[PDF] - Excellence Monsieur le Premier Ministre de la République fédérale





Previous PDF Next PDF



Décret exécutif n° 15-302 du 20 Safar 1437 correspondant au 2

2 déc. 2015 Article 01 : Dans le cadre de la politique générale du Gouvernement le ministre de l'énergie est chargé de l'élaboration des politiques et ...



Discours de Monsieur le Ministre de lEducation nationale et de la

14 nov. 2019 Dans ce combat pour l'école nous soutenons l'UNESCO pour son action en direction des jeunes filles



Le ministre des finances est chargé de lexécution du présent décret

Par décret n° 2011-2477 du 22 septembre 2011. Mademoiselle Hela Ben Salah inspecteur en chef des services financiers



Ministère de la Culture de la Jeunesse

https://www.ilo.org/dyn/natlex/docs/ELECTRONIC/112898/141206/F1488237209/MRT-112898.pdf



Le ministre de lintérieur et de la décentralisation Raymond Zéphirin

Vu la Constitution ;. Vu la loi n° 8-2003 du 6 février 2003 portant loi organique relative à l'exercice de la tutelle sur les collectivités locales ;.



A Son Excellence Monsieur le Ministre des Affaires Etrangères et A Son Excellence Monsieur le Ministre des Affaires Etrangères et

Aussi j'ai l'honneur de vous signifier l'urgence pour le Gouvernement de déposer cet Instrument dans un bref délai sur le Bureau de l'Assemblée Nationale afin 



Le ministre de lintérieur et de la décentralisation Raymond Zéphirin

24 juin 2020 Le ministre de l'intérieur et de la décentralisation. Raymond Zéphirin MBOULOU. Le ministre de la défense nationale



Monsieur le Ministre Jai lhonneur de porter à votre connaissance Monsieur le Ministre Jai lhonneur de porter à votre connaissance

-X. J'ai l'honneur de porter à votre connaissance que la vingt-quatrième session des PARTIES CONTRACTANTES à l'fléc^rd général sur les tarifs.



DISCOURS DE SON EXCELLENCE MONSIEUR LE MINISTRE DE DISCOURS DE SON EXCELLENCE MONSIEUR LE MINISTRE DE

28 mai 2019 DE SON EXCELLENCE MONSIEUR LE MINISTRE DE LA. JUSTICE ET DES DROITS DE L'HOMME. A. L'OCCASION DE LA CONFERENCE MINISTERIELLE EN. MATIERE D ...





discours de son excellence monsieur le ministre de la justice et des

Excellence Mesdames et Messieurs les Ministres;. Excellence Monsieur le Secrétaire Exécutif de la Conférence. Internationale sur la Région des Grands Lacs ;.



Lettre réf 067 au Ministre de la Défense (solde MN) 10février2010

J'ai l'honneur de vous adresser le présent courrier en ma qualité de Conseil principal du. Colonel Mathieu Ngudjolo Chui actuellement détenu préventivement 



Note à lattention de Monsieur le Ministre Jai lhonneur de vous

Le gouvernement des universités la condition étudiante



ALLOCUTION DOUVERTURE DE SON EXCELLENCE MONSIEUR

MONSIEUR LE MINISTRE. DE L'ECONOMIE NUMERQUE ET DE LA COMMUNICATION. Me Mountaga TALL. MINISTERE DE L'ECONOMIE NUMERIQUE. ET DE LA COMMUNICATION.



ALLOCUTION DE SON EXCELLENCE MADAME LA MINISTRE DU

9ème Conférence Ministérielle de l'OMC. Bali (Indonésie). Page 2. 2. Monsieur le Président. Messieurs les Ministres





- Excellence Monsieur le Premier Ministre de la République fédérale

Excellence Monsieur le Premier Ministre de la. République fédérale démocratique d'Ethiopie. - Excellence Monsieur le Secrétaire Général des Nations.



Art. 11 - Le ministre de lagriculture et le ministre des finances sont

Tunis le 28 mai 2013. Le Chef du Gouvernement. Ali Larayedh. Décret n° 2013-2323 du 28 mai 2013





Note pour Monsieur le Ministre dEtat Ministre de lintérieur et de l

12 déc. 2006 Madame la Ministre de l'écologie et du développement durable ... Par lettre conjointe des trois ministres de l'Intérieur de l'Equipement et ...

