[PDF] Les cellules de sertoli des poissons téléostéens. 1. Etude





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La cellule de Sertoli une cellule endocrine

Les trois hormones produites par la cellule de Sertoli l'hormone antimüllérienne (AMH)



La cellule de Sertoli une cellule endocrine

tion par la cellule de Sertoli est activée par la FSH ifollicle stimulating hormone) exerce un rétrocontrôle négatif sur la sécrétion hypophysaire de FSH.



La cellule de Sertoli une cellule endocrine

Les trois hormones produites par la cellule de Sertoli l'hormone antimüllérienne (AMH)





Les cellules de sertoli des poissons téléostéens. 1. Etude

01?/01?/1972 ç lobules boundary cells » de cellules de Sertoli. Il semble donc que le terme de cellule de Sertoli puisse être retenu dans tous les cas et ce ...



La cellule de Sertoli : actualisation du concept de cellule nourricière

de cellule nourricière. L'extrême intrication anatomique des cellules germinales et des cellules de Sertoli est le reflet de leur communica tion permanente.



Ultrastructure des cellules de Sertoli humaines aux stades

Le d~veloppement morphofonctionnel des cellules de Sertoli d~termine la dif- f~renciation testiculaire. Ces cellules somatiques sont pour la plupart d'ori-.



Une nouvelle fonction pour la transferrine exprimée par le testicule

De ce fait la cellule de Sertoli a mis en place un système judicieux permettant de véhiculer le fer de la circulation sanguine vers les cellules germinales.



La spermatogenèse de Poecilia reticulata III - Ultrastructure des

Les cellules de Sertoli localisées autour des cystes subissent une évolution marquée à mesure que progresse la spermatogenèse. Plusieurs rôles peuvent leur 



Le contrôle des fonctions différenciées des cellules de Leydig

La régulation de la synthèse des androgènes par la LH semble modulée par de multiples facteurs sécrétés au sein du testicule par les cellules de Sertoli et les 



Cellule de Sertoli — Wikipédia

dans les cellules de Sertoli et les caractéristiques histologiques du début de la spermatogenèse sont apparues plus tard entre 108 et 138 ans L’intensité de Cx 43 ir était significativement plus élevée chez les 12–16 ans que chez les garçons plus jeunes Dans les cas de CAIS aucune spermatogenèse n’a été observée AR ir et



Ultrastructure des cellules de Sertoli humaines aux stades

Depuis le travail original de Sertoli (Dell'esistenza di particulari cellule ramifi- cate nei canalicoli seminiferi del testicolo umano Morgagni 7 : 31-39 1865) et les dessins de Von Eberhard [23] peu d'~tudes ont ~t~ entreprises en ce qui concerne le d~veloppement des cellules de Sertoli

Qu'est-ce que les cellules de Sertoli ?

Chez l' homme, les cellules de Sertoli contrôlent l'évolution de la spermatogenèse en enserrant les cellules germinales souches ainsi que les cellules germinales en voie de maturation depuis la périphérie, qui est en contact avec une lame basale, jusqu'à la lumière.

Pourquoi les cellules de Sertoli maturent-elles à partir de la puberté ?

Ce n’est qu’à partir de la puberté, qui coïncide avec l’arrêt de leur prolifération, que les cellules de Sertoli maturent et acquièrent des caractéristiques uniques permettant le support, la nutrition et la protection des CSS et des cellules germinales différenciées [6].

Quel est le rôle de la cellule de Sertoli dans la différenciation et la fonction des cellules de Leydig ?

La cellule de Sertoli est également un élément clé dans la différenciation et la fonction des cellules de Leydig, en particulier grâce à l’eexpression du gène DHH. Les cellules de Leydig différenciées sécrètent alors androgènes et INSL3, permettant en retour la masculinisation de l’individu et la descente des gonades dans le scrotum [3].

Pourquoi la cellule de Sertoli est-elle nécessaire pour la régression des structures mülleriennes ?

La cellule de Sertoli assure également la régression des structures mülleriennes via la sécrétion de l’AMH. On retrouve, dans les modèles de mutagenèse, deux arguments indiquant que l’AMH est à la fois nécessaire et suffisante pour la régression du système des canaux de Müller.

>G A/, ?H@yy3NeeNk ?iiTb,ff?HXb+B2M+2f?H@yy3NeeNk G2b +2HHmH2b /2 b2`iQHB /2b TQBbbQMb iûHûQbiû2MbX RX 1im/2 mHi`bi`m+im`H2 hQ +Bi2 i?Bb p2`bBQM,

LES CELLULES DE SERTOLI

DES POISSONS TÉLÉOSTÉENS

I. —

ÉTUDE ULTRASTRUCTURALE

R. BILLARD,B.JALABERT

B. BRETON

Anne-Marie ESCAFFRE

Station centrale de

Physiologie animale,

Centre national de Recherches

zootechniques,

I. N. R. A., .,

78 -

Jouy-en-Josas

RÉSUMÉ

Dans le testicule d'un certain nombre de Poissons Téléostéens les cellules somatiques intra- lobulaires peuvent être considérées comme des cellules de Sertoli qui interviennent dans la conten- tion et la nutrition des cellules germinales et dans leur phagocytose si elles dégénèrent.

