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Osez être impertinents, et ayez des messages tranchés. Accepter de ne pas plaire à tout le monde est une chose primordial pour fidéliser vos clients. Vous devez aussi leur faire sentir qu'ils sont spéciaux en leur offrant des cadeaux personnalisés.Quelles sont selon vous les solutions pour satisfaire un client ?
Voici 23 actions simples à mettre en œuvre.
11- Créez votre propre référence. 2Mesurez plus d'une fois. 33- ?outez ce que disent les clients. 44- ?outez ce que les clients ne disent pas. 55- Faites de la satisfaction du client un effort d'équipe. 66- Ayez un chef d'équipe. 77- Tout d'abord, pointez les vrais problèmes.
1UNIVERSITÉ RENNES 2 - HAUTE BRETAGNE
Unité de Recherche
Ecole Doctorale - Humanités et Sciences de l"HommeLE TRANSFERT,
de FREUD à LACANThèse de Doctorat
Discipline : Psychologie clinique
Présentée par Juan Pablo LUCCHELLI
Directeur de thèse : Jean-Claude MALEVAL
Soutenue le 24 novembre 2007
Jury M François ANSERMET, Professeur, Université de Genève (Rapporteur) M Philippe FOUCHET, Professeur, Université libre de Bruxelles, (Rapporteur) M François SAUVAGNAT, Professeur Université de Rennes 2 M Jean-Claude MALEVAL, Professeur, Université de Rennes 2 (Directeur de thèse) 2Remerciements
Je remercie M. Claude Lévi-Strauss d"avoir lu et échangé avec nous au sujet du texte de Lacan " Le mythe individuel du névrosé ». Je remercie M. Jean-Claude Maleval d"avoir accepté de diriger cette thèse, ainsi que pour les échanges que nous avons eu à l"Université de Rennes II. Je remercie M. François Ansermet pour les projets cliniques que nous avons pu mener ensemble : cette thèse en est un témoignage. Je remercie M. François Sauvagnat et M. Philippe Fouchet d"avoir accepté de partager leur érudition lors de la soutenance de cette thèse. 3Pour German Garcia et Serge Cottet
4 " Ainsi cet homme, comme tout homme qui désire, désire ce qui n"est ni présent, ni disponible, ce qu"il n"a pas, ce qu"il n"est pas, ce qui lui manque ; et c"est bien là, nous l"avons vu, l"objet de tout amour et de tout désir ». Platon, LeBanquet (201e).
5SOMMAIRE
1- INTRODUCTION 5
PREMIERE PARTIE
2 - Petite esquisse de Métapsychologie 9
- La première coupure : le fort-da 9 - La deuxième coupure : la différence sexuelle 11 - Les trois temps de l"OEdipe et la métaphore paternelle 15 - L"objet " a » comme un des noms de la castration 21 - A propos du mot transfert 253 - Qu"est-ce que le transfert ? 26
- Ce qu"apporte la psychanalyse 29 - Transfert et résistance 30 - Qu"est-ce que donc la résistance ? 314 - De la résistance au compromis 37
- De la résistance au compromis : de l"imaginaire au symbolique 43 - L"analyste et Socrate 46 - L"envoyer chez les femmes 475 - La présence de l"analyste 50
- " La dynamique du transfert » 50 - " Observations sur l"amour de transfert » 52 - Qu"est-ce que donc le transfert ? 55 6DEUXIEME PARTIE
LES CAS CLINIQUES DE FREUD
6 - Le cas Dora I 57
- Une interprétation est vraie à condition d"être une interprétation 667 - Le cas Dora II 68
- " Intervention sur le transfert » 68 - Identification 74 - Ce que M. K... savait 83 - Le rapport sexuel selon Dora 858 - Lacan et la signification du phallus : la " jeune homosexuelle » 89
- La jeune homosexuelle 93 - La tromperie dans le transfert 96 - L"inconscient n"est pas le rêve 999 - L"homme aux rats 101
- le " délire » de l"homme aux rats 105 - La parenthèse structuraliste 106 - La dette 109 - Interprétation : vraie ou fausse ? 114 - Bonnes interprétations, mauvais transferts... 120 - La lecture américaine : la faute de frappe ou le contre-transfert de Freud 121 - Le pot et le rat 1227TROISIEME PARTIE
LACAN : LE TRANSFERT ENTRE INTERPRETATION ET REPETITION10 - Transfert et interprétation 129
- Le déclin de l"interprétation 129 - Vérité et exactitude 132 - Interprétation et transfert 134 - L"algorithme du transfert 136 - Interprétation et " mutation » 137 - Le fils du serveur 139 - Le cas de l"homme aux cervelles fraîches 145 - Une interprétation n"est vraie qu"à condition d"être mutative : interprétation etéquivoque 147
