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Qui est Huito ?
Stéven Huitorel, dit « Huito », y décline toutes les expressions anglaises qui emploient et triturent le verbe « to take » (prendre). Sourire aux lèvres et allure « so british » mais décontractée, le professeur de 39 ans accueille sa petite communauté numérique… depuis son salon.
Stéven Huitorel enseigne l'anglais au collège Jean-Monnet, à Broons, près de Dinan. Il se met aussi en scène dans des vidéos postées sur le net. Objectif : faire progresser dans cette langue.

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F' Ac_~C~:`~31)F,'

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RflNT):EZ COM]T.1.

IlI,ai,~ezr►orrsgouvernerle plys, Il y abientôt (jeuxansqu'ilaontdisaient depuis vingt ans les Iil►~~- Irt pniasanr,e de touttransformer,ranx de notreptovince,I rü~~-vz1;I0loutréformer,en un mot, donuitsg,►j►vt+rrteret vo,►s vvrrrzlesEr+n~r` leurs promesses. Le momentn►►rrVo►Iles(111 Itb~~rali~rn►~. Vr►,r►c'rr'estil pasvenu deleu rdernanderve►rcz vutreI)rosl►nriti~;centnt,l~~r, cOrt.rtte.nt ilyontfaithonneur.1vuuw v►rr►z la rirlti►septtl►lirlljhleursenkrtgerne~.ts,commentilsauKtrtwr►t►~r,Irt I,auvr~-é►1;~t~srnlt.r~+.►nnt r~nrictti notrt~ provirtce, quell8stousil-8 Ca ~a.liens pas-ornt►Ilit)réfurmes ilsout opérées?Lepeuple,ncrirv4.(.#rsera lu retourdu l't1Kf au nomrlur►lel ils p~rlt~nt sansrl'or; pluy rl~~ ta±~, plus ~ie corru~ cesNt', n'a ti~ Iras le droit doselion,1)lus rle rnrtuvat~ey rét;ealtes;"tnt.rnrrverssr:t m~1trF,s,par lalv ciel s►~déploiera toujourspur gr,~{'e(lal'eEr;~tmotage,E~t do leursur rio~ tr~teset il neplr.uvt-t iI►ttile dire Deuxans, c'est uneton-.jouroù nous serons ennuyésdu g►rrrépoquedans la vied'ungout►rrtu10-rnl►rt."vernenteot.Enmoinsdo temffil,l'a provincedeQ'réhee9e déll;%i,il ewt possit►lrr de f.rire I►mauc'oup(lerr1s 1►rurn~,Kses laltacic►~►rsrs coinrie bien oubeaucoupdo ma(.Ille desbonitn"ntsiPs ntarclt.►udaKitbien 1voyous oùnous en eomdu drogues àguérirtousIc;smaux ~uRas; allo,ts, vos livres etrendezIIluirépugnaitdu remettreeo, vos coml►!ce."dfstiur~rsv►►lralesm,►in:~ rl'iudivi Qir':+rr►verait-il alors ? Suppo-.duy at►til►,tthi►l►r~rsAl'eâpritna►iosousl'irulwr;sible::;uppo>ions querirtl.Coliver►â►t ilà la province ria M. Geo(Frtr~n,ou M.Fournier,soitt►utLh~~c, si p,ttrïù iiInN, stattachée pris►l'urtmouvementdesincéritéA r- stradiliorts,dest~ruai lieraux-vous votez bleu que noussupQo-libér.zux, IeK'4~nn►mlw rl►►t~►ut ce►I~,i sousI'i.mposr+il►lo-viennofaireI,eu,t nous cuiist►tut~r uu►►nationali-;tu