Les cellules

de Sertoli assurent en outre,

à la fin de la

spermatogenèse, un rôle dans l'accumulation et l'excré- tion de lipides qui participent vraisemblablement à la formation du liquide séminal.

Malgré

la présence passagère de réticulum agranulaire, cette étude morphologique ne permet pas de conclure définitivement au caractère stéroïdogène de ces cellules de

Sertoli.

L'existence

de cellules de

Sertoli

est rapportée par la plupart des auteurs chez les

Sélaciens

(SWAEN et

MASQUELIN,

i883 ;

ST!PIIAN,

igo2 ;

MATTIMWS,

1950;

COLLENOT

et OZON,

1964 ;

MELLINGER,

Ig65 ;

1 STANLEY,

1966 ;

SIMPSON

et WA RDIE, ig67 ;

HoI,sT!EIN,

i

96g ; COLLENOT,

1969),

chez le

Crossopterygien

Latimeyia cha-

lumnae (TuzE'r et

MILLOT,

1959)
et chez le

Protoptère (BoIssoN, zg6t).

Chez la plupart des Téléostéens la spermatogenèse se déroule dans des lobules ou tubules tapissés par une couche de cellules dont la fonction et la terminologie ne sont pas clairement définies comme l'ont souligné

S2ANI,!Y et

al. (1965). Dans certaines espèces le terme de cellules de

Sertoli

est utilisé ; c'est surtout le cas des

Cyprinodontiformes :

Gambusia

(MELDEN,

1950),

Platy!oecilus

(Wol,h, i93t ;

CHAVIN et

GORDON,

1951),

Poecilia

sphenops (DE FEUCE et

RASCH,

1969)
et Poe- cilia yeticulata

Lebistes reticulatus

(VAUPEL, ig2g ;

STEPHAN et

C L A V E RT, 193
8 ;

PANDEY,

ig6g ; BILLARD, 1969
a-197o a). Cette terminologie est

également

utilisée dans d'autres groupes où le cycle reproducteur annuel est bien marqué,

Abyamis

brama (GRYAZEVA, 193
6),

Gasteyosteus

(CRAIG-BE:NNE;TT, ig3o ;

GOTTFRIED

et Van MULLEM, 1967) Clu!ea harengus (POLDER, Zg6r), Cyprinus carfiio (DaaGOTOm, 1963)

Gobius

!'agt!M!MS (STmv!,!Y et al., ig65),

Embiotoca

jacksoni (LAGIOS, ig65),

Cymatogaster aggyegata (WWB!, 1968, 1969)

Fundulus heteyoclitus

(HuvER, 1964 ;

LOFTS et al., zg66 ; BARA, 1969).

Des cellules de même

type ont été qualifiées de cellules folliculaires chez Cottus baiydü (HANN, 1927), chez la Truite (WW s!r., 1943 ;

OOTA et YAbIAMOTO, 1966)

ou cellules conjonctives chez la Perche (TURNER, 1919) et chez le

Hareng (BOWERS

et

HoujDAY,

ig6i).

Dans d'autres

espèces,

à la suite des travaux de M!sx!,!, et LofTs

(1956), des cellules occupant la même position topographique et qualifiées de " lobules boun- dary cells u ont été considérées comme glandulaires (stéroïdogènes), d'après leur contenu en cholestérol (test de

SCHULTZ positif)

et la_détection histochimique d'en- zymes impliquées dans la stéroîdogenèse.

Ces cellules

qui présentent des variations aisonnières dans leur contenu en .lipides, sont considérées comme homologues des cellules de

Leydig (lesquelles peuvent

être absentes dans

l'espace extralobulaire). Il s'agit de : Esox lucius, Salvelinus willughbü et Labeo (MARSH!,r, et

LOFTS, ig56 ;

LOFTS et

MnxsFra!!,

i957 ; 1 MARSHALL, ig6o),

Salmo salay

(0'

HALLORAN et

IDLER,

1970),

Salmo gairdnerü (ROBERTSON, 1958),

Barbus tor

(R

AI, 1965), Tilapia

mos- sambica (YARON, 1966),

Couesius

plumbeus (ASHAN, 1966), Gly!tosternum pecti- nopterum (KHANNA et

PANT, 1966),

Sebastodes

pauscispinis (MOSER, 1967). Chez

Salvelinus

fontinalis HE

NDERSON

(1962) qualifie également les cellules de la paroi des lobules de " lobules boundary cells » mais ne peut leur attribuer une fonction glandulaire.

Les cellules de Sertoli de

plusieurs poissons Istiophorides (M!RR!!rr, 1970) et les " lobules boundary cells » de la Truite (Ros!xTSOrr, ig58) seraient organisées en syncitium.

Chez les

Cyclostomes,

les auteurs les plus anciens qualifient les cellules somatiques, présentes dans les lobules, de cellules du stroma (C

UNrrINGHaM, 1891)

ou de cellules végétatives (SCHREINER et SC

HREINER, 1905),

tandis que des auteurs plus récents tendent à les assimiler aux " lobules boundary cells » (LARSEN, ig65 ;

HARDISTY

et al., 1967), alors que d'autres les considèrent comme cellules de Sertoli (CEuppi et BOTTE,

Ig62).

L'identification par

HYDER (1969) chez le

Tilapia

de cellules de Sertoli avec des " cyst cells » et même des " lobules boundary cells » ne fait qu'ajouter

à la confu-

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