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Mémoire de fin d’étude UE 5 6 S6 Analyse de la qualité et traitement des données scientifiques et professionnelles L’analyse de situation éthique par le soignant et son impact sur ses pratiques et la qualité des soins en soin de courte durée Directrice de mémoire Date de rendu Bouesnard Sandrine 31 mai 2016
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Etiologiesetdépistage
'--------IrJSERJ)1-----... arences nutritionnellesEtiologiesetdépistage
arences nutritionnellesEtiologiesetdépistage
f:J&rr~ lNSER1Y1Danslamêmecollection:
LaGrippe:Stratégiesdevaccination.1994
1994Rachialgies
Sida,Maladiesassociées:Pistes
pourdenouveauxmédicaments.1996Ostéosporose:Stratégiesde
préventionetdetraitement.1996Méningites
Imageriemédicale
enFrancedansleshôpitauxpublics.1996Hépatitesvirales:Dépistage,
prévention,traitement.1997Effetssur
Ecstasy:Desdonnéesbiologiques
etcliniquesauxcontextesd'usage.1998Insuffisancerénale
vention.1998Plombdans
©LesÉditionsINSERM,1999
101,ruedeTolbiac
75013Paris
ISBN2-85598-749-0ISSN1264-1782
DANGER
LEPHOTOCOPILLAGE
TUELELIVRE
1992interditlaphotocopie
notammentscientifique. decopie(CFC -20,ruedesGrands-Augustins-75006Paris).Ils'appuiesurlesdonnéesscientifiques
endateduderniersemestre1998.Environ1500articles
Le collective,Scientifi
queetdelaCommunication).Grouped'expertsetauteurs
Jacques
Claude
U308,Nancy
digestive-nutrition,HôpitalAlbertChenevier,Créteil
neau,Tours DenisHerriot,Lyon
Jean-Louis
laireRégis
Robert-Debré,Paris
Philippe
Paris DenisMarseille
Xavier
LEVERVE,accueil d'urgencesetderéanimationmédicale,HôpitalMichal etappliquée,Uni versitéJoseph-Fourier,Grenoble SeineOntprésentéunecommunication
tion,Conservatoire nationaldesArtsetMétiers,Paris talNecker,ParisCoordinationscientifiqueetéditoriale
Marie-José
PRIGENT,chargéd'expertise,INSERMSC14
Assistancebibliographiqueettechnique
ChantalGRELLIERetFlorenceLESECQ
Iconographie
Servicecommunn°6del'INSERM
Sommaire
Avant..proposXI
Introduction3
3.Besoins,carences
4.Déterminantsdelaprisealimentaire73
5.Fonctionimmunitaireetdénutrition87
PARTIEII..Donnéescliniques99
Introduction101
6.Marqueurs
deladénutrition1057.Epidémiologiedeladénutrition149
8.Dénutritiondel'enfant163
9.Dénutritiondel'adolescent177
10.Dénutritiondelapersonneâgée205
11.Dénutritionetalcoolisme221
12. 13. 14.Pointdevuedugénéraliste267
Synthèseetrecommandations275
Communications297
Stratégie
Annexes315
Avant...propos
peuventconcernertoutsujet hospitalisé,quelsquesoient rapport attirait lier recommandait pitaliers alimentaire.Maisla oùellepourraitconcernerjusqu'à10 %despatientsvisitésselondesétudes récentesaméricaines vie une qui menttouché. tiquée,doits'accompagnerd'uneprise enchargeadaptéeàchaquecas.L'ali essentieloucomplémentaire d'ungrandnombredepathologies.S'ilestpri nutritionnel,ilestsur tificationdesgroupesàrisque. risquede qualitédevieà ungrandnombredepatients.LaMutuellegénéraledel'éducation
nationaleasouhaitéinterrogerl'INSERMsurl'enjeu
enchargedesesadhérentsà leursbesoinsréels ungroupe etlamédecinegénérale. XII suivante: tionsobserve-t-ondes supplémentation? •Quels •Quelles tionnelles? •Quelles nesâgées? •Quels •Quelles mécanismesimpliqués?L'interrogationdesbases
sélectionner caments responsabilité l'Assurancemaladie dessupports cile lesdifférentsaspectsde tions. 1Donnéesbiologiques
etphysiologiquesIntroduction
tants,qui ils laire,cellulaire ...)etlesminérauxindispen sablesaumétabolisme.Lesapportsalimentaires
giques, interviennentdanslecontrôle processuscomplexesfaisantintervenirde nombreuxmécanismesneurobiolo giques. système forte quelebesoin unepopulationdonnée. carencesd'apportmais population. présenteraient queplusde50 tationenvitamineD. hommesetlesfemmesvivantà domicile. l'heureactuellequechezlesfemmesenceintes ayanteuunenfantprésentant ricainedepédiatrie lesfemmesenceintesLesfemmes
raissent 5 ferriprive. femmesà lieuxdéfavorisés. descas,lesbesoinsde lafemmeenceinteetdufoetus. législationfrançaiseprévoit concentrationsvariantde5 à14mg/ldelaitreconstitué.Uneétuderéalisée danslescentres que3,5 ladeuxièmeannée.Lesenfants consommationdelait.EnFrance,ilestrecom
de1000à 1200mg/jpoursubvenirauxbesoinsdufoetus.Durantl'allaite
qu'unesupplémentationcalci quede1g/jchezlesfemmesayant surIntroduction
tales l'enfant. La plusieursétudes mortalité cardiovasculaires,lesinfections resannées lesangmaisilresteà tenudelafréquencedetelles maladiesetjustifiel'intérêtapportéàcesujet. et maisqu'ellepourrait nes,iln'ya commedessupplémentsnutri acceptable. que lesconséquences ceseffetsàlongterme. Par laloidu1 er médicalesspécialesdevront, misàprescriptionmédicaleobligatoire.
