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Charges à repartir sur plusieurs exercices. Ce coût est amorti sur la durée du contrat. 1.4 - SCHEMA COMPTABLE. Les établissements de crédit doivent 



Le crédit à la consommation

et les crédits hypothécaires en cours accordés en Belgique. Le délai de rétractation du contrat d'achat n'est que de 7 jours et non de 14.



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règles applicables à tout contrat de vente ou de prestation de services l'existence d'un droit de rétractation et ses modalités d'exercice notamment :.



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Baccalauréat professionnel Métiers du commerce et de la vente Liste des opérations de transport en cours ... Organisateurs de salons et foires



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Les obligations qui reposent sur le consommateur en cas d'exercice de son droit de rétractation diffèrent selon qu'il s'agisse d'un contrat de vente ou de 



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18 août 2022 Section 5 : Vente ou prestation de services "à la boule de neige" ... Section 6 : Droit de rétractation applicable aux contrats conclus à ...



Rapport sur la protection des consommateurs dans les paiements

26 jui. 2012 paiement utilisant une carte de crédit/débit ou un compte bancaire pour ... l'OCDE sur la vie privée actuellement en cours d'examen.



Les contrats conclus hors établissement

Absence de droit de rétractation. ? … Sauf en cas de souscription d'un crédit affecté. ? Si vous voulez aller plus loin… Des méthodes de vente 



rapport annuel - 2018

12 juil. 2020 vu décerner le prix « Top Performers RSE 2018 » ... Au cours de l'exercice 2018

www.gbp.ma > La Banque de détail > La Banque de Financement et d'Investissement > La Banque de l'International

ÉTATS FINANCIERSENVIRONNEMENT ÉCONOMIQUE

INTERNATIONAL ET NATIONAL

> Monde > Afrique Subsaharienne > Maroc > Présentation groupe > Valeurs d'un modèle bancaire unique > Histoire du groupe en quelques dates > Distinctions > Stratégie du groupe > La gestion des risques > Le contrôle permanent > Le respect de la conformité > Moyens et plateformes mutualisés > Communication Groupe > Capital Humain

Groupe citoyen profondément ancré dans les

territoires, la Banque Populaire se démarque par ses services de proximité et son attachement viscéral à la satisfaction de ses clients. Ces aspects lui permettent de consolider sa dynamique de croissance année après année, comme en témoignent ses indicateurs de performance. En 2018, et malgré une conjoncture économique contraignante à l'échelle nationale et internationale, le Groupe Banque Centrale Populaire a conforté sa position dans le paysage bancaire marocain grâce, notamment, à ses bonnes performances financières et à une meilleure maîtrise des risques. Emblématique de l'évolution positive de l'ensemble des indicateurs, le Produit Net Bancaire valeur ajoutée consolidée du Groupe a dépassé les 17 milliards de dirhams, en hausse de 4%.

Cette croissance est principalement tirée par

les performances commerciales et la bonne progression des activités d'intermédiation, au

Maroc comme à l'international.

Le Résultat Net consolidé poursuit sa progression et s'apprécie de 3,8% à 3,5 milliards de dirhams. Le Résultat Net Part du Groupe, quant à lui, s'élève à

2,9 milliards de dirhams, en progression de 3,5%.

Les fonds propres consolidés se sont

considérablement affermis en enregistrant une croissance de 4,2% à 41,4 milliards ; ce qui permet au Groupe de poursuivre sereinement, et de façon résolue, sa stratégie de développement. La banque au Maroc consolide son leadership et réaffirme son positionnement de leader de la collecte de l'épargne nationale avec plus de 26% de parts de marché. Plus particulièrement, le Groupe a capté près d'un quart de la collecte additionnelle des particuliers et a gagné 58 points de part de marché sur le segment des Marocains du Monde. Notre réseau d'agences a dépassé les 1 440 unités en 2018, conséquence directe d'une politique de proximité continue qui fait partie de nos valeurs inaliénables.

Cela lui a permis de recruter près de 300 000

nouvelles relations - ce qui porte son portefeuille à plus de 6 millions de clients.Grâce à ce fort maillage territorial, à des outils performants de banque multicanal et à des politiques commerciales dynamiques proposant des offres de produits et de services à la pointe de l'innovation, la Banque Populaire consolide, jour après jour, ses engagements aux côtés de ses clients Particuliers, Professionnels et Entreprises.

La Responsabilité sociale et environnementale

figure également au centre de nos préoccupations.

Nos multiples actions dans les domaines de la

culture, de l'éducation, du sport, de la protection de l'environnement, ainsi que nos nombreuses initiatives en faveur de la lutte contre toutes les formes d'exclusion confortent notre statut d'acteur citoyen. En effet, le Groupe Banque Centrale Populaire s'est à l'occasion de la 5ème édition des trophées la Bourse de Casablanca. Suite à cette distinction, la BCP intègre le nouvel indice de référence Environnement, Social et par la Bourse de Casablanca. Nous nous attèlerons dans les années à venir à poursuivre, avec détermination, notre stratégie pour une croissance pérenne, en nous appuyant sur notre modèle de banque coopérative et universelle, sur nos expertises éprouvées et sur les synergies intra-groupe.

