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vulgaire et de latin au quattrocento - JSTOR

(Firenze 1897) (4) Philippe MONNIER Le Quattrocento Essai sur l'histoire littiraire du XVle siecle italien Paris 1901

  • Qu'est-ce que le Quattrocento italien ?

    En italien quattrocento signifie « les années 1400 » ce qui correspond au XVe si?le. L'Italie connaît alors une grande mutation artistique : la première Renaissance.
  • Quels sont les trois artistes florentins à l'origine du renouveau appelé Quattrocento ?

    Trois artistes de génie inaugurent la première Renaissance : l'architecte Brunelleschi, le sculpteur Donatello et le peintre Masaccio. Tous les trois sont Florentins.
  • Qui sont les peintres du Quattrocento ?

    Les artistes majeurs qui représentent le Quattrocento est constitué d'un trio florentin de la première moitié du XVe si?le : Brunelleschi en architecture, Donatello en sculpture et Masaccio en peinture.
  • Quattrocento 1400 à 1499 en Italie, notre XVe si?le
    Florence est une ville très riche au début du XVe si?le. Elle est dominée par une famille de banquiers, les Médicis. Ce sont de grands mécènes et permettent donc le développement des arts.

Quattrocento 645

traducteur, auteur: quelle terminologie pour quelle(s) identité(s) dans les prologues des mises en prose? pp.

277-293). L'A. réunit un ensemble de termes utili

sés dans les paratextes, comprenant composeur, facteur, escripvain, (h)istorien, orateur, auteur/acteur/aucteur et translateur/traducteur ; ils témoignent chacun d'un rap port différent avec la matière en vers, plus orienté vers l'idée d'assemblage et arrangement pour composeur , de fabrication pour facteur , de construction de l'histoire avec une attention pour la véridicité pour historien; la fonction de poète exercée auprès du dédicataire est im pliquée dans orateur , tandis que escripvain se caractérise pour sa polysémie. Le rôle de passeur de texte d'une forme littéraire à l'autre est inscrit dans translateur , tan dis qu'une hésitation est encore présente chez les met teurs en prose pour assumer la fonction d' auteur/acteur En tournant l'attention vers l'époque de la Renais sance, l'article d'Aline sMeeTers (Traductions hu- manistes du grec classique au latin classique: le cas de l'officine d'Oporinus

Bâle, 1542-1568)

, pp.

295-324)

concerne l'intense activité de diffusion des classiques grecs et latins qui caractérisa les choix éditoriaux de Johannes Oporinus, telle qu'elle peut être reconstruite à travers le témoignage exceptionnel de la correspon dance de Hyeronymus Wolf, traducteur d'Isocrate et Démosthène; l'échange épistolaire de ce proletarius ludimagister devenu traducteur par nécessité et par passion constitue une documentation très intéressante pour cerner les modalités de prise de contact avec les traducteurs, les rapports avec les intellectuels de l'époque, le profil de ceux qui furent chargés du travail de traduction, les choix de mise en page des textes.

Enfin, Jean

balsaMo (Montaigne, les traducteurs de l'italien et les stratégies auctoriales dans la seconde moi tié du xvi e siècle , pp.

325-342) se penche sur la notion

"très aristocratique» (p. 328) d'auteur chez Montaigne qui, malgré le jugement sévère porté sur les traductions, se fait lui même traducteur de la

Théologie naturelle

de Raymond Sebond et fonde sa pratique d'écriture sur une traduction dissimulée, utilisant le texte d'origine comme matière pour élaborer un discours nouveau. L'A. élargit ensuite la perspective pour montrer l'impor- tance du rôle que la traduction de l'italien continue de jouer pour l'élaboration d'une prose d'art au xVi e siècle; quant au statut du traducteur, l'analyse du sonnet limi naire de la mise en français des