['absoudre

rloit locondamnerté !orleet I►,ltnaai►to? I~;vidrrnm~►nt ~►~►l'absoudro uno confessiongé-nor*i.Ell►►persistaitArepour'ernlArQtltfinrlrllL'tAlO t/rorlis, û l'arliclalespréteurlui sauvettrs,lorsqu'unerle lar►torl pailiquc.'crimepo'itquuvint ,libreQuo dirait-ilTc,t►rt~~rdftux conVoiiisew, atncaltiAK(.rto..ill6'aue pieds du Jugo►bitiuui,Ir►ugtN ntl►s cor►lt!rtttes, et wu frappant la I►oitriuo avec uneletllibéraux►~rc,rutr►ti~r►~nt lu pou- I,isèrre r1►~(:urtlir,oûkr,pi©rro fourntAvoir.Cu futuneKrrutdosurprisep:tr M. Lar►cibt, soi) protégé,ouM.dal-ri l►►I►ayzi lu:stln r►u-vitAl)tta- I)Uisl eouserviteur,il dirait:wa,.l' lateliu d-,s.►IG►irer,1111. U-►Il liélas, lavolontbestgrande chezI,r►rIlier,Fu►trt►irrtt(;ruf n►oi et rnes anti 1('tsrluo nousftionyui ne ret,r~sentaient enrienrorttrnes dans l'oposition. Mais lalusiadt» dutuiuautesà(~►►bbec.,chaireest faibleau pouvo~r)ulal.

r6 notre bbnno volont() d',autre- fir;s,nous avons grar►clcment control'inti~rètnat,ion..l. Nr►u-i nous étiu(rs rolennt1le-»eut enga-

Pt.il rr'parr r les iujuatices de tto,

1►li~~li'r~ ss!'uls envers les nralheu-

1►ux Dtélis; nous avions promis dv

f~ilc orll►,ICr la nrisr3 à prix du la avaient diminuéesde 2 mil~ions.

Qilo vonlez-vons?Ili avaient des

inities d'or à leurs Ilispnsitiell. Ja m'accuI'nis, tous trois rrepretiaieut(n chrrjur:~ Notrri. conf►~ssielrn'est pas Iluie; lesplusgru3péchésnous l )èsent encore sur la cousclenco po- ilidue, et nous nous mettons trois/ pour lessouleverNous avonssacri- fib les intérôtsmatérielsdwlsas-

Canada, autantquo ses iiit6rôts

nationaux;nousl'avonsdépouillé, dasisbiensautantquefroissé dans ses s,~ntinieri1s Oui, C'est triste à dire,nous avons laissé

Mat-ltienzio donner 8i,000,000 au'

Norther►i/lailtoay;nouslui avons

permisdedentier84,000,001) au cheminde laBaieGeorgtenue, en- treprisapurementlocale,dontC)n- tario sera seul à profiter, et nous l'avons soutenulorsqu'ilarefusé de donner un seul snu auchemin de calonisatlon du Nord deMont. réal. Encoreune fo.s, leBas-Ca- na-Liaétésacrrfié d'u,ttefaçonou- trageante,hélastNostrd, maxi►nd cul iiJ tour continuer notre supposi- tion,noussnpposonsqu'arrivé à ce point, le peuple-juge, iudlign6, arrkerait lespénitentspour leur infligerune pénitent'e proportion- néeàtant de crimeenles accablantde sondégoûtet do son méprie.Ilnous, incom- bu ducontinuerleur confession pour,eux; il nous faut la cumplé- t",r. Ilnousfaut faire ramardltier, rTufj c►:mémoM. MacKenzre qui réfrriait da tenir s spromesses~ l'égard duChemin deColonisation est lu môme qui voti. lait,il y a yvaLro atrs, chargerte ll;t,-Caiialad'une dette do quatre

Inilllon3, pour patalyserIo mou.

veinent progressifdo notru pro-. vincoet donnerle coup dogràco3 t►~!►►1, M.. Riel Parnotre mr►itre

DI ~r K~'uzio; nous avons faiilià

I~IIs l'Ii{~~1~;~.'IIlP1114.Nous soiiines

cl~':+ lru~iltieruutü'rs do l'honneur national, et de la parole jurét>.

AI iIr;tuba n'est pas satisfaitrtleci

ctc'pr}l

D1.lruurnier:f son tour levraitles

yeux au ciel, pour partager les re- mords de M.GeofTriou en bon frèrP, co►Atiie il partage avec lui Vs bien- faits du pouvoir; puis de sa voix dolente, il s'arracherait de tristes aveux. 11-J'ai p~cht~, je l'avoue, j'avais promis dans mes, discours et par mes votes en parlement, de / rekrdre justice aux catholiques du

Nbuveau-I3runswirk. II m'a été

impossible de tenir nia parole

Mar-Kenzie ne voulait paA. J'étais

placé dans l'alternative de résigner et de perdre mou salaire de $7,001) par aimée ou dmrester quand même ~ mou pustP. C'était un rude sacri fice. Sachez qui- j'e n'avais plus de clieiltèlé à (J.rel)Nc, lorn(lucr Pl suis arrivé niiui>t;e, j'ai eu recours à une petite rusa pour nie sauver tnais c'eat ti p►~u do chose►lu,) j'es pere en Obtenir lu 1►arJoll, cepen- dant 1►uisrlu'il faut tout avouer, ici, Jy dois vois diro que les ca- tlrullyues du Nuuvcau-lsrun~wiub,

6.Irlt

tuilrs¢ètre coutentade►icul.

