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Office de la Recherahe

Xcientif ique et Technique

Outre-Mer

Document de travail

LA POPULATION DES VW &QYENNGS

DIT TOGO HERIDICONAL

Selon le recensement de 1970

(Premiers résQtats)

Yves MURGUERAT

géographe avril 1980 .

Centre OItSTOIVI

de Loué Un recensement général de la population du Togo doit dtre entrepris fin 1980 ou début 198?, mais le précédent, celui de 1970, n'est pas encore totalement exploité, Il importe donc d'essayer d'en extraire le maximum d'informations possible, ce qui periaettra ensuite de mesurer les évohhtians accompbies, et non seulement des qdahttités brutes Une exploitation informatisée n'est malheureusement plus possible, ni techniquement, ni financièrement, I1 a donc fallu 88 contenter d'un dépouillement manuel, simple, mais long et inévitable- ment entaché de petites erreurs : quelles que soient les vérifications apportées, deux séries chiffrées manipulées ainsi n'aboutiront prati- quement jamais tout-à-fait aux mêmes résultats,.. (mais l'expérience montre aussi que ces écarts restent faibles),

Une autre source d'erreurs possibles est

que Les documents de base du recensement -près de 500 O00 fiches de regrou- pées en quelques 4 O00 dossiers- ont subi, depuis leur collecte et leur codification divers avatars, dont plusieurs déménagements (tou- jours fort dangereux pour lfint6gríté d'une série),

I1 peut donc

arriver que certains dossiers aient Bt6 perdus (I). Une fiche sur vingk a 6tb retirée des dossiers (plus exactement : une chemise de concession sur vingt, soit un nombre variable de fiches de ménage), afin de servir de base & une enquête démographique renouvellée en

1971, dont les résultats définitifs, 18 aussi, manquent encore, Ces

dossiers particuliers, stockés & part, ont été réintroduits dans notre dépouillement . (1) C'est le cas pour la ville de Tskvié, pour lesquels manquent d'une part environ

12 76 des fiches de ménage (1 500 habitants sur 13 OOCJ),

prélevés pour une autre enquête et jamais remis à leur plaçe, d'autre part une partie des dossiers de deux des vingt quartiers (encore 1 O00 personnes). Nous avons dQ extr;ZP@J.er les chtffres observés (en les multipliant par 1,122) pour les ~~JXQG&~ avec le chiffre ,officiel de 13 016 habitants. -2- Toutes ces opérations -même en réduisant le relevé des informations B la structure démographique des familles et aux carac- téristiques du chef de ménage- sont évidemment fort longues, et le travail est encore loin d'être achevé, Il. parait cependant utile de diffuser déjà une série d'informations portant sur les villes du Togo méridional, région la plus urbanishe du pays, Partant sans a priori sur la nature ukbaine de ces %5lles" -qu'il s'agit, précisQment, de tenter de définir ici- nom avoas con- sidéré comme centres urbains tous les chefs-lieux de circonscr?%ion, au nombre de neuf, dont les dossiers ont été dBpouill6s exhaustivement, Lomé, vaste problème, étant conservée pour une étude ultérieure, il s'agit de trois vieilles villes, aux fonctions diversifiées : -u- Arrèlio, _" Atakpamé et Kpalimé, de trois centres administratifs de moindre impor- tance : Tsévié, - Not& et Tabligbo, enfin de trois agglomérations naguhe surtout rurales élevées plus recemment & ce rang de chef-lieu administratif : Vogan, Amlamé et - Badou (ces deux dernières n'y étant pas encore en 1970). y__m__y >------.wu .a.-*- /I . Afin d'avoir des 618rnents de comparaison, et de descendre au niveau le plus fin possible de l'analyse, une dizaine de grosses agglom6rations, dT allure parfois plutôt urbaine, parfois incontesta- blement rurale, ont aussi

été retenues. Faute de pouvoir les traiter

exhaustivement, seul le sondage au vingtième a 6t6 exploité : la précision n'est bvidemment pas la même, mais les grands traits mis en lumière ne peuvent en être vraiment biaisés. Le choix de ces centres a ét6 conditionné par la présence ou l'absence de leurs dossiers daCs

1'6chantillon : ni Gléi, ni Wahala, ni Dadja, ni KG&, par exemple,

n'y figurent, qui eussent certainement été des cas intéressants.

