[PDF] Carences nutritionnelles: étiologies et dépistage





Previous PDF Next PDF



Laidant naturel à lhôpital: cet autre acteur de soins

14 mai 2018 UE 5.6 S6 – Analyse de la qualité et traitement des données scientifiques et professionnelles ... [consulté le 29/10/2017] 506 pages.



LEXPERIENCE DU SOIGNANT DANS LA PRISE EN CHARGE DE

5 janv. 2015 5.6 S6 ANALYSE DE LA QUALITE ET TRAITEMENT DES DONNEES ... Soins Infirmiers de Haguenau et tous les soignants que j'ai pu être amenée à.



Comment améliorer la sortie de lhôpital et favoriser le maintien à

Une note de problématique a été rédigée à partir d'une analyse des Les soins palliatifs cherchent à améliorer la qualité de vie des patients et de leur ...



Mémoire de fin détudes UE 5.6. S6 - Analyse de la qualité et

11 févr. 2008 UE 5.6. S6 - Analyse de la qualité et traitement des données ... 506. Les limites de l'enquête sont les suivantes : d'une part il faut ...



Haïti Évaluation de la Prestation des Services de Soins de Santé

Gestion assurance qualité et système d'information sanitaire . L'analyse des données montre que la plus forte proportion de prestataires interviewés ...



Plan Pluri Annuel Complet de Vaccination Niger 2016 - 2020

ANALYSE DE LA SITUATION DU PROGRAMME ELARGI DE VACCINATION . Qualité de la conservation des vaccins. 37 d. Rythme d'inventaire. 37 e.



Carences nutritionnelles: étiologies et dépistage

31 juil. 2017 de compétence une analyse critique et une synthèse des travaux ... ceux-ci au cours du traitement technologique: il porte de ce fait la ...



Le soignant en prise avec les représentations sociales…

Analyser la qualité et améliorer sa pratique professionnelle. l'étude et le traitement des maladies mentales des troubles ... Infirmier.com.



Conditions du développement de la chimiothérapie en HAD - Rapport

14 févr. 2012 3.2.3 Place dans le traitement du cancer et schéma d'administration . ... en hospitalisation à domicile : analyse économique et.



Rapport dactivité - 2009

31 déc. 2014 proche transversale et globale de la qualité et intervient à ... À partir d'une analyse des agences régionales.



Unité d’Enseignement : 56-S6 : Analyse de la qualité de

UE 4 5 S2 UE 4 5 S4 Soins infirmiers et gestion des risques UE 4 8 S6 Qualité des soins et évaluation des pratiques UE 1 3 S4 Législation éthique et déontologie UE 3 4 S4 et UE 3 4 S6 Initiation à la démarche de recherche Formaliser et expliciter les éléments de sa pratique professionnelle confronter sa patiue à elle de ses



Mémoire de fin d’étude - Scribbr

Mémoire de fin d’étude UE 5 6 S6 Analyse de la qualité et traitement des données scientifiques et professionnelles L’analyse de situation éthique par le soignant et son impact sur ses pratiques et la qualité des soins en soin de courte durée Directrice de mémoire Date de rendu Bouesnard Sandrine 31 mai 2016



Searches related to ue 506 analyse de la qualité et traitement des infirmierscom

Mémoire de Fin d’Etudes UE 5 6 S6 Analyse de la qualité et traitement des données scientifiques et professionnelles Quand jeu et soin cohabitent en pédiatrie Jeanne CLAISSE Sous la direction de : Madame Pascale PARISOT Date: 13/05/2016 Soutenance le 26 juin 2016

arences nlitritionnelles

Etiologiesetdépistage

'--------IrJSERJ)1-----... arences nutritionnelles

Etiologiesetdépistage

arences nutritionnelles

Etiologiesetdépistage

f:J&rr~ lNSER1Y1

Danslamêmecollection:

LaGrippe:Stratégiesdevaccination.1994

1994

Rachialgies

Sida,Maladiesassociées:Pistes

pourdenouveauxmédicaments.1996

Ostéosporose:Stratégiesde

préventionetdetraitement.1996

Méningites

Imageriemédicale

enFrancedansleshôpitauxpublics.1996

Hépatitesvirales:Dépistage,

prévention,traitement.1997

Effetssur

Ecstasy:Desdonnéesbiologiques

etcliniquesauxcontextesd'usage.1998

Insuffisancerénale

vention.1998

Plombdans

©LesÉditionsINSERM,1999

101,ruedeTolbiac

75013Paris

ISBN2-85598-749-0ISSN1264-1782

DANGER

LE

PHOTOCOPILLAGE

TUELELIVRE

1992interditlaphotocopie

notammentscientifique. decopie(CFC -20,ruedesGrands-Augustins-75006Paris).

