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La " Chinafrique », une Realpolitik de la non-
ingérence Volume 3, numéro 3, octobre 2020 - ISSN 2563-9242Résumé analytique
" La pandémie est une aubaine pour les acteurs économiques chinois qui font de nombreux dons de matériels aux pays africains, à grand renfort de légitimité pour venir avec son propre modèle qui, bien dirigeants devant la responsabilité de choisir » (Jeune surtout que la Chinafrique (Andrésy, Marteau et Raballand, développement hérité de la colonisation. Le présent numéro relance justement la réflexion sur plus choisie par les pays émergents, près de quinze ans après le sommet Chine - Afrique de 2006 et au moment où une nouvelle tradition trisannuelle de sommets Russie ʹ Afrique, ponctuée par des fora annuels de partenariat économique, a été initiée à Sotchi en octobre 2019 (avec 45 africains représentés). Il est question, dans ce numéro, de situer les Afriques dans un contexte géopolitique qui en ferait le terrain de jeu des BRICS (Santander, 2014) et le strapontin dans un continent inondé par des milliers de milliards de réserves chinoises. Si la coopération est difficilement envisageable entre ces deux puissances émergentes qui interviennent dans le continent africain, dans des secteurs non identiques, la concurrence entre la Russie et la Chine dans les Afriques est peu probable, les deux acteurs étant de taille asymétrique (Bret, 2015). Quels sont les enjeux de cet intérêt renouvelé pour le continent africain ? Avec les contributions de Karie Youssoufou Ngamondi (IRIC) et de Brice Armel Simeu (CEIM), ce troisième numéro revient plus dans un continent appelé à relever le défi géopolitique de ne pasContenu
TENDANCES ................................................................................. 2 Les ressorts stratégiques du partenariat sino-africain :illusions et réalités ....................................................................... 2
REPÈRES ..................................................................................... 16 DÉVELOPPEMENT DURABLE....................................................... 16 GOUVERNANCE .......................................................................... 16 TRANSFORMATION STRUCTURELLE DES ÉCONOMIES ............... 17 RÉFORMES ................................................................................. 18 FOCUS ........................................................................................ 22 SOUS LA LOUPE ......................................................................... 24 VigieAfriques | Volume 3, numéro 3, octobre 2020 2La " Chinafrique », une Realpolitik
de la non-ingérenceTENDANCES
Les ressorts stratégiques du partenariat sino-
africain : illusions et réalitésKarie Youssoufou Ngamondi,
Institut des Relations Internationales du Cameroun (IRIC)Université de Yaoundé II
Depuis quelques décennies, la Chine tend à surclasser les ex-puissances coloniales en Afrique.Elle est présente dans la quasi-totalité des pays africains où elle mène des activités dans des
infrastructures, etc. La montée en puissance de ce pays en Afrique reste très discutée dans les
milieux académiques. Le courant de pensée axé sur la puissance envisage les stratégies et les
ses intérêts vitaux en Afrique (Bénazéraf, 2014 ; Bart, 2011 ; Gazibo et Mbabia, 2010 ; Le Goff,
puissances coloniales (Beuret et Serge, 2008 : 49-68). La seconde considère que la présence (Andrézy, Marteau et Raballand, 2010 : 151-162). Au-delà de ces grilles de lecture, il y a un sino-africaine. La Chine y est perçue comme une puissance immorale (Girouard, 2008) qui tend2011 : 8).
A travers ce tableau de la littérature certes non exhaustif, mais révélateur des ambitions chinoises en Afrique, les analyses tendent à se focaliser essentiellement sur la puissance de laChine, tout en ignorant, par ce fait même, le rôle joué par les États africains dans ce partenariat.
acuité dans les relations sino-africaines.Sans pour autant opter pour une approche manichéiste, la présente étude se propose
rapprochement avec la Chine. Elle se structure autour de la question suivante : dans quelle mesure peut-on comprendre les logiques et les rationalités du pragmatisme des États africainsdans le cadre de la coopération sino-africaine ? Une telle question invite à une double lecture :
ce partenariat est pratiquement ignorée, du fait de la grande importance accordée à une VigieAfriques | Volume 3, numéro 3, octobre 2020 3acteur rationnel capable de déployer une stratégie visant à défendre ses seuls intérêts. Cette
illusion entraine ainsi des biais méthodologiques fondés sur une vision parcellaire du réel. Le
rôle ainsi que le jeu des États africains dans ce partenariat seraient peu ou pas assez bienappréhendés. Pourtant les États africains, tout comme leurs partenaires chinois, sont mus par
une volonté de maximiser leurs gains. Il existe un pragmatisme africain lié au désir des États
perçoivent les solutions proposées par la Chine à leurs problèmes de développement
économique et social, comme une opportunité à saisir. ChineCertains experts tels que François Bart (2011), David Bénazéraf (2014) et Cédric Le Goff (2017)
intérêts au détriment de ceux de ses partenaires africains. Cette perception fondée
exclusivement sur la domination chinoise reste trompeuse. Trois idées largement partagées par recolonisation du continent africain ; la déresponsabilisation des États africains.Les relations sino-africaines ne reposent pas sur une idéologie bien élaborée visant à étendre
colonisation. La Chine ainsi que les États africains ont connu les affres de la colonisation. Cette pratiquetelle une ressource majeure nécessaire à leur rapprochement. En effet, la colonisation a laissé
dans la conscience des ex-colonisés une blessure morale et psychique qui les oriente naturellement vers la volonté de sauvegarder et de défendre leur dignité et leur autonomie.Leur émancipation politique les a ainsi conduits naturellement à une sorte de défiance et de
suspicion vis-à-vis des ex-puissances coloniales, quoique la plupart des Etats anciennementcolonisés aient maintenu des liens avec ces dernières. Le cas de la France est particulièrement
saisissant. Dans les pays anciennement colonisés par la France, les populations manifestent unpublique en Afrique manifeste une véritable sympathie. De leur côté " les Chinois " insistent
justification de leur légitimité (Chaponnière, 2008 : 38).volonté mutuelle et constante de créer des liens solides permettant de consolider leur entente.
