[PDF] Banque et nouvelles technologies





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Limpact des nouvelles technologies sur lactivité bancaire en

Le secteur bancaire joue un rôle fondamental dans le financement de l'économie. Ainsi les banques sont incourtournables



Banque et nouvelles technologies

Banque et nouvelles technologies. L'impact des réseaux sur l'activité bancaire et interbancaire. L'accès direct au système d'information par les clients.



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17 févr. 2018 de banque aux Etats-Unis dans les années 1970. ... l'impact des nouvelles technologies d'automatisation sur les travailleurs (voir la Note.



Les Fintech sont-elles une opportunité ou une menace pour les

entreprises vont s'imposer et remplacer les banques telles que nous les De nouvelles technologies font leur apparition dans le monde bancaire et.

HORIZONS BANCAIRES

NUMÉRO 316 - FÉVRIER 2003

REVUE ÉDITÉE PAR CRÉDIT AGRICOLE S.A.

DÉPARTEMENT DES ÉTUDES ÉCONOMIQUES ET BANCAIRESBanque et nouvelles technologies L'impact des réseaux sur l'activité bancaire et interbancaire L'accès direct au système d'information par les clients

Quelles implications ?

Le cas des prestations bancaires à distance

Risques et sécurité sur Internet

Les moyens de paiement sur Internet

Internet et le droit

L'expérience d'un e.broker

Un bilan d'étape

Eclairages européensHoriz?ons B?ancair?es?

NUMÉRO 316 - FÉVRIER 2003

C

RÉDIT

A

GRICOLE S

A S O M M A I R E

BERNARD MICHEL,

DIRECTEUR GÉNÉRAL ADJOINT DECRÉDITAGRICOLES.A. L'impact des réseaux sur l'activité bancaireet interbancaire : panorama général HERVÉ SITRUK, CONSULTANT SUR LES TECHNOLOGIES BANCAIRES ET INTERBANCAIRES, ANCIEN RAPPORTEUR AUPRÈS DUCNCT, ANCIEN DIRECTEUR GÉNÉRAL DECYBER-COMM

L'accès direct au système d'information

par les clients via les médias électroniques.

Quelles implications ?

Le cas des prestations bancaires à distance

.................17 SYLVIE GERBAIX, MAÎTRE DE CONFÉRENCES, UNIVERSITÉ DEPARIS-SUD.

L'Internet : risques et sécurité...................................................................33

Les moyens de paiements sur Internet....................................41 MIGUEL LE CONTE, RESPONSABLE VEILLE STRATÉGIQUE, C ENTRE D'ÉCHANGES DE DONNÉES ET D'INFORMATIONS MONÉTIQUES(CEDICAM),

GROUPECRÉDITAGRICOLES.A.

HORIZONS

Banque et

BANCAIRES - NUMÉRO 316 - FÉVRIER 2003

L'expérience d'un e.broker..........................................................................................................................49

GUILLAUME DE CHARRY, DIRECTEUR GÉNÉRALCPR ONLINE, GROUPECRÉDITAGRICOLES.A. Internet et le droit : autorégulation, régulation et corégulation

ANNIE GUERMEUR, RESPONSABLE DIVISIONNTIC,

DIRECTION JURIDIQUE, FISCALE ET DOCUMENTAIRE, CRÉDITAGRICOLES.A.

Un bilan d'étape................................................................................................................................................................63

JEAN-PASCAL ACQUAVIVA, DIRECTEUR CENTRAL"E-DÉVELOPPEMENT», CRÉDIT AGRICOLES.A.

ANNEXES

Éclairages européens...................................................................................................................................................69

nouvelles technologies 4

NUMÉRO 316 - FÉVRIER 2003

DIRECTEUR DE LA PUBLICATION

Jean-Luc Pothet

Pascal Blanqué

Danielle Monsimier

CONTACTS

Crédit Agricole S.A.