Ilest vitamines ceux-ciaucoursduFinancesestchargée
1Besoins,carenceset
supplémentationsenprotéinesLerisquedecarencedans
habituelsnutritionnelsde selonl'âgeClassiquement,lebesoin
que(c'est-à-dire phologiques tiersconsidéréscommeinsuffisants répondreà quantifieravecprécision.Lebesoin donnés, la97,5%delapopulation.Plusieurstermes
sontglobalementsynonymes:ap apportdesécurité(termedelaFAOjWHOjUNU,1986).Lepointimportant
(ou decarence forte aminés20,parmilesquels9
radicalcarbonédel'acide seulesource nesendogènes(laprotéolyse),qui desbesoinsmoyens pensables soitsurdesméthodesisotopiques(Young,1987;YoungetEl-Khoury,1995).
Lebesoin
pauvres (Maheetcoll.,1997).Au aminéindispensable. peuventrésulterendescarences cetteraison,c'estessentiellementlespro téines- exemplepourdesfonctionsimmunitaires, cebesoinn'étantalorspasforcé pensables(Young etEl-Khoury,1995).Nourrissonetenfant
caractérise factorielle conversionutilisés alimentaires,auxcoefficientsdevariation permettantdepasserdubesoin moyenestd'environ1,5g/kg/jà 3moisetde1g/kg/jà 1an,soitunapport conseillédeExprimés
trèsprobablequecesvaleurs qui premiersmoisdevie. moyen.Ilestintéressantde apportshabituels g/jvoireplus). sons,sauf ausein,cequi délétère suggéreraientBiensûr,dans
suc oeufs, d'assurer enacidesaminés,surviennentà partirdel'âgede6mois(Dagnelie etVanStaveren,1994).Chezl'enfantplus grand rapportaubesoindecroissance (FAO/WHO/UNU,1986jDupinetcoll., estautourde1g/kg/j,soit45 plus protéinesouenacidesaminés.Adulte
Cecicorrespondàunapport
conseilléde0,8g/kg/j ou1g/kg/j(Dupin desconsommationshabituellesquiRappelons
enprotéinessontinexistantes chezl'adultesain. l'apportprotéique,cechiffre isotopiquesplusrécentes(Young,1987 jYoungEI-Khoury,1995).Ceciétant, mêmesi pays. revuesgénérales Peres,1997):lapratiquerégulière(3fois1/2heureà 1heureparsemaine) nemodifiepassignificativementlesbe (etdoncprotéi decarences populationestsouventtrès quiconcernelessportifsdeforce(exercices enrésistancedetypehaltérophi lie),lebesoinmoyennécessaireau maintiendelamassemusculairen'estsansEnrevanche,desbesoinsde2 à
làencore,compte detype drequelacarence.Enfin, sats)(AvisCEDAP,1996), ponctuellesintéressantesSujetâgé
maigre,liéeessentiellementà la dépendancedefacteursgénétiques ethormonauxetdépendaussidel'acti vitéphysique surl'adéquation sontmalconnus.IlestparéditiondesRDAsAméricaines
(1989),indique grouped'Evans(Campbell etEvans,1996;Campbelletcoll.,1997),surla basedesdonnéesdisponibles besoinmoyenseraitde0,9g/kg/j, entraînantlarecommandationd'unapportCeschiffres
et lactose •laprévalencedelaâgé,
supérieurs, chezlesujetâgé enFrance.11 unbesoinspécifiqueen1965).
Enrevanche,unesupplémentationsous
formedecomplémentsalimentaires n'aaucunejustificationchezlesujetsain laire.Même levieillard, que,indiscutable,del'exercice(Fiatarone etcoll.,1994).Chezlesujetâgédénutri
quantàl'effetfavo etsur etDobson,1995;Cederholmmet encorelenombredechutes(Gray-Donald etcolL,1995).Parfois,lescomplé mentsoraux lisation, d'un tique dénutrioufragile. enbonnesanté,même sportif,iln'existepas sportifsdeforce,desbesoinsdoublés enpériodedegaindemassemusculaire pourraientsejustifier,maisseulementsur uneduréelimitée.Enrevanche,la enprotéinesetlapréva lenceélevéedela tencesous-jacented'infections etdediversespathologieschroniques,expo12énergétiques.
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14 2Besoins,carenceset
supplémentationsenlipideset glucides qui cellule, cer lecorps glucose,parlebiaisdel'alimentation enlipides,danslecadredela adi tissus(musclesoxydatifs,coeur,foie ...),permettantd'épargnerleglucosequi encasderégimecarencéen base) indispensable(Dupin (kcal)pour montentà adultes. allaitante(2 etlesadolescent(e)s(l900-2700kcal/j).15 l'énergiesousformedeprotéines etlesglucides leslipides. (=3035%del'énergie)(Dupinetcoll.,1992).
L'équilibre
oxydationestainsi nettementla grandesupérioritédeslipides encedomaine. etlesmuscles) extrêmementimportante, etdépensesd'énergieense desprotéines,desglucides d'énergiemaissontmoinsoxydés protéi l'alcool.Il enfinqu'unealimentationriche corporelchezl'adulteavec l'organisme(Flatt,1995).Énergie
produite parl'oxydation desnutrimentsAlimentation
Réservesstockées
dansl'organismeProtéinesGlucidesLipides
Dépense
énergétique
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