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IRMR-T

24 janv. 2014 INVENTAIRE D'INTERETS PROFESSIONNELS. DE ROTHWELL-MILLER. FORMULE REVISEE. Par Jean-Luc BERNAUD et Pascal PRIOU. CAHIER DE PASSATION.



TITRE_NOM_TEST AbrevationTest Emplacement_textuel Auteur1

Service de consultation (Av. de la Gare). Rothwell-Miller. Inventaire d'intérêts professionnels de Rothwell-. IRM. IP - Géopolis

L'orientation scolaire et professionnelle

47/4 | 2018

Varia Ni pour, ni contre les tests en bilan d'orientation, bien au contraire/

Not for and not against testing in

counselling, but on the contrary

Thierry

Boy

Édition

électronique

URL : http://journals.openedition.org/osp/9950

DOI : 10.4000/osp.9950

ISSN : 2104-3795

Éditeur

Institut national d'étude du travail et d'orientation professionnelle (INETOP)

Édition

imprimée

Date de publication : 1 décembre 2018

Pagination : 710-725

ISSN : 0249-6739

Référence

électronique

Thierry Boy, "

Ni pour, ni contre les tests en bilan d'orientation, bien au contraire/

Not for and not against

testing in counselling, but on the contrary

L'orientation scolaire et professionnelle

[En ligne], 47/4 2018,
mis en ligne le 01 décembre 2020, consulté le 17 décembre 2020. URL : http:// journals.openedition.org/osp/9950 ; DOI : https://doi.org/10.4000/osp.9950 Ce document a été généré automatiquement le 17 décembre 2020.

© Tous droits réservés

Ni pour, ni contre les tests en biland'orientation, bien au contraire/Not for and not against testing in counselling, but on the contrary

Thierry Boy

1. D'un quiproquo à l'autre

1.1. Les demandes des usagers

1 Pour les jeunes scolarisés, la fonction des conseillers d'orientation-psychologues estassez bien identifiée : ils sont là pour les " aider à choisir ». Cet item correspond de 70 à

89 % des réponses à l'enquête du ministère de l'éducation nationale (Gentil, 1997). Pour

certains ce travail peut consister à leur fournir des informations, mais pour d'autres il semble légitime de s'intéresser au sens qu'ils accordent à cette expression. Le mot " conseil » est probablement suffisamment polysémique pour qu'un quiproquo s'installe entre les consultants et les professionnels.

2Soucieux de répondre à l'injonction sociale " faire des choix d'orientation » les plushésitants se tournent vers leurs proches ou leurs enseignants et leur adressent laquestion : " Que faire après... ? ». Nonobstant qu'ils ne soient des spécialistes du

domaine, la réponse prend souvent la forme ; " Moi, à ta place je... ». C'est l'idée que conseiller consiste à " Indiquer à quelqu'un ce qu'il devrait faire ou ne pas faire »

(définition du dictionnaire " Le trésor de la langue française informatisé »). Mais la

pluralité des réponses proposées peut, à terme, désorienter complètement le jeune qui

n'a pas forcément envie qu'on " prenne sa place ».

3 Le conseiller d'orientation-psychologue peut, à ce moment, apparaître comme le plus

capable d'aider, grâce à son professionnalisme, à trouver " la bonne réponse ». Les

représentations courantes, peuvent associer la consultation d'orientation à la passationNi pour, ni contre les tests en bilan d'orientation, bien au contraire/Not fo...

L'orientation scolaire et professionnelle, 47/4 | 20181

de tests qui permettraient de pronostiquer les voies de réussites. C'est également cetype de prestation qu'offrent beaucoup de centres privés ou de sites Internet, mais àdes tarifs qui découragent nombre de jeunes. Ils pourraient alors avoir l'idée, en soi non

scandaleuse, qu'un service public puisse offrir gratuitement la même chose.

1.2. Les pratiques des conseillers d'orientation-psychologues

1.2.1. Les chiffres actuels

4 Les conseillers d'orientation-psychologues déclarent, à une large majorité, consacrerl'essentiel de leur temps à pratiquer des entretiens de conseil (Gentil, 1997) : enmoyenne 60 % du temps, activités qui sont décrites par M. Huteau comme des actions

au cours desquelles on ne donne paradoxalement que peu de conseils (Huteau, 2000). Mais ces prestations ne s'accompagnent que rarement d'examen psychologique individuel (9 % en moyenne) ; Deux conseillers sur dix disent qu'ils n'en réalisent jamais.