Ils'appuiesurlesdonnéesscientifiques

endateduderniersemestre1998.

Environ1500articles

Le collective,

Scientifi

queetdelaCommunication).

Grouped'expertsetauteurs

Jacques

Claude

U308,Nancy

digestive-nutrition,

HôpitalAlbertChenevier,Créteil

neau,Tours Denis

Herriot,Lyon

Jean-Louis

laire

Régis

Robert-Debré,Paris

Philippe

Paris Denis

Marseille

Xavier

LEVERVE,accueil d'urgencesetderéanimationmédicale,HôpitalMichal etappliquée,Uni versitéJoseph-Fourier,Grenoble Seine

Ontprésentéunecommunication

tion,Conservatoire nationaldesArtsetMétiers,Paris talNecker,Paris

Coordinationscientifiqueetéditoriale

Marie-José

PRIGENT,chargéd'expertise,INSERMSC14

Assistancebibliographiqueettechnique

ChantalGRELLIERetFlorenceLESECQ

Iconographie

Servicecommunn°6del'INSERM

Sommaire

Avant..proposXI

Introduction3

3.Besoins,carences

4.Déterminantsdelaprisealimentaire73

5.

Fonctionimmunitaireetdénutrition87

PARTIEII..Donnéescliniques99

Introduction101

6.Marqueurs

deladénutrition105

7.Epidémiologiedeladénutrition149

8.

Dénutritiondel'enfant163

9.

Dénutritiondel'adolescent177

10.

Dénutritiondelapersonneâgée205

11.

Dénutritionetalcoolisme221

12. 13. 14.

Pointdevuedugénéraliste267

Synthèseetrecommandations275

Communications297

Stratégie

Annexes315

Avant...propos

peuventconcernertoutsujet hospitalisé,quelsquesoient rapport attirait lier recommandait pitaliers alimentaire.Maisla oùellepourraitconcernerjusqu'à10 %despatientsvisitésselondesétudes récentesaméricaines vie une qui menttouché. tiquée,doits'accompagnerd'uneprise enchargeadaptéeàchaquecas.L'ali essentieloucomplémentaire d'ungrandnombredepathologies.S'ilestpri nutritionnel,ilestsur tificationdesgroupesàrisque. risquede qualitédevieà ungrandnombredepatients.

LaMutuellegénéraledel'éducation

nationaleasouhaitéinterrogerl'IN

SERMsurl'enjeu

enchargedesesadhérentsà leursbesoinsréels ungroupe etlamédecinegénérale. XII suivante: tionsobserve-t-ondes supplémentation? •Quels •Quelles tionnelles? •Quelles nesâgées? •Quels •Quelles mécanismesimpliqués?

L'interrogationdesbases

sélectionner caments responsabilité l'Assurancemaladie dessupports cile lesdifférentsaspectsde tions. 1

Donnéesbiologiques

etphysiologiques

Introduction

tants,qui ils laire,cellulaire ...)etlesminérauxindispen sablesaumétabolisme.

Lesapportsalimentaires

giques, interviennentdanslecontrôle processuscomplexesfaisantintervenirde nombreuxmécanismesneurobiolo giques. système forte quelebesoin unepopulationdonnée. carencesd'apportmais population. présenteraient queplusde50 tationenvitamineD. hommesetlesfemmesvivantà domicile. l'heureactuellequechezlesfemmesenceintes ayanteuunenfantprésentant ricainedepédiatrie lesfemmesenceintes

Lesfemmes

raissent 5 ferriprive. femmesà lieuxdéfavorisés. descas,lesbesoinsde lafemmeenceinteetdufoetus. législationfrançaiseprévoit concentrationsvariantde5 à14mg/ldelaitreconstitué.Uneétuderéalisée danslescentres que3,5 ladeuxièmeannée.Lesenfants consommationdelait.