Ont C.té retenus :

- aodrafo, ex-Porto Séguro ,(3 649 habitants selon les r6sul-i;clt:; officiels du recensement), jadis bourg commercial entre Lomi et An23.o. et Glidji (2 268 hab,), capitale des Mina au XVIIIO siècle et longtcr.: 1.2. rivale drAnèho ; -3- - Anfoin (7 898) et Afagnan-gan (7 629), typiques des ts8s gros villages du plateau ouatchi ; - Assahoun (4 474) et &ou Gare_ (2 1331, importants march6s entw Lomé et KpaLimd ; on y a ajouté le petit village d'sou Tomegb6 (755j7 blotti en position de refuge sur los flancs du Mont Agou ; - Adéta (2 389), principaie place commerciale au centre de la zar:? cacaoyhe, entre Kpalimé et Atakpam6, et Danyi Apéyémb (2 ?91), le centre du riche plateau de Dayes, relié & l'extérieur par le carrefour drAdéta - Tohoun (3.,182), poste administratif du bays adjai bien marginal L Anié (5 0371, actif &arché de la vieille Bone de oolonisation des terres Sous-peuplées au nord d'dtakpamb. Soit

42 O00 personnes dans ces onze agglomérations et 90 500

dans les neuf villes, 6,~ de La population togolaise, B c I 5 -4-

I - LE VOLUME DES POPULATIONS UHBAINES

Ont été exclues des I1populat lolis urbaines'! celles des nombreux hameaux, fermes et autres écarts qui sont parfois comptés dans les unités citadines, La vérification détaillé$ sur photo aérienne n'est pas encore faite, mais les mentions por$ées SUT Les fiches (lsquartiersll, W.llagesl', "fermes1!) sont a6aez précis@ pour limiter les risques d'erreur, C'est ainsi su4 Vogan, crédité; pqr les premiers résultats publiés de 27 500 habitants, n!en compte en réalité que moins de IO O00 effectivement groupés dans l'aggloméra- tion : le reste correspond & une unité politicò-adm~nistrative, la chefferie de Vogan, qui est en fait toute rurale (I), Le seul bilan détaillé du recensement de 1970 se trouve dans un document intitulé 7TRecensement Général de la population, ler mars au 30 avril 1970 ; Résultats provisoiresYP (2). I1 s'agit d'un premier comptage manuel, effectué juste après la collecte dcs données de base, Ces rBsultats ont été en général notablement sous-, estimés : quand on peut les comparer quartier par quartier (ils ont été publiés ainsi pour les "communes)' : Anèho, Tsévié, Kpalim6 et Atakpamé), notre résultat est presque toujours plus fork de quelques dizaines d'habitants, soit quelques points pour cent supplémentaires, Notre résultat global est pourtant très inférieur & Not&, Tabligbo ., et surtout Badou et Vogan : c'est 'que le chiffre que MOUS donnons (sans le garantir, bien sQr, & l'unité près) correspond aux seules populations effectivement groupées dans l*agglomération urbaine. (1) D'après le sondage au 1/206, les chefs de ményges actifs de cette périphérie de Vogan-centre sont engagés B gl,l.% dans les acti- vités agricoles, M4me phénomène

8, par exemple, Afangnan-gan :

de ce nomo peine la moitié de ses 7 600 habitants vivent groupés au village (2) Direction de la Statistique, Lomé, sans date, 79 pages mul-t;ig,-,, -5 - 'sHésultats " : Dgpouillement : provisoires" exhaustif .

AMLAllE

ANEHO

AT AKPAME

BADOU

KPALIME

NOTSE

T ABLIGBO

TSEVIE

VOGAN 2 288

IO 889

13 016

27 489

2 349 : -I- 2,Q s6

11 043 : 4- 1,4 %

t

77 733 : + 5,6 %

z

6 120 -42 %

6 393 -16 %

3 629 -17 %

13 O'l2 ' (extrapolation) '

9 972 - 64

-6-

II - LES ACTIVLTES DES CHEFS DE MÉNAGE

Les "chefs de ménage" (nous ne remettbns pas en questions ici les définitions adoptées par le recensement) sont la partie mo- trice de la population urbaine. Ils exercent une quelconque activitG économique dans une proportion très forte, qui se tient réguli&-emen'; entre