- Un cas de stress post-traumatique 15011 - Transfert et répétition 155
- Ici et maintenant 159 - Deux thermodynamiques de la répétition 16712 - LE BANQUET OU LE TRANSFERT 172
- Eros mieux orienté 175 - Le mythe au féminin 181 - Alcibiade 185 - Epaïnos et Enkômion 186 - Le mot " agalma » 188 - Entre Socrate et Alcibiade 1898QUATRIEME PARTIE
13 - TRANSFERT ET INTERSUBJECTIVITE : LE CONTRE-TRANSFERT
- Origines du contre-transfert 196 - Paula Heimann ou la direction de la cure à la première personne du singulier 202 - Heinrich Racker ou la cure comme rapport sexuel 210 - " L"incontournable contre-transfert » 216 - Michel Neyraut ou " Au commencement c"était le contre-transfert » 219CINQUIEME PARTIE
14 - TRANSFERT ET DESIR DE L"ANALYSTE 226
Le désir de l"analyse : le ($<>a) n"est pas le (a - Séparer le I du " a » 226 - Qu"est-ce que le " trait unaire », l"idéal du moi ? 226 - Le désir de l"analyste 231 - Donc, séparons le " I » du " a » 234 - Indifférence de l"objet, différence du signifiant 238 - La " diagonale » de J.-A. Miller 243 - L"homme à l"imperméable 248SIXIEME PARTIE
TRANSFERT ET PSYCHOSE 251
15 - Un cas de psychose sous transfert 253
16 - Le transfert à l"hôpital : psychanalyse et " troubles de la personnalité » 268
Annexe : Le symbolique et l"autonomie du modèle 286CONCLUSION 294
BIBLIOGRAPHIE 296
91 - INTRODUCTION
Le transfert à l"époque du sujet de la scienceIl y a, qu"on le veuille ou non, une donnée à intégrer: nous sommes à l"époque du sujet de la
science1. Ceci signifie que nous ne pouvons plus continuer à faire comme si cela n"était pas le
cas. La science instaure un savoir " non embrayé »2, c"est-à-dire sans rapport à une
énonciation, indépendant d"un sujet qui l"énonce. Apartir de là, une question s"impose : quelle
place pour le transfert, cette notion psychanalytique qui dépend étroitement d"une énonciation ? Mieux encore : comment le définir, par exemple, eu égard à ce que certains courants de la psychanalyse ont pu élaborer sous le nom de contre-transfert, soit laconfirmation du fait qu"il s"agit, dans l"expérience psychanalytique, d"un rapport déterminé
par des " subjectivités » ? En même temps qu"il y a un constat -" il y a le sujet de la science »-
, nous voyons naître le corollaire qui lui est inhérent, nécessaire et déductible : nous sommes à
l"époque technique du " contrat » et du règne des " subjectivités » solidaires d"une perspective démocratique et libérale3. Comment traiter donc du transfert compte tenu de ces
coordonnées d"époque ? La perspective que nous adopterons dans notre recherche est solidaire du savoir moderne en ce sens : elle sera " anti-subjective ». Nous suivrons ainsiFreud et Lacan. En effet, Freud s"est aperçu très rapidement qu"il fallait que le psychanalyste
soit comme le chirurgien, c"est-à-dire inscrit dans une démarche scientifique qui fasse abstraction de sa propre subjectivité, inscrit donc dans un savoir non embrayé. Nous pouvonsainsi affirmer que la position de Freud tient déjà compte du sujet de la science, condition de la
naissance de la psychanalyse. En ce qui concerne Lacan, on sait qu"il a pu affirmer que le sujet sur lequel opère la psychanalyse est le sujet de la science. A première vue, cet axiome semble contradictoire dès lors que l"on pense que la science est construite sur la forclusion du sujet sur lequel opère la psychanalyse ! Qu"est-ce que cela signifie donc ? Cette " forclusion » signifie que, parexemple, si un scientifique qui est en train d"étudier une bactérie décède, il peut être tout de
suite remplacé par un autre scientifique. Qu"est-ce que cela signifie encore sinon le fait que la " subjectivité » du scientifique ne compte pour rien dans le savoir élaboré autour de la bactérie en question - donc savoir non embrayé ? Voilà en quoi le savoir scientifique1 Au sens donné par Lacan dans " La science et la vérité », in Ecrits, Paris, Seuil, 1966.