C'est un important challenge qui se profile. Mais

nul doute qu'il sera, comme d'habitude, relevé brillamment, grâce à nos 17 500 collaborateurs qui, au quotidien, portent et concrétisent, avec enthousiasme et engagement, nos ambitions communes. Je voudrais mettre à profit cette occasion pour adresser, à chaque collaboratrice et à chaque collaborateur, mes remerciements et encouragements. Mes remerciements vont également à l'endroit des sociétaires des Banques Populaires Régionales pour leur confiance, ainsi qu'aux actionnaires de la Banque Centrale Populaire pour leur soutien indéfectible.

MOT DU PRÉSIDENT

ENVIRONNEMENT ÉCONOMIQUE

INTERNATIONAL ET NATIONAL

En raison d'une accentuation

des tensions commerciales entre les Etats-Unis et la Chine, des incertitudes liées au Brexit et à la dégradation des perspectives de croissance en zone euro et dans certains grands pays émergents, la dynamique de croissance mondiale a perdu une partie de son élan vigoureux observé au cours de l'exercice 2017.

Aux Etats-Unis, la croissance

aura été vigoureuse en 2018, soutenue par les effets de la relance budgétaire et des stimulants fiscaux. Ce qui s'est traduit par un renforcement de l'investissement des entreprises et une amélioration du marché de l'emploi. Néanmoins, le solde commercial continue à se dégrader, impacté en partie par la vigueur du dollar.

Au registre de la politique

monétaire, le resserrement des écarts de production et la montée de l'inflation ont conforté la Réserve fédérale américaine (Fed) dans sa politique de normalisation monétaire.

Au cours de l'exercice 2018,

l'institution monétaire américaine a opéré quatre relèvements de ses taux directeurs, les ramenant en décembre 2018 à 2,50%. Pour la zone euro, l'activité aura été moins dynamique que prévu sur fond, particulièrement, de tassement de la production et des exportations, et ce, en dépit du maintien d'une politique monétaire accommodante. Elle aura également souffert de l'augmentation de la volatilité des marchés des produits de base et de la succession de chocs politiques et sociaux dans certains pays membres, notamment autour du budget en Italie et des manifestations en France.

S'agissant des pays émergents

& en développement, l'activité

économique aura été confrontée

à des vents contraires, en lien

avec les soubresauts liés aux tensions commerciales, aux conditions financières qui se durcissent pour s'ajuster aux relèvements progressifs des taux d'intérêt par la Fed et à l'exacerbation des tensions géopolitiques. En Chine, la croissance est en perte de vitesse au cours de l'année 2018, dans un contexte marqué notamment par l'imposition par les Etats-

Unis de nouveaux droits de

douane sur les importations chinoises. Pour d'autres pays

émergents, la forte dépréciation

de la livre turque a sensiblement pesé sur l'investissement et la consommation en Turquie, tandis qu'un affaiblissement de l'activité aura été aperçu dans plusieurs grands pays d'Amérique latine, notamment en Argentine, au

Brésil et au Mexique.

Dans la région du Moyen-

Orient, plusieurs pays ont été

confrontés aux répercussions des troubles géopolitiques, avec la détérioration de l'activité

économique en Iran, à la suite

de la réimposition des sanctions américaines sur le brut iranien. Ailleurs, dans le sillage du redressement des cours pétroliers pendant une bonne partie de l'année 2018, une reprise de l'activité économique aura été constatée dans plusieurs pays exportateurs de la région, notamment en Arabie saoudite.

Pour ce qui est du volume du

commerce mondial (biens & services), son rythme de croissance aura été timide en

2018, en lien avec l'exacerbation

des tensions commerciales et l'imposition de barrières douanières réciproques, notamment entre les Etats-Unis et la Chine.

S'agissant enfin des cours

pétroliers, ils ont emprunté une tendance haussière jusqu'à mi-octobre 2018, sur fond de montée des tensions géopolitiques autour de l'Iran,

3e producteur mondial de brut

au sein de l'Opep, de maintien par les pays de l'OPEP, et leurs partenaires, de l'accord de limitation de leur production et des perspectives soutenues de croissance de la demande mondiale. A partir de mi-octobre

2018, la tendance s'est

sensiblement inversée dans le sillage des perspectives de ralentissement de la croissance

économique mondiale,

de montée des tensions commerciales entre Washington et Pékin, d'une offre abondante, avec le renforcement de la production du brut américain, des exemptions octroyées à plusieurs pays pour continuer

à acheter du brut iranien et

des interventions multiples de l'administration américaine en vue de limiter la hausse des prix. MONDE : Une croissance mondiale qui s'est stabilisée en 2018