5 Ces chiffres confirment les évaluations réalisées antérieurement qui notent qu'entre1962 et 1980 le nombre de bilans individuels évolue dans un rapport de six à un, quand

le nombre d'entretiens double (Huteau, 1983 ; Legrand et Solaux, 1991). La position dominante est bien actuellement celle qui consiste à privilégier la relation d'entretien dans une perspective d'aide au consultant qui se doit d'accéder à l'autodétermination. Pourtant, les théories sous-jacentes à cette pratique font peut-être moins l'unanimité.

1.2.2. La place de l'entretien

6 En Angleterre une étude de Kidd et al., (1995) montre que trois grands modèlesd'entretiens de counselling semblent fédérer presque l'ensemble des pratiques. Parmi

ceux-ci, l'approche de Carl Rogers (centrée sur le consultant) paraît recevoir le plus de suffrage, mais la méthode de Egan (1992), qui comporte trois grandes étapes dans le processus de conseil (clarification des questions, exploration des possibles et formulation de projets), est considérée comme également intéressante. En revanche, le modèle de A. Rodger qui assimile le conseil en orientation à un avis (collecte d'information et recommandations) semble moins prisé. Baudouin et al., (2004) ne trouvent pas, en France d'enquête semblable. Un examen des revues spécialisées laisse

néanmoins apparaître des courants théoriques hétérogènes (Angeville et Béllenger,

1989).

7 En réalité, l'entretien de conseil n'a pas eu le même développement en France, y

compris dans la formation des praticiens, que dans les pays anglophones. Il semble que dans la tradition universitaire française cette pratique soit essentiellement abordée en psychologie clinique ou pathologique. Il s'agit souvent de l'approche non directive, mais des techniques d'entretien à visées thérapeutiques (psychothérapie d'inspiration psychanalytique, entretien de type systémique ou familial) sont également abordées.

Dès lors, si l'on s'attache à décrire le psychologue à l'aune d'une pratique

professionnelle prototypique, c'est, de nos jours, plus cette situation duelle que l'image de la psychotechnique qui sera évoquée. Ni pour, ni contre les tests en bilan d'orientation, bien au contraire/Not fo... L'orientation scolaire et professionnelle, 47/4 | 20182

1.2.3. Évolution des pratiques en orientation

8 De fait, il se passe toujours un certain laps de temps pour que les avancées théoriques

dans un champ disciplinaire modifient les pratiques. Ce même décalage temporel se

retrouve dans la perception, par le public, de l'évolution des techniques des

professionnels. Si la consultation d'orientation du début du siècle avait pour objectif de mesurer des aptitudes afin de pronostiquer les voies dans lesquelles le jeune avait le plus de chances de réussir, ce n'est plus le cas de nos jours.

9 La prise de décision en matière de choix scolaires ou professionnels est dévolue,

actuellement, à l'intéressé lui-même. Le conseiller, quant à lui, revendique la position

d'accompagnateur, parfois d'éducateur. Cette évolution qui délègue également à l'individu le soin de se connaître (Connais-toi toi-même), provoque, de la part du praticien une méfiance pour les outils jadis utilisés par les conseillers d'orientation professionnelle. De plus, le souci de se positionner comme psychologue, face aux

équipes éducatives, qui ont également en charge " l'éducation à l'orientation », conduit

à revendiquer l'utilisation exclusive de l'entretien qui n'en devient que plus

" clinique ». Paradoxalement, des outils, des méthodes ou des jeux qui ont pour objectif de réaliser des appariements soi-environnement se multiplient. Le problème est que les résultats peuvent être délivrés sans médiation ou mise en perspective de la part du

conseiller d'orientation-psychologue, puisqu'ils sont destinés à être utilisé par

l'ensemble des adultes impliqués dans " l'aide à la construction de projets ».