2 Milner, J.-C., Le juif de savoir, Paris, Grasset, 2006.
3 Au sens de Richard Rorty, Contingence, ironie et solidarité, Paris, Armand Colin, 1993.
10 implique une forclusion du sujet. Mais en même temps, nous avons la première assertion " lesujet sur lequel opère la psychanalyse est le sujet de la science ». Le psychanalyste doit être
comme le scientifique : lui aussi doit faire " abstraction » de son inconscient - il doit faire comme si cela n"existait pas. Un psychanalyste est quelqu"un qui ne sera pas encombré par son inconscient lorsqu"il fonctionne comme analyste. Voilà comment, à notre avis, les deux formules évoquées plus haut sont inévitablement imbriquées. Nous pouvons affirmer qu"il s"agit dans ces équations de mettre en valeur le registre symbolique, axe central de la première partie de l"enseignement de Jacques Lacan. Nous consacrerons un " annexe » à ce propos, à la fin de ce travail 4. Mais la question essentielle demeure : quelle place pour cette énonciation appelé " transfert » à l"époque du sujet de la science et du sujet du " contrat » ?De Freud à Lacan
Nous allons traiter du transfert, concept fondamental de la psychanalyse, en explicitant ses lignes de forces qui commencent chez Freud et trouvent ses formes les plus achevées chezLacan.
Pour Freud, le transfert est essentiellement une résistance à la cure analytique. En effet,depuis les " études sur l"hystérie », Freud décrit des phénomènes cliniques en rapport avec la
personne de l"analyste qui font obstacle " au déroulement logique » du traitement. Le mot résistance apparaît pour la première fois dans la Traumdeutung, ce qui traduit touteinterruption ou " court-circuitage » de la cure analytique. Dans ses différentes " analyses »,
Freud pourra constater l"apparition de phénomènes qui façonnent les cures, depuis le " casDora » jusqu"au cas connu comme " l"homme aux rats » : cela va de l"interruption prématurée
du traitement au transfert dit " négatif », mais pas seulement. Nous allons explorer dans lapremière partie de notre travail le transfert à l"oeuvre, dans les cas classiques de Freud, non
sans avoir donné auparavant une petite esquisse de " métapsychologie » psychanalytique. Leconstat ne se fera pas tarder : Freud fait très rapidement équivaloir le transfert à l"Oedipe et,
par là même, à la répétition : le patient répète en analyse ce qui a été vécu/raté pendant son
enfance en rapport avec ses parents. Nous sommes là dans l"aire freudienne. Depuis lors, enpsychanalyse, le transfert est lié à la répétition et la cure réduite à la résolution du conflit
oedipien, moyennant quoi, il faudra naturellement " interpréter le transfert ». Mais il y en a4 Voir "l"Annexe", intitulé "Le symbolique et l"autonimie du modèle".
11 plus : la cure ainsi conçue est composée, d"une part, d"un matériel historique (conflitoedipien) et d"autre part, d"une réédition actualisée (le transfert). Analyser sera déchiffrer
l"actuel (le transfert, la répétition) à travers le passé (par l"interprétation). Interpréter le
transfert sera ainsi une suite logique, entendons-nous : forcée. De là à l"analyse " interpersonnelle » il n"y aura qu"un pas. Mais il y aura une autre suite, non moins logique : ainsi, Lacan, dans un article de 1953,intitulé " Intervention sur le transfert » avance une première définition : " le transfert n©est
rien de réel dans le sujet, sinon l©apparition, dans un moment de stagnation de la dialectique analytique, des modes permanents selon lesquels il constitue ses objets »5. Autant dire que,
comme Freud, il lie, à cette époque, le transfert à la résistance et à la répétition. Nous
consacrererons ainsi un chapitre au thème du transfert et la répétition. Il est vrai qu"il aborde
le transfert relativement tard dans son enseignement. Le séminaire sur le transfert est le numéro huit (1960). C"est dans ce séminaire qu"il avance que l"antécédent historique du psychanalyste est Socrate. En quoi Socrate constitue-t-il un antécédent ? Dans le fait qu"ilaurait su " manier » le transfert d"Alcibiade à son égard, mettant ainsi en lumière le désir,
compris en tant que " désir d"autre chose ». C"est ainsi que Lacan en déduira le vrai " deuil »
