[PDF] Vérification graphique dune loi





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Comment faire un graphique avec Excel. Les bases.

Nombreux sont les laboratoires où les graphiques sont utilisés. Il est donc utile de directement proportionnelle plus la relation est forte.



Vérification graphique dune loi

Dans le cas particulier où B = 0 la droite passe par l'origine et on est en présence d'une fonction linéaire



Nom : Mini-test www.sylvainlacroix.ca 1. Remplir la table des

Quel graphique représente une proportionnelle au carré? a) b) c) d). 4. À quel type de variation appartiennent les relations suivantes : a. c = 3h - 3 



Tutoriel – Travailler avec des données graphiques

que les valeurs en y sont proportionnelles aux valeurs en il est plus facile d'évaluer la déviation entre les données et la courbe du modèle. Les paramètres 



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c. Le prix à payer est-il proportionnel au nombre de livres empruntés ? Pourquoi ? Fiche E3 3 Voici un graphique représentant la masse de l'essence.



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proportionnelle à la longueur du pendule . Dans un tel cas on peut déterminer l'accélération gravitationnelle en utilisant. ?



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La proportionnalité inverse

Les grandeurs inversement proportionnelles ont la forme y= k x . Compléter le tableau et tracer le graphique correspondant : On a 50 kg de pommes de terre à 





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CHAPITRE 1 – Proportionnalité - DeepCoaching62

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Exercices dirigés 1) Proportionnalité et représentation

Proportionnalité et représentation graphique (OGF4) Exercice 1 (exercice 19 page 140 du livre Myriade 4ème) Exercice 2 On ouvre un robinet et on laisse couler l’eau On a représenté sur le graphique ci-dessous la quantité d’eau écoulée en fonction de la durée 1) La quantité d’eau écoulée est-elle proportionnelle à la durée ?



Chapitre 6 Rapports et proportions

– le salaire est proportionnel au temps de travail ou encore: – le salaire et le travail sont des grandeurs proportionnelles Deux suites de nombres sont (directement) proportionnelles si le rapport d’un nombre de la seconde suite au nombre correspondant de la première suite est toujours le même



Chapitre 11 Proportionnalité - ac-versaillesfr

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  • Introduction Aux Tableaux et Graphiques en Proportionnalité

    Que peut-on dire des quotients suivants ? Ces quotients sont tous égaux, ils expriment la même proportion. Les suites de nombres ( 2 ; 3 ; 4 ; 5 ; 6 ; 7 ; 8 ; … ) et ( 5 ; 7,5 ; 10 ; 12,5 ; 15 ; 17,5 ; 20 ; … ) sont liées par les relations suivantes : Ces deux suites de nombres sont proportionnelles, il existe un nombre : 0,4 appelé coefficient de ...

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Quelle est la différence entre un graphique et une situation de proportionnalité?

Le graphique d’une situation de proportionnalité est une droite qui passe par l’origine du repère. Inversement, si un graphique représente des points alignés avec l’origine, alors il représente une situation proportionnalité.

Quelle est la représentation graphique d'un tableau de proportionnalité?

• La représentation graphique d’un tableau de proportionnalité est une droite passant par l’origine. Tt Exemple 0 1 2 3 4 0 0 0 0 Nombre d'articles Prix (en Dhs)

Comment calculer la proportionnalité d'un tableau de proportionnalité ?

Dans un tableau de proportionnalité, on peut additionner les valeurs de deux colonnes pour obtenir celles d'une troisième colonne. Ainsi, en constatant que 5 = 2 + 3, on en déduit que la valeur de la deuxième ligne de la troisième colonne est la somme de 7 et de 10,7 soit 17,5.

Comment calculer la proportionnalité d'une grandeur?

Deux grandeurs sont proportionnelles si en multipliant par un même nombre les valeurs prises par la première grandeur ; on obtient les valeurs correspendantes prises par la deuxième. REMARQUE Dans un tableau de proportionnalité, les « produit en croix »sont égaux.