Croissance économique annuelle

2018p
6,2 5,1 -0,7 2

2,35,1

4,45,3

4,3 4,65 3,4 -0,4 0,9 2,4 2,9

2,24,6

5,1 1,4

2,94,7

2,2

2,44,4

1,5 2,9

1,81,82,6

1,81,5

2011201220132014201520162017

Zone EuroEtats-UnisEmerg & en dév Afrique subsaharienne Source : FMI, Bloomberg et Direction Analyses & Recherches de la Banque des Marchés des Capitaux Source : FMI, Bloomberg et Direction Analyses & Recherches de la Banque des Marchés des Capitaux Evolution du cours du pétrole en moyenne annuelle (USD/baril)

61,579,4

54,3

43,5111,2

111,7108,6

99
52,4
68,8

2017201820092010201120122013201420152016

Au terme de l'année 2018,

l'activité économique en Afrique subsaharienne a poursuivi son raffermissement, tirant profit d'un environnement économique mondial assez favorable, de l'appréciation des prix des produits de base, de l'impact positif des ajustements opérés pour l'amélioration des grands

équilibres macro-économiques

et des conditions de financement extérieur assez accommodantes.

Derrière ce panorama

d'ensemble se cache une grande disparité entre pays.

La dynamique de croissance

aura été plus perceptible au sein des pays exportateurs de pétrole, principalement le

Nigeria, tandis qu'en Afrique

du Sud, l'activité a été freinée par le manque d'espace budgétaire et la faiblesse des bilans des entreprises publiques.

Globalement, l'activité dans les

pays exportateurs de produits pétroliers a été globalement meilleure, avec une croissance agrégée estimée à 1,6% en

2018 (Vs. 0,2% seulement en

2017), contre un ralentissement

de la croissance dans les pays importateurs de produits pétroliers se situant autour de

4 % en 2018 (vs. 4,4% en 2017).

Par sous-région, le taux de

croissance en zone UEMOA (Union économique et monétaire ouest-africaine) se serait légèrement décélérée à 6,4% (vs.

6,6% en 2017), avec des taux

variant entre 7,4% pour la Côte d'Ivoire, 7% pour le Sénégal,

5,3% pour le Niger, 5,1% pour le

Mali et 4,7% pour le Togo. Dans la zone CEMAC (Communauté

économique & monétaire des

Etats de l'Afrique Centrale), le

PIB s'est bonifié, affichant une

hausse de 1,7% (Vs. 0,3% en

2017), en dépit de l'accentuation

de la récession économique en Guinée équatoriale, qui a enregistré une chute de 7,7% de son PIB (vs. -3,2% en 2017).

S'agissant des transactions

courantes, elles ont été boostées par les entrées de capitaux et les

émissions d'euro-bonds qui ont

atteint des niveaux record en

2018. Néanmoins, la plupart des

pays de la région Afrique subsaharienne n'ont pas su mettre à profit le contexte favorable pour reconstituer leurs réserves de change à des niveaux adéquats.

Evolution du solde courant ( en% du PIB )

-1,7-7,5-2,8 -5,1 -13,7 -5,3-3,9-2,3 -12,2 -5,7-6,1 -6,6 -3,9 -3,9 -1,5 -2,4 -5,8 -1,8 -2-0,83,4

0,5-5-7

20112012201320142015201620172018e

UEMOACEMACAfrique subsaharienne

Dans le sillage d'un contexte économique

mondial moins favorable, notamment en zone euro qui est le principal partenaire

économique du Maroc, couplé à une

décélération des activités agricoles, l'économie nationale aurait clôturé l'exercice

2018 sur un ralentissement. Au regard

des indicateurs économiques récents, le

PIB s'achemine vers un taux de croissance

autour de +3% pour l'année 2018 (vs. 4,1% en 2017) incluant un léger redressement de

2,9% du rythme d'évolution des activités non

agricoles (vs. 2,8% un an auparavant) et une progression de 3,8% de la valeur ajoutée des activités primaires (vs. 13,2% en 2017).

Sur ce dernier point, il convient de mettre en

exergue la moindre volatilité de la trajectoire empruntée par la valeur ajoutée agricole, et ce, en relation avec l'impact positif du Plan Maroc Vert qui a été lancé en 2008. S'agissant des activités non agricoles, elles continuent d'être impactées par l'atonie de la demande extérieure adressée à l'économie marocaine et par des dépenses de consommation interne profitant principalement aux produits importés.

MAROC : Des fondamentaux économiques solidesAFRIQUE SUBSAHARIENNE : Une dynamique de croissance renforcée en 2018

Croissance du PIB en Afrique subsaharienne

Afrique subsaharienneUEMOACEMAC

20112012201320142015201620172018e

5,1

4,45,3

5,1 3,4

1,42,92,9

1,7 0,3 -0,31,9 4,7

2,75,9

4,4 1,3 -1,01,03,05,07,09,0 6,3quotesdbs_dbs42.pdfusesText_42
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