de l"analyste : il est appelé à incarner autre chose que le " services des biens » - en quoi la
psychanalyse ne serait pas très agalmatique. La lecture du texte de Platon, Le Banquet, compte probablement comme une des contributions les plus originales de Lacan : nous allonsl"étudier dans la deuxième partie de cette thèse. Il fallait à Lacan, certes, une théorie solide
(symbolique et non seulement imaginaire) de l"objet et du fantasme. Il lui fallait, bien entendu, une théorie du manque d"objet. Mais ce n"est pas tout. Une fois ces notionsdégagées, le transfert commencera, chez Lacan, à être délié de la répétition. Si dans le texte de
1953, il identifie encore, comme les autres auteurs, le transfert à la répétition, c"est en 1964,
dans le séminaire intitulé Les quatre concepts fondamentaux de la psychanalyse, que Lacanva séparer transfert et répétition. A partir de 1964, il déconnecte le transfert de la répétition et
le " rebranche » à la pulsion : nous retrouverons ainsi les formules qui prônent une séparation
entre l"idéal du moi et l"objet dit " a » qui iront dans ce sens. Lacan met ainsi en rapport le
transfert et le sujet supposé savoir (1967), car c"est à partir de son fameux " algorithme dutransfert », qu"il définit comme un " agalma de savoir », que le transfert apparaît comme le
" commencement de l"analyse ». C"est parce qu"il y a une supposition de savoir qu"il y atransfert et donc qu"il y a analyse. Mais il va falloir encore un " quart de tour » à Lacan, pour
5 Lacan, J., Ecrits, Paris, Seuil, 1966, p. 225.
12comprendre que le savoir est aussi une jouissance, lié à la répétition, mais cette fois-ci non
celle du fantasme (comme en 1953) mais celle de la répétition ratée de la pulsion. On rentre
ainsi dans la théorie de " l"Autre qui n"existe pas », qui nous mènera à déduire que Lacan non
seulement n"est pas solidaire du contre-transfert, mais qu"il est même " contre le transfert », si
l"on pense que le transfert se soutient de l"Autre, seul à faire consister la jouissance et le symptôme. Nous allons aussi aborder une question d"actualité : le contre-transfert, aussi bien à partirdes auteurs " classiques » qu"à partir des élaborations plus actuelles. Il nous semble que toute
l"orientation psychanalytique actuelle prend en compte ce " outil » thérapeutique, à l"exception près des " lacaniens »6. C"est ainsi qu"il faudra bien argumenter la position prise
par ces lacaniens, lorsqu"ils mettent en avant le concept de Lacan de " désir de l"analyste », là
où les autres restent dans le chemin sans issue du contre-transfert. Dans la dernière partie de notre travail, nous aborderons aussi la question délicate dutransfert avec les patients dits psychotiques : un cas de psychose " sous transfert » sera traité,
mais aussi notre propre pratique dans les institutions. Ce dernier point nous permettra d"aborder un thème classique de la psychanalyse, notamment anglo-saxonne : celui des" troubles de la personnalité ». Cette question nous paraît importante, car c"est à partir de
l"expérience avec des patients dits " borderline » que les psychanalystes ont commencé à faire
du contre-transfert un outil " thérapeutique et de recherche ». Mais de plus, nous verronscomment dans les cas cliniques présentés, la notion de " borderline » est obsolète par rapport
à la clinique lacanienne des " psychoses ordinaires ». Pour revenir à la question du début, celle du rapport entre le transfert, la science et le contrat, nous pouvons affirmer que s"il y a un concept en psychanalyse qui résiste aux changements d"époque : c"est le transfert, dans la mesure où il consiste en un certain " réalisme ». Celui-ci implique aussi bien la pertinence d"un " modèle », le dispositifanalytique, que le pari selon lequel il y a bel et bien un " réel », identifié par Lacan à la
jouissance propre à l"être parlant, qui est à la base de tout lien social. Si la psychanalyse
survit, c"est aussi parce qu"il y a encore quelqu"un qui vient rencontrer un analyste pour lui parler de ce qui lui manque.6 Revue Française de psychanalyse, Le contre-transfert, avril 2006, LXX, Paris, P.U.F., p. 325 et suivantes.