Avvedimenti civili

de Giovanfrancesco Lottini, qui révèle en acrostiche le nom de Thomas Sébillet, montre ironiquement l'ambi tion d'écrivain du théoricien de la poésie. Le cas de François d'Amboise permet d'illustrer la stratégie des auteurs qui dissociaient leur activité de traducteur de leur oeuvre originale en raison de la plus grande autorité dont celle-ci jouit. Ce dernier aspect explique l'attitude des traducteurs comme Pierre de Larivey et Gabriel Chappuys, qui s'attribuent la paternité du texte source. [Paola Cifarelli] M ari baCquin, Le "Théséus de Cologne" de Jean Ser- vion - un cri au secours , Lund, Lund University, 2017, "Études Romanes de Lund» 105, 219 pp. Le 'cri au secours' évoqué dans le titre du volume est, selon l'Auteure, celui que le genevois Jean Servion inscrit au début de ses

Chroniques de Savoie

(1465) au nom du jeune duc Philippe de Bresse, fils de Louis I er de Savoie et Anne de Lusignan, emprisonné par le roi

Louis XI à cause du conflit avec ses parents et avec la couronne de France. Servion ouvre ses Chroniques

par la mise en prose (abrégée) de la chanson de geste anonyme du xi V e siècle

Théséus de Cologne

; si l'intérêt littéraire de cette réécriture est plutôt faible, elle repré� sente, avec ses deux pièces liminaires - le prologue et le "lay de Philippe» - un témoignage significatif d'un � moment dramatique de l'histoire de la Savoie et de la "lutte idéologique et personnelle» de l'auteur (p. 16).

C'est bien la raison pour laquelle M.

Baquin a choisi

d'étudier et d'éditer cette version de

Théséus

, même si le seul manuscrit connu des

Chroniques

(probable ment autographe) a été perdu dans l'incendie de la Bibliothèque de Turin en 1904, et le texte ne nous est parvenu que dans deux transcriptions du xix e siècle: la première publiée dans les

Monumenta Historiae pa

triae (t. I, 1840), la deuxième parue en 1879 en deux volumes par les soins de Frédéric-Emmanuel Bollati (les deux sont consultables sur archive.org).

Dans l'

Introduction

(pp.

15-101), après avoir situé

l'oeuvre historique de Servion dans le courant des chro niques familiales du x V e siècle (il est le deuxième chro niqueur de la maison de Savoie, après Jean d'Orville et avant Perrinet du Pin), M.

Baquin analyse l'adaptation

de

Théséus de Cologne

, la seule parmi les nombreuses réécritures en prose de la chanson à en récupérer la matière à des fins politiques. Elle montre comment les changements introduits par l'auteur, concernant plu sieurs aspects (le cadre spatio-temporel, la caractéri sation des personnages, la fonction des épisodes-clés, tels la guérison miraculeuse du jeune héros bossu et le subterfuge de l'aigle d'or), sacrifient la 'tension nar- rative' du récit originaire à l'exigence de transmettre une "image flatteuse [...] des prétendus ancêtres de la famille» (p. 46). La spécialiste reconstruit ensuite le contexte historique dans lequel est immergé Jean Servion lors de la conception de ses Chroniques, dans un moment de grave crise de la maison de Savoie. La lecture critique du prologue et du "lay de Philippe» (véritable "lieu de discours à tonalité politique», p. 61)
permet d'identifier dans le fils rebelle le destinataire des Chroniques et de préciser la position de Servion plaidant la cause du jeune duc et cherchant, en même temps, à réconcilier la famille ducale. Le même souci de rappeler son dévouement à son seigneur se lit dans sa réécriture de

Théséus

, où le rapport d'amitié entre le jeune prince et son tuteur (un personnage absent des autres versions) pourrait figurer la relation entre Servion et Philippe de Bresse, alors que la représenta tion "des ancêtres imaginaires exemplairement bons et compréhensifs» (p.

69), dont le chroniqueur voudrait

retrouver les vertus dans la famille ducale, transmet un message de paix aux membres de la maison de Savoie. Dans la dernière partie de l'Introduction, consacrée à "La matérialité du texte», M. Baquin confronte les

éditions des

Monumenta Historiae patriae

et de Bollati, toutes les deux basées sur le manuscrit de Turin (une autre copie des

Chroniques

, richement enluminée, aurait existé selon le témoignage de Léon Ménabréa, mais elle n'a pas été localisée). Grâce à la reproduction, dans� l'édition de Bollati, de huit illustrations de

Théséus de

Cologne

et des titres de chapitre qui les accompagnent, la spécialiste a pu constater la plus grande fidélité au manuscrit de cette transcription, qui est aussi "plus variée au niveau des graphies et plus précise en ce qui concerne la compréhension du texte» (p.

