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La conservation

une plante ou enfermer ses graines dans des sachets. C'est aussi : - parfaitement contrôler tous les paramètres du stockage afin.



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La conservation

O€ les plantes sont-elles maintenues apr•s la collecte, quels traitements subissent-elles et qui se charge de ces op'rations ? sein duquel les m'thodes mises en oeuvre sont vari'es et en pleine 'volution. A travers les collections de vari't's locales, c'est en r'alit' un ensemble de g•nes aussi bien qu'un patrimoine ethnobotani- et compl'mentaires : ressources g'n'tiques, patrimoine culturel et biologique, vari't's valoris'es par les amateurs. Le but des actions de conservation est de maintenir ce mat'riel, mais il est 'galement et surtout de pouvoir r'pondre aux attentes, pr'sentes et futures, des utilisateurs de ressources phytog'n'tiques : g'n'ticiens, s'lectionneurs, botanistes, eth- nobotanistes, amateurs, associations diverses, etc. En fonction diff'rentes, qui pourront "tre : - des vari't's ou des populations dont la structure g'n'tique r'sulte de combinaisons de g•nes dues au hasard ou influenc'es par l'homme, - des combinaisons de g•nes particuli•res, ou associations de caract•res, - des g•nes isol's, fragments d'information g'n'tique connus. On peut s'interroger sur l'opportunit' de garder soit des ... produits 'labor's †, soit de la ... mati•re premi•re †. Pour l'heure, il semble sage de conserver des populations en tant que telles, sous forme de cultivars locaux, de vari't's performantes d'obtenteurs, ou m"me de populations sauvages apparent'es aux plantes cultiv'es. Qu'il s'agisse de populations dont on ignore ... l'histoire † (notamment les 'changes de pollen, donc de g•nes, avec d'autres plantes), ou de vari't's issues de sch'mas de s'lection connus, on ne sait pas reproduire artifi- ciellement avec exactitude le code g'n'tique d'un individu, quoique les recherches progressent vite dans ce domaine. En effet, les combinaisons de g•nes r'sultent toujours, m"me pourquoi, m"me en imitant point par point le processus de produit final identique : les ressemblances seront de l'ordre de 126
Le verger conservatoire de pommiers et de poiriers € boisson du Parc naturel r•gional Normandie-

Maine, € Carrouges, Orne, 1985.

Le conservatoire de pommes de terre de Molines en

Champsaur, Hautes-Alpes, 1 100 m'tres d'altitude.

Parc national des Ecrins, 1985.

La greffe est

actuellement le moyenle plus efficace pour conserver les différentesespèces fruitières enconservatoires.

Données agronomiques : les observations prélimi-naires peuvent être faites sur le lieu de collecte;elles seront approfondies par la suite. Fleur depomme de terre " Rouge des Rousses », Hautes-Alpes, 1985.

celles qui peuvent exister entre les individus d'une m"me famille chez l'homme. On comprend mieux alors ce que repr'sente un tel r'servoir de g•nes. Les m'thodes de conservation de ce patrimoine sont varia- bles, tant du point de vue de la strat'gie g'n'rale que des techniques adopt'es. Elles doivent "tre appropri'es aux sp'cifi- cit's des diff'rents types de v'g'taux. Doit-on les maintenir dans leur aire de culture ou dans des centres sp'cialis's ? Sous quelle forme : plantes enti•res, semences, tissus, pollens ? Le mat'riel vivant a une dur'e de vie limit'e : semences, organes v'g'tatifs isol's ou plantes enti•res ne peuvent "tre une plante ou enfermer ses graines dans des sachets. C'est aussi : - parfaitement contrˆler tous les param•tres du stockage afin d'assurer les meilleures conditions possibles, - ma‰triser les techniques de culture des diff'rentes esp•ces, pour les r'g'n'rer r'guli•rement. Tout cela n'cessite une infrastructure importante et une organisation qui ne souffrent pas la n'gligence.

