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Une formation adossée à un diplôme. Le Diplôme Universitaire « Enseigner en établissement français à l'étranger » propose aux.

Deux fois plus d'étudiants

étrangers en mobilité dans

les universités françaises en 15 ans

Selon l'Organisation de Coopération et de

Développement Économiques (OCDE), la

mobilité étudiante a fortement augmenté ces dernières décennies. La France appa- raît dans les cinq premières destinations des étudiants en mobilité internationale, en accueillant en 2013-2014 8 % des étudiants en mobilité dans un pays de l'OCDE, avec les

États-Unis (31

%), le Royaume-Uni (16 %), l'Allemagne (7 %) et l'Australie (10 %).

Suivant les préconisations de l'OCDE, les

étudiants en mobilité internationale sont

dé?nis comme ceux qui quittent leur pays d'origine pour se rendre dans un autre pays avec l'intention d'y suivre des études. Ils constituent un sous-ensemble des étudiants

étrangers. En effet, certains étudiants

étrangers sont nés ou résident depuis long- temps dans le pays de formation et ne sont pas considérés en mobilité internationale (voir définitions).

Pour des raisons de disponibilité de l'infor-

mation, la présente étude se limite aux

étudiants en mobilité internationale qui

s'inscrivent à l'université ou dans un éta- blissement assimilé. En 2012-2013, cela représentait 82 % des étudiants en mobilité internationale en France 1 . Ces étudiants se

portent en effet beaucoup plus fréquem-ment sur les formations universitaires que l'ensemble des étudiants en France, dont seulement 63 % sont inscrits dans une uni-

versité ou un établissement assimilé. Les parcours de ces étudiants mobiles à l'uni- versité ou dans les établissements assimilés sont d'autant plus intéressants à analyser que leur nombre a doublé entre 1999 et 2014, passant de 86 000 à 189 000 - avec il est vrai une relative stabilité au-dessus de 180 000 depuis la rentrée 2008 (graphique 1).

La réforme LMD

: une réforme issue du processus de Bologne incitant à la mobilité étudiante

Cette hausse s'est inscrite dans la dynamique

amorcée en 1998 (déclaration de la Sorbonne) et 1999 (déclaration de Bologne) avec la mise en place du processus de Bologne dont l'un des principaux objectifs est de faciliter la mobilité des étudiants entre les pays par- ticipants. Suivant les recommandations du processus de Bologne, l'ensemble des univer- sités de France offrent depuis la rentrée 2007 des formations LMD (Licence-Master-Doc- torat). Les anciens cycles ont été remplacés par les nouveaux cursus : le cursus licence, le cursus master et le cursus doctorat. Cette réforme a ainsi permis une harmonisation de la structure des études supérieures en

Enseignement supérieur & Recherche

note d'

Le parcours dans le système

universitaire français des

étudiants étrangers

en mobilité internationale 16.09

DÉCEMBRE

La France est l'une des cinq

principales destinations des

étudiants étrangers en mobilité

internationale. Plus de 80 d'entre eux s'y inscrivent

à l'université ou dans

un établissement assimilé.

Grâce au développement

des programmes d'échanges internationaux, le nombre d'étudiants étrangers inscrits dans une université française a doublé en 15 ans mais il est stable depuis 2008. La présente

étude examine pendant une durée

maximale de huit ans le parcours dans l'enseignement universitaire français d'étudiants étrangers inscrits pour la première fois en 2007. Ils y ont passé en moyenne

2,7 années

: près de la moitié en sont sortis diplômés dont un sur deux au niveau Bac + 5 ou plus.

Ces étudiants étrangers af?chent

en fait des durées d'inscription d'une grande diversité car ils sont nombreux à arriver en France en cours d'études supérieures.

La moitié des inscrits à l'université

française ne restent qu'une seule année et la plupart la quittent sans diplôme. L'autre moitié suit des parcours variés privilégiant les niveaux master et doctorat. 1. Pour une définition de ce concept et des précisions sur sa mise en oeuvre sur l'ensemble du champ de l'enseignement supérieur, voir Liogier (2016).

Europe et une plus grande lisibilité des for-

mations des différents pays européens pour l'ensemble de leurs étudiants. En outre, les enseignements ont été semestrialisés et sont sanctionnés par des crédits reconnus dans les différents pays européens (les ECTS

European Credits Transfer System »). Par ce

déploiement de mesures de rapprochement entre formations supérieures dispensées en Europe, les étudiants européens sont désor- mais facilement en mesure de passer les fron- tières pour faire tout ou partie de leurs études supérieures dans un autre pays d'Europe. De plus, la France participe à un certain nombre de programmes d'échanges internationaux (voir Définitions) avec d'autres pays européens et non européens, qui visent à inciter à la mobilité étudiante. Le plus connu est Erasmus, devenu par la suite Erasmus+.

Ces modi?cations profondes des conditions

d'accueil des étudiants en mobilité internatio-

nale depuis une quinzaine d'années ont eu des conséquences sur le pro?l des étudiants qui viennent en France. Ainsi, alors que la moitié des étudiants en mobilité internationale arri-

vés en 2001 se sont inscrits en 1 re année, ils n'étaient plus que 37,5 % parmi les entrants de 2007 et 33,2 % parmi ceux de 2014. Les

étudiants mobiles sont donc de plus en plus

nombreux à arriver en cours d'études supé- rieures et la part des étudiants qui viennent par un programme d'échanges croît de façon marquée. Ces évolutions se traduisent par une diversi?cation des caractéristiques des parcours des étudiants étrangers dans l'ensei- gnement supérieur français (encadré 1). Cette étude vise précisément à identi?er, à analyser et à caractériser dans leur diversité les choix de parcours des étudiants étrangers à l'université. A?n de disposer d'une profon- deur d'observation suffisante, permettant d'observer aussi bien les parcours longs que les parcours courts, l'étude se concentre

sur le périmètre des étudiants en mobilité internationale inscrits pour la première fois à l'université en 2007 (dits étudiants " mobiles

arrivés en 2007 »).

Près de trois étudiants étrangers

en mobilité entrants sur dix sont ressortissants de l'Union

Européenne

Sur les 178 000 étudiants étrangers en mobi- lité internationale à l'université ou dans un

établissement assimilé recensés en 2007,

35 500 étudiants, soit 20

% d'entre eux, sont inscrits pour la première fois dans l'ensei- gnement supérieur français. Ces étudiants constituent le périmètre de l'étude. Parmi ces

35 500 étudiants "

mobiles arrivés en 2007 », près de trois sur dix sont ressortissants de l'Union Européenne (tableau 1). Ces étudiants sont en majorité inscrits dans un programme d'échange (52 %), comme les étudiants origi- naires d'Amérique du Nord (58 %). Ce pour- centage n'est que de 22 % en moyenne sur l'ensemble des étudiants entrants. Plus de 170 nationalités sont représentées parmi les étudiants mobiles arrivés en 2007.

Pour autant, quelques nationalités sont parti-

culièrement représentées : à elles seules, les nationalités chinoises, marocaines et allemandes rassemblent un quart des étu- diants étrangers en mobilité, et dix natio- nalités regroupent la moitié des étudiants (tableau 2).

Des populations hétérogènes

suivant l'origine

Ces étudiants ont en moyenne 24,2 ans mais

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