ESPERANCE MATHEMATIQUE
Résumé de cours en calcul des probabilités (JJ bellanger). III ESPERANCE MATHEMATIQUE. I.Définition et calcul de l'espérance mathématique d'une VA.
5.2 Espérance mathématique
Dans une expérience aléatoire l'espérance mathématique correspond à la somme des produits des valeurs d'une variable aléatoire par leur probabilité
Espérance variance
https://www.unige.ch/math/mgene/cours/slides8.pdf
Lespérance mathématique dune va- riable aléatoire
L'espérance mathématique d'une va- riable aléatoire. 1 Les variables aléatoires étagées. Définition Soit (?A
Espérance
L'espérance d'une variable aléatoire est lorsqu'elle existe
Espérance dutilité et nouveaux modèles de choix dans le risque
L'exemple montre en effet que la valeur d'une loterie ne dépend pas que de son espérance mathématique ce qui était l'idée prédominante au moment où Bernoulli a
Probabilité et espérance
Si l'on désigne par E l'espérance (mathématique) la linéarité évoquée ici signifie simplement que pour tous év`enements A et B de B et tous réels a et b
Espérance mathématique CST et TS Sylvain Lacroix 2008-2010
Espérance mathématique : Définition : de façon générale l'espérance mathématique correspond à la moyenne des valeurs numériques pondérées avec la probabilité
PROBABILITÉS
Yvan Monka – Académie de Strasbourg – www.maths-et-tiques.fr. PROBABILITÉS L'espérance mathématique de la loi de probabilité de X est :.
Chapitre 7 - Esp rance math matique
Esp rance math matique. 7.0.21 D finition. A- Pour une variable al atoire discr te x de loi de probabilit p(i) on d finit l'esp rance de X
Comment calculer l'espérance mathématique d'une variable aléatoire ?
L' espérance mathématique d'une variable aléatoire est l'équivalent en probabilité de la moyenne d'une série statistique en statistiques. Elle se note E (X) et se lit espérance de X. L'espérance se calcule, comme la variance, à partir des moments d'une variable aléatoire.
Comment calculer l'espérance d'une somme de variables aléatoires ?
L'espérance d'une variable aléatoire X donne la valeur que prend X en moyenne, ou la valeur de X que l'on peut "espérer". On la calcule à partir de la loi de probabilité de X.
Comment calculer l'espérance ?
L'espérance se calcule, comme la variance, à partir des moments d'une variable aléatoire. L'espérance est définie pour les variables aléatoires à valeurs dans R (ou C) de la manière suivante : Si X prend un nombre fini n de valeurs réelles : x1, x2, , xn avec les probabilités p1, p2, , pn alors si la série converge absolument.
III ESPERANCE MATHEMATIQUE
I.Définition et calcul de l"espérance mathématique d"une VA Ô La définition la plus générale de l'espérance d'un VA HËtRX: (donc à valeurs
positives ou nulles) est obtenue en introduisant une suite de partitions n mde H R : [,[[,[...[,[[,0[221221
1ÂååååZ
JH nnn xxxxxxR où n n k kknx2,..,1,0,2ZZ et ÂZ H1k x L'espérance de X est alors définie comme la limite de la somme des valeurs k xpondérées par les probabilités des intervalles [,[ 1Hkk xx auxquels ils appartiennent ,([lim)(12 0 n i in iXn in xxPxXE n HZÂËĂ
Z et on note
H Z RX xxdPXE)()( (Remarquer que 1)([),([ , 12 0ZëZ?
H H ZRXPxxPn
n i in iX n Pour une VA RXËt: pouvant prendre des valeurs négatives aussi bien que positives on introduit la décomposition JHJZJJZXXXXX)0,max()0,max( et on définit )(XE
par JH HZJZ JH RX RXdef xxdPxxdPXEXEXE)()()()()( si )(et )( JH XEXE ne sont passimultanément infinis..Ô De cette définition on peut déduire, cas particulier par cas particulier des formules de
calcul 1Si la fonction de répartition
X Fprésente des sauts (discontinuités) aux points ,Ii ië~(I
dénombrable) d'amplitude IiqXPFF iiiXiXëZZZJ
H ,)()()(~~~ et qu'elle est dérivable ailleurs au sens ordinaire avec des valeurs de dérivée non nulles on a :˜š dxxxFqXE IiRXi Iii iëJë
HZ ~ (1) (où la somme continue se calcule à l"extérieur des points i ~de discontinuité)Si la VA est de loi discrète, on a 1Z
Iiiq et ˜šIiRxxF
iXëJë?Z,0)(
~ si bien que l'espérance devient : i Iiii IiiXPqXE~~~ZZZ
(2)Si la VA X admet une densité de probabilité
X p ( cad si elle est de loi continue) on a0)(ZZ?xXxP(il n'y a pas de saut dans
X F) et XX pxFZ)( . La somme discrète dans (1) devient alors nulle et l'espérance s'écrit : 1Il n"est pas nécessaire de connaître parfaitement la définition générale de l"espérance donnée si dessus pour
appliquer ces formules et calculer des valeurs moyennes 2/9 Résumé de cours en calcul des probabilités (JJ bellanger) dxxxpXE RXZ (3)