Agriculteurs ou r'frig'rateurs : les

strat'gies de base Contrairement aux vari't's commerciales qui doivent r'pon- les vari't's de pays forment des populations g'n'tiquement h't'rog•nes. Elles ont 'volu' dans leur milieu et se sont adapt'es sous les effets multiples des pressions de s'lection humaines et naturelles. Le choix d'une strat'gie de conservation doit donc "tre raisonn' en fonction de cet 'quilibre instable. Deux solutions sont envisageables : - maintenir les plantes dans leur agrosyst•me traditionnel, avec lequel elles continueront de co-'voluer, - les conserver hors de cet agrosyst•me, en d'ployant les techniques n'cessaires pour limiter tout changement dans leur structure g'n'tique.

In situ

La premi•re m'thode, appel'e conservation in situ, est sans oeuvre. Tout simplement parce que les cultivars traditionnels 129
n'ont plus leur place dans les exploitations modernes. Pr'server des syst•mes agraires dans leur ensemble semble relever de l'utopie dans l''tat actuel des choses. La question pr'occupe en effet peu de gens, et il est urgent que les politiciens et les 'lus locaux de toutes nos r'gions deviennent sensibles au probl•me. plantes dans leur aire de culture suppose que l'on continue de les entretenir; cette lapalissade fait poser une question capitale : par qui et par quels moyens ? Il faut absolument entreprendre des recherches dans ce domaine afin de trouver une solution de compromis. Dans notre pays, les parcs nationaux et r'gionaux ont mis en place des op'rations allant dans ce sens. Par exemple, les parcs Normandie-Maine, Ecrins, Nord-Pas-de-Calais, Landes de Gas- cogne, Lorraine, Vosges du Nord, Brotonne, C'vennes et Vanoise ont implant' des conservatoires qui regroupent les esp•ces et vari't's fruiti•res de leurs zones respectives. Ils en assurent le suivi et l'entretien. En Normandie-Maine, quelques vergers ont 't' plant's chez des agriculteurs qui les exploitent pour produire cidre et poir'. Des protocoles de maintien ont 't' 'tablis, offrant une certaine forme de garantie pour les deux parties. La dur'e de vie relativement longue des fruitiers assure tout au moins tant que la ma‰trise du foncier reste acquise52. Perp'tuer la culture des annuelles et des bisannuelles est un tout autre probl•me. Fa‡ons culturales, traitements, r'colte doivent "tre assur's d'une mani•re beaucoup plus suivie. Par ailleurs, des pr'cautions d'isolement sont n'cessaires pour les plantes allogames : elles risquent en effet de perdre leurs caract•res propres si elles sont pollu'es par des apports de pollen ext'rieur (cas de plusieurs cultivars diff'rents maintenus suppose donc un suivi attentif des parcelles de conservation. Depuis 1984, le parc national des Ecrins, en relation avec un groupement de d'veloppement agricole de l'Oisans (Is•re), a locales. Les engagements r'ciproques sont stipul's dans un protocole de conservation sign' par les deux parties (des mod•les de convention sont donn's en annexe). Cette formule est int'ressante pour le maintien des vari't's en milieu appropri'. Toutefois, elle reste tr•s fragile. Les bact'rien, qui se propage d'ouest en est. 130
La participation des agriculteurs au maintien des vari•t•s de pays dans leur zone d'origine : micro-parcelles de multiplication de cultivars locaux d'orge et d'avoine en Is're, au P•rier. Les cultures sont entretenues par les agriculteurs propri•taires des parcelles o† sont implant•es les unit•s de conservation.

La coordination de ce r•seau •clat• de conservation in situest assur•e par le Parc national des Ecrins.

vari't's, soit des jeunes qui s'installent. Parmi ceux-ci, nous trouvons deux tendances : - d'une part, ceux qui, n'obtenant pas de r'sultats satisfai- sants avec les vari't's du commerce en milieu contraignant, font appel aux vari't's du pays, - d'autre part ceux qui veulent d'velopper une agriculture biologique sur de petites exploitations avec, de pr'f'rence, des vari't's locales. Il est n'cessaire d''largir la participation des agriculteurs. La FNSEA (F'd'ration nationale des syndicats d'exploitants agri- coles) manifeste actuellement son int'r"t pour une collabora- la France, peuvent apporter une pr'cieuse contribution. Toutes les initiatives dans ce domaine doivent "tre encourag'es et f'd'r'es.

