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Éléments transposables et nouveautés génétiques chez les

mique à un autre grâce à la transposa- se une enzyme codée par l'élément. Une fraction très importante des génomes eucaryotes est constituée d'ADN mobile.



Éléments mobiles SINE en phylogénie

ments) sont des éléments mobiles de l'ADN déri- vés principalement des ARN de transfert ou de sites d'insertion de ces éléments transposables a.



Chapitre IV: les Transposons et les Intégrons I) Les éléments

séquences d'ADN porteuses des gènes nécessaires à ce processus et donc capables de Les cassettes sont des éléments mobiles capables d'être intégrés ou ...



Dissémination de la résistance aux antibiotiques : le génie

Récemment on a décrit des éléments d'ADN



LA GÉNÉTIQUE MOLÉCULAIRE POUR LES NULS

Les rétrotransposons des éléments mobiles de l'ADN. • Le génome humain comporte des séquences courtes très répétées et. « mobiles » (éléments.



Etude des éléments régulateurs de lexpression des gènes chez l

28 nov. 2019 gènes codants de nombreux éléments de l'ADN auraient un rôle dans l' ... (PDF). S5 Fig. Gene expression distribution and FANTOM5 enhancer ...



La recombinaison illégitime dans les cellules de mammifère

d'ADN ne présentant pas ou très peu d'homologie de sé quence. Elle est à l'origine de diverses anomalies du éléments différents d'acide ... Mobile DNA.



Cours de Biologie Moléculaire et Génie Génétique

Au moins trois éléments d'ADN agissant en cis régulent l'initiation de la transcription par l'ARN polymérase II. Les facteurs généraux de la transcription ( 



Syllogomanie moléculaire : lADN non codant enrichit le jeu des

et ADN codant (gène) il existerait un continuum de protogènes cor- respondant à des états intermédiaires entre Quand les éléments génétiques mobiles.



Résultats Prove it

ADN. ARN. Sondes (n=50 à 250 000) . ADN: oligonucléotides produits PCR Applications des puces à ADN ... Phylogénie / perte-gain d'éléments mobiles ...



Structure et organisation de l'ADN (Acide désoxyribonucléique)

L'ADN constitue le patrimoine génétique de la quasi-totalité des espèces vivantes (Sauf certains virus à ARN) Il est transmis de génération en génération Le message transmis par l'ADN spécifie la reproduction et le fonctionnement de chaque organisme vivant Chez les eucaryotes on retrouve la quasi-totalité de l'ADN dans le noyau

Comment s'agencent les éléments de l'ADN?

Agencement :Ces éléments s'agencent de la manière suivante pour former la structure primaire de l'ADN : Remarque: Par convention, le sens d'un brin d'ADN commence par l'extrémité 5' phosphate libre et se termine par l'extrémité 3'-OH libre du dernier nucléotide.

Quelle est la structure de l'ADN?

L'ADN appartient à la famille chimique des acides nucléiques ; C'est un grand polymère défini par une séquence linéaire d'unités simples répétées. II/ Structure de l'ADN : II.A. Structure primaire : L’ADN soit l’acide désoxyribonucléique est un polymère contenant des chaines de monomère appelé Nucléotide formé de :

Quels sont les éléments encore fonctionnels?

Les seuls encore fonctionnels sont certains SINEs (type Alu) et LINEs (type L1). Par ex. une petite centaine d’éléments LINE-1 sont toujours fonctionnels, leur transposition occasionnelle dans des gènes est à l'origine d'une soixantaine de maladies génétiques.

Pourquoi les bases de l’ADN-B sont-elles droites?

que l’ADN- B avec9 paires de bases par tour d’hélice et 23A° de diamètre, l’hélice est droite mais l’orientation des bases et légèrement différente, elles sont inclinées et décalées latéralement par rapport à l’axe de rotation, il en résulte une modification du petit sillon et du grand sillon.

Éléments transposables et nouveautés génétiques chez les I m/s n°11, vol.16, novembre 2000

Société Française de Génétique

Les éléments transposables sont des

séquences d'ADN capables de se déplacer d'un site chromosomique à un autre. Ils se répartissent en deux groupes principaux sur la base de leur mécanisme de transposition. Les élé- ments de classe I, ou rétroéléments, transposent viala transcription inver- se d'un intermédiaire ARN, tandis que ceux de classe II transposent directement d'un site chromoso- mique à un autre grâce à la transposa- se, une enzyme codée par l'élément.

