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Marocaine de Développement de la Logistique (AMDL). La mobilisation foncière : L'enjeu est de disposer d'emprises foncières rapidement utilisables.
Les prestations logistiques au Maroc :
Internalisation ou externalisation ?
CHABEL Saâdia
Enseignante chercheuse
Université Ibnou Zohr
Ecole Supérieure de Technologie Guelmim - Maroc Equipe de Recherche en Techniques Economiques et de Gestion (ERTEG)E-mail : chabel_souad@yahoo.fr
72Résumé :
Face à un environnement global incertain, la vie économique est marquée ces dernières années
par lalittérature économique, ce phénomène a été analysé en termes de coût de transaction généré lors
ou en termes de similitude et/ou de complémentarité des activités de la firme. prestationslogistiques dans les petites et moyennes entreprises au Maroc. Pour ce faire, une analyse
quantitative, de 54 PME chargeurs, est menée avec les apportsthéoriques de la théorie des coûts de transaction et la théorie des ressources et compétences.
Mots-clés : Externalisation des prestations logistique, internalisation des prestations logistique,
théorie des coûts de transaction, théorie des ressources et compétences. 73INTRODUCTION :
Actuellement, les entreprises industrielles et commerciales se sont engagées dans une démarche prendre en charge des tâches auparavant réalisées en propre.Cette tendance est allée de pair avec la complexification des tâches logistiques. Elle permet, en
effet, aux entreprises : de se recentrer sur leurprestataires qui amortissent leurs investissements matériels et immatériels sur plusieurs dossiers
etc.demeure internalisée au Maroc. Le transport demeure la première opération confiée à des tiers.
communication accentue cette tendance.Ces préoccupations soulèvent une problématique majeure concrétisée par une série de
questionnements : Quelles sont les prestations externalisées ou internalisées par les chargeurs
marocains ? ? formation dans ce domaine et le communication ?Pour aborder cette problématique, nous allons mener une étude quantitative, à travers
un questionnaire destiné aux PME demandeurs de transport (Importateurs etExportateur) (Axe 2) avec les apports théoriques de la théorie des coûts de transaction et la théorie
des ressources et compétences (Axe 1). 74I. PRESTATIONS
LOGISTIQUES
Le secteur de la logistique de transport constitue un modèle pour tester la nouvelle structure des
marchés mondiaux de plus en plus consolidée sous forme de coalitions et réseaux inter-firmes.
Cette nouvelle logique a incité les firmes à externaliser les prestations logistiques dont
1. coûts de transaction on logistique selon lathéorie des coûts de transaction et ses limites, un aperçu bref sur les fondements de cette théorie
nous paraît utile.1.1 Les fondements de la théorie des coûts de transaction (TCT)
courant néo-la combinaison des coûts de transaction et des coûts de production. Les coûts de transaction
intègrent les ressources utilisées pour négocier, conclure et suivre le contrat qui porte sur le
P , 1999). Dans un article sur la nature de la firme, Ronald Coase postule que le marché et laune organisation de la production par le marché. Une firme atteint une taille optimale dès lors
sLes idées avancées par Coase sont reprises par Williamson qui spécifie les facteurs explicatifs des
coûts de transaction. Le corpus théorique développé par Williamson est fondé sur deux
hypothèses de comportement des agents économiques : le principe de rationalité limitée et
75concernant la place insuffisante attribuée aux formes hybrides, Williamson distingue désormais
explicitement trois modes de gouvernance : le marché, les modes hybrides et la hiérarchie
(Mayrhofer. U, 2007). En tenant compte de ces modes de gouvernance et des deux hypothèsesmentionnées ci-dessus, Williamson constate que les coûts de transaction augmentent sous
: la spécificité des actifs mis en jeu, l'incertitude et la fréquence destransactions (Williamson O.E , 1989). Le recours à des relations hybrides et hiérarchiques ne se
e et des transactions fréquentes se combinent à des actifsspécifiques. Si les actifs sont moyennement spécifiques, le choix portera sur des modes hybrides,
1993).
gouvernance dont chacune admet des dispositions contractuelles différentes. A ce niveau, le contrat néo-prestataire) conservent leur autonomie tout en étant en état de dépendance bilatérale de façon
significative. L'identité des parties est importante car l'une d'elles ne peut facilement être
remplacée sans générer des coûts (David R.J. & Han S.K , 2004). La question que nous allons
aborder ci- logistique.1.2 Nature et attributs fondamentaux des transactions dans le canal
logistiqueTout au long d'une chaîne logistique, il existe des coûts de transaction ex-ante et des coûts de
transaction ex-post. Ces coûts sont essentiellement de nature informationnelle. Ils surgissent,notamment, au moment des trois principales étapes nécessaires à la réalisation d'une transaction
à savoir : la collecte d'informations, la négociation et le contrôle de la performance (Rosenbloom.