81 $$ et 84 %, et encore plm & Amlamé (85,5 $1, Kpalim6 (86,4

et surtout Badou (94,6 $1, lés trais cités les plus engagées dans

1'6conomie cacaogère. Dans les petits centres 6tudiés au 1/20i! (la

précision est donc nettement moindre), les variations sont plus im- portantes, allant de 7648 % d'actifs (Ascnhoun, l'!ohovao Glidji) A

93-96, $ (Anfoin, Afagnan, Akbodrafo) a

Les "inactif si' sont quelques vieillards retraités, beaucoup de "mi?nag&resff (à vrai dire, rares sont -.*elles qui ne pratiquent; pas quelques cultures ou un petit commerce), et de nombreux élèves, vi- vant seuls dans les villes 06 se concentrent les établissements scolaires, Nous ne prendrons ici en compte qu'une seule des activités celle du domaine primaire, agriculture et pGche. Sa présence OU son absence sont un révélateur irréfutable des caractères tfur5ainss7 d'une agglomération, Seules Anaho, Kpalimé et surtout Atakpamé se révèlent aFmL parfaitement citadines, avec respectivement 18,8 %, 18,4 $ et 7,î G d9actifs primaires : Adho a ses pêcheurs, Kpalimé ses planteurs ¿lc cacao ; c'est Atakpamé qui est -de loin- l'agglomération la plus démarquée du monde sural,

Une seconde catégorie

est composée de centres certes urbstiiils, mais encore très engoncés dans le monde rural : Not;& compte 37,7 $ de primaires, Badou 39,9 $, Tabligbo 40,l %, Tsévié 46,9 % : o'est, dit Po Volpogt, une "ville de paysans", I1 est fréquent de considérer qu'au delà de 5O'g . .. dsa,ctifs 3 qucun gros village, avec activités plus diversifigea qti'vn :J~~?.S%Z moyen , :nais un village quand m&ed Nous continuercns ' cepena-ant & 1.' ci7 A clure dans notre échantillon de ltviLlesll, Deux seulement des petits centres ont une faible propox-tim d'actifs rurzux : 24 % seulement Glidji et B Agou Gare, et deux au.-- tres une valeur moyenne : 40 % B Agbodrafo, 42 $ à Assahoun, et encore

61 $ & Anié, Ces bourgs se révèlent donc de petits foyers de commercl-?,

d'artisanat et de service notables B l'échelle locale, Los autres sont & écrasante prépondérance agricole : plus de 80 % d'actifs ruraux 2~ Anfoin, Tohoun, Danyi Apéyi'mé, 92, % Afagnan, et ne sauraient donc prétendre & un quelconque caractère urbain., Le nombre absolu des chefs de menage actifs non-ruraux ~UE donne une mesure pertinente du potentiel bonomique des villes et de leurs rapports de taille :

ATAKPAFE 2 977 TSEVIE 1 179 BADOU 557

KPALIME 2 892

NOTSE 794 TABLIGBO 351

ANEHO I 603 VOGAN 763 AWLANR 157

' Les capacités de production, de transformation et de ci)mc!c~cc d'Amlam6 ne comptent guGre ; celles de Tabligbo et de Badou sont B peine plus notables. Seules les six autres villes disposent d'un vbri- table potentiel urbain, On peut encore mesurer ce que flp&sentt! ces chefs de ménages engagés dans des activités Qconomiques non-rurales par xapport 2 la population totale : ATAKPAME : 4,95 CM/hab, NOTSE : 8,05 TSEVLE : 11,04

ANEHO : 6,89 TABLIGBO : 10,34 VOGAN : 13,05

KPALI~ : 7,02 BADOU : 10,gg AMLAME : 14,96

L'&art est de nouveau bien marqué entre les centres incon- testabLement. urbains, ceux qui se d6gagent médiocsernent des cam?a;-cs et ceux qui n'en émergent pratiquement pas, -8 -

III - LA STRUCTThE DES BNAGEX

Le - nombre moyen d'habitants par-. v&ie du simple au double : de 3,O (A Glidji) à 6,3 (& Anié) . et .. 6.5 '(8'Agou %omegb&:l,

Ce chiffre

est en general élevé .dans Les petits , cengres I. :' this (Afagnan, &myi Api'yQmé et Adéta) , ., comptent .! . . . .. . .de '4 5 ménage, cinq (Anfoin,. Asoahou