13PREMIERE PARTIE
Introduction au transfert
142 - PETITE ESQUISSE DE METAPSYCHOLOGIE
Comme le signale Moustapha Safouan
7, Lacan a abordé le transfert assez tard, surtout pour
une raison très précise : il ne saurait y avoir de théorie du transfert sans une théorie de l"objet
du fantasme ainsi que des instances étudiées par Freud sous le nom d"idéal du moi et de moiidéal. Mais il faudrait surtout ordonner la théorie analytique à partir des rapports qu"a le sujet
et avec le signifiant et avec l"objet cause du désir et qui traduisent ainsi le rapport du sujet à la
castration. Nous trouvons chez Freud le fil rouge détecté par Lacan concernant ce signifiant majeur qu"est le phallus. En effet, il y a toute une série des travaux qui suivent celui du " petit Hans »8 et qui montrent bien cette primauté du complexe de castration dans la
constitution de la sexualité : pour Freud la phase phallique opère une coupure qui coïncideavec la résolution de l"OEdipe. Cette coupure c"est l"intégration de la découverte " qu"il y a de
la différence », et que cette différence se concrétise, se consolide, dans la différence sexuelle.
Mais il y aurait plutôt deux coupures de nature très différentes à distinguer 9.La première coupure : le fort-da
Dans son texte " Pour Introduire le Narcissisme »10, Freud soutient que la pulsion se sert
d"une fonction qui est l"Anhelung (appui, soutien, étayage) : la pulsion utilise l"Autre (lanourriture, l"hygiène) pour se satisfaire (satisfaction orale, anale). Nous avons là la différence
entre la pulsion et l"instinct. La pulsion se satisfait en s"appuyant (Anhelung veut dire" appui ») sur l"Autre du langage, tandis que l"instinct n"a pas besoin de l"autre pour opérer.
Mais ce n"est pas tout ce qui fait la différence entre la pulsion et l"instinct. Cet Autresymbolique (la parole, la culture) n"est pas simplement " symbolique » : l"entrée du sujet dans
ce monde symbolique a des conséquences " économiques » ou encore " énergétiques », comme l"explique Freud 11.7 Safouan, M., Le transfert et le désir de l"analyste, Paris, Seuil, 1988.
8 Freud, S., " Analyse d"une phobie chez un garçon de 5 ans », in Cinq psychanalyses, Paris, P.U.F., 1954, pp.
93-198.
9 Nous reprenons ici quelques paragraphes de notre livre La perversion, Payot-Lausanne, 2005.
10 Freud, S., Pour introduire le narcissisme, in La vie sexuelle, Paris, P.U.F., 1969.
11 Nous recommandons aussi la lecture du travail de C. Stein : " L"identification primaire », Revue française de
psychanalyse, P.U.F., tome XXVI, 1962, pp. 257-266. 15 Pour mieux comprendre la différence qu"il y a entre l"instinct et la pulsion, il nous suffit derappeler la fameuse expérience de Pavlov où la répétition matérielle d"un stimulus (en
l"occurrence une sonnerie) accompagnée de la présence de nourriture, produit chez le chienune sécrétion salivaire. L"astuce est que, par la suite, la répétition de la sonnerie non
accompagnée de nourriture continue à produire la même sécrétion. De cette manière Pavlov
montre l"existence des réflexes qu"il appelle " conditionnés » (conditionnés par un signifiant,
dirons nous) et donc modifiables par l"environnement. Cette expérience montre le rapportqu"il y a entre l"instinct et l"adaptation. Or il se trouve que pour la pulsion, ce n"est pas tout à
fait pareil, et la différence entre le chien et le sujet humain, c"est que ce dernier a un rapport
différent au signifiant. Qu"est-ce que cela peut bien vouloir dire ? Qu"est-ce qu"est la parole à
ce niveau de l"expérience ? Citons à ce propos un paragraphe du séminaire Les QuatreConcepts Fondamentaux de la Psychanalyse
12 de Lacan : " S"il y a quelque chose qui puisse
se situer au niveau de l"expérience du réflexe conditionné, ça n"est assurément pas l"association d"un signe à une chose. Que Pavlov le reconnaisse ou non, c"est proprementassocier un signifiant qui est caractéristique de toute condition d"expérience, en tant qu"elle
est instituée avec la coupure qu"on peut faire dans l"organisation organique d"un besoin - ce qui se désigne par une manifestation au niveau d"un cycle de besoins interrompus, et que nousretrouvons ici, au niveau de l"expérience pavlovienne, comme étant la coupure du désir (...)