- Excellence Monsieur le Premier Ministre de la République fédérale

- Excellence Monsieur le Premier Minist re de la Républiquefédérale démocratique d'Ethiopie - Excellence Monsieur le Secrétaire Général des Nations Unies, - Excellences, Mesdames et Messieurs les Chefs d'Etat et de Gouvernement, - Distingués Délégués, - Honorable assistance, Permettez-moi tout d'abord de joindre ma voix à celle de mes prédécesseurs à cette auguste tribune, pour exprimer à Monsieur Haile Mariam Dessalegn, Premier ministre de la République fédérale démocratique d'Ethiopie, ainsi qu'au peuple et au Gouvernement d'Ethiopie, la profonde gratitude de la délégation comorienne pour I'accueil chaleureux et fraternel qui nous est réservé, à I 'occasion de ce rendez-vous si importante de la communauté des nations, pour faire le point sur l e financement du développement" Permettez-moi égaleme nt d'exprimer nos remerciemen ts à Son Excellence le Secrétaire Général des Nations Unies pour la façon exemplaire avec laquelle il s'acquitte de sa noble mission. Excellences,MesdamesetMessieursEn sept embre prochain, nous allons nous retrou ver au siège des Nation s-Unies à New-York, pour renouvel er le formidable engagement que nou s avons pris dans la

Déclaration du millénaire de fair e de notr e monde une planète où il fait bon vivre po ur toute l'humanité, aujourd'hui et demain. A cette occ asion nous sommes appelées à adopt er les Objectif s de Développem ent Durable qui seront au coeur de l'a genda mondial du développement post 2015. Comme vous le s avez, ces nouveaux objectifs sont beaucoup plus nombreux et plus ambitieux que les pré cédents. Et je dirais même également, qu'ils sont, à plusieurs à plusieurs égards, plus problématiques. Il est donc de notre devoir d'accorder la plus grande atten tion aux con ditions de leur mise en oeuvre, autrement ces objectifs pourraient rapidement se révéler tout simplement irréalistes pour une grande partie des Etats membres de la communauté internationale. A mon avis, la question du fin ancement adéquat des Objectifs de développement durable r este le principal défi. En effet, comme pour les Objectifs du millénaire pour le développement, certaines catégories de pays, et notamment les pays les moins avancés et les petits Etats insulaires en développement, devront mobiliser des ressources énormes pour espérer atteindre les objectifs de développement durable, au niveau national. Ces ressources sont hors de leurs portées dans l'état actuel de leurs économies et du financement internation al du développement. Nous avons tou s en mémoire l'expérience des évaluations des coûts des besoins pour la réalisation des OMD que nous avons effectuées dans nos différents pays. Ces exercices réalisés dans le cadre de l'él aboration des stratégies nationales de développement basées sur les OMD, recommandées par notre Sommet de 2005 à New-York, ont révél é des sommes requises très importantes qui ont parfois semé le doute sur le réal isme des obje ctifs con venus en 2000.

D'ailleurs pratiquement très peu de pays ont pu mobiliser ces ressour ces nécessaires estimées, loin de là, ce qui explique en grande partie les résultats mitigés engrangés dans la plupart des pays concernés dans la mise en oeuvre des OMD. Pour le cas précis de mon pays, l'Union des Comores, la stratégie de développement basée sur les OMD a même été jugée irréaliste sur le plan budgétaire par la plupart de nos part enaires au dével oppement. Pour facili ter le dialogue de politique ave c eux, nous avions été contraints de revo ir le cadrage macro budgétair e pour avoir un scénario supposé plus conforme aux possibilités de mobil isation de ressources. Un scénario qui signifiait malheureusement un cert ain renoncement, de facto, à notre formidabl e ambition de réaliser l'ensembl e des OMD à l'ho rizon 2015. Et effe ctivement, nous avons d û prioriser nos ambitions. Le bilan de la mise en oeuvre des OMD en Uni on des C omores montre bien que dans l es domaines où les financements ont été di sponibles , les cibles fixées sont réalisées ou en passe de l'être. C'est le cas notammen t pour les sect eurs sociaux qui ont bénéficié d'investissements c onséquents. Pour les autres secteurs où les financements ont fait défaut, les résultats sont loin des engagements pris. Il ne fait don c aucun doute que la réussite de la mise en oeuvre de l'agenda de développement post 2015 dépend en grande partie des mécanis mes de financement habilitants que nou s mettrons en place à ce propos. Excellences,MesdamesetMessieurs Cette conférence vient donc à poi nt nommé pour redéfinir et préciser le rôl e des partenariats et fonds mondiaux ainsi que les modalit és de financement des