75710 Paris Cedex 15

Tél. : 01 43 23 69 02 - Fax : 01 43 23 58 60

Internet : http://www.credit-agricole.fr/ca/kiosque-eco/index.html

CONCEPTION - MISE EN PAGES

Bleu comme une Orange

IMPRESSION

Crédit Agricole S.A.

COMMISSION PARITAIRE

N° en cours

" Cette publication reflète l'opinion du Crédit Agricole. Toutefois, les analyses qui y sont exprimées ne constituent en aucune façon une offre devente ou une sollicitation commerciale et ne sauraient donc engager la responsabilité du Crédit Agricole ou de l'une de ses filiales. Toute repro-duction totale ou partielle sans autorisation préalable ou expresse du Crédit Agricole en est expressément interdite. »

"All rights reserved. This publication has been prepared by and reflects the current views of Crédit Agricole. It is provided for your informa-tion purposes only and it is not intented as an offer or solicitation for the purchase or sale of any financial instrument. The views, opi-nions, estimates reflected therein constitue our judgement. Neither Crédit Agricole or its affiliates nor any officer or employee thereofaccepts any liability whatsoever for any direct or indirect loss arising from the use of this publication or its contents which may not bereproduced or circulated without our prior written consent. Crédit Agricole, its affiliates and their respective officers, directors andemployees including persons involved in the preparation of this document may from time to time, deal in, hold or act as market makers oradvisors, brokers or investment or commercial bankers in relation to securities, derivatives, issuers or any persons mentioned herein."

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NUMÉRO 316 - FÉVRIER 2003

Les vagues d'innovations qui se sont succédé durant les derniè res décennies dans le domaine des technologies de l'information et de la communication ont profondé ment modifié la nature des services bancaires et financiers. Ces technologies, entendues comme un large ensemble regroupant l'util isation de bases de données de plus en plus riches, de moyens de transmission et de paiem ent électroniques, de centres d'appels téléphoniques, d'équipements en informat ique et téléphonie mobile et sur- tout de réseaux de télécommunications ouverts, ont renouvelé la relation entre les banques et leurs clients ainsi que les prestations financières et les métie rs bancaires. Elles ont créé des opportunités stratégiques et commerciales . Un des avantages les plus évi- dents de l'Internet par exemple réside dans la réduction substa ntielle des coûts d'infrastruc- tures et de transaction. De même, l'offre bancaire en ligne peut ê tre adaptée au profil de la clientèle et à ses attentes. Elle permet d'atteindre de nouveau x segments de clientèle, en parti- culier dans les activités de courtage. A bien des égards, les technologies bancaires constituent un facteur structurant pour le monde bancaire. Elles entraînent des mutations sociales, génératrices de nouvelles formes de métiers, de qualifications et de formations. La recherche d'économies d'

échelle suscite des partenariats

entre les banques mais aussi avec des acteurs non bancaires. En ce sens, ces technologies apportent leur contribution aux restructurations du secteur et à la d iversification de l'offre. On perçoit alors les enjeux pour l'activité bancaire, notamment en termes d'investissements, et les incertitudes concernant la rentabilité d'exploitation comme l'a ttestent les résultats de certaines banques électroniques ici ou là dans le monde. En tout état de cause, la concurrence s'accroît et la comparaison directe et immédiate désormais possible entre le s différentes offres est source d'une plus grande volatilité de la clientèle. La communauté bancaire a intégré cette nouvelle donne. S'il existe des différences de réponses d'un pays à l'autre, celles-ci ont toutefois tendance à s' estomper. Les systèmes bancaires anglo- saxons et scandinaves se sont largement engagés dans une mutation ver s la banque à distance. Mais cette mutation n'a pas produit des effets aussi radicaux que ceu x qui avaient été, il y a quelque temps, anticipés. Le marché français possède quant à lui ses propres caractéristiques d'organisation et de structure. Les banques exclusivement en ligne on t certes accru leur poids relatif mais les établissements traditionnels conservent l'essenti el des parts de marché et privilé- gient à l'évidence une approche " multicanal » centrée sur le client. Davantage perçus comme facteurs d'amélioration du service rendu, l'Internet et les aut res moyens d'accès direct devien- nent ainsi des modes d'accès et de distribution parmi d'autres, complémentaires des réseaux d'agences permettant le contact humain et le conseil. L'un et l' autre restent primordiaux et ne sauraient disparaître au profit d'une relation entièrement au tomatisée. Cette nouvelle donne génère également des risques nouveaux qui doivent être soigneusement considérés. La question relève tout d'abord d'une réfl exion d'ensemble sur la stabilité finan-