voilà pourquoi l"animal n"apprendra jamais à parler. Au moins par cette voie. Parce qu"évidemment, il est d"un temps en retard. L"expérience peut provoquer en lui toutes sortesde désordres, toutes sortes de troubles, mais, n"étant pas jusqu"à présent un être parlant, il
n"est pas appelé à mettre en question le désir de l"expérimentateur, qui d"ailleurs, si on
l"interrogeait lui-même, serait bien embarrassé pour répondre »13. Ce paragraphe nous montre
la différence qu"il y a entre le réflexe conditionné et la pulsion: l"être parlant se différencie du
chien non seulement parce qu"il a le temps de se poser la question du désir de l"Autre, en l"occurrence celui de l"expérimentateur (" qu"est-ce qu"il veut cet Autre avec sa sonnerie sans me donner de nourriture ? »), mais il a aussi le temps de répondre lui-même à sa propre question, en inventant le jeu du fort-da14. Rappelons en quoi consiste ce jeu : un enfant âgé
d"un an et demi, lance une bobine par l"intermédiaire d"un fil, chaque fois que sa mère n"est pas là. Il joue en lançant la bobine et en exclamant " oh ! » lorsque la bobine est loin et" ah ! » lorsqu"il la fait revenir. Cette mère qui lui a tout donné et qui a su être tout pour lui
12 Lacan, J., Le séminaire, livre XI, Les quatre concepts de la Psychanalyse, Paris, Seuil, 1966.
13 Lacan, J., op. cit. p.215.
14 Freud, S., Au-delà du principe du plaisir, in Essais de psychanalyse, Paris, Payot, 1981.
16 devient aussi méchante que Pavlov avec son chien - elle lui donne la nourriture de saprésence quand cela lui chante ! C"est ainsi que la mère devient (et tant mieux pour l"enfant !)
capricieuse : elle a des choses à faire ailleurs, c"est son désir de phallus, son désir de femme,
qui ne pourra jamais se limiter uniquement à son désir d"enfant, qui entre en ligne de compteentre l"enfant et la mère. Ce jeu du fort-da est l"activité fantasmatique par excellence : là où
l"Autre ne répond pas (la mère, en l"occurrence), le sujet remplit le vide en mimant uneréponse de l"Autre. Le sujet peut répondre aussi avec un objet, avec n"importe quel objet, par
exemple, une bobine15. Cela marque donc qu"il y a pour la pulsion, une " mutilation »
essentielle (à savoir l"absence d"un objet immédiat qui la satisfait : la mère, en l"occurrence)
chez tout être parlant : dorénavant celui-ci doit faire représenter sa demande parl"intermédiaire de deux " phonèmes » (fort-da). La pulsion se satisfait à l"aide des signifiants,
en d"autres termes avec ce que Lacan appellera la Demande, car le fort-da est surtout une demande, un appel adressé à l"Autre. Ce jeu est un cercle infernal ! Une fois qu"on est dedans on n"en sort plus : c"est ce que Lacan appelle l"aliénation : " Pas de Fort sans Da...C"est-à-dire qu"on n"a pas le choix »16. Une fois
que l"on est dans le fort-da, nous sommes condamnés à l"Autre, à la parole même, c"est-à-dire
que pour satisfaire notre " peu de réalité », il nous faut un scénario qui n"ait pas été pas
inventé par nous. Le petit qui dit fort-da n"a pas inventé la langue allemande, ni les " aller et
retour » de la mère (espèce de " sonnerie sans nourriture ») qui le laissent " en attente ». Voici
donc la première coupure qui introduit le sujet dans le monde symbolique constitué par des pairs signifiants (fort-da, bon-mauvais, etc.). La deuxième coupure : la différence sexuelle Il y a un seul trait distinctif entre le petit corps d"un garçon et celui d"une fille : c"est le pénis. Ce pénis qui deviendra le symbole de la différence sexuelle, symbole que Lacan appelle le phallus. Mais pour que l"absence ou la présence du pénis atteigne le statut d"un symbole, il faut un dépassement subjectif du complexe de castration : il faut que le garçon subisse une menace de castration et qu"il renonce à son objet de désir incestueux sous la forme d"une promesse (" un jour je deviendrai comme mon père » ). Il faut également que la15 Le rapport entre l"expérience de Pavlov et le fort-da est avancé par Lacan. Nous n"avons qu"à nous référer à la
suite du paragraphe cité : " Si le petit sujet peut s"exercer à ce jeu du fort-da, c"est justement qu"il ne s"y exerce
pas du tout, car nul sujet ne peut saisir cette articulation radicale. Il s"y exerce à l"aide d"une petite bobine, c"est-
à-dire avec l"objet a », Les quatre concepts, op. cit. p. 216.16 Les quatre concepts, op. cit. p. 216.