Nous avons, Ceoffrion, Letellier,

nos autres alriis et moi pr~ nti-4 (lu réduira ' les 1axes, nraia le partl obt 6iexigeant 1 vingt années de jeQne lui out tellement crcu'sb l'vs- toma4, qu'il a fallu augmenter Pb raiee de trpis tnillio,►s. Il est vrai quo ce9 ùffr'eux Cousehvateura les I -3- noi entiepris:~ de ch',rnin de fer.

Lecompte-renrlti est loin d'être

complet; il rr'sio encore d►expli. qucr pourquoi lca libéraux q 1i ont toujours crib -culltle les salaires trop élevés(lesemployés,lta ont soudaiuvtnent augmentés; l o Ir- quoi, eux qui trouvaicut le nom- bre de ces mêmes employés trop considf~r~~blr~; en mit ils Ilonlulé plus de deux cents nouveaux?

Voilàlefruit'dedeux ansde

pouvoir; voilà les rbfurmta ac complies par le gouvernement de la réforme . En résum~, co triste gouverne. ment-10 plus tl iste que nouub r. ayo.s en p'Illt le I31s"Canada,--a eutrt'pria ~l'~'rlllrrit~'r rrl►tru pro vinci+auprofit (lelinsvoisins; ilat'lltrt~l►rlsdé~ nousfairevers,*-r dansleUNsor piiblic I'h. 100 da sous(i'Ei rl'vi'I111s 1tt Il-i 111! tlolls CIl donnerquea p.100 viiretour. ,1us-yu'ici, aupointdûvurr(lenotre province, le pouvoirn'apro►lité ilil aux ministrf;yBitsaleurs ansià,;l leurs cullsiuq, jus qu'aux rl~~qr~.+ I4-s Qllla éloiglldi.

Avant do develol►pvr les sujtli

(luwil(►IlA vPllon9 d%ldiquer, soln n►alrelnellt, r~~ch~rrb~lly, les c1u sesrl.!Ilot-ti faiblesse àOttawa, le motif quiaPoussé -Iloi ministrea d'Ottawa, à tiacritl~r, en toutoâ chowe, les itttérc?ts du liauCanada

CAUSEDE LEUR FAIBLESSE.

En rentrant en lerance au retour

d'une desescamnagne*i,Nalboléon. a'adreesrtnt au Directoire qui, peil dant son absetlce, avait abaisse, humilié laFranve, s'écr~ait

4' Qu'avez-vous fait de ce pays(lise

jevo-a3ailaissésigrand, ei pros- p~re?" l.epeuple de laProvince deQuébec,n'est-il,pas fondé à adressersemblable reprocheàses

®attreg ? 'l Qu'avez-vous fait de

notre paye, que je vous avais con. fiéRrat~d et respecté ? Vous l'a- vez livréànos ennemis, vous l'a- vez sacr►lié,ravalé;'vous avez donnélamain à ceuxqui complo- 'taient saperte,sonabaissement." Que noussommesloindit.jour, oùle Haut-Canada, se soulevant à la suite de M. MacKenzie, hur lait nofrenchdominationIOnpar- lemaintenantde ce temps comme de l'histoire aucienne, et l'abais- sement de notreprovince estsi gra:id aujourd'hui, qu'ilsemblé

Incroyableque ce cri ait jamais pu

être pou4s$.

C'ebt la faiblessedenosreprésentantsà Ottawa qui nous a valu

cette domiuatigu do làrace aup< trouvent p,ii de taille à lutter con.tre M.M ~%t;IcKellzie, qtle nous nous voyons rélequèe, au point de vue de l'intlilence, au dernier rang des provinces de la ConfB(lératiort. Avonsnou obtenu justice ou sa-tisfactionsur un seui point, a t-olt accédé à un outil désir du l3.ay.Ca nada ? Demandez-le aux Nlétiï do

Manitoba,aux catholiques du t~ou

vtau-i3runewick: dernandezle au,. députés conservateurs qui ont es- sayé d'arracher pour nous à Ni.