B , 1995). Nous reprenons successivement ces trois catégories de coûts pour préciser les
conditions de leur émergence. Par exemple, pour un " outsourcer », toute collecte d'informations
sur les prestataires potentiels, leurs compétences et capacités, les clients qu'ils desservent est
source d'avantage stratégique mais génère des coûts ex-ante. De même, lors de la " négociation
», l'asymétrie d'information qui peut exister entre un prestataire détenteur d'un grand savoir-faire
76support engendre des coûts importants directs et d'opportunité. Comme le souligne Pache, les
prestataires "n'hésiteront peut être pas à dissimuler ou à déformer des informations en leur
possession pour bénéficier de conditions d'échange plus favorables » (Pache. G , 2002). Les
coûts ex-post sont constitués des coûts d'organisation et de suivi, de contrôle, de renégociation du
contrat par rapport à l'accord initialement conclu ou par rapport à un contrat dont les conditions
seraient plus avantageuses.Dans le domaine logistique, le degré de spécificité des actifs est un déterminant fondamental.
Selon Pache et Sauvage, " le degré de spécificité des actifs correspond au fait que les activités de
distribution physique nécessiteront parfois des matériels de manutention ou d'entreposage
particuliers en fonction des produits et/ou des marchés non standard auxquels ils s'adressent» (Pache. G & Sauvage. T, 1999). Les prestataires logistiques sont devenus des professionnels deplus en plus avisés et sollicités. Ils ont développé des investissements relativement standardisés
notamment dans le domaine de l'entreposage, du conditionnement etc, de telle sorte que le degréde spécificité des actifs tend à se réduire. Une autre situation a été envisagée. Elle décrit le cas
où les prestataires logistiques, devenant de plus en plus compétents, développent pour leurs clients
des prestations " sur mesure » souvent très complexes. Ces actifs hautement idiosyncrasiques, faiblement ou non redéployables, auront pour effet d'augmenter l'opportunisme des professionnels de la logistique. Les coûts de changement (switching costs) de tels équipements sont pour le A noter que les actifs mis en jeu, spécifiques ou non, ne sont pas nécessairement des actifs le savoir-faire des hommes impliquésdans la réalisation de la prestation. En Somme, Les différentes activités de la chaîne logistique
nécessitent des investissements pouvant présenter un fort degré de spécificité. Au regard des
prédictions de la théorie des coûts de transaction, une tendance à externaliser les activités
nécessitant des actifs faiblement spécifiques devrait être observée. Inversement, une tendance à
maintenir en interne les composantes de la chaîne logistique nécessitant des actifs fortement spécifiques devrait être constatée. 77demande extrêmeme ie des
composantes de la chaîne logistique. Selon les préceptes de la théorie des coûts de transaction,
une forte incertitude est reliée négativement au choix d'une solution d'externalisation. Elle produit
une imprévisibilité des évènements qui, à son tour, est responsable de tensions et d'anxiété entre
acteurs à un échange (Ghertmann. M, 2000).Le dernier attribut de transaction est la fréquence. Dans le domaine logistique, en cas de
distribution de produits par exemple, le niveau de fréquence renseigne si le volume de
spécifique en interne (Bienstock C.C & Mentzer J.T, 1999). Dans ce cas, il est pertinent de vérifier
si les prédictions de la TRC quant aux choix de ressources des activités banalisées, à forte
fréquence (par exemple le transport qui nécessite des actifs peu spécifiques mais très coûteux)
(Warehousing), activité récurrente, mais qui exige des habilités humaines, organisationnelles et
techniques de plus en plu dont les firmes performantes ne peuvent se soustraire (Preston D & Brohman K, 2002). Selonêtre
isme qui lui sont associés, la spécificité des actifs et lafréquence des transactions. Cette analyse a été appliquée à des entreprises et des secteurs
industriels ; plus rarement au secteur des services et plus rarement encore au secteur des
transports. -institutionnelle permet- 78propre) est plus forte lorsque
des actifs (matériels ou savoir-faire) spécialisés, mais on peut rencontrer du compte propre alors