Ex situ

La conservation ex situ est beaucoup plus largement d'velop- p'e. On parle habituellement de ... banques de g•nes †. Ce terme est utilis' pour d'signer les grands centres de conservation. Il 131
Les banques de g'nes informatis•es sont diversement appr•ci•es : indispensables et strat•giques pour les uns, elles sont peu fiables et trop " centralisatrices ... pour d'autres. Quoiqu'il en soit, ce sont des •l•ments importants dans le cadre d'une politique mondiale de gestion des ressources phylog•n•tiques. est toutefois assez ambigu. En effet, si un utilisateur, prenons parasite, mais la vari't' ou population ... X †, porteuse de ce fameux g•ne. A lui ensuite de jouer pour introduire le g•ne recherch', par croisement ou par manipulation g'n'tique, dans son propre mat'riel53 Actuellement, les grandes banques dites ... de g•nes † sont plutˆt, dans l'ensemble, des banques de semences ou des collections vivantes. Mais les recherches avancent vite et l'on banques de g•nes, au sens propre du terme. Ce type de maintien a pour cadre les centres internationaux, nationaux (conservatoires botaniques en France), les jardins botaniques, les arboretum54, certains instituts de recherche agronomique publics et priv's, les 'tablissements d'enseigne- qui n'est gu•re sortie des laboratoires de recherche de pointe. De plus, il se pratique sur un mat'riel tr•s particulier et limit'. Compte-tenu des progr•s probables de la demande † par des assemblages artificiels de g•nes. Cependant, dans la mesure o€ il s'agit plus de ... combinaisons de g•nes † que de g•nes particuliers, cela restera longtemps improbable.

54.Il faut ici signaler les risques non n'gligeables qui menacent les jardins

botaniques et les arboretums, publics et priv's. Leur disparition serait extr"mement regrettable. 132
ment agricole, etc.; en r'sum', tous les endroits o€ sont regroup'es des collections v'g'tales. Ces organismes ont des missions tr•s diverses. Ils poss•dent des collections de nature et d'importance diff'rentes, que l'on a l'habitude de classer en plusieurs cat'gories : techniques sp'cifiques comme la cong'lation ou la lyophilisa- tion des semences, la conservation de grains de pollen permet de maintenir les plantes en condition de vie latente. Plus possibilit's int'ressantes. En 1984, 33 centres sont d'positaires, au niveau mondial ou r'gional, des collections de base des plantes alimentaires majeures (les ... r'gions † d'limit'es par le Conseil international des ressources phytog'n'tiques peuvent recouvrir plusieurs pays entiers). Parmi les plus importants, citons par exemple les centres internationaux de conservation g'n'tique comme le CIMMYT pour le ma's et le bl' (plus de 15 000 populations de ma's en chambre froide), situ' au Mexique, l'IRRI pour le riz aux Philippines (70 000 entr'es conserv'es) ou le CIP pour la pomme de terre au P'rou55 Le CIRP continue d'encourager et de soutenir la cr'ation de nouveaux centres, l'objectif 'tant d'en 'quiper au moins 300 s'curit' le maintien des collections de base et des collections actives. Pour pr'venir toute perte de mat'riel qui pourrait "tre occasionn'e par des d'faillances techniques ou autres dans un de ces centres, les collections importantes sont dupliqu'es en trois exemplaires : ce sont des collections de sauvegarde. - Les collections actives ont pour objectif la conservation national. Les graines, lorsqu'elles sont conserv'es au froid, ne res basses positives. Les esp•ces p'rennes comme les fruitiers sont plant'es en plein-champ. Les centres qui ont la charge de ces collections en assurent la multiplication, la distribution, l''valuation et r'unissent la documentation qui s'y rattache.

