régionales de Santé sont
![20140205_Com plateformes 20140205_Com plateformes](https://pdfprof.com/Listes/20/2456-2020140205_com_plateformes.pdf.pdf.jpg)
formes d"accompagnement et de répit pour une journée d"échanges. À cette occasion, elles ont
présenté les premières données d"activité de ces dispositifs créés avec le plan Alzheimer 2008-
2012.Les plateformes d"accompagnement et de répit sont adossées à des accueils de jour. Elles orientent les personnes en perte d"autonomie et leurs aidants vers différentes solutions de
répit (répit à domicile, activités culturelles, physiques ou artistiques, séjours vacances, ac-
cueil de jour, ateliers de réhabilitation, stimulation sensorielle...). En effet, des études ont
montré que le répit seul, qui consiste à placer temporairement la personne en accueil dejour, en hébergement temporaire, en institution ou à l"hôpital, est peu efficace sur l"état
d"anxiété ou de santé général du proche aidant. En revanche, couplé à d"autres activités, il
lui est beaucoup plus bénéfique. Les plateformes sont encore récentes. Les premières fonctionnent depuis 2009, mais la majori-té a ouvert courant 2012. La CNSA a d"ores et déjà alloué aux agences régionales de santé les
crédits permettant de financer les 150 plateformes qui, à terme, mailleront le territoire national.
Elles sont 87 à avoir répondu à l"enquête (57 ont eu une activité en 2012).L"enquête démontre qu"en 2012, 5145 aidants se sont adressés à 39 plateformes de répit. Dans
47% des situations, il s"agit des conjoints des personnes aidées -en très large majorité des
personnes atteintes de la maladie d"Alzheimer- et, dans 44% des situations, de leurs enfants.Aidants et aidés sont principalement orientés vers les équipes des plateformes par les centres
locaux d"information et de coordination gérontologiques (CLIC), les accueils de jour, les ser-vices de soins infirmiers à domicile, les équipes sociales et médico-sociales des conseils géné-
raux et des centres communaux d"action sociale et les professionnels de santé.Les prestations proposées
Pour répondre de façon personnalisée à chaque étape du parcours du " couple aidant-aidé »,
les plateformes d"accompagnement et de répit sont tenues de proposer trois types d"activitésconformément au cahier des charges du 30 juin 2011 : des activités d"écoute et de soutien des
aidants ; des activités pour les " couples aidants-aidés » favorisant le maintien de la vie so-
ciale ; des activités de répit à domicile. La majorité des plateformes n"en propose encore que
deux, mais toutes proposent aux aidants des actions d"écoute et de soutien. 2/4En 2012, 4793 aidants ont bénéficié d"au moins une prestation fournie par les plateformes et
leurs partenaires.Les actions d"écoute et de soutien des aidants
Pour l"essentiel, les actions d"écoute et de soutien consistent en des permanences télépho- niques et des rencontres individuelles, qui peuvent se tenir dans les locaux de la plateforme ouau domicile de la personne. Les plateformes organisent également des temps d"échanges
collectifs sous forme de groupes de parole ou de cafés répit. Les actions auprès du " couple aidant-aidé » permettant la poursuite de la vie socialeParmi les activités de " couple aidant-aidé », les plateformes proposent le plus souvent le
séjour de vacances (40% des plateformes ayant répondu à cette question) ; viennent ensuiteles sorties, qu"elles soient culturelles (ex : musée), locales (ex : marché, promenade) ou convi-
viales (ex : pique-nique).Les actions de répit à domicile
Plus de la moitié des plateformes (31 sur les 57) ayant répondu à l"enquête déclarent proposer
des actions de répit à domicile, c"est-à-dire qu"un professionnel se rend au domicile de l"aidant
une journée ou une demi-journée pour lui permettre de s"absenter et/ou le soulager lors desituations exceptionnelles. Lorsqu"elle a eu une activité sur toute l"année 2012, une plateforme
est intervenue au domicile d"environ 17 aidants pour une durée totale d"environ 63 jours.En complément des trois catégories de prestations inscrites dans le cahier des charges, la
majorité des plateformes de répit d"accompagnement (42) propose d"autres actions comme laformation ou l"information de l"aidant sur l"évolution de la maladie, des activités sportives ou de
bien-être réservées à l"aidant, l"acheminement jusqu"au lieu d"activité ou l"accueil de jour.
Des pistes d"amélioration
L"enquête avait aussi pour objectif d"identifier les difficultés rencontrées par les plateformes.