EDITORIAL

BERNARD MICHEL

DIRECTEUR GÉNÉRAL ADJOINT, CRÉDIT AGRICOLE S.A. 6

NUMÉRO 316 - FÉVRIER 2003

cière. Il faut notamment garder à l'esprit que la banque électronique transcende les frontières

géographiques ou sectorielles. Elle implique pour cette raison une coopération renforcée entre

les différentes autorités. Les travaux du groupe " banque électronique » constitué au sein du

Comité de Bâle ou ceux du Forum de stabilité financière illustrent les efforts déployés pour

améliorer le fonctionnement du système financier international.

Un risque stratégique s'ajoute à ce risque financier. Définir une stratégie est toujours une

démarche cruciale et difficile. C'est plus particulièrement le cas lorsque l'ampleur et le rythme

des investissements pour réussir l'adaptation sont incertains, lorsque les évolutions considérées

sont susceptibles de bouleverser, à terme, le fonctionnement même de l'institution. Les banques

doivent néanmoins mesurer l'impact des stratégies retenues sur leur organisation et leurs résul-

tats et définir une politique globale de maîtrise du développement des nouveaux médias. Des risques opérationnels existent également, avec une portée sensiblement amplifiée. Il importe de les identifier et de les analyser. Ceci concerne en premier lieu l'organisation et la

mise en oeuvre des procédures de contrôle interne, la sécurité des opérations et la surveillance

du blanchiment. Ceci vise en second lieu la capacité de la banque à choisir ses partenaires, à

instaurer les dispositifs adéquats pour les contrôler et identifier les responsabilités. La sécurité juridique est une autre préoccupation importante. Les risques sont multiples.

Comment s'assurer de la qualité et de la capacité juridique du client et du prestataire en ligne ?

Comment authentifier les opérations ? Sur ce registre, le risque lié aux activités transfrontières

nécessite une réflexion approfondie. Les conditions d'accès à la profession pour les nouveaux entrants sur le marché constituent aussi un point sensible. Aujourd'hui, le cadre juridique européen reste complexe, dispersé et

peu adapté. En dépit de quelques avancées significatives qui pourraient forcer les évolutions, le

marché intérieur pour les services financiers de détail demeure fragmenté, alors même que ces

technologies devraient contribuer à l'unifier. Enfin, les dysfonctionnements techniques susceptibles d'intervenir dans les opérations en ligne

créent un risque d'altération d'image pouvant être préjudiciable aux banques puisque de nature

à entamer la confiance du client. Il est par conséquent indispensable de disposer de systèmes

fiables et sécurisés. A l'heure actuelle, aucun dispositif ne s'impose comme standard largement

reconnu et adopté et les solutions restent à inventer. La transposition de la directive européenne

sur la signature électronique permettra certes de progresser. Au demeurant, et pour être vérita-

blement efficace à long terme, toute solution devra aussi s'inscrire dans une perspective interna-

tionale où, idéalement, des normes communes assureraient l'interopérabilité des systèmes.

Faut-il le rappeler, dans le domaine technologique, rien n'est jamais définitivement acquis.

Dès lors, les risques fluctuent au gré des innovations et imposent des efforts constants d'adap-

tation. Cette capacité à aborder et traiter de questions nouvelles, les acteurs du monde ban-

caire et financier l'ont largement démontré. Comme d'autres banques, le Crédit Agricole a su

réagir au bon moment. En complément à son réseau d'agences, il a, au fil des années, créé,

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