[PDF] Premier cours : division euclidienne sur Z et K[X] Avant de donner la





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Les quatre opérations de base Division Euclidienne et Division

Diviseur. Quotient. 2)Division Euclidienne et sa preuve. Exemple Effectuer une division euclidienne d'un nombre entier. (dividende) par un autre nombre ...



Division euclidienne I. Exemple pour comprendre Marc a 142

6e Opérations. 1/2. Division euclidienne. I. Exemple pour comprendre. Marc a 142 bonbons. Il décide de faire des paquets de 6 bonbons chacun.



Division euclidienne – Division décimale

II) Comment poser une division euclidienne. Dans une division euclidienne on s'arretera pour ne pas aller après la virgule. Exemple : dans un mariage



DIVISIBILITÉ ET CONGRUENCES

q est appelé le quotient de la division euclidienne de a par b. - r est appelé le reste. Exemple : Dans la division euclidienne de 412 par 15



Premier cours : division euclidienne sur Z et K[X] Avant de donner la

de ce cours on révise deux exemples importants : l'ensemble Z des entiers Par exemple si a = ?7



Cours Terminale S Divisibilité - Division euclidienne - Congruences

Exemples : Soit A { 8 ; 12 ; 14 ; 21 } . A est une partie de ? . Le plus petit élément de A est 8. Soit B l'ensemble des entiers naturels impairs.



Poser et résoudre une division euclidienne et décimale

Exemple : Dans la division euclidienne de 87 par 12 le quotient est 7 et le reste 3. S'il y 



Séquence7 : La division euclidienne et décimale Définition :

La division est euclidienne lorsque le dividende le diviseur et le quotient sont entiers. Exemple : On dispose de 789 fleurs. On veut faire des bouquets 



La division euclidienne Rappel : nombre entier naturel = « positif

r s'appelle le reste de la division euclidienne. Remarque : le couple (q ; r) est unique. Exemple 1 : Effectuer la division euclidienne de 183 par 12.



Chapitre n°7 : « Division »

Dans la division euclidienne de 79 par 25 trouve le quotient et le reste. Fais les Exemples. 7803 est divisible par 3 car la somme de ses chiffres ...



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Effectuer une division euclidienne c'est trouver deux nombres entiers : le quotient et le reste Exemple : Le reste de la division de 128 par 8 est 0



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Exemple : La division décimale donne une valeur approchée du quotient quand la division se termine avant de trouver un reste égal à zéro



La division euclidienne et décimale : cours de maths en 6ème en PDF

La division est euclidienne lorsque le dividende le diviseur et le quotient sont entiers Exemple : On dispose de 789 fleurs On veut faire des bouquets 



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Un nombre est divisible par 5 (ou est un multiple de 5) si son chiffre des unités est 0 ou 5 Exemples : 2 795 ; 23 200 ; 145755 sont divisibles par 5 c) 



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La division euclidienne est utilisée pour effectuer un partage équitable : D est le dividende d est le diviseur q est le quotient = le résultat



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Dans une division euclidienne on s'arretera pour ne pas aller après la virgule Exemple : dans un mariage il y a 167 personnes On veut les placer par tables 



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Définitions : - q est appelé le quotient de la division euclidienne de a par b - r est appelé le reste Exemple : Dans la division euclidienne de 412 par 15 



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Définition: Effectuer la division euclidienne d'un nombre entier a par un nombre entier non nul b c'est : déterminer combien de paquets de b unités sont 



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Exemple 1 : Effectuer la division euclidienne de 183 par 12 Exemple 2 : On donne 278 = 6 x 45 + 8 : quelle(s) division(s) euclidienne(s) cette



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Exercices corrigés sur la division euclidienne Exercice 1 : 1 Effectuer à la main chaque division euclidienne — 473 par 6 — 784 par 15 — 578 par 25