objectifs de développement durable. La réussite de ces assises placera notre sommet de septembre à New-york sur les ODD sous les meilleur s auspices possibles. La crédibilité des ODD, au-delà de leur pertinence, dépend en grand e partie de notre cap acités à renover le partenariat mondial et à propose r des systèmes et mécanismes de financement innovants. Nous, les PMA et les petits Etats insulaires en développ ement, attendons beaucoup de cette conf érence et de ses suites. No us attendons notamment qu'elle recommande la mi se en place d'instruments spécifiques en faveur du financement du dével oppement des petits états insulaires e n développement. En effet, les Petits Etats Insulaires en Développement, outre le fait qu'ils font fa ce à des problèmes multiples de capacités, sont confrontés à des grands défis spécifiques reconnus par la communauté internationale. Certains de ces défis menacent même l'exi stence physique de ces pays ou leur intégrité, s'ils ne sont pas convenablement adressés. Or à ce jour, les petits E tats insulaire s en développement ne bénéficient pas de tou t l'appui financier qu'exigent l'ampleur et la gravité des menaces spécifiques auxquelles ils sont confrontés. En matière de financement international du développement, la spécificité " Etat insulair e en développement » est quasiment inopérante et les p ays de cette catég orie doivent utiliser un aut re statut pour mobiliser des ressources. Il est aujourd'hui i ndispe nsable de revoir et corriger cette situation, sinon la réalisation des ODD sera compromise pour les petits ét ats insula ires en développement. La comm unauté intern ationale devrait notamment accompagner vigoureusement les petits Etats insulaires en développement qui prennen t des initiatives pour valoriser les éléments naturels qui constituent à priori

une menace pour eux. Il en est ainsi de l'initiative de mon gouvernement de produire de l'énergie géothermique à partir du Karthala, c e vol can dont le cratère qui surplombe la capitale fédér ale consti tue le plus grand cratère des volcans en activité dans le monde. De même, le nouv eau paradigme d'économi e bleue devrait largement contribuer au développement des petits Etats insulaires en développement s'ils sont adéquatement soutenus dans les programmes et stratégies qu'ils sont en gtrain de développer dans ce cadre. ExcellencesMesdamesetMessieurs,J'aimerais revenir brièvement sur le financement des OMD pour insister sur notre grande déception devan t les occasions manquées et les promesses non tenues en matière de financement du développement et d'aide au développement. Les pays donateurs, individuellement et collectivement, ont fait beauco up d'annonces de financement durant la décennie 20 00 en faveur du développement et notamment la réalisati on des OMD mais finalemen t il y a eu peu de concrétisa tions. No us avons encore à l'esprit l'enthousiasme soulevé à Green Eagles quand les nations le plus riches annonçaient 50 et 75 milliards de dollars d'aide en faveurs des pays les plus démunis. Evidemment, ces engagements ne seront pas respectés. Il est donc urgent de prévoir des mécanismes efficaces de suivi du fina ncement international du développement et des engagements pris à ce propos. La ques tion de l'efficacité du fi nancement international du dével oppement reste une condition critiqu e à la réalisation des ODD pour les pays en développement et notamment pour les PMA. En effet, quelles que soient les prouesses que ces derniers réaliseront dans la mobilisation

et l'utilisation des ressources domestiques, les niveaux de financement requis pour investir dans les différents domaines, notamment les in frastructures économiques, pour créer un climat habilitant pou r le dével oppement, nécessiteront des financements additionnels substantiels. ExcellencesMesdamesetMessieurs, J'aimerais terminer mon propos, en formant le voeu que cette conférence adopte des règles, des mécanismes et des codes de conduite permett ant d'as surer un financement idoine des objectifs de développement durable et également de rompre avec les promesses non tenues qui ont assuré ment caractéris é les deux précédentes décennies. Je vous remercie

quotesdbs_dbs29.pdfusesText_35
[PDF] guide methodologique etude de gestion 1 stmg - Les cours d 'éco

[PDF] Dossier SEGPA 2016-2017 - Le Likès

[PDF] eleves de segpa - Rectorat de l 'académie de Besançon

[PDF] document d 'aide a la constitution du dossier de soutenance

[PDF] L 'IDEE D 'HUMANISME ET LA RENAISSANCEpptx - Espace

[PDF] Le Sénégal dans la traite négrière - Politique africaine

[PDF] Le mouvement humaniste - cloudfrontnet

[PDF] Baccalauréat Professionnel Électrotechnique Énergie Équipements

[PDF] Projet Interdisciplinaire - Espace pédagogique - Académie de Poitiers

[PDF] Consignes pour le dossier technologique Term STAV - cloudfrontnet

[PDF] Le plan de gestion du bocage, une réponse ? l 'aménagement du

[PDF] Baccalauréat technologique STAV - ChloroFil

[PDF] Dossier théâtre Amandine Liard - Jean Renoir Bondy

[PDF] Liste des documents ? fournir en vue de la transcription d 'un acte de

[PDF] cahier de bord pour la realisation de l u32 - SBSSA - Versailles