EnFrance,ilestrecom

de

1000à 1200mg/jpoursubvenirauxbesoinsdufoetus.Durantl'allaite

qu'unesupplémentationcalci quede1g/jchezlesfemmesayant sur

Introduction

tales l'enfant. La plusieursétudes mortalité cardiovasculaires,lesinfections resannées lesangmaisilresteà tenudelafréquencedetelles maladiesetjustifiel'intérêtapportéàcesujet. et maisqu'ellepourrait nes,iln'ya commedessupplémentsnutri acceptable. que lesconséquences ceseffetsàlongterme. Par laloidu1 er médicalesspécialesdevront, mis

àprescriptionmédicaleobligatoire.

Ilest vitamines ceux-ciaucoursdu

Financesestchargée

1

Besoins,carenceset

supplémentationsenprotéines

Lerisquedecarencedans

habituelsnutritionnelsde selonl'âge

Classiquement,lebesoin

que(c'est-à-dire phologiques tiersconsidéréscommeinsuffisants répondreà quantifieravecprécision.Lebesoin donnés, la

97,5%delapopulation.Plusieurstermes

sontglobalementsynonymes:ap apportdesécurité(termedela

FAOjWHOjUNU,1986).Lepointimportant

(ou decarence forte aminés

20,parmilesquels9

radicalcarbonédel'acide seulesource nesendogènes(laprotéolyse),qui desbesoinsmoyens pensables soitsurdesméthodesisotopiques(Young,

1987;YoungetEl-Khoury,1995).

Lebesoin

pauvres (Maheetcoll.,1997).Au aminéindispensable. peuventrésulterendescarences cetteraison,c'estessentiellementlespro téines- exemplepourdesfonctionsimmunitaires, cebesoinn'étantalorspasforcé pensables(Young etEl-Khoury,1995).

Nourrissonetenfant

caractérise factorielle conversionutilisés alimentaires,auxcoefficientsdevariation permettantdepasserdubesoin moyenestd'environ1,5g/kg/jà 3moisetde1g/kg/jà 1an,soitunapport conseilléde

Exprimés

trèsprobablequecesvaleurs qui premiersmoisdevie. moyen.Ilestintéressantde apportshabituels g/jvoireplus). sons,sauf ausein,cequi délétère suggéreraient

Biensûr,dans

suc oeufs, d'assurer enacidesaminés,surviennentà partirdel'âgede6mois(Dagnelie etVanStaveren,1994).Chezl'enfantplus grand rapportaubesoindecroissance (FAO/WHO/UNU,1986jDupinetcoll., estautourde1g/kg/j,soit45 plus protéinesouenacidesaminés.

Adulte

Cecicorrespondàunapport

conseilléde0,8g/kg/j ou1g/kg/j(Dupin desconsommationshabituellesqui

Rappelons

enprotéinessontinexistantes chezl'adultesain. l'apportprotéique,cechiffre isotopiquesplusrécentes(Young,1987 jYoungEI-Khoury,1995).Ceciétant, mêmesi pays. revuesgénérales Peres,1997):lapratiquerégulière(3fois1/2heureà 1heureparsemaine) nemodifiepassignificativementlesbe (etdoncprotéi decarences populationestsouventtrès quiconcernelessportifsdeforce(exercices enrésistancedetypehaltérophi lie),lebesoinmoyennécessaireau maintiendelamassemusculairen'estsans

Enrevanche,desbesoinsde2 à

làencore,compte detype drequelacarence.Enfin, sats)(AvisCEDAP,1996), ponctuellesintéressantes

Sujetâgé

maigre,liéeessentiellementà la dépendancedefacteursgénétiques ethormonauxetdépendaussidel'acti vitéphysique surl'adéquation sontmalconnus.Ilestpar

éditiondesRDAsAméricaines

(1989),indique grouped'Evans(Campbell etEvans,1996;Campbelletcoll.,1997),surla basedesdonnéesdisponibles besoinmoyenseraitde0,9g/kg/j, entraînantlarecommandationd'unapport

Ceschiffres

et lactose •laprévalencedela

âgé,

supérieurs, chezlesujetâgé enFrance.11 unbesoinspécifiqueen

1965).

Enrevanche,unesupplémentationsous

formedecomplémentsalimentaires n'aaucunejustificationchezlesujetsain laire.Même levieillard, que,indiscutable,del'exercice(Fiatarone etcoll.,1994).