:
Premier cours : division euclidienne sur Z et K[X] Avant de donner la Premier cours : division euclidienne sur Z et K[X] Avant de donner la d´efinition formelle d"anneau, notion qui sera l"objet principal de ce cours, on r´evise deux exemples importants : l"ensembleZdes entiers rela- tifs, et l"ensembleK[X] des polynˆomes `a coefficients dansK(pour l"instantKest l"ensemble des nombres r´eels ou complexes). Th ´eor`eme 1.Soienta,b?Z, avecb?= 0. Il existe un couple(q,r)?Z×Ztel que a=bq+ret|r|<|b|. Remarque 2.Si on exige de plusr≥0, le couple (q,r) est unique. En effet si a=bq1+r1=bq2+r2, on a-|b|<|b(q1-q2)|<|b|, d"o`uq1=q2, et donc ´egalementr1=r2. Par exemple sia=-7,b= 3, on peut ´ecrire les deux divisions euclidiennes suivantes : -7 = 3× -3 + 2 ou-7 = 3× -2-1. Preuve du th´eor`eme.Supposons d"abordb >0. Soitq?Zmaximal tel quea≥bq, et posonsr=a-bq≥0. Par l"absurde, supposonsr≥b, doncr-b=r-b(q+1)≥0 ce qui contredit la maximalit´e deq. Ainsi on a trouv´e un couple (q,r) qui convient, Consid´erons maintenant le casb <0. On applique le point pr´ec´edent `a (-a,-b) pour trouver (q,r) v´erifiant-a=-bq+r, et alors (multiplier cette ´egalit´e par-1) on voit que (q,-r) convient. Th ´eor`eme 3.SoitA,B?K[X], avecB?= 0. Alors il existe un unique couple (Q,R)?K[X]×K[X]tel que

A=BQ+RetdegR Remarque 4.Il est d"usage de poser deg0 =-∞. Avec cette convention l"´enonc´e du th´eor`eme reste correct mˆeme siBest un polynˆome constant. A noter que la convention se justifie aussi pour que la relation suivante soit toujours vraie : degPQ= degP+ degQ Preuve du th´eor`eme.Existence: On noten= degA,m= degB. Sin < m, il suffit de prendreQ= 0,R=A. Sin≥m, on ´ecrit

A(X) =anXn+...etB(X) =bmXm+...,

et on poseA0=AetA1=A-anb mXn-mB, qui v´erifie degA1ce proc´ed´e on construit une suiteAide polynˆomes de degr´es d´ecroissants, v´erifiant

A i=Ai-1-MiBpour certains monˆomesMi, jusqu"`a atteindre un certain indice r≥1 tel que degAr-1≥degB >degAr.

Unicit´e: SiA=BQ1+R1=BQ2+R2, alors

B(Q1-Q2) =R2-R1.

On obtient

degB >deg(R2-R1) = degB+ deg(Q1-Q2), d"o`uQ1-Q2= 0, et donc ´egalementR2=R1. 1 2 D ´efinition 5.Soita?Z. On dit queb?Zest undiviseurdea, ou queaest un multipledeb, s"il existec?Ztel quea=bc. On note div(a) l"ensemble de tous les diviseurs dea.

Exemple 6.div(6) ={1,2,3,6,-1,-2,-3,-6}.

Remarque 7.(1) Sia=bq+r, alors

div(a)∩div(b) = div(b)∩div(r). En effet sicdiviseaetb, alors il divise aussir=a-bq; et r´eciproquement sicdivisebetr, il divise aussia=bq+r. (2) Si on applique la d´efinition `aa= 0 on obtient div(0) =Z. C"est ok, c"est mˆeme un ingr´edient crucial de la preuve du th´eor`eme qui suit. Plus tard on utilisera la terminologie "diviseur de z´ero" dans un sens plus restreint, mais pour l"instant on n"en dit pas plus... Th ´eor`eme 8(Relation de Bezout via algorithme d"Euclide).Soienta,b?Z. Il existed?Ztel que div(d) = div(a)∩div(b).

De plusdest de la formed=au+bvpour certainsu,v?Z.

Remarque 9.l"entierddu th´eor`eme est unique au signe pr`es (par contreuet vne sont pas uniques) : s"en convaincre. On appelled"le" PGCD deaetb(ou "un" PGCD, si on veut souligner l"ambiguit´e sur le signe). Ici "plus grand" doit s"entendre au sens de la relation d"ordre "mest plus grand quensimest un multiple den". Si on se restreint aux entiers positifs l"ordre co¨ıncide avec l"ordre usuel, mais `a noter que par exemple-4 est plus grand que 2... Et par exemple-4 est un PGCD de 12 et-8. Vocabulaire : on dit que deux entiersaetbsontpremiers entre euxsi 1 est un PGCD deaetb. Preuve du th´eor`eme 8.On proc`ede par algorithme d"Euclide, c"est-`a-dire par divi- sions euclidiennes successives. Quitte `a intervertiraetbon peut supposer|a| ≥ |b|. On poser0=a,r1=b, puis pouri≥1,ri´etant d´efini et non nul, on d´efinitri+1 en ´ecrivant une division euclidienne r i-1=riqi+1+ri+1. On obtient ainsi une suite strictement d´ecroissante jusqu"`a obtenir un reste nul. |r1|>|r2|>···>|rk|>|rk+1|= 0.