Elles concernent principalement l"accès des aidants à certaines formules de répit, qu"il s"agisse
de l"accessibilité géographique (offre inexistante ou insuffisante) ou de l"accessibilité financière.
Cela concerne l"offre d"hébergement temporaire, d"hébergement d"urgence, de répit à domicile,
de répit de nuit, d"accueil de jour et de halte-relai.Même si elles ont déjà noué de nombreux partenariats, plusieurs plateformes font part de leur
difficulté à identifier l"ensemble des acteurs du territoire ou à se faire connaître auprès d"eux, en
particulier des médecins libéraux et des familles. Un point sur lequel il est nécessaire de pro-
gresser rapidement compte-tenu de leur rôle d"écoute et d"information des familles.L"enquête est disponible sur le site de la
DGCS et sur celui de la CNSA.
3/4Contacts presse
Sandie Michelis / Chimène Mandrin - DGCS
Tél. : 01 53 86 10 18 / 01 40 56 82 03
sandie.michelis@social.gouv.fr / chimene.mandrin@social.gouv.frAurore Anotin - CNSA
Tél. : 01 53 91 21 75
aurore.anotin@cnsa.frÀ propos de la DGCS
La direction générale de la cohésion sociale est la direction d"administration centrale des ministères
sociaux qui est chargée de la conception, du pilotage et de l"évaluation des politiques publiques de solida-
rité, de développement social et de promotion de l"égalité favorisant la cohésion sociale. Elle veille à la
cohérence nationale et territoriale de ces politiques.Elle anime l"action des pouvoirs publics en matière de politiques publiques de solidarité, de développe-
ment social et de promotion de l"égalité. En particulier, elle est compétente en matière de :
· politique familiale,
· autonomie des personnes handicapées et des personnes âgées, · égalité entre les femmes et les hommes et de promotion des droits des femmes,· prévention et lutte contre les exclusions, inclusion sociale et insertion des personnes en situation
de précarité,· économie sociale et solidaire.
La DGCS définit le cadre d"intervention des professionnels du secteur social et médico-social et des
organismes prestataires de services et elle veille au développement de l"emploi des travailleurs et interve-
nants sociaux.Sur l"ensemble de ces champs, la DGCS suit les questions européennes et internationales. A ce titre, elle
apporte son expertise pour l"élaboration des positions nationales, assure la négociation et le suivi des
engagements de la France et participe à différentes instances européennes et internationales. De même,
elle conduit des analyses stratégiques et prospectives, initie et coordonne des travaux d"observation
sociale et promeut les expérimentations nécessaires à l"exercice de ses missions.À propos de la CNSA
Créée par la loi du 30 juin 2004, la Caisse nationale de solidarité pour l"autonomie (CNSA) exerce ses
missions dans un cadre partenarial et en lien étroit avec les acteurs locaux de l"aide à l"autonomie.
Son originalité principale réside dans sa gouvernance spécifique : la composition plurielle et le rôle de son
Conseil, véritable " parlement » du secteur médico-social.Opérateur central des politiques d"aide à l"autonomie, à la fois caisse et agence, la CNSA a vu ses mis-
sions s"élargir depuis sa création, notamment par les lois du 11 février 2005 et du 21 juillet 2009. Elle est
chargée de :· Participer au financement de l"aide à l"autonomie des personnes âgées et des personnes handi-
capées : contribution au financement de l"allocation personnalisée d"autonomie et de la prestation
de compensation du handicap, concours au financement des maisons départementales des per- 4/4sonnes handicapées, affectation des crédits destinés aux établissements et services médico-
sociaux, soutien à la modernisation et à la professionnalisation des services d"aide à domicile.
· Garantir l"égalité de traitement sur tout le territoire quel que soit l"âge et le type de handicap, en
veillant à une répartition équitable des ressources et en apportant un appui technique aux acteurs
locaux pour favoriser l"harmonisation des pratiques. · Assurer une mission d"information et d"animation de réseau.· Enfin, la CNSA a un rôle d"expertise et de recherche sur toutes les questions liées à l"accès à
l"autonomie, quels que soient l"âge et l"origine du handicap.En 2014, la CNSA gère un budget de 21,7 milliards d"euros (11,6 milliards destinés aux personnes
âgées et 10,1 milliards destinés aux personnes handicapées).quotesdbs_dbs30.pdfusesText_36[PDF] Remise du Label Bleuet de France
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