Mise à jour du 13 mars 2013 Annexe L1 Vérification graphique d'une loi L1-1

Annexe L1

Vérification graphique d"une loi

Après l'étude de cette annexe, le lecteur pourra déterminer si des données empiriques

sont adéquatement décrites par une loi théorique déjà connue en transformant l"équation de la loi pour obtenir une fonction de la forme Y=MX+B et en vérifiant

que le graphique Y(X) tracé à partir des donnés expérimentales correspond bien à une droite.

A P E R Ç U

Une manière possible de déterminer si les données empi-riques obtenues lors d'une expérience obéissent à une loi

théorique déjà connue (ou partiellement connue) consiste à transformer l"équation de la loi pour obtenir une fonction affine de la forme

Y MX B

et à construire un graphique Y(X ) à partir des données empiriques. Si on peut tracer sur le graphique une droite

qui passe suffisamment près des points expérimentaux, on peut conclure que les données sont conformes à la loi théo-

rique : la pente de la droite correspond à M et l'ordonnée à l"origine correspond à B. La méthode à utiliser pour transformer l"équation d"une loi théorique en fonction affine dépend de la forme de la loi. Bien sûr, si la loi est déjà de la forme Y MX B, il n'y a rien à faire. Si la loi théorique est une fonction de puissance de la forme n yCx et que la valeur de l"exposant n est connue, on peut poser

Y y et

n

Xx, ce qui donne

Y CX Si les données sont conformes à la loi théorique, le graphique Y(X) devrait donner une droite de pente C passant par l"origine. Dans le cas d"une fonction de puissance à deux variables avec exposants connus, de la forme np yCx z on peut poser Y y et np

Xxz: le graphique Y(X )

devrait alors donner une droite de pente C passant par l"origine.

E X P O S É

Lorsque on recueille au laboratoire des données empiriques (c'est-à-dire, obtenues lors d'une expérience), on désire souvent vérifier qu'elles sont conformes à une loi

théorique déjà connue. La loi théorique est parfois issue d'une hypothèse : on n'est pas

certains que la loi s'applique dans l'expérience, et le but de l'expérience est de déterminer si c'est le cas. Supposons que l'on a effectué une expérience plusieurs fois, en modifiant la valeur des paramètres pour les différents essais. Pour vérifier que les données sont conformes à la loi théorique, on pourrait, pour chaque essai, remplacer les données dans la loi et vérifier que la concordance est " suffisamment bonne ». Certains essais concorderaient davantage, d'autres moins, et on pourrait essayer de tirer des conclusions à partir de l'ensemble des concordances. L1-2 Annexe du cahier de laboratoire Vérification graphique d'une loi Mais il est préférable de procéder de manière plus globale et systématique en construisant un graphique à partir des données et en comparant la forme du graphique avec ce que prévoit la loi théorique. Lorsque le graphique qui représente la loi théorique est une droite, la comparaison est particulièrement facile, car il est

relativement aisé de déterminer " à l'oeil » si des points expérimentaux sont alignés.

Lorsque le graphique qui représente la loi théorique n'est pas une droite, la comparaison peut être plus difficile. Toutefois, dans bien des cas, on peut effectuer une transformation de variables qui fait en sorte que la loi théorique soit représentée par une droite sur le graphique, ce qui rend aisé la comparaison entre la loi et les données expérimentales. Nous allons donner des exemples de cette approche plus loin dans cette annexe. Considérons un graphique Y(X), c'est-à-dire un graphique de Y, sur l'axe vertical, en fonction de X, sur l'axe horizontal. (Nous avons choisi X et Y majuscules, car ces variables ne sont rarement utilisées dans les lois physiques que nous allons rencontrer.) Pour qu'une équation soit représentée par une droite sur le graphique, il doit s'agir d'une fonction affine, c'est-à-dire dont l'équation est de la forme