Chezlesujetâgédénutri

quantàl'effetfavo etsur etDobson,1995;Cederholmmet encorelenombredechutes(Gray-Donald etcolL,1995).Parfois,lescomplé mentsoraux lisation, d'un tique dénutrioufragile. enbonnesanté,même sportif,iln'existepas sportifsdeforce,desbesoinsdoublés enpériodedegaindemassemusculaire pourraientsejustifier,maisseulementsur uneduréelimitée.Enrevanche,la enprotéinesetlapréva lenceélevéedela tencesous-jacented'infections etdediversespathologieschroniques,expo

12énergétiques.

BIBLIOGRAPHIE

protéinesdansl'alimentationdusportif

Avisdela

protéinesdansl'alimentationdusportif

Avisdela

Care

1998,1 :85-89

Métaboll998,

12:127-135

societies:

1996,50:72-92

mentsin

60:501-509

1996,50:8180-8185

hospitalresidents.]

HumanNutrDiet1995,8 :389-394

group healthyinfantsandchildren.ArchPediatr1997,4 :373-382 theNederlands.Am]Clin

Nutr1994,59:81187-81196

1013-1016

andchildren.

Eur]ClinNutr1996,50:8119-8150

49/14
tionfrançaise.CNRS-CNERNA1992

1996,50:819213

RevRespirDis1988,137:1075-1082

inveryelderlypeople.N

Engl]Med1994,330:1769-1775

supplementationshowslittleeffect erly.]Nutr1995,125:2965-2971

Nutrition1997,9 :63-82

1996,9:67-87

enrichedhospitalfood

Nutr1996,20:93-97

117-134

RecommendedDietaryAllowances.

NationalAcademyPress,WashingtonDC,lOth

edition,1989 ents

10months

tions

AgingClinExpRes1996,8:386-395

somelessons.Am]ClinNutr1987,46:709-725 revisited,witha Ed.

CRCPressNewYork,1995,191-232

14 2

Besoins,carenceset

supplémentationsenlipideset glucides qui cellule, cer lecorps glucose,parlebiaisdel'alimentation enlipides,danslecadredela adi tissus(musclesoxydatifs,coeur,foie ...),permettantd'épargnerleglucosequi encasderégimecarencéen base) indispensable(Dupin (kcal)pour montentà adultes. allaitante(2 etlesadolescent(e)s(l900-2700kcal/j).15 l'énergiesousformedeprotéines etlesglucides leslipides. (=30

35%del'énergie)(Dupinetcoll.,1992).

L'équilibre

oxydationestainsi nettementla grandesupérioritédeslipides encedomaine. etlesmuscles) extrêmementimportante, etdépensesd'énergieense desprotéines,desglucides d'énergiemaissontmoinsoxydés protéi l'alcool.Il enfinqu'unealimentationriche corporelchezl'adulteavec l'organisme(Flatt,1995).

Énergie

produite parl'oxydation desnutriments

Alimentation

Réservesstockées

dansl'organisme

ProtéinesGlucidesLipides

Dépense

énergétique

totalequotesdbs_dbs22.pdfusesText_28
[PDF] Analyse des pratiques professionnelles d 'accompagnement - Hal

[PDF] Etude message publicitaire - Espace Educatif - Rennes

[PDF] Comprendre les résultats des analyses de sang - Centre Clinique

[PDF] Grille admission CAFIPEMF 2017

[PDF] Chapitre 4: l 'analyse de sensibilité I:génialité sur l - cloudfrontnet

[PDF] Analyse d 'incertitude, analyse de sensibilité Objectifs et principales

[PDF] la programmation lineaire : analyse de sensibilite - AUNEGE

[PDF] Pratique de l analyse de sensibilité : comment évaluer l - Lille1

[PDF] Analyse de sensibilité des modèles de simulation - eccorev

[PDF] IFT 1575 Modèles de recherche opérationnelle - Département d

[PDF] Méthodes d 'analyse de sensibilité de modèles pour entrées - INRA

[PDF] la distance professionnelle en ehpad

[PDF] L 'analyse de la pratique - IFSI DIJON

[PDF] Présentation de la situation - Infirmierscom

[PDF] réflexion autour de la fiche d analyse de la pratique - Infirmierscom