Ainsi peut-on comprendre pourquoi les États africains ont très tôt considéré la Chine comme
contact douloureux avec le continent africain, relatif à une quelconque forme de violence VigieAfriques | Volume 3, numéro 3, octobre 2020 4 A partir de ce moment, ce pays apparait aux yeux des Africains comme une puissance pacifique.construire un front politique solide aussi bien au moyen des mécanismes bilatéraux que
multilatéraux. Dès 1949, alors que la plupart des États africains sont encore sous le joug de la
colonisation occidentale, la Chine manifeste aussitôt un intérêt réel pour le continent africain
symbole de la lutte anti-impérialiste. A partir de 1950, la République Populaire de Chine
continent africain (Bart, 2011 : 197). Sur le plan diplomatique, elle soutient activement toutesles initiatives concertées visant à construire un pôle de convergence politique des pays du tiers
monde. En 1955, lors de la conférence de Bandung, elle tente de renforcer sa posture commeviatique aux luttes indépendantistes en Afrique. Les années suivantes, elle participe aux
conférences afro-asiatiques organisées en terre africaine dans les villes suivantes : le Caire (1957), Accra (1958), Conakry (1960), Mogadiscio (1963) et Winneba (1965). A travers cet activisme diplomatique, Pékin veut nouer des contacts avec les pays africains pour constituerun bloc unifié contre les puissances impérialistes. Dans la poursuite de cet objectif, la Chine a
deux grands dirigeants panafricanistes, Sékou Touré et Kwame Nkrumah ont été reçus en Chine
Zhou Enlai accompagné du ministre des Affaires étrangères Chen Yi visitent dix pays africains,
Somalie et la Tunisie. Ces échanges de visite visaient ainsi à renforcer les liens de
une vision géopolitique commune de la scène internationale. Dans cette perspective, une convergence politique se développe à travers une pratique diplomatique communément appelée coopération sud-sud (Bénazéraf, 2014 : 9).chinois et africains. Il apparait donc ainsi une communauté de destin inhérente à leur volonté
de défendre leur autonomie et leur dignité vis-à-vis des puissances impérialistes. Par
domination qui serait en parfaite contradiction avec les enseignements tirés de la périodecoloniale. Dès lors, une véritable coopération sino-africaine ne peut se construire que dans le
cadre du respect mutuel de la souveraineté de chacun. Les cinq principes de " coexistencepacifique » énoncés en 1964 à Accra par Zhou Enlai sont bien conformes à cette idée. Ils
amener les gouvernements à adopter les principes basées sur la préservation de la paix, lale règlement pacifique des différends ; respecter la souveraineté nationale et rejeter toute
ingérence extérieure (Wintgens, 2016 : 59). Ces principes traduisent très bien la volonté de
Pékin de construire un partenariat avec les États africains, fondé non pas sur des rapports asymétriques, mais sur des relations égalitaires. VigieAfriques | Volume 3, numéro 3, octobre 2020 5quelques décennies seulement, elle est parvenue à surclasser ses concurrents directs,
notamment les puissances occidentales et les pays émergents voulant conserver et/ou obtenir des positions avantageuses en Afrique. La part considérable que ce pays a obtenue dans leles États africains, une coopération qui repose sur des rapports déséquilibrés. Fort de sa
puissance économique, elle renforce ses intérêts en même temps que les pays africains
obstacle au développement du continent. Le nouveau mercantilisme que cette puissance met contradiction parfaite avec les objectifs panafricanistes développés dans le cadre du Nouveausur la coopération sino-africaine (FOCAC), créé en 2000, elle propose à son partenaire africain
une coopération qui serait fondée sur une égalité factice. Cette instance de coopération
matérialisation des ambitions hégémoniques de la Chine en Afrique. Le FOCAC apparait comme une " forme de substitution symbolique de la Chine à une ancienne puissance coloniale » (Viltard, 2019 : 33).à peine voilée. La colonisation suggère la domination politique, économique, culturelle et
raison » (Mbembe, 2013). La politique chinoise en Afrique obéit-elle à ces objectifs ? Dans ses
principes de politique étrangère en Afrique, la Chine a toujours défendu le respect de la (Delcourt, 2011 :11). des moyens politiques, économiques, culturels et même militaires pour maintenir la VigieAfriques | Volume 3, numéro 3, octobre 2020 6en Afrique par sa volonté de conserver ses intérêts en Afrique au moyen de la déstabilisation
des régimes qui lui étaient hostiles et au maintien de ceux qui restaient fidèles à sa vision
des constances de la politique étrangère de la Chine en Afrique est le refus de toute forme conforme aux principes qui ont servi de base au rapprochement sino-africain. Cette constancede la diplomatie chinoise représente une condition sine qua non au maintien de sa crédibilité