Par la remarque 7 on a

div(a)∩div(b) = div(r1)∩div(r2) = div(r2)∩div(r3) =···= div(rk)∩div(rk+1) = div(rk).

Ainsid=rk, le premier reste non nul, convient.

On obtient les entiersuetven "remontant l"algorithme ligne `a ligne" : le faire en td. Exemple 10.On cherche le PGCD de 21 et 13 par algorithme d"Euclide.

Restes positifs :

21 = 13×1 + 8

13 = 8×1 + 5

8 = 5×1 + 3

5 = 3×1 + 2

3 = 2×1 +1

2 = 2×1 + 0

3 Restes n´egatifs (plus rapide sur cet exemple!) :

21 = 13×2-5

13 = 5×3-2

5 = 2×3-1

2 = 2×1 + 0

C¸a semble bien compliqu´e, pourquoi ne pas ´ecrire simplement les d´ecompositions en facteurs premiers 21 = 3×7, 13 = 13 pour conclure directement? Indication : calculer le PGCD de 66023 et 62177 par ces deux m´ethodes (algortithme d"Euclide ou d´ecomposition en facteurs premiers)... Remarque 11.Comme on dispose d"une division euclidienne surK[X], on peut exactement de la mˆeme mani`ere obtenir l"´enonc´e suivant. Cette fois le PGCD est unique `a une constante multiplicative pr`es. A nouveau, la m´ethode par algorithme d"Euclide ´evite d"avoir `a d´ecomposer en facteurs premiers, qui est un calcul difficile en g´en´eral. Th ´eor`eme 12(Relation de Bezout pour les polynˆomes).SoientA,B?K[X]. Il existeD?K[X]tel que div(D) = div(A)∩div(B). De plusDest de la formeD=AU+BVpour certainsU,V?K[X].

On termine avec quelques applications.

Recherche d"un inverse modulon.

Proposition 13.Soitnun entier, etaun entier premier avecn. Alorsaadmet un inverse modulon, c"est-`a-dire qu"il existe un entierbtel que ab= 1 modn. Preuve.On ´ecrit une relation de Bezout entreaetn:au+nv= 1. Alorsb=u convient. Remarque 14.C"est l"occasion d"introduire (de rappeler?) la notationZ/nZ(de fa¸con "na¨ıve", on reformulera ¸ca plus tard `a l"aide de la notion d"anneau quotient). Sinest un entier positif (et disonsn≥2, mˆeme si on pourra r´efl´echir aux casn= 0 ou 1...), eta?Z, on note ¯al"ensemble des entiers ´egaux `aamodulon, c"est-`a-dire ¯a= ¯r(reste de la division euclidienne deaparn). On note

Z/nZ={¯0,¯1,...,n-1}.

Par exemple sin= 3,Z/3Z={¯0,¯1,¯2}, o`u

0 ={...,-6,-3,0,3,6,...}

1 ={...,-5,-2,1,4,7,...}

2 ={...,-4,-1,2,5,8,...}

On peut munirZ/nZd"une addition et d"une multiplication, en posant

¯a+¯b:=a+b

¯a·¯b:=a·b

On v´erifie que ces d´efinitions ne d´ependent pas d"un choix de repr´esentants : sia eta?sont ´egaux modulon, etbetb?sont ´egaux modulon, alorsa+b,a?+b?d"une part, eta·b,a?·b?d"autre part, sont ´egaux modulon. 4 L"´enonc´e de la proposition peut s"´ecrire : pour toutapremier avecn, il existe¯b tel que ¯a¯b=¯1 dansZ/nZ. on dit que?est l"indicatrice d"Euler. R ´esolution d"une´equation diophantienne lin´eaire.On consid`ere une´equation de la forme suivante, o`ua,b,c?Zsont des param`etres fix´es, etx,y?Zsont des inconnues : (E)ax+by=c Proposition 15.Notonsdun PGCD deaetb. L"´equation(E)admet des solutions ssiddivisec. De plus, siddivisec, l"ensemble des solutions s"obtient en faisant la somme d"une solution particuli`ere et des solutions de l"´equation homog`ene associ´ee (E0)ax+by= 0