MacKeazie, quelques milliers de'

piaetrel+,pendant qu'id.. donnait des millionsà sa province? " Savez vous'pourquoi nos grande hommessont si taiblea, nous disait,il n'ya paslongtemps, un député quise connait en hom mes,et qui a jugélesministres; eavez-vous pourquoi il estimpos- IV __.l bihlAJA tcuiivi;rchez MM. Qeof- frion,Fournier, l.etellier,'aucun

élément derésistance ?C'est parce

~ue ~ ~~s n►ini~tresunsontpa3 (..a- nailiensdeccr+ur,-J'aanirations.Ili; ,)',)litaucitle foidansl'avenir,de u'otre nationalité; ils trecroient pas ensa force,etpersuadés qu'a- vant, longtempsnousseronsabsor-- hèspar l'élén,entétranger,ils sont d'avis quele plus tût rrons nona s rons fusionnésavec l'élément c~tranl;er, lt►plus ccJtnous nous se- tous confondusavec lui,;e►a nrieux."

C'estabsolumontvrai, et qui

critique- acreusé un pou le -fonds fies rl►oses,étudiéles agissements

Ju parti rougedepuisson oriKiu9.

avitclt-,x ses hocnxnPslit autour de'.t patrie,niattacnF~me,nt à sent iratlltionq, nifiel-téuatlon,al."rnais ut,eb;rluH féroce,ati!rt-l*%),.â tuant

Irats', aujourd'huiYachéo, pour

nos r.roynt►cesreligtet►q-~s,,- oitétaient les rougc s,►orsque la n;lion concentrait soiténergie,sa puissancede v4ta!itù, sortpourté 1 ristrraux empiétements dutlaut

Canada.soit pcur tehir nautc~►fer.

int►le drapeaunational! Uit ils et;ticut TVousle savez. Le pays ne l'a pas oublié: Lesrougesdoit. liaientalors la main~- nos enne ri►is, et dl., Dor~pn disait à M. llrown:"Je vous rede l'empFre sur 'olias-Canada;jevouscode la roprésentation baaoe surlapo pulaiiun, pour que vouspuissiez faite 'domes com~~atriutes les es- clavvs dF svôtres!

Oit étaient il", lorsque le

(;:tuada;s'affirmant commenatio- nalitedistincte, voulaitatre lul nitine français, catho iquf►,poux repoussor son absorption par les nacionalités étiangères; lorq,qu'rl voulait créer unespritnattoual, puiser confiance dans sa force, et inspirerpar ldmôme ànosvoisins unehaute idée de notre itrtelli- g~nceet, (1~~ notrovaleur TCes sa tveursd'au.jou'd'Itlitne croy. aient avoir riende mieux àfaire, que dedénigrer leurpays,d'y trouver toutmal,tout►nférreur, ut (l'ex. ltûrsanscesse les l:tals-

Unis..

.oùétaient-ils, lorsqueleBas(;a- nada s;r:lliaitautour de ses

çh~-fs dais l'ordro re:igieux, pour

défendreet conse:vu r intactle dépôt 'jonosçroyances, partie de l'tté,ritaqenational? Ces bons apbtrep de'lalibre-pensée,de la raison purp, leurs journaux, leurs doryl)lt~5espolitiques faisaientune guerreouverte a l'Eqlis-..I:lns-. tituc,l'Avenir,Ioi',,yssemaient les print.ipes du libfrrNlisrne dans la ptovinco, etcultivaientune gé- néra!ton ddjeunesrouqeti'lresfi- bres-penseurs ~Iuo no,isavonsle pl:ti3rrd'entendresurleshu3tings pendantchaiIuercampagneblccto- rale.Lapersécutiontraltait le clergédevantnostribunaux,et un beaujour, l'onvit les sommités li bbritles de Montréal se cousür pour dtir,neràt'Àngleterre le spe;t;tacle de leurguerre avecl'Fgrise.

Le LitsC:.tuad,tKouyerraé par

les rouges. c'ert donc la plus gran- de anornuiir, le plusfortnou-sens que l'onpuissei:nrtgu►er.