et son image dans le monde. La Chine ne peut courir le risque de remettre en question laChine, malgré le fossé qui existe entre elle et les États africains en matière de développement,
politique des dirigeants chinois en Afrique se structure autour de la notion de " développement satisfaire ses intérêts.Par ailleurs, on ne saurait nier à la Chine le droit, comme tous les acteurs de la scène
internationale, de préserver ses intérêts en Afrique (Niambi, 2019 : 17-18). Les principes de
pacifisme qui structurent sa politique étrangère ne sont pas fondamentalement en pour les États du continent. La recherche des avantages économiques ne remet pas en causeenjeux économiques majeurs, il appartient à chaque partenaire de rechercher, (tout en
La plupart des analyses relatives à la coopération sino-africaine laissent apparaitre en filigrane,
chinoise en Afrique. Il y apparait aussi une tendance à faire de la Chine un bourreau et les États
internationale. Les faits mentionnés sont nombreux et suffisamment révélateurs du visage sombre de la coopération sino-africaine. En premier lieu les cas de violation des droits destravailleurs africains observés dans plusieurs pays africains. Emportés par une logique
mercantiliste, les entrepreneurs chinois ne respectent pas la règlementation ainsi que les loisrelatives au travail. Les employés africains sont condamnés à travailler dans des conditions
une mine exploitée par une entreprise chinoise (Girouard, 2010 : 11-12).Ensuite la percée commerciale de la Chine entraine souvent une déstabilisation du tissu
économique local. Les importations massives chinoises ont parfois engendré des pertes
concurrence aux produits chinois. De plus la qualité de ces marchandises qui présentent la1Selon Guillaume Devin, elles renvoient aux "
». Cf. Guillaume Devin (2002), Sociologie des
relations internationales, Paris, La Découverte, p.62. VigieAfriques | Volume 3, numéro 3, octobre 2020 7 environnementaux importants causés par les activités des entreprises chinoises : (Bosshard, 2011 : 90-93).éthiques et professionnelles garantissant les intérêts de leurs populations. Cependant dans la
plupart des cas ces derniers sont restés silencieux. Une telle passivité notoire ne traduit pas
fondamentalement un aveu de faiblesse, encore moins une ignorance des réalités sombres de politique. La Chine apparaît comme un soutien majeur à la survie et la consolidation du pouvoir desparfaite adéquation avec les attentes des décideurs politiques du Continent. La Chine,
démocratiques, fonde sa politique africaine sur les principes de non-ingérence et de respect de
processus politiques africains pour influencer le pouvoir dans un sens comme dans un autre (Touo, 2011 : 31). Cette posture affichée et assumée par cette puissance mondiale rencontreetc. La posture de la Chine séduit et dans certaines circonstances particulières, se révèle être
un atout déterminant à la survie même de certains systèmes politiques en Afrique. En effet, ce
pays a très souvent soutenu des régimes africains rejetés par certaines puissances occidentales.
puissances occidentales ont pu subsister malgré les sanctions politiques et économiques prisesChine (Siré Diaby, 2014 : 188-189).
A travers ses soutiens politiques, la Chine est sans doute devenue un allié incontournable à la
survie de certains régimes politiques en Afrique. Dès lors cet État, sans pour autant exercer une
contrainte spécifique, bénéficie des bonnes grâces des gouvernements africains qui, face aux
effets pervers des activités des entreprises chinoises, gardent un silence de mort. Les intérêts
politiques semblent prendre le dessus sur les préoccupations morales et éthiques.et le respect non seulement des grandes puissances en générale, mais aussi des pays
anciennement colonisés, notamment ceux du continent. Ses atouts multidimensionnels, notamment dans les domaines économique, politique, social et culturel, attirent des acteurspublics et privés qui veulent rentabiliser leurs activités. Pour les États africains en effet, le
VigieAfriques | Volume 3, numéro 3, octobre 2020 8 développement chinois. A partir de ce moment la Chine devient pour ces pays, un acteurprimordial qui représente une passerelle à la réalisation de leur développement politique,
économique et culturel.
La stratégie chinoise de coopération : un atout majeur pour les États africainsLa stratégie chinoise de coopération, par ses principes et ses mécanismes, représente un atout
comme celle-ci, ont été soumis à la colonisation européenne. Ce lien historique consolidé par
problèmes de développement en Afrique.quotesdbs_dbs29.pdfusesText_35[PDF] la chine en afrique menace ou opportunité pour le développement
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