2. Comment prendre en compte la demande ?

10 Considérant :

que le premier travail en counselling est d'analyser la demande ; qu'il convient, par ailleurs, de différencier le contenu manifeste du contenu latent dans une approche clinique ; qu'enfin le code de déontologie spécifie que c'est le psychologue qui est maître de ses techniques, il est peu vraisemblable qu'une demande d'évaluation psychométrique soit considérée comme recevable. Il est vrai qu'il est plutôt rare que le consultant revendique ouvertement cette prestation, mais lorsqu'il affirme qu'il " ne sait absolument pas ce qu'il

souhaite » ou " qu'il voudrait savoir pourquoi il est fait » on peut supposer que c'est bien à

l'expert psychotechnicien qu'il s'adresse. Pourtant, notre expérience de formateur nous a enseigné que les conseillers utilisent des stratégies diverses qui ont toutes pour objectif de dissuader le client de l'utilité d'une telle évaluation. Soit que : " Cette demande est embarrassante : car elle postule qu'il existe des moyens "scientifiques"

pour atteindre une "vérité" de la personne qui lui échapperait... À l'instar d'une analyse

biologique ou d'un scanner » ; ou qu'elle est : " piégeante parce qu'elle tend à déposséder le sujet de l'indispensable mobilisation personnelle et de l'indispensable "travail sur soi", "Aide-toi, le ciel t'aidera". C'est le moment où peuvent se jouer certaines modalités relationnelles du sujet et en particulier la dépendance et la passivité » (Chambon, 1993, p. 20).

11 Il est alors possible de s'engager dans un historique des courants théoriques en

orientation depuis 1928, ce qui, même si l'on se limite à la France risque d'amputer fortement le temps dévolu à notre client. L'autre solution est : soit de renvoyer la

question de l'évaluation au sujet, avec une formulation du type " Et vous-même qu'en• • • • • Ni pour, ni contre les tests en bilan d'orientation, bien au contraire/Not fo...

L'orientation scolaire et professionnelle, 47/4 | 20183 pensez-vous ? », soit d'endosser une position théorique radicale comme celle-ci : " Nous avons tout intérêt à rester dans une position de non-savoir par rapport au consultant, juste assez pour permettre que ne soit pas évitée la confrontation avec la castration qui va inévitablement affleurer, et sous une forme ou une autre, faire retour. II s'agit donc de camper sur cette position de non-savoir, sorte de ligne d'incertitude rigoureuse et assurée. C'est la condition pour que la question du désir ne soit pas escamotée » (Brunati, 1999).

12 Le risque de la mésentente que nous venons de pointer serait, pour le psychologue,

après avoir écarté la demande de " testing » de se trouver face à un client, certes suffisamment poli pour ne pas quitter le bureau, mais dont la motivation à poursuivre l'entrevue risque fort de s'être émoussée. Or, en psychologie, travailler sans demande renvoie souvent à des expériences pour les moins douloureuses. Doit-on, dès lors, entamer la démarche en dépossédant le sujet de sa demande ? Ne serait-il pas pertinent d'examiner comment cette demande peut être traitée dans l'entretien de conseil lui- même ?

3. Les méthodes du conseil

3.1. Les bilans

13 Radicalement différentes des examens d'orientation professionnelle de la première

moitié du XX e siècle, les pratiques de bilan développées depuis quelques décennies se sont accompagnées de recherches sur leurs effets, qu'elles s'accompagnent d'évaluations des sphères cognitives (Levy-Leboyer, 1984) ou conatives (Blanchard et al., 1999 ; Gaudron et al., 2001). Dans l'ensemble les résultats semblent montrer des

effets qui, s'ils sont modestes, s'inscrivent dans les modèles théoriques de

développement vocationnel, aussi bien pour l'estime de soi, que pour la connaissance ou l'image de soi.

14 Guichard et Huteau, 2001 (p. 243) notent qu'on " insiste beaucoup sur l'aspect éducatifde la démarche. Au cours du bilan, le sujet doit acquérir une méthode qui lui permettra

par la suite de gérer d'autres changements, voire de les anticiper ».

15 Ce type de méthodes, s'il est parfois utilisé avec des publics de jeunes à la recherche

d'une insertion, concerne, la plupart du temps, des adultes et non des publics scolaires. Pourtant, la pratique d'entretiens " instrumentés » peut, en répondant à la demande de ces populations, modifier la relation de conseil. Mais l'utilisation de tests peut soulever chez les praticiens un certain nombre de critiques (ou de résistances).

3.2. Les tests

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