que ces conditions ne sont pas remplies. Notamment les industriels et commerçants peuvent assurer en compte propre des transports qui ne mobilisent pas des actifs spécifiques.1.3 Les limites de la théorie des coûts de transaction (TCT)
De façon très générale, les études montrent que le coût de la production du transport en compte
propre estpartiellement compenser cet écart de coût. Mais partiellement seulement. De plus, ces coûts sont
généralement méconnus ou sous-estimés par les industriels ou les commerçants (Bernadet. M,
2014)-institutionnelle selon laquelle les entreprises cherchent à
minimiser la somme des coûts de production et de coordination ne semble donc pas satisfaite. Demême, cette théorie est incapable de mesurer avec précision les coûts de transaction et les coûts
dusur les coûts. La réduction des coûts comme objectif est en train de perdre son poids dans la
mesure où les pratiques récentes des organisations appartenant au même secteur peuvent effectuer
secteur, comme il peut dépendre des objectifs et des ressources et compétences internes de s la théorie des ressources et compétences. 792. ressources et des compétences (TRC)
Elle constitue un tournant dans la théorie de la firme, qui a permis une avancée considérable dans
, 1984). Depuis les années 1980, ce courant2.1 Fondement de la théorie des ressources et des compétences
sont conjuguées distingue fondamentalement les entreprises et explique leurs différences de performance, ce sont les ressources et compétences en leur possession. En effet, depuis longtemps, les travaux de dégager des quasi-rentes (Marshall A, 1961). La combinaison même de certaines ressources peut donner lieu à une quasi-rente composite. Cette dernière désigne " la part de la quasi-ressource qui dépend de son association avec certaines autres ressources spécifiques» (Alchian.
A & woodward. S ements supérieurs à
compétences rares. On peut alors concevoi environnement (entreprises concurrentes, pouvoirs publics, centres de recherches, etc.) permet demieux analyser les rapports de pouvoir entre les organisations et de situer le recours à
2.2Le modèle de dépendance des ressources développé par Pfeffer et Salancik en 1978 appartient à
80organisation dépend de son aptitude à acquérir et à maintenir les ressources nécessaires à sa survie.
des organisations existe d ntefondamentalement stratégique. La non disponibilité des ressources sur le marché ou
ion à les chercher auprès . C, 1997). : La première : " leschangements dans la mesure où ils créent une situation nouvelle que les individus doivent
comprendre »ressources nécessaires. Le contact avec les ressources et compétences du fournisseur peut nourrir
les connaissances du personnune étude a montré que même les organisations qui ont des problèmes avec leurs fournisseurs ont
que les problèmes sont moins importants que ceux qui vont apparaître en reprenant le service en
interne (perte du savoir- faire et des compétences).La deuxième explication est basée sur la complémentarité des ressources " No business can do
everything. Even if it has the money, it will never have enough good people. The worst thing to do is a little bit of everything. This make sure that nothing is being accomplished » (Loh. L & Venkatraman. N , 1 992). En effet, les organisations ne sont pas auto-suffisantes en ce qui investissements spécifiques e 81es ressources compétences dites stratégiques permettant de gérer la relation avec le prestataire.
La troisième explication est liée au différentiel de performances entre firmes qui consiste pour
une organisation à rechercher sur le marché une prestation de meilleure qualité.et un contrôle stratégique plus efficaces sur ses activités et sur ses compétences clés.
2.3 Les limites de la TRC
pprochements inter-firmes en termes de ressources et compétences révèlepas à distinguer clairement lesquelles, des nombreuses ressources présentes dans l'entreprise, sont
effectivement à l'origine de sa performance. Les explications avancées sont souvent du type ex-
post ; c'est à dire qu'après avoir atteint un certain niveau de performance, les entreprises
interrogées essayent de justifier cela par l'existence de certaines ressources. De ce fait, aucunconsensus n'a pu être atteint sur les ressources stratégiques, source de l'avantage concurrentiel.