Un~artt Pstcomposéd'une réu

nion d'homrnesatlachés àun en semblede prtncipes et de doctri- nes. DaiisIo partise trouvent (pulques hommesquisont comme

1 incarnation desprincipes duce

parti.Où sontleshommesqui, dansnotioprovtucN,jureut par le credorougeYCombiensout-ils?

Cecredoaest-il pasprofondément

antipathique.À lagrande majorité der+ Canac~tcns,notreprovince a t- ellequel lue chosa decommun avec11M.leourniur,`Gboffrion,

Uoutco, Uessatrtlcrs, I,a(lamuii,totis

gutbordistus,membresdu l'Iudti- tut Jecoeurou de notn, ou'ayaut0

frïnt,pou.,les bFSOin; du momcnt,'f tirc-Gu:bôrc:1etencore.-teut émud'yrenoncer ?Ilssonttous les di- d, saproft~saondo foi anti*reli-gnes fils du père du rollgisme ca- giouse; !1! I~cgstullescommentaitànadien, M. Papineau,et de se r Iet:11 imposerle plttagrandfl:pplice t,nanifimmédiats MM. Eric 'l)c,- pnssthlo po*;r lui icelui de se tairerjon etlitrb I)orior.. Les (los-et dcneElits inQt:ltèr le.cj,!rgépen-cQndant: actuels sont fiurF c;e1~~.lrs -lant qrelyllessemaincs, e: le tourpi:r(a. damaairun defrlc Ira était joué. M(;,~offrion abattaita rel.léF et n'afailliaux traiit:onrde famille.L'héritalte est encore

habitude.'t y i. tut;~c,t:rt eu de:

intact,.tvec. cette différence ru'or,y aqrltltïtoctl'arsenalarrl.efde I'(t) llocr siE; cc sor.tc:ef Yzl,i-rteau et derUorior;,avec.t; couragcet 1 intelli frer.ceEr, rr.c:r.::,

C'est cette~ hypocrisie,ç(:i a taitcroireàder r.a'ite yt.elesroufreEétaientvenlis)réc:piscEr.ce: Ccne sont plua, ~,er:Fait-orl.;etratrx (i' tttrel'a,F. le; rt.ar,get.rf, et

pre~twes~e18â~. I,E rct.g:fn:~ t'eQtconverti:itva b la rr.Esae, CtvaéKa'~ n,er.t i1 l'institt.t c'est `:.1dietracliontr.`estl'eL'tt d't.t.t,' v:a:t:t

naïfsdans lt n.uu,ie.- cett,or;r:eeâmesontE;t. il,l.al:;ira l'r.isla;rt,elles n'yontvt,, '..les 1.6S8sont pas àpNrçt.ee ot.etou'liesrouges,011 "ont portéb:et, G'i~l: n ul.; rtet:e,-ec~mrrlr.l.;,vt~.Lla rt►,ttresnomsdans~'t,iatuire,ontel.;;ur:t(:cl,1;hS(~hr,2t(ti.

recours il l'Itypocraiu cou.rr,t, MN (il:o"r;or:, Îlunrt,:.;r. Lhtt-;moyen ac suc;r.irs, lorsquu tous ,(,t; kiet ve(:;cl.0'i.lqo1,14.01. (ic lA r

"~autres neleur01A full,( I.;I~ISSi. Iri~l.,,,.ibePatl'b;(;rnel,t bt,gliCaAprr~s avuir longtemps lutte, a%i l.r. Hat (.ur,:,~L c;Jsirr s(. consl;rs"g,: dVcul;vert,t(;& rougesont ju- vel tr~,l,tin.r, e.t catt,u~i,t,:t et rGxisic~~ 5 q~t'ily I,,t ~rtguct aient'rier: e: t:.I►luiLnt de lront ce qtt'1ta ilppotlt~nt les plC~u_~f±s nitt;oniiux, et l'an(le l;rtl. 1 i; -1vit leur GlusSeconvers;o,l.M.Uuri' 011qui' eu1î54 avilit, i'f.fusè d'entrci' avecCartierdans le çouv-,neitteut etderéunir tous leti(.:,ina~itenspar- Voulait, rester tl(IHl(+ aux prineil-,(sf(tt ~ib~rr.+lsiu~ ,M.I)-)riorr col~reut;lit,(,-fi ' 1872 , ,1Easl+errlilelqtics s--n,.►int~s;>,Par.riùrt? -plit fi;M.Lr(Il intt►itsot.tlitde l'lntititut cnc(►rutout cou -vertd:s 1,turit:sycueillisc:~lns l'.tf-

l'M1rI.,1tT.lttd destiné au clwigG d~,

SSt. Hyacinthe, M.L,at~~tmine réci-tait ti',B [lattlno5tresd'unair aris 'tucra'tiqae, et M. lloutre diaitit rira

b'en qui se convertirale(lerrtier.M et quelquesrouges m-)inav.ft., consr,t.taientàservir' de para-ver.ts.