55. CIMMYT : Centro internacional de mejoramiento de maiz y trigo (Mexico,

Mexique)

IRRI : International rice research institute (Los Banos, Philippines) CIP: Centro internacional de la papa (Lima, P'rou) 133
Les collections maintenues par les trois conservatoires botaniques fran‡ais entrent dans cette cat'gorie. Brest s'occupe des plantes menac'es de la zone atlantique europ'enne et des esp•ces sauvages, ornementales et l'gumi•res. Porquerolles poss•de des collections importantes de fruitiers et de plantes utiles de la zone p'ri-m'diterran'enne. La banque de graines du service des cultures du Mus'um national d'histoire naturelle concernent surtout la flore sauvage de la France; seules, quelques esp•ces cultiv'es assez courantes y sont maintenues. - Les collections de travail r'unissent des cultivars qui r'pondent aux besoins des s'lectionneurs, des botanistes, des chercheurs en g'n'ral. Constitu'es en fonction d'objectifs terme. Aussi sont-elles quelquefois dispers'es ou abandonn'es lorsqu'elles ne servent plus de support aux travaux de recher- che. Les stations d'am'lioration des plantes de l'Institut national de la recherche agronomique, les universit's, les 'tablissements d'enseignement agricole, les maisons graini•res, les s'lection- neurs et les p'pini'ristes priv's comptent parmi les principaux parler une vocation de conservation, mais ont bien souvent

Le meilleur compromis possible...

De ces deux strat'gies, in situ et ex situ, aucune n'est en r'alit' parfaite. Les profondes modifications subies depuis longtemps par les agrosyst•mes, la d'structuration des exploita- tions traditionnelles ont rendu fragile et d'licate l'application de la premi•re. La seconde repose sur la mise en oeuvre de techniques qui ne sont pas encore toutes compl•tement ma‰- tris'es. Nous manquons de recul pour juger de leur efficacit' en plusieurs endroits. L'organisation du r'seau hongrois en est un bon exemple : neuf antennes d'pendantes du centre principal de Tapiosz•le ont 't' install'es dans diff'rentes r'gions du pays. Le r'seau compte pr•s de 90 participants, qui s'occupent des jardins et des champs o€ sont r'g'n'r'es, dans des condi- des vari't's locales. 134
La meilleure politique de conservation devrait associer les trois strat'gies : in situ, ex situ et conservatoires 'clat's. Celle de la France tend plutˆt vers ce sch'ma d'organisation interm'- diaire, tout au moins pour ce qui rel•ve du domaine des vari't's locales, 'tant bien entendu qu'elles ne constituent qu'une partie du stock des ressources phytog'n'tiques g'r' par le pays. Le Bureau des ressources g'n'tiques, interlocuteur des organismes internationaux, coordonne et supervise les actions. Parmi les int'ress's, les conservatoires et jardins botaniques regroupent ex situ des collections d'esp•ces vari'es et en assurent la prennent en charge les cultivars locaux de leur secteur d'in- culture in situ ou dans des conditions 'cologiques proches. Les groupements et les associations g•rent le plus souvent un patrimoine r'gional maintenu dans la limite des moyens disponibles. Dans beaucoup de cas ils coop•rent avec des organismes publics tels les conservatoires, parcs ou stations de recherche. Le recensement au niveau national de toutes ces collections a 't' entrepris par l'Association fran‡aise pour la conservation des esp•ces v'g'tales.

Les techniques de conservation

maintenir d'une part des stocks de graines et d'autre part des plantes enti•res vivantes en culture. Aujourd'hui, les efforts portent aussi sur la conservation des semences par le froid et la lyophilisation, les cultures in vitro et le stockage du pollen. mises au point sur les avanc'es dans ces domaines assez ... pointus † qui 'voluent avec une extr"me rapidit'. La constitution de collections en culture et la conservation bles de petites unit's de conservation et m"me des amateurs. ou un cong'lateur. Culture et stockage de semences sont deux activit's compl'mentaires : si l'on conserve des graines, il faut pouvoir les remettre en culture r'guli•rement et dans les meilleures conditions. Cela demande beaucoup de soins et un minimum de connaissances sur la reproduction des plantes et leur multiplication. Il est pr'f'rable, m"me si l'on d'sire doubles des plantes aux centres de conservation. 135

Seigle d'hiver.

Deux facteurs d'terminants justifient le choix d'un proc'd' de conservation : - la nature de l''chantillon collect' : graines, organes v'g'- tatifs (tubercules, greffons, etc.), pollen, plante enti•re, - le mode de reproduction de la plante : v'g'tative, sexu'e par autogamie ou allogamie. Les collections de plantes entretenues en culture"quotesdbs_dbs1.pdfusesText_1
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