Y MX B

Sur le graphique, M correspond à la pente et B à l'ordonnée à l'origine (schéma ci-contre). Dans le cas particulier où B 0, la droite passe par l'origine et on est en présence d'une fonction linéaire, Y MX : Y est alors directement proportionnel à X. X Y pente M B Nous allons commencer par analyser une situation où la loi théorique que l"on désire vérifier est déjà sous une forme affine. Dans ce cas, on peut directement placer les données sur un graphique afin de déterminer si les points expérimentaux sont alignés. Situation 1 : L'effet de la masse accrochée sur la longueur d'un ressort. On suspend un ressort au plafond, on y accroche des blocs de différentes masses m, et on mesure sa longueur L (la distance entre le plafond et le crochet auquel la masse est fixée). Les données obtenues sont consignées dans le tableau ci-contre. On désire déterminer si elles sont conformes à la loi théorique 0 mgLLk où L 0 est la longueur naturelle du ressort, k est la cons- tante de rappel du ressort (une mesure de sa rigidité) et g est le module du champ gravitationnel.

La longueur L d'un ressort

en fonction de la masse m accrochée m (kg) L (m)

0,5 1,63

1,0 1,85

2,0 2,24

3,0 2,72

5,0 3,63

7,0 4,38

La loi théorique que l"on veut vérifier est déjà de la forme Y MX B avec

Y L, X m,

g

Mk et B L

0

Mise à jour du 13 mars 2013 Annexe L1 Vérification graphique d'une loi L1-3

Si les données sont conformes à la loi, le graphique de L en fonction de m devrait donner une droite dont la pente correspond à g/k et l'ordonnée à l'origine correspond à L 0 . Pour obtenir le graphique avec le logiciel Excel, on commence par y entrer le tableau de données, puis on le sélectionne. Dans le menu Insertion, on demande un graphique de type Nuage de points avec marqueurs uniquement : une fois le graphique créé, il est pratique de choisir la Mise en forme 9 dans le menu Disposition du graphique pour faire apparaitre automatiquement des zones de texte pour le titre du graphique et les titres des axes, ainsi que la courbe de tendance et son équation. Après avoir changé les variables x et y dans l'équation affichée pour qu'elles soient conformes aux véritables variables du graphique (L et m), et après quelques petits ajustements cosmétiques, on obtient le graphique ci-dessous.

Pour pouvoir déterminer " à l"œil »

si les points expérimentaux sont alignés, il est important d'ajuster le cadre du graphique pour que la hauteur de la zone quadrillée soit à peu près égale à sa largeur : en effet, lorsque le gra- phique est trop " écrasé » ou trop " maigre », la concordance entre les données et la courbe de tendance parait souvent meilleure qu'elle ne l'est réellement !

Ici, la concordance entre les points

expérimentaux et la courbe de tendance est excellente, ce qui est confirmé par le fait que le coef- ficient R 2 qui est très près de 1. En arrondissant les valeurs numériques données par Excel à 3 chiffres significatifs, on conclure que la longueur du ressort est donnée par 0 mgLLk avec L 0

1,42 m

et g/k 0,429 m/kg (Vérifiez que les unités de L 0 et g/k font en sorte que l'équation soit cohérente du point de vue des unités.) Comme g 9,8 N/kg (on suppose que l'expérience a lieu près de la surface de la Terre !), on peut conclure que la constante de rappel du ressort est k

ȋ9,8 N/kgȌ / ȋ0,429 m/kgȌ 22,8 N/m

Nous allons maintenant examiner des situations plus complexes pour lesquelles il faut appliquer une transformation de variables à la loi théorique et aux données expéri- mentales pour obtenir un graphique qui donne une droite.