83); tout

en la reproduisant, elle n'hésite pas à adapter le texte aux conventions graphiques modernes et à intervenir lorsqu'une correction s'avère nécessaire (bien que cela ne soit pas explicité, la ponctuation aussi a été modi

SF192_interni.indb 64519/02/21 12:07

646 Rassegna bibliografica

fiée). Le choix, qui peut nous laisser perplexes, de pré senter dans l'apparat critique toutes les variantes de la transcription publiée dans les

Monumenta

, y compris les divergences purement graphiques et le différent découpage des mots agglutinés, dérive de la constata tion "qu'il est difficile, voire impossible dans la plupart des cas, de savoir quelles étaient les graphies originelles et que les formes communiquées par les éditions repré sentent aussi une source de renseignements en elles- mêmes» (p.

85). L'étude de la langue prend en consi

dération les traits les plus fréquemment attestés et qui ont donc plus de probabilités d'avoir effectivement figuré dans le manuscrit. Vu la provenance genevoise de l'auteur, M.

Baquin signale, outre les régionalismes bus-

ser et tabusser ("tabussa et bu[ç]a a l'uis», p. 159), des faits linguistiques qui pourraient être considérés comme caractéristiques du dialecte de la région savoyarde: par exemple, l'alternance - er- / -ar-, notamment dans la troi- sième personne plurielle du passé simple (p. 87: acolle rent, allerent s'abillarent, appellarent ...); la ferme ture en - i- de -e- initial atone suivi de n palatal (p. 87: signeur, monsignieur ...); des graphies telles que prumier prumierement "qu'on reconnait comme une forme en ancien provençal» (p.

88). Cependant, il s'agit de formes

bien représentées en moyen français, et les ouvrages de référence cités par la spécialiste (Pope, Fouché) situe�nt ces phénomènes plutôt dans les régions nord-orientales du domaine d'oïl.

Prumier

est bien attesté dans le GPSR (Glossaire des patois de la Suisse romande, ne figurant pas dans la Bibliographie), mais une recherche 'plein texte' dans le DMF montre que les formes prumier, prumierement apparaissent fréquemment aussi dans des manuscrits picards; et ce n'est pas le seul cas: je cite au moins la forme du présent du subjonctif en - ge doyge (3 occurrences), fréquente dans les scriptae de l'Ouest et en Normandie, ainsi que dans les textes picards (Gossen

§ 80), mais bien attestée aussi dans le

GPSR (16 occur- rences). La question du caractère régional de la langue du Théséus reste donc ouverte. Le paragraphe final, consacré aux "Points lexicaux», après avoir explicité les� critères de sélection à la base du Glossaire (mots rares, mots qui soulèvent des problèmes d'interprétation ou dont la compréhension pourrait poser difficulté), s'arrête sur quelques attestations intéressantes, consti tuant parfois des hapax, comme canavesiere 'moyen de transport fait comme une corbeille', glosé par Servion même: "qui estoit faitte come une courbille enpegee» (prob. 'enduit de poix', pp.

98-99);

dorque , dont le sens est précisé par le contexte: "la eust apparelié une dorque en manyere de une littiere a hommes» (p.

99), ou

capitre 'tapis ou coussin sur lequel on s'assoit' ( ibidem L'édition du Théséus occupe les pages 103-186. La transcription a été exécutée soigneusement. Quelques observations au fil du texte: aux vv.