Vocabulaire et notation : on dit couramment valeur moyenne pour espérance mathématique et on note )(XEm defX Z.Interprétation : si on réalise n fois la même expérience aléatoire pour obtenir n réalisations
nixX ii ..,1,)(ZZ" et que l'on considère la moyenne arithmétique de ces résultats, n i xn 1 1 cette dernière pour n très grand tendra vers une limite égale à )(XE(on le montre théoriquement sous certaines hypothèses et on peut le 'constater' expérimentalement). II.Espérance d'une VA fonction d'autres VA(formule de transfert)Soit une VA Y définie à partir de N VA
NXX,..,
1 et d'une fonction RRf N 1N XXfYZ). La formule de transfert permet de calculer )(YE sans exhiber préalablement sa loi Y P. Elle s'écrit dans son expression la plus générale 1,..1 1 NXXN R xxdPxxfYE N Z. Les formules de calcul à a utiliser en pratique dépendent de la nature de la loi conjointe des i X.Ô Si la loi conjointe
N XX P 1 admet une densité N XX p 1 (loi de type continu) alors on aura : NNXXN R dxdxxxpxxfYE N N11,..1
Z Ô Si la loi conjointe est discrète, cad si il existe un ensemble dénombrable de points de N R Iixx i Ni iëZ),,..,(
1 ~ tel que ii NNi qxXxXPiZZZ?),..,(: 11 avec 1ZëIii
q alors )(YE se calcule par : 1i Iiii Ni Iii fqxxfqYE~ ZZÔ Le cas plus général d'une loi qui n'est ni de type continu ni de type discret n'est simple à
écrire que pour
1ZN auquel cas on a :
dxxfxFqfYE IiRXi Iii iëJë
HZ (avec les mêmes notations que pour (1)) Pour 1[Ndes termes complémentaires du type intégrale curviligne ou intégrale de surface peuvent intervenir (on ne donne pas ici de formule générale correspondante).III.Propriétés de l'espérance mathématique utiles dans les calculs courants (autres que la
formule de transfert). Ô Positivité : si 1)0(ZÐXP alors 0)(ÐXE Ô Espérance d'une constante K : si cteKKXPZZZ,1)( alors KXEZ)(Ô Linéarité : si, pour N VA
NXX,..,
1 kN k XY Z 1 ‰ alors )()( 1kN k XEYEZ‰
3/9 Résumé de cours en calcul des probabilités (JJ bellanger) Ô Indépendance et factorisation : soient N VA NXX,..,
1 indépendantes dans l'ensemble et soient N VA )(),..,(111NNN
XfYXfYZZ construites à partir de N fonctions
NkRRf k ,..,1,:ZË. L'espérance de la VA Z Z N k k YY 1 est alors Z Z N k k YEYE 1Å Remarque : les N VA
NXX,..,
1étant indépendantes, les N VA
1111NNN
XfYXfYZZ le sont aussi.
Å Corollaire :
NXX,..,
1 indépendantes û ZZ Z N k kN k k XEXE 11Cette propriété reste vraie si
NXX,..,
1 sont N VA à valeurs respectivement dans N ddRR,..,
1 et les k f de la forme 'kk ddRRË
IV.Moments d'une VA, variance d'une VA
1.Définition : on appelle moment d'ordre N d'une VA X l'espérance )(
NXE(si elle existe) .
2.Définition : A une VA X de valeur moyenne
X m on associe la VA notée cX, appelée 'X
centrée' que l'on définit par . Xc mXXJZ On dira également qu'une VA X est centrée si sa valeur moyenne est nulle, auquel cas c XXZ.On a toujours 0)()()(ZJZJZJZ
XXXXc mmmXEmXEXE3.Définition : on appelle moment centré d'ordre N d'une VA X la quantité )(
N cXE(si elle
existe) .4.Propriété (inégalité de Markov) :
nnXEXPn''')()(:00ÀÐÐ?[?
5.Définition : la variance d'une VA X est son moment centré d'ordre 2, )()(
2 cXEXVARZ
6.Propriétés de la variance :
22X mXVARXEHZ
Ô réels , )()(
2 ~~~?ZHXVARXVARÔ Si
NXX,..,
1 indépendantes et ZY NXXHH..
1 alors )(..)()( 1NXVARXVARYVARHHZ
Ô De manière plus générale )()(
,11 jcicji NjiiN iXXEXVAR‰‰‰
Z qui devient )()( 2211 iciN i iN i
XEXVAR‰‰
ZZ si 0)(ZûÖ
jcicXXEji (condition qui sera
réalisée en particulier si les N VA sont indépendantes 2 à 2). Ô Inégalité de Bienaymé Tchebychef (faire cXpar Xremplacer ,1Zn dans Markov) :
2 )()(:0XVARXP
4/9 Résumé de cours en calcul des probabilités (JJ bellanger) V.Fonction caractéristique et calculs de moments V.1.Variables aléatoires à valeurs complexes1.Définition :une VA sur ),,(P't à valeur dans C (corps des complexes) est une application
)()()(:""""iVUXXHZËtë où ),(VU est une paire de VA sur ),,(P't, chacune à valeurs dans R. Remarque : la définition se généralise sans problème au cas de VA Ndimensionnelles à valeur dans N C.2.Loi de probabilité.
La loi de Z correspond à la loi conjointe du couple ),(VU. En notant ivuzHZ on écriera : 2 ),(),,()(RvuvuFzF VUZ ëZ 2 ),(),,()(Rvuvupzp VUZëZ si ),(VU est de loi conjointe continue
Ceci se généralise pour une VA à valeurs dansquotesdbs_dbs5.pdfusesText_9[PDF] espérance mouvement brownien
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