17 fille accepte partiellement son manque de pénis (castration), mais en échange d"une autre promesse (" j"aurai un enfant de la part de celui qui a le phallus - le père ou, plus exactement un substitut du père »). Nous voyons que dans les deux cas, ces attitudes supposent une reconnaissance, mais aussi une méconnaissance de la différence sexuelle, c"est-à-dire de la propre castration. L"hypothèse freudienne est que l"inconscient implique un " refoulement » de cette insuffisance qu"est la reconnaissance de la différence des sexes, laquelle suppose une certaine assomption de la propre castration chez les deux sexes. Mais ce qui paraît clair, cest qu"il n"y a pas d"acceptation de cette insuffisance sexuelle sans qu"il y ait en échange une sorte de promesse imaginaire de compensation à cette perte (devenir comme le père, avoir un enfant, etc.). Cette promesse qui tranquillise l"enfant, Lacan l"appelle le phallus. Selon Freud, l"inconscient ne connaît pas la différence sexuelle, il ne connaît qu"un seulsexe, le sexe mâle. Tout être serait pourvu d"un pénis. Et pourquoi ceci? Quel intérêt l"enfant
aurait-il à croire cela ? Ceci mérite certaines précisions. Dans l"article " La Négation »
17, Freud nous rappelle que l"inconscient est constitué par un certain nombre d"inscriptions" mnésiques » qui se produisent en deux temps différents. Un premier temps où s"établit un
groupe de " traces mnésiques », inscriptions des premières expériences de satisfaction de
l"enfant. Il s"agit d"un ensemble de différences, de traits distinctifs par lesquels on sait " qu"une propriété est ou n"est pas à une chose »18. Ces propriétés ne sont pas coordonnées
entre elles et se limitent à des appréciations simples sur la propriété d"un objet (" La propriété
dont il doit être décidé pourrait originellement avoir été bonne ou mauvaise, utile ou
nuisible »19). C"est une première coupure (soit une première série de différences, de traits
distinctifs) qui correspond aux différentes expériences de satisfaction liées aux zones érogènes, aux bords pulsionnels (oral, anal, etc.). Ensuite, Freud décrit ce qu"il nomme le jugement sur " l"existence » d"une chose, soit le fait que cet ensemble désordonné d"inscriptions s"ordonne à partir d"une nouvelle inscription par où on sait si la perceptiond"une chose peut se retrouver dans la réalité (Freud appelle cela " épreuve de la réalité »). Il
s"agit donc de savoir si la chose représentée dans la première coupure, la première expérience
de satisfaction peut se retrouver dans la réalité. Il est clair que si on la retrouve, c"est parce
qu"elle n"est pas tout à fait la même qu"avant : on ne retrouve jamais exactement ce que l"on cherche. Freud prend le soin de mettre en italique le mot " retrouver » : " La fin première et17 Freud, S., La négation, in Résultats, idées, problèmes, Paris, P.U.F., 1985, p. 135.
18 La négation, op. cit., p. 137.
19 La négation, op. cit., p. 137.
18immédiate de l"épreuve de réalité [deuxième coupure] n"est donc pas de trouver dans la
perception réelle un objet correspondant au représenté mais de le retrouver, de se convaincre
qu"il est encore présent »20. Ainsi, cette deuxième inscription apporte une nouvelle couche à
tous les objets du monde représentatif : cette nouvelle couche , cette différence majeure qui ordonne les différences préalables, une fois de plus, nous posons que c"est le primat phallique. De cette manière, les premières inscriptions, les premières " coupures » qui introduisent les expériences de satisfaction ainsi que les premières frustrations de l"enfant(souvenons-nous des présences de la mère qui " satisfont » l"enfant, mais aussi ses premières
absences qui introduiront le jeune sujet dans le monde des frustrations) sont mises au jourpar cette " ultime » inscription qu"est la phase phallique. C"est à partir de celle-ci que toutes
les autres expériences de satisfaction sont réorganisées. Lisons ce que Freud écrit au sujet des
objets pulsionnels et de leur réorganisation à partir du primat phallique dans son essai intitulé
" Sur les transpositions des pulsions »21 : " les concepts d"excrément (argent, cadeau),
d"enfant et de pénis se séparent mal et s"échangent facilement entre eux (...) ces éléments
sont fréquemment traités dans l"inconscient comme s"ils étaient équivalents les uns aux autres
et comme s"ils pouvaient se substituer sans inconvénients les uns aux autres »22. Nous
sommes là encore dans la variété des différences, des inscriptions, sans que l"on perçoive pour
autant une hégémonie du pénis sur les autres termes. Ceci correspond au premier temps, le temps de la première coupure. Mais Freud ajoute un peu plus loin : " Il est beaucoup plus facile de reconnaître chez l"homme une autre pièce de cette connexion [entre les objets(enfant, cadeau, matière fécale) et le pénis] . Elle s"établit quand l"enfant a fait l"expérience au
cours de ses investigations sexuelles du défaut de pénis chez la femme. Le pénis est alors reconnu comme quelque chose que l"on peut séparer du corps et est identifié comme analoguede l"excrément qui était la première pièce de substance corporelle à laquelle il a dû renoncer.