U~:~ foi>7arrivgs au poiIvoir, lesrohfr,;a or,t jeté la mo;tibduTr►asI-'A'41'o'tritetl'Ncénrmer,ton;~:~:av3dans PItrencreun peu ief'.sl ar,tir~t;:g'r;t:t, le Nat;onatpire.cs;r.t l'-'a d,!var,tset d(;vEr.al:t suu-veilt le %J~L 1,(11UtdeLou.iurtN`IIe

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Ler'OtlglsnlP. est, l) Irbi, t.t;tllib,l'e,llrerni du cathuii(,iFlr.a, et cen'ut;tquelu craintequi l'tnPl.~cl>;e(1( rçcut>>tr,~t~+car uuvertcli.~ntla

f gudrre qu'il fait_ dans l'ombre à l'autnritéreligieuse.' Il prbtend titi, interdire le droi6 de par- ter, dont les rôü;nPs font-un si dé~ ►lorabte.ahus, et toutieut' que

1e peuplu ne duit é►~o►tter en politi

que quo les conseils dei éleves►le f'Ingtitrtt du préfi►rvuce au clergé

Le Bas-Catiada voit les "grt►ndes

dr,stinCes auxquellos la Providence son avenu, il regarde comme des trahisons toutes les faiblesses de

Ses représentantsàOttawa, fai

blesses yui tendo►ttàarréter notre marcltq et i paralysor -noq ciforts. l,,s ministres, MM. Fournier,, fait ~irivLs Far la fautedu,uoa !►,orps humain et qu'une médicà~ lier, n',►ya ' t:t aucrrne foi dans I"ave' l; enllrioii,l,etellier, sontdansla

nir traUunal, ahsu►ion►►ent la lutte I I►ositibn dé~ générauxqui n'ontau-.

à thl;rwa Pondant que. I. s rep.rt±sen.►,u►ro c~~utiancedans lessoldats

ta lits (les autres provinces b'►il~►► ~ y►t'iIw mènentau r,orrtl)►t; ouplu.*

vent►l'Qbtenir lit plus grande part tut,i4s. sontvis-à-vis du 'peuple p~~:,il►~ des deniers publics, prt-! conrtrc ces boutonsces pustules dit►tt que ttous en eomtnes tout r1~ (pli titi montrent à la surface du, cltefs. ,. i tiou énergique,fait dtsparaitre ,,à r La Question du Nord-Uuest: C'est 1aquo Li )nde l'amni,t'e' sation et les condamneràçrtiq ana Ces ~►u►i~~~rtu►ints,yuu11-s/rcres►I►-s qui est venue porter let protnicr coup' aux )11.:81olls (lesraaif:c qui avaient crit aux l,,rornvssee des li- bér.ux l'~)ur titi I►rornit,r toup, il a- Iétaitdirr. Puisque 11J., lus,ntttr trea, qui s'irtait;►tt j►osè*.~, avant lour itrrivèe au 1)uuvuir,en redresseurs de tous les torts el i'lu tous les aht►s possib'ttt;, étaient dticHès à dti,illu- atonuer leurs rluley, ils a►iraieut dù moisis l►~d brusquer, et illépager %il Moins 4%, transition. Qi►►sl Choc n'u~►t pas (là éprouver les dupes 1►x8nie ! f?n►sllrs les avaient entendus jeter Vurs lamentations aux iluatrr vvrrts du ciel. " No, frèresde A1 iuitub.►, dr,ai►~ut - il, sout d't-s l►èro~-, 'l01 utartyri.I1i lit lib►~Fte. 'l'ar►101' 10our a leur tendre leurs llfoit5 CIVi i, l''e st une lAt.hetL, une iudignit-~►.- C~►uriu~i►li- satt leNational,il t,►ut I,:s.tinut ~- tiet aai►a gtélai, Sans retard I'l; i, cho ++vatt it tt,jrie tini do nèt►é;vr l%Èt►a vt!ri,ti►-ut 1e3 tuet►res eh accu-

A'MVoirr'nicr,(;eolt'rion,l.etUl-

d'►►xil pour proclamerleur culpa bilit6) à la fa-o du monde. a+;

0,1 sait commentils v,Aulent.