Une fraction très importante des

génomes eucaryotes est constituée d'ADN mobile. Par exemple, 10 à

15% du génome est constitué d'élé-

ments transposables chez

Drosophila

melanogaster , plus de 50% chez le maï s, et on estime que plus de 40% du génome humain pourrait dériver d'éléments transposables [1]. L'intérêt porté aux éléments transpo- sables se focalise sur deux points principaux: l'évolution des éléments transposableseux-mêmes et leur impact sur le génome des hôtes. Au cours des dernières années, nous avons orienté nos recherches sur ce deuxième aspect, c'est-à-dire sur le rôle des éléments transposablesdans l'évolution de la structure et du fonc- tionnement du génome de l'hôte.

Cette démarche est plutôt neuve car,

il y a peu, les éléments transposables

étaient considérés comme de l'ADN

essentiellement égoïste [2]. Cette dernière vision reste valable si l'on considère une courte fenêtre de temps puisque les éléments transpo- sables se maintiennent dans une espèce grâce à un équilibre entre transposition et élimination, sans apporter aucun bénéfice adaptatif àleur hôte. Cependant, en raison de leur pérennité sur de longues périodes évolutives, les éléments transposablespeuvent être à l'origine de mutations qui peuvent avoir des conséquences majeures sur l'évolu- tion du génome de l'hôte [3]. Par exemple, la comparaison des génomes bactériens met en évidence que de nombreux réarrangements chromosomiques sont associés à des systèmes géniques formellement équi- valents à des éléments génétiques mobiles: les complexes de gènes res- triction-modifications [4]. Dans ces complexes, le gène d'une enzyme de restriction est souvent physiquement associé à un gène codant une méthy- lase qui modifie les sites cibles recon- nus par l'enzyme, les protégeant ainsi de la coupure: le duo endonuclase- méthylase est formellement équiva- lent au duo transposase-regulateur d'un élément transposable. Chez les eucaryotes, il existe aujourd'hui de nombreux exemples qui démontrent aussi que des changements de struc- ture ou de fonctionnement du géno- me sont associés à des éléments trans- posables ou à des séquences dérivées d'anciens éléments transposables (pour revue, voir[5]).

Par ailleurs, de nombreuses observa-

tions montrent que les éléments transposablespeuvent être inactivés par des mécanismes épigénétiques tel que la méthylation, l'hétérochro- matinisation et la co-suppression [6-

8]. Ces découvertes suggèrent que,

chez les eucaryotes, les éléments transposablespourraient être consi- dérés comme des agents favorisant la mise en place de certains méca- nismes de régulation épigénétique

Éléments transposables et nouveautés

génétiques chez les eucaryotes

Dominique Anxolabéhère

Danielle Nouaud

Wolfgang J. MillerSociété Française

de Génétique

Président

Jean Génermont, Université Paris-XI,Orsay

Secrétaire général

Michel Werner, CEA Saclay,Gif-sur-Yvette

Trésorière

Cécile Fairhead, Institut Pasteur, Paris

Vice-présidentsRoland Berger, Institut de génétiquemoléculaire, ParisAlain Bernheim, Institut Gustave-Roussy, VillejuifClaude Chevalet, Inra, Centrede recherches de ToulouseSerge Potier, Université Louis-Pasteur,StrasbourgHervé Thiellement, Inra, DGAP,Versailles

Autres membres du bureau

Anne Cambon-Thomsen, CnrsToulouseLionel Larue, Institut Curie, OrsayMarc Lipinski, Institut Gustave-Roussy, VillejuifLouise Telvi, Hôpital Saint-Vincent-de-Paul, Paris

Prière d'adresser toute correspondance auSecrétariat général de la SFG, MichelWerner, Service de biochimie et de géné-tique moléculaire, CEA Saclay, bâtiment142, 91191 Gif-sur-Yvette Cedex, France.

Comité de rédaction

A. BernheimM. Bolotin-FukuharaM. FellousJ. GénermontM.C. Hors-CaylaR. MottaA. NicolasM. SolignacS. SommerP. ThuriauxD. de Vienne

Secrétaire

M.L. Prunier

Société Française de Génétique

II m/s n°11, vol.16, novembre 2000 [9, 10]. Ils auraient ainsi pu contri- buer à deux transitions évolutives majeures: l'élaboration de la chro- matine lors du passage des proca- ryotes aux eucaryotes, et la méthyla- tion lors de celui des invertébrés aux vertébrés [9, 11].

La suite de cet article est focalisé

sur l'impact qu'ont pu avoir, au cours de l'évolution, les éléments transposablessur l'émergence de nouveautés génétiques adaptatives, notamment sur la formation de gènes nouveaux au travers du recru- tement par le génome de l'hôte de l'un de ces "parasites génomi- ques». De plus, nous discuterons l'hypothèse selon laquelle la domes- tication moléculaire des éléments transposablespourrait représenter la survivance du processus évolutif qui a dirigé la transition des génomes "primitifs»vers les génomes "modernes»au cours des pre- mières étapes de la vie.