théorie de coût de transaction, la théorie des ressources demeure insuffisante pour expliquer
82II. PRESTATIONS
LOGISTIQUES AU MAROC
prestationslogistiques dans les PME au Maroc. Pour ce faire, une étude quantitative est menée par
homogène (54 chargeurs " demandeurs »). Cet échantillon est choisi par une méthode
probabiliste aléatoire simple.1. Les prestations externalisées et internalisées par les chargeurs
marocains Quelles sont les prestations externalisées ou internalisées par les chargeurs marocains ?La réponse à cette question sera concrétisée par le graphique 1 ci-après tracé sur la base des
données collectées auprès de 54 chargeurs. Source : Elaboration propre (Données collectées auprès de 54 PME chargeurs), 2019 La demande des prestations de services, mentionnées ci-dessus, de la part des chargeurs marocainsreste faible. Elle concerne, principalement, le transport (100%), la gestion des procédures
nt externalisé à 45%. La 0 50100
1007491
451515126
2695585858894
Graphique 1: Services externalisés et internalisés par les chargeurs en % externaliséeinternalisée 83partager les informations (crainte de perdre des clients). Ces mêmes phénomènes se sont produits
ique dans la mesure où les entreprises contractantes faut souligner aussi la faible taille de nombreux chargeurs marocains qui ne peuvent supporter le coût d prix final du client.Tous ces facteurs sont interdépendants et ils contribuent à la non motivation des opérateurs de
rentabilité. Dans ce contexte, il est nécessaire que le secteur public adopte une attitude forte,
comme grand client qui peut agir comme prescripteur à travers sa fonction régulatrice des
marchés.Après avoir mentionné les prestations de services externalisés et internalisés par les chargeurs
s dans la première partie, on va poser la question suivanteservices logistiques ? La réponse des chargeurs marocains est concrétisée par les graphiques 2 et
3 suivants :
Source : Elaboration propre (Données collectées auprès de 54 PME chargeurs), 2019 40%26%22%
7%5% 0% 5% 10% 15% 20% 25%30%
35%
40%
45%
Recherche
de meilleure qualitéRecentrage sur
métierMinimiser les
coûts et augmenter la productivitéFaire face à
Accroître la
flexibilitéGraphique 2: Facteurs d'externalisation
84graphique 2, confirment part, et la théorie des coûts de transactions (TCT part. - le différentiel de performances entre chargeurs et opérateurs de transport poussent
40% des chargeurs de chercher les meilleures prestations logistiques auprès des
opérateurs de transport. pour la performance globale. - Le troisième facteur concrétise les arguments de la théorie des coûts de transaction qui stipulent que 22% des chargeurs optent pour le mode de gouvernance hybride qui leur permet de réduire les coûts de transaction et de production afin Source : Elaboration propre (Données collectées auprès de 54 PME chargeurs), 2019Les graphiques 2 et 3 mentionnés ci-dessus ainsi que les prédictions théoriques de la théorie des
à organiser en
-il des résultats de la recherche empirique à ce sujet ? voir graphique 1 ci-Existence des
ressources propresFréquence élevé
des envoisNon satisfaction
des prestations des tiers 67%28%5%
Graphique 3: Facteurs d'internalisation
85dessus
propres (67%) et la fréquence élevée des envois (28%). 5% des chargeurs qui ont essayé
transport.Les hypothèses relatives à la spécificité des actifs, ont trouvé des évidences empiriques positives
En effet, quelques étude
exemple citer le cas desdes prestations logistiques, le taux de formation dans ce domaine et le recours vers les
technologies de communication ? La réponse àpoint ci-après en se basant sur les données collectées auprès des chargeurs et opérateurs de
transport. 2. communication.2.1 Formation en logistique
formation professionnelle (FP) au Maroc doit relever undéfi majeur : transformer progressivement un secteur à dominante artisanale à un secteur à
Pour une part importante des firmes, les décideurs, de par leur formation, leur expérience et leur
par une gestion à dominante familiale, soit par une hypercentralisation des pouvoirs.Généralement, ce type
86positionner au niveau de nouveaux marchés et cherche toujours à se maintenir uniquement sur les
positions acquises. Au cours de notre enquête, on a demandé aux PME chargeurs de nous informer sur le degré de formation de leur personnel en logistique. La réponse de ces acteurs est schématisée comme suit (graphiques 4) : Source : Elaboration propre (Données collectées auprès de 54 PME chargeurs), 2019 graphique montre : chargeurs enquêtés ne font aucune formation en logistique et 26% ayant une formation de base) - La formation régulière et les compagnes de sensibilisation sont timides pour les chargeurs (6% et 7% respectivement).La majorité des entreprises marocaines ignorent encore la logistique. Seules les entreprises
construire une certaine culture logistique, en particulier laperception de la valeur du temps et de la qualité pour réussir leur intégration dans la logique du
juste-à-temps. Même les formations existantes sont peu structurées et non coordonnées :
beaucoup de formations de 3ème cycle (publiques et privées), peu de formations moyennes (Bac+ 2), formation professionnelle en développement, mais loin de répondre aux besoins spécialisés
réceptionnairesAucune
formation 61%Une formation n 26%
Des compagnes
de sensibilisations sont organiséesquotesdbs_dbs22.pdfusesText_28[PDF] les ensembles structuraux de la tunisie
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