L=0,4292m+1,4183

R²=0,9987

0 12345

02468L(m)

m(kg)LalongueurLd'unressort enfonctiondelamassemaccrochée L1-4 Annexe du cahier de laboratoire Vérification graphique d'une loi Situation 2 : L'effet de la hauteur de chute sur le temps de chute d"une bille. Afin de déterminer la relation qui existe entre la hauteur de chute d"une bille et la durée de la chute, on lâche une bille à différentes hauteurs H par rapport au sol (vitesse initiale nulle), on filme sa chute et on analyse le film afin de déterminer la durée T de la chute. Les données obtenues sont consignées dans le tableau ci-contre. On désire déter- miner si elles sont conformes à la loi théorique obte- nue à partir des équations de la cinématique à accélération constante : 2HT g

La durée de chute T d'une bille lâchée

à partir du repos pour différentes

valeurs de la hauteur de chute H

H (m) T (s)

0,20 0,2

0,80 0,4

1,20 0,5

3,30 0,8

7,50 1,3

On peut transformer la loi théorique

1/2

22HTHgg

en une fonction affine de la forme Y MX B en posant Y T, 1/2 XH, 2M g et B 0 Si les données sont conformes à la loi, le graphique de T en fonction de 1/2

H devrait

donner une droite qui passe par l'origine (car B 0) et dont la pente correspond à 2./g

Dans le

tableau ci-contre, on a remplacé la colonne H du tableau de données d'origine par une colonne qui indique 1/2

H (remarquez

les unités : comme H est en mètres, 1/2

H est en mètres exposant

1/2). On peut maintenant utiliser Excel pour tracer le

graphique, exactement comme on l'a fait dans la situation 1 : on obtient le graphique ci-dessous.

1/2 1/2

(m )H T (s)

0,447 0,2

0,894 0,4

1,095 0,5

1,817 0,8

2,739 1,3

Comme le coefficient R

2 est très près de 1, on peut conclure que le temps de chute est donné par T

ȋ0,476

1/2 s/mȌ 1/2 H

Remarquez que les unités de la

constante font en sorte que l'équa- tion est cohérente du point de vue des unités.

En théorie, la constante vaut

2 22

9,8 m/s

g 0,451 1/2 s/m

T=0,4758H

1/2

Ͳ0,0253

R²=0,997

0 0,2

0,40,60,811,21,4

0123T(s)

H 1/2 (m 1/2 )TempsdechuteTenfonctiondela racinecarréedelahateurHdechute

Mise à jour du 13 mars 2013 Annexe L1 Vérification graphique d'une loi L1-5

L'écart en la constante expérimentale et la constante théorique est

0,476 0,451100% 5,5%0,451

ce qui est très satisfaisant, compte tenu que les temps de chute expérimentaux étaient mesurés avec un seul chiffre significatif ! Dans la situation que nous venons d'analyser, on sait que la droite devrait passer théoriquement par l'origine ( B 0) : en effet, pour une distance de chute H 0, il est clair que le temps de chute doit être

T 0 ! Ainsi, on aurait pu forcer la courbe de

tendance à passer par l'origine (en faisant un clic droit sur la courbe de tendance pour afficher le Format de la courbe de tendance et en cochant la case Définir l'interception = 0,0 ). Si on fait cela, l'équation de la courbe de tendance affichée par Excel devient

T 0,4662

1/2 H, ce qui encore plus près de la valeur théorique de la constante. Nous allons maintenant analyser une situation où la loi théorique dépend de deux variables. Situation 3 : Une astronaute et son pendule. Une astronaute accroche une roche au bout d"une corde afin de former un pendule. Elle veut déterminer comment la période T du pendule (le temps requis pour faire un aller-retour) est affectée par la longueur L de la corde et par le module g de l'accélération de chute libre sur la planète où elle se trouve. Premièrement, elle fait 5 essais sur Terre (g 9,8 m/s 2 ) en faisant varier la longueur de la corde. Puis elle garde la longueur constante (L 0,8 m) et elle fait des essais à la surface de cinq planètes pour avoir différentes accélérations de chute libre. Ses résultats sont consignés dans le tableau ci-contre. On suppose que la période est donnée par la loi de puissance TCL/g et on désire déterminer la valeur de la constante C. L (m) g (m/s 2 T (s)

0,1 9,8 0,65

0,2 9,8 0,90

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