1 allier leur trahison, onsaitcom-

rnont ilscher Ment à échapperà la ci~sponsal»IilA~rl~riles poncsuit et~

I~tira parles atteindre.. l;outqiiol."

nous r6po►rçlent-ils, n'avez -vous: paW vousnyamdproclamél'amnistte T

C'est làunequestion àlac~tiella;

vousl,ourrie,z r~pondreaussibidtl, que nous. Vous connaissezCOtY1lllCtt1noirs, les bvbuvrrY►snts(ltii ont pré- cédé votrearrivée au pouvoir -e(s vous savez quo si- l'amnistie n'aras i~ti~aècords!jeplus tût,voa arniè tariu bu Sont Seult§

I)~ts rluo I:tuottvelle dot rxdcutioü.

(1ij Scottte répanditdarié lo riyè1,NI\l. ,tifacK~-trr.ieoV131,ttio jntr~rotttr àl)ropus►1►►soulever 1►t finatratYtp de 1.%, province rl'vatariô.'t Le sang acoule (li;aientils,lesattgd'utl sit - j't anglais a rongi lu sol de Mant%lol►t. S~:ott a ù►i, aseasaind; il Isttt qu'il:.ortvengé.Qi►iconquopieuse autrementqyu uous,ost traitro tx11 nation~,tlité~hrit-inniqne.''Attisé par lv.s appAa,passionnesdo M. Mac-,

1{enzi , Io C.u dit finalismeenvcj.

1qpp~ bientôt tout Un►artn M pour

l'exciter davantaf;N,M M~lcK.~nzie promitE5,000pour li têtedn Riel.Afin de t~~pandre~le feu partcitt, lea amisdeM. (i,eufTiion demandi-rent aitl'.►rlenientf(!dt-ral d'imiter legctuvernc±mfint d'vutario etproposit rent un vote de non confiancepour leb:Anir~r de nes'étpasmis au nombredes persécûtëura des bfét1$., .Lait-ce le temps d'agir ? Procla toute la prbvince d'Oaiario et son alors 'cessé de le pôurtjuivïrq et de

Quelle qn'ait été !a conduite de&

mer alorsl'amnistie aurait eu pôureffetdemettre le gouverne= rnetat fédéralenopposition avec . bohvernement.Proclamer l'am ntatie alore, c'étaitprovo provoquer dois désordres, àManitoba. Pendant que lespassionsétaiëht ainsi dé- chainées, l'amnistie serait r`estbe lettremorte,, etRieln'aurait puet1''profiter. Croyezvousquele-gouvernement.d'Untarioaurait meltre satêteà pria Y Croyez-voui;quA Yiielauraitpu aemontreralordâManitoba ir il fallait attendre le calme et

l'apaisementdNépassionssoul9véPapar M. MacKeuzie. Ilétaitd"Ybonnepolitiqued'attendre-etdîInepascal-

mer une prqviuce en faisant naitredansuneautreuneagitationpluscoiisidwrab+e, plue dauKorvuse queCt,lldque l'onvouaitdofairedisp+ra,tre.

chefsconservateurs4ans cette r,it-c;onttitaU e,onneoeut rien dtrecoutre lé parti, ni,ta urztjorité de,

ses députés. ' Avant lasession', 1873; les détttes~ n'avaient pont iecru qtt'il lut pussiblh d'accorder L V.etellen'avi+it jatusiy jusqu'alory été l'ubjpt d'uue dt:n►éiidu ci,Chambre 1'erboucrt3n'a pris, la gouvernement à parti Anr- c tte affaire. Avonxnous vu M.W. t)~)rion, Gvollrion, Ftiurnier se lover et (lire au gonvernvrnPnt:Il il nous faut l'ainui,tie "' Non, .jamais il n'ont osé en soullior tnot en chambre; ils s-3 c,ontentaif-nt d'essayer de soulever dans nos

çi,mp:tAnes un contrant d'opinion..populaire oliposi;A'celui que, M.~NtacK'enzio avait fait tiiiitru dans1 Uuebt.

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