Remarque 16.Vu en td :

- Une solution particuli`ere s"obtient `a partir d"une relation de Bezout poura etb. - En divisant (E0) par le PGCD deaetbon obtient une ´equation ´equivalente (E?0)a?x+b?y= 0 aveca??b?= 1, dont les solutions sontx=kb?,y=-ka?,k?Z. R ´esolution d"un syst`eme de congruence.Consid´erons d"abord un syst`eme `a deux lignes de la forme : (S)?x≡a1modn1 x≡a2modn2 Autrement dit on cherche s"il existex,k1,k2?Ztel que ?x=a1+k1n1 x=a2+k2n2 Supposons quex,k1,k2soit une solution. Alors par diff´erence on obtient k

1n1-k2n2=a2-a1

Soitd≥0 le PGCD den1etn2. Sia2-a1n"est pas un multiple ded, une telle relation est impossible. Si par contrea2-a1est un multiple ded(c"est toujours le cas sid= 1), on peut partir d"une relation de Bezout un

1+vn2=d

puis multiplier par l"entier a2-a1d pour obtenirk1etk2v´erifiant une relation de la forme k

1n1-k2n2=a2-a1.

On obtient ainsi une solution particuli`ere du syst`eme (S). On trouve alors toutes les solutions du syst`eme en ajoutant `a cette solution particuli`ere les solutions du syst`eme homog`ene (S0)?x≡0 modn1 x≡0 modn2 qui sont exactement les multiples de PPCM(n1,n2). Pour r´esumer la discussion pr´ec´edente, voici deux exemples d"´enonc´es possibles : 5 Proposition 17.Consid´erons un syst`eme de congruence de la forme (S)?x≡a1modn1 x≡a2modn2 Sin1?n2= 1, alors ce syst`eme admet une infinit´e de solutions, qui sont de la formex0+kn1n2,k?Z, etx0une solution particuli`ere. Proposition 18.Consid´erons un syst`eme de congruence de la forme (S)?x≡a1modn1 x≡a2modn2 Si(S)admet une solution, alors il en admet une infinit´e, qui sont de la forme x

0+kn1n2,k?Z, etx0une solution particuli`ere.

Remarque 19.L"´enonc´e ne pr´ecise pas que la solutionx0s"obtient en cherchant (via l"algorithme d"Euclide par exemple!) une relation de Bezout, c"est pourtant un point important `a savoir mettre en oeuvre. L"´enonc´e dit qu"on peut remplacer le syst`eme (S) de deux lignes par le syst`eme

´equivalent d"une seule lignex≡x0modn1n2.

Cela donne un moyen de r´esoudre un syst`eme de congruence `a un nombre quel- conque de lignes, par r´ecurrence sur le nombre de lignes (voir exemple en td).

Formule g

´en´erale pour la solution d"un syst`eme de congruence. Proposition 20.Consid´erons un syst`eme de congruence `arlignes de la forme (S)? ?x≡a1modn1... x≡armodnr avec lesnipremiers entre eux deux `a deux. Pour touti= 1,...,r, posonsbi= n

1...ˆni...nr(produit desnken omettantni), et notonsciun inverse debimodulo

n i. Alors x

0:=a1b1c1+a2b2c2+···+arbrcr

est une solution du syst`eme(S), et les solutions sont les entiers de la formex= x

0+kn1...nr,k?Z.

Remarque 21.Avoir une formule pour la solution est s´eduisant, mais `a noter que le calcul des inversesciest plus long que la r´esolution par r´ecurrence sur le nombre de lignes ´evoqu´ee plus haut. Cette formule devient rentable si l"on doit r´esoudre un grand nombre de syst`emes avec les mˆemesni(mais desaidiff´erents) : voir exo

Barry Botter...

R ´esolution de syst`emes de congruence sur K[X].Tout le discours pr´ec´edent se transpose `a l"identique dans le contexte des polynˆomes : voir exemples en TD.quotesdbs_dbs29.pdfusesText_35

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