16-17 du lay de

Philippe: "Ung boyteuz tu [

Infortune

] faiz aller droit, / Et ung droit cloup questre ne doit.», il fallait trans crire qu'estre ne doit, et ne pas supprimer la virgule qui précède la proposition dans l'édition Bollati. Il faut donc éliminer du glossaire l'entrée fantôme questre v. "recueillir, collecter de l'argent (en particulier pour des oeuvres charitables)». À la page 150, dans " letus sicut

Hectour

[...] C'est a dire [...] joyeux comme Estour», l'erreur de Bollati (ou du manuscrit) Estour pour Ec- tour n'est ni corrigée ni signalée dans l'apparat; je n'ai pas trouvé d'autres attestation de cette locution (cf.

Hassell H20 'Fort comme Hector', H21 'Hardi comme

H'., H22 'Preux (vaillant) comme H').

Le Glossaire est assez riche (pp.

187-212), mais,

malheureusement, les entrées ne sont suivies d'aucun

renvoi au texte, ce qui rend difficile toute vérification. On aurait pu y ajouter jangullier "bavarder» (p. 117).

Pour avanturier, la définition "audacieux, quelqu'un qui s'expose au risque» ne me semble pas convenir au contexte: Théséus arrive à Constantinople avec sa compagnie sur deux caraques hollandaises, déguisé en marchand de bijoux; dans les deux occurrences où il se présente: "je suis ung avanturier marchant de joyaux» (p.

142) et "Je suis avanturier et se j'ay aucunne chose

qui plaise a l'empereur et a ma dame sa fillie, au nom de Dieu soit.» (p.

144), le substantif

avanturier désigne plutôt un marchand voyageur qui fait du commerce maritime ( avanturier marchant

évoque les

Merchant

Adventurers de la Compagnie londonienne constituée depuis le xi V e siècle qui contrastait au xV e siècle, avec les Hollandais, le monopole des Hanséatiques). Cette acception ne figure pas dans l'article aventurier du DMF ; le FEW

24, 192b, enregistre 'marchand ambu

lant' pour l'ancien provençal aventurier Le texte n'est pas riche en proverbes: on peut quand même signaler "Cil ne fust pas prince sans letre, que dit Ozie, asnes coronnés» (p.

117; cf. Hassell R62) et

"bonté se passe bien sans beaulté, mais beaulté ne vaut guieres sans bonté» (p.

119; Hassell B36), repris à la

p.

127 sous la forme "beauté sans bonté n'est chose

valliable».

La Bibliographie occupe les pp.

213-219; un index

des noms propres aurait utilement complété ce beau travail qui a le mérite de rendre accessible dans une édition moderne un texte intéressant sous plusieurs points de vue: historique, littéraire et linguistique. [barbara ferrari] M arie-anToineTTe alaMenCiaK, L'injure sans l'in- sulte: la rhétorique de l'oblique dans les "Quinze joies de mariage" , in

L'insulte et l'injure

, "Questes" 41, 2019, pp.

29-43.

Dans cet article en trois volets, M.-A.

A. aborde la

question de l'injure dans les

Quinze joies de mariage

recueil qui se prêterait bien à des affrontements ver- baux explicites entre les époux. De fait, il n'en est rien: la femme, seule maîtresse du langage vis-à-vis d'un mari passif et entièrement dompté, ne l'insulte jamais ouvertement; elle utilise plutôt sa parole "pour nuire» (premier paragraphe). Cette sorte d'injure "oblique», qui ne repose que sur l'implicite, lui permet toutefois de "dominer» (deuxième paragraphe). Il est alors légi time de s'interroger sur la position de l'auteur (troi sième paragraphe): sa vision de clerc lui permet de porter sur le mariage un regard extérieur et de présen ter un monde carnavalesque, où les rôles masculin et féminin sont finalement inversés. [Maria ColoMbo TiMelli] a n

H THy nGuyen, Une mythisation littéraire de

l'Ordre de la Toison d'or? Une étude dans quelques chroniques et mémoires bourguignons du xv e siècle , in Autour de la Toison d'Or. Ordres de chevalerie et confréri es nobles aux xiv e -xvi e siècles , "Publication du Centre

Européen d'Études Bourguignonnes (

xi V e -xVi e s.)" 59,

2019, pp.

151-169.

Produit de l'imaginaire bourguignon du

xV e siècle,quotesdbs_dbs44.pdfusesText_44
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