Élément transportable

et évolution des chromosomes

Certains éléments transposables par-

ticipent au maintien et à l'évolution de la structure des chromosomes. Ils sont des constituants des régions télomériques et centromériques, mais ils ne peuvent plus être assimilés

à de simples "déchets génomiques»

the junk DNA hypothesis). Leur pré- sence dans ces régions chromoso- miques est le résultat d'une sélection positive liée à leurs propriétés telles que la mobilité ou bien encore la fixation de protéines de l'hétéro- chromatine.

Régions centromériques

Chez les mammifères, l'hétérochro-

matine péricentromérique, télomé- rique et intercalaire est générale- ment constituée de longues séquences d'ADN satellite composées de monomères répétés en tandem direct qui représentent 15 à 30% du génome. Les ADN satellites d'espèces apparentées sont parfois très diver- gents et la question se pose de savoir si les monomères qui constituent cecompartiment génomique subissent une évolution rapide ou bien s'ils sont, au moins en partie, formés par le recrutement et l'amplification de séquences d'ADN non satellite. Cette dernière hypothèse s'appuie sur l'observation qu'il n'existe pas de spécificité particulière des mono- mères de ces satellites et que, par conséquent, de nombreux fragments d'ADN, en particulier des séquences répétées, pourraient être amplifiés pour constituer de l'ADN satellite.

Par exemple, l'ADN satellite majori-

taire des cétacés est issu de l'amplifi- cation d'un fragment d'ADN dans lequel est inséré une partie de la séquence d'un l'élément

L1(rétro-

transposon de type LINE des mam- mifères) [12]. Le monomère a une longueur de 1760 pb, dont 540 pb présentent une identité de 63% avec la région 3' terminale de l'élément

L1. Ce rétrotransposon a donc été

recruté dans le génome de l'ancêtre de cet ordre de mammifères marins pour entrer dans la composition de l'ADN satellite des régions hétéro- chromatiques.

Une situation assez semblable a été

décrite chez des drosophiles [13].

Une famille d'ADN répété appelée

SGMa été caractérisée dans le géno- me de la triade d'espèces de droso- philes,

D. subobscura, D. guanche et D.

madeirensis . Des séquences dérivées de cette famille

SGMconstituent

chez

D. guanchel'un des motifs majo-

ritaires de l'ADN satellite de l'hétéro- chromatine centromérique. Elles sont aussi présentes dans ses deux espèces jumelles, mais en nombre notablement plus faible, et leurs copies sont dispersées dans le géno- me, insérées dans des sites euchro- matiques, ce qui témoigne de leur mobilité récente. Cependant, elles sont absentes des régions centromé- triques. Ces éléments présentent cer- taines similitudes structurales et fonc- tionnelles avec les transposons de type MITE (miniature interspaced trans- posable element) [14]. Des éléments

SGMont probablement subi au

niveau des centromères une amplifi- cation en tandem dans le processus de formation de l'ADN satellite hété- rochromatique, participant ainsi à la structuration des chromosomes. Lerecrutement de cette famille d'élé- ments répétés dans le processus de formation des régions centromé- riques a pu être totalement fortuit, mais il peut aussi être le résultat d'une sélection s'exerçant sur une propriété particulière de ces élé- ments. Dans le cas qui nous intéresse, ce pourrait être celle de retenir des protéines qui se fixent à l'ADN, les

éléments transposables étant alors

recrutés par le génome de l'hôte pour stabiliser des régions centromé- riques au cours de la division cellulai- re [13].

Chez l'homme, les rétrotransposons

L1pourraient réguler l'étendue des

régions dans lesquelles l'ADN satelli- te alphaest compétent pour former un complexe centromère-kinétocho- re [15]. Les monomères de 171 pb des régions alphasatellite contenant des éléments

L1sont très divergents

des monomères des régions centro- mériques qui, elles, en sont dépour- vues. Par ailleurs, ces éléments L1 présentent un polymorphisme de présence/absence: plusieurs élé- ments relativement éloignés les uns des autres sont toujours simultané- ment présents ou simultanément absents. Ce polymorphisme est inter- prété comme le résultat de recombi- naisons intra-chromosomiques entre

éléments

L1, provoquant la délétion

simultanée de plusieurs d'entre eux et celle des monomères alphadans lesquels ils sont noyés. Les séquences d'ADN recrutées pour constituer les centromères seraient préférentielle- ment composées de répétitions satel- litaires homogènes, non interrom- pues par des éléments L1(ou d'autres rétrotransposons) tandis que les régions non compétentes pour former les centromères seraient des répétitions de séquence très diver- gentes et interrompues par des élé- ments

L1. Le modèle postule que

l'accumulation d'insertions de L1 dans un domaine compétent pour constituer un centromère devrait conduire à la perte de cette fonction.