5 5,9, deb (Anié, Agou Tomegbé) plus de 6- Les ville's moyennes 011'~

des familles plus restreintos, A l'exoeption de Badou(6,24) er, Tabligbo en comptent encbre $,Il et 5,Or0 Les autres villes sont. en dessous de 5 : Kpalimé 4,95, Tsévié 4,93, An&ho'4,60, Atakpariik i:-,27t 'persomes par . . ... . .:"* I . . &pu G'ard'; Tahoun''ek Akbodrafo) de Vogan Amlamé 4,21, Not& 4,08. Aucune corrélation évidente n'apparalt c!oi?i: en cette taille des familles et le caractère urbain des centres, Le pourcentage, d1 habit seke masculi- (de tous âges) est ggriéralémdnt inyérieur à la moitié, Parmi nos villes, seules Tabligbo (50,g %) et surtout Amlamé (52,l %) comptent plus d'hommeki que de femmes ; parmi les petits centres, c'est le cas d1Ad6ta, Agov. Gare, Assahoun et Danyi Apéyémé. Toutes ces agglomérations (sauf Tabligbo) sont situés dans des zones d'immigration rurale, AtakpamG (4997 %)? Badou (49,j Sis>, Not& (48,g $1, Kpalimé (48,8 %) sont 5 légère prépondérance féminine, ainsi qu'Agbodrafo, Anfoin, Afapan, Celk+ci s'accentue 5 Vogan (46,9 %) et Tsévig (L6?2 "), ainsi qu'A Anié et Agou Tomegbé? et culmine Ansho (44,8 % scuhment), Glidji (44,2 $1 et Tohoun (43,9 %) : on est là dans des régions oÙ l'exode rura3. est fort, et les centres locaux guère capables de capter cette main-d'oeuvre (surtout masculine) qui s'en. va. Le rapport de masculinité des seuls adu est Plus con-. trasté encore o Nous appellerons traduite" toute la populatjon de plns .. -9- de 26 ans (I), c'esf-à-dire potentiellement active (sauf si elle @st i. adulte. a.... 6quilibri.e &vantage une ville. &ou Tomegbé (64) et Anfoin (63), sibne d'une .. igrande,h&mbrragie , de la force de travail principale, et danc d'une a6sence de vitalité urbaine, L'â.efe moyen des chefs de ménage est un excellent révélateur : une ville? dynamique attire les jeunes ; un centre qui perd Ees forces vivbs sera peuplé de vieux, Les écarts sont faibles, mais pourtart significatifs : les chefs de ménage des villes sont dans l'ensemble plus jeunes que ceux des centres ruraux. A l'exception d'dgou Gare (39,5 ans> et de Danyi Apéyémé (41,6), dont on a déjà mentionné les caractères de pôles d'immigration rurale, toutes ces agglomérations ont un Bge moyen supérieur

Tohoun)

, 45 (Adéta), 46 (Glidji celui des villes : 44 ans (Afagnan, Anfoin,

Agbodrafo, Assahoun, Anié),

minant '1,

48,7 Agou Tomegbé. f,

Quatre des neufs villes se tiennent dans une fourchette E.troite, de l,3 année d'écart. Ce sont Hotsé (41,8), Amlami! (421, Tsévi6 et Vogan (43,l chacune). Les plus jeunes sont : Badou (40,4), Kpalimé (39), Atakpamé (36,8), et surtout Tabligbo (34,3) villes dont le pouvoir d'attraction est fort, comme nous le verrons plus loin., A l'inverse, Anèho, déjà caractérisée par l'absence d'hommea, est une ville étonnement vieille : 48,1 ans, preuve sans équivoque de son essoufflement démographique (ce n' est pas pour rien quo, du regensemnt de 7960 à celui de A970, elle n'a progressé que de 10 400 A 41 O00 habitants) -Lu TLa d'termination de lv-3gc, dan6 les recensements africains, est scu- vent entachée d'erreurs, toujours le? mêmes : sous-estimation de l'%ge des adolescents (ainsi avantages pour la s~~la~i-~n), 6y-r- estimation de celui des jeunes filles (mariées très ta$>. Le &te

systgmatique de ces distorsions en annule 'les inwnvénients danc u:ie étude comparative comme celle-ci.

--lo-

IV - US FEMMl3S CHEFS Dl3 NENAGE

Considerer une sous-repr6sentdtion masculike seulement comm'e da caractère négatif de l'urbanisation serait une erreur dans cette zone du Golfe du Bénin : d'Accra Lagos, le poids &conomiquequotesdbs_dbs20.pdfusesText_26
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