C"est ainsi que le vieux défi anal entre dans le complexe de castration »23. Le but de cet article
de Freud de 1917 est de montrer que la " transposition » des pulsions a pour commune mesurele phallus, étalon du désir. Souvenons nous qu"il ne s"agit pas de l"organe masculin, le pénis,
mais plutôt de ce qu"il représente comme valeur différentielle dans le choix d"objet. Partons de ceci : l"enfant a, pour la femme, une valeur érotique. Vu que toute valeur(érotique) naît de la différence sexuelle, celle-ci est par définition " phallique », référée au
20 La négation, op. cit., p. 138.
21 Freud, S., Sur les transpositions des pulsions, in La Vie Sexuelle, Paris, P.U.F., 1969,
22 Sur les transpositions des pulsions, op. cit. p. 108.
23 Sur les transpositions des pulsions, op. cit., p. 112.
19phallus comme symbole et élément marqueur de la différence sexuelle. L"enfant équivaut au
phallus : soit à ce qui fait que, dans l"inconscient, la mère veut avoir ce pénis qui lui manque.
Lisons ce que Freud écrit à ce propos : " Si l"on explore assez profondément la névrose d"une
femme, il n"est pas rare qu"on finisse par buter sur le désir refoulé qu"elle a de posséder comme l"homme un pénis (...) Chez d"autres femmes rien ne laisse indiquer ce désir dupénis ; sa place est prise par le désir d"avoir un enfant, dont la frustration dans la vie peut
alors déclencher la névrose (...) la nature a donné à la femme un enfant comme substitut de
l"autre chose (...) le désir du pénis est fondamentalement identique à celui d"avoir un enfant
24. Nous voyons donc que ce désir, lié à quelque chose qui manque (il ne peut avoir de
manque que " phallique »), trouve un substitut dans l"enfant. C"est de cette manière quel"enfant est " valorisé » par la mère. Il est ce qui lui manque. Il est clair que pour arriver à
cette substitution (enfant = pénis qui manque à la mère) , la femme doit subir quelque changement, quelque mutation, quelque transposition. Lisons comment Freud voit cette " transposition » qui lie chez la femme l"enfant au pénis: " Nous pourrions indiquer queldestin connaît le désir infantile d"avoir un pénis lorsque les conditions de la névrose sont
absentes dans la vie ultérieure. Il se change alors en désir de l"homme, autrement dit il agrée
l"homme en tant qu"appendice du pénis. Par ce changement, une motion dirigée contre la fonction sexuelle féminine devient une motion qui lui est favorable. Pour ces femmes, il devient alors possible d"avoir une vie amoureuse selon le type masculin de l"amour d"objet,qui peut s"affirmer à côté du type proprement féminin, dérivé lui du narcissisme. Donc, sur ce
point aussi l"enfant peut être remplacé par le pénis »25. Il est déjà assez frappant que lorsqu"il
s"agit de parler des " transpositions des pulsions » (on entend par là les pulsions " prégénitales »), Freud démontre sur de longues pages comment le phallus est le dénominateur commun libidinal des " objets » des dites pulsions.Toujours pour Freud, la fille voudra ce pénis (cette " valeur », cette différence qui vaut pour
la mère), l"homme voudra ne pas le perdre. Par ailleurs, l"enfant (fille ou garçon) vient avec le
pénis (comme substitut, c"est-à-dire comme valeur phallique) quel que soit son sexe. S"il estquotesdbs_dbs29.pdfusesText_35[PDF] overbooking hotel definition
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