Réciproquement, l'extension d'une

région compétente pour former un centromère pourrait se produire par amplification des monomères alpha d'une courte région homogène dépourvue de

L1ou par crossing-over

III m/s n°11, vol.16, novembre 2000 inégal entre de telles régions. Les élé- ments

L1seraient ainsi potentielle-

ment capables de détruire l'intégrité des centromères par leur insertion réitérée, mais aussi de les protéger d'une extension excessive en s'accu- mulant dans les séquences alphaqui les bornent.

Inactivation du chromosome X

chez les mammifères

Les mêmes éléments L1pourraient

avoir aussi été utilisés au cours de l'évolution des mammifères pour par- ticiper à la mise en place de la com- pensation de dosage des gènes liés au chromosome X. Chez les femelles, à partir du stade gastrula, l'un des deux

X est inactivé au hasard dans les cel-

lules somatiques et demeure trans- criptionnellement inactif dans toutes les cellules filles. Cette inactivation de l'X, initiée à partir d'un centre d'inactivation, s'étend ensuite à tout le chromosome. Le gène responsable de l'inactivation (

XISTpour X-inacti-

ve -specific-transcript) est exprimé seule- ment sur l'X inactif. Il spécifie un

ARN non traduit qui reste étroite-

ment associé au chromosome inacti- vé, et s'étend progressivement jusqu'à recouvrir l'ensemble du chromoso- me. Le mécanisme qui permet à cet

ARN de se propager et d'inactiver la

transcription n'est pas élucidé.

Cependant, la chromatine du chro-

mosome X doit présenter une spécifi- cité particulière qui favorise son hété- rochromatinisation. En effet, chez la souris, l'insertion par transgenèse du gène

Xistsur un autosome montre

que, si son ARN s'étend aussi le long du chromosome, il le fait avec une moins bonne efficacité. Les éléments

L1dispersés le long du chromosome

X pourraient jouer le rôle de relais

lors de la progression de cet ARN et des protéines auxquelles il est associé [16]. L'étude de la distribution des

éléments

L1sur l'X et les autosomes

humains argue en faveur de cette hypothèses [17]. Leur densité sur ce chromosome, qui est en moyenne presque deux fois plus élevée que sur les autosomes, ne suit pas un modèle de distribution au hasard. Ils sont en effet nombreux dans la région du centre d'inactivation (et d'autresrégions du chromosome) et rares dans les régions du chromosome X qui échappent à l'inactivation. Cette observation soutient l'hypothèse de leur rôle éventuel en tant que "pro- pulseur» d'un complexe ARN-protéi- ne dans le processus d'hétérochroma- tinisation du chromosome X.

Toutefois, tant qu'il n'existe pas de

preuve directe d'un tel rôle pour ces

éléments, on peut aussi penser que

l'enrichissement en

L1pourrait être

une simple conséquence de la nature hétérochromatique de l'X inactif.

Télomères des drosophiles

A l'inverse de la plupart des orga-

nismes, les télomères de la drosophi- le sont dépourvus des courtes répéti- tions synthétisées par la télomérase qui maintiennent l'intégrité des extrémités chromosomiques. Ils sont en effet constitués par deux rétro-transposons de type non-rétroviral (dépourvus de LTR),

HeT-Aet TART.

Ces deux éléments, sur la base de

leurs caracteristiques structurales et fonctionnelles, appartiennent à des sous-groupes de rétrotransposons dif- férents, et ont chacun un rôle spéci- fique dans l'extension des extrémités des chromosomes (figure 1)[18].

L'origine évolutive de ces transpo-

sons spécifiques des télomères reste un débat ouvert. Selon un premier scénario, les éléments

HeT-Aet TART

seraient des éléments fonctionnels dérivés d'anciens rétrotransposons "parasites». Ils posséderaient aujourd'hui une activité de transposi- tion orientée et une spécificité de cible strictement contrôlées par la machinerie cellulaire de l'hôte (pour revue, voir[19]). Les éléments TART codent leur propre transcriptase inverse (TI) tandis que les élément

HeT-A, qui en sont dépourvus, doi-

Société Française de Génétique

Télomérase

Centromère

AGCCCCCAACCCCAA

AATTT TG G C

CGGGGTT

A Organisation d'untélomère chez lesdrosophiles

Intermédiaire ARN

de HeT-A ou TART

Centromère

AATTT TT G C C

AAGCCA

AAAAAAAAAATranscriptase

inversedes éléments TART

TTTTTTT

Organisation d'untélomère canonique

Figure 1.Chez la drosophile, les rétrotransposons HeT-AetTARTassurent la fonction jouée par la télomérase dans les autres organismes.

Télomères ca-

noniques: la télomérase synthétise de courtes répétitions à l'extrémité des chromosomes à partir de la matrice ARN qui lui est associée. Télomères des drosophiles: la transposition des élémentsquotesdbs_